christophe 38

si je devais faire partir les Français, je referai un ou des accrochages, de nuit, avec des patrouilles fr, dans les quartiers populaires... Le but de la manip étant d'avoir des échanges de coups de feu et des victimes innocentes par les tirs de nos soldats. Les cases en tole ne stoppent pas les balles... La popularité de nos milis en prendrait un serieux coup dans l'aile et ils seraient obligés de se cantonner sur les grands axes, laissant le champ libre sur les autres voies, aux pénibles de service qui pourraient s'exterminer mutuellement en reprochant à nos troupes de ne pas faire le job.... et vous, si vous etiez l'adversaire, comment vous y prendriez vous pour faire quelque chose d'asymétrique, pour rendre les liberateurs français impopulaires jusqu'à devenir une armée d'occupation ?

tu les aurais envoyé au Kosovo ou en Sierra Leone ? je te rappelle qu'en face, il y a des civils et que certains d'entre eux ont des armes, et parfois des kalash.. donc, les bleus ne sont pas adaptés à la mission. Il faut désarmer (bon courage) pour envoyer ensuite des forces de sécurité... mais, pas l'inverse. Je ne remets surtout pas en cause la qualité du travail de nos militaires. Je dis simplement qu'ils ne sont pas assez nombreux pour la mission et que l'étendue de la mission la rendra impossible.

hum je disais hier que nos objectifs militaires étaient trop flous, que les effectifs étaient insuffisants (1600 hommes dont la moitié doit rester à l'aéroport, la logistique, les trans et la protection (et que, meme si les gars sont sur le pied de guerre pendant 12 heures par jour, cela n'en fait que 400 à l'instant T dehors, (et de compter combien de véhicules on peut armer avec cet effectif et ce que l'on peut faire). Les renforts africains ne pouvaient venir que du Tchad. Les renforts européens ne partirons pas au combat. Nos pioupious sont vraiment isolés. Et si l'on rajoute la frustration de la population pour qui les choses ne vont pas assez vite dans son sens et qui risque de prendre à partie nos gars, ça fait un sacré challenge. La haute hiérarchie n'est pas capable de dire franchement aux politiques que cette mission est pourrie (et qu'elle ne se déroulera pas comme ils le rêvent) ?? Que préfèrent ils ? que nous ayons encore des morts et que les faits démontrent que nous sommes impuissants ? La Loyauté, c'est aussi de dire quand une opération est mal engagée ; pas uniquement de mettre le petit doigt sur la couture du pantalon et de dire "à vos ordres" ! J'ai coutume de dire que quand une manip s'est bien passée, c'est grâce aux petites mains (ce sont les gens sur le terrain qui ont bien bossé). Quand ça merde, c'est la faute de la hiérarchie : mauvaise estimation des risques, absence de contrôle et de rectification quand ça part en vrille. Et quand ça marche, quel plaisir de voir qu'un plan se déroule sans accroc

et, pour toi, est cohérent avec ce que te doit le MinDef ?

Bonsoir Gibbs là, http://www.lefigaro.fr/international/2013/12/17/01003-20131217ARTFIG00283-centrafrique-la-france-mise-sur-son-allie-tchadien.php on considere que le président tchadien peut influencer les ressortissants tchadiens qui sont de la séléka... :-X

qui va venir ? Le Tchad où rien ne se fait dans la région sans (plus ou moins) son accord ?? http://www.lefigaro.fr/international/2013/12/17/01003-20131217ARTFIG00283-centrafrique-la-france-mise-sur-son-allie-tchadien.php qui d'autre, en Afrique, a la capacité de se projeter et la technique ? on a vu au Mali la difficulté de reunir une force africaine.. Quand à l'Europe, je n'y crois pas (du tout)

Bonjour Pascal, simplement, en avons nous les moyens ? les moyens en hommes d'occuper le terrain ? les moyens en matériel (dans quel état se trouve le matos...) ? les moyens financiers ? en face, avons nous une aide internationale qui va mettre à terre du personnel ? avons nous une volonté politique en RCA de prendre le pouvoir et de servir le pays ? enfin, statut d'ex puissance coloniale.. oui mais, pour ma part, je ne me sens pas coupable et pas concerné de ce qu'ont pu faire mes arrieres grands parents quand ils servaient l'armée française et la Nation et qu'ils ont colonisé l'Afrique, comme je ne me sens pas coupable, si en 50 ans, ces pays qui ont obtenu l'indépendance, ne sont pas capable de se trouver une stabilité. En attendant, nous intervenons là au milieu de ce qui pourrait dégénerer en guerre civile et dont la fin (de la mission) est dans les limbes. C'est beaucoup moins évident qu'au Mali. Ce que je regarde aussi, c'est le prix de notre présence là bas ; pas que vu du coté impots ou du coté diminution des crédits de l'armée, mais le prix du sang. Nous avons déjà 2 morts. Il faut donc que ça en vaille la peine.

Bonjour Ce qui me gène, ce n'est pas d'engager nos militaires, c'est autre chose. Il manque, pour moi, un objectif, une vision, un calendrier (ferme, parce qu'annoncer que l'on est là pour peu de temps, c'est faux, sauf à partir demain et à laisser la situation pourrir de nouveau). Pour installer une démocratie, il faut une classe politique. Il faut des gens honnêtes (pas de corruption ) qui ne vont pas taper sur l'ethnie qui était au pouvoir avant et regler ses comptes, Il faut des ressources pour faire repartir le pays... Et cela fait depuis l'indépendance, depuis les années 60, que c'est le bazar. Ce n'est pas en 6 mois que nous allons remettre sur pieds un pays qui est à la dérive depuis 50 ans. Bref, ça, ce n'est pas en notre capacité. Que va regarder le peuple de la rue ? comme en Irak ? nous sommes des libérateurs et après ? Nous ne sommes pas le Père Noel et nous n'apportons pas de solution toute faite. Les musulmans vont penser que, comme nous sommes chrétiens, nous protégeons les chrétiens... Les chrétiens vont penser que nous ne chassons pas ceux qui les ont persécutés et tués Les deux parties vont tenter de régler eux mêmes leurs problèmes, avec les kalash ou les machettes. Et nous, au milieu, nous serons inefficaces et ne pourrons pas être partout. Accessoirement, il ne faut pas perdre de vue aussi que, dans la SELEKA, il y a des tchadiens qui ont été nos alliés au Mali... Alors, entre des objectifs inatteignables, la politique de la bite et du couteau associé au fil de fer pour réparer nos véhicules, je plains nos militaires qui sont les outils de politique qui ne savent pas ce qu'ils veulent. la presse d'aujourd'hui commence à klaxonner : http://www.leparisien.fr/espace-premium/actu/a-bangui-l-etoile-de-la-france-palit-17-12-2013-3415949.php

Grenade à Fusil https://www.google.fr/search?q=grenade+%C3%A0+fusil&client=firefox-a&hs=Nh9&rls=org.mozilla:fr:official&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ei=7K2uUoPWFOO70wXux4DoBw&ved=0CEgQsAQ

600 000 c'est plus de 10% de la population ; pire que les khmers rouge bref, on n'a pas le cul sorti des ronces, avec des "chefs" comme ça (qui ne connaissent pas le dossier)

la presse nationale du jour : http://www.leparisien.fr/politique/securite-hollande-et-l-incident-secret-de-bangui-15-12-2013-3410653.php ce fut chaud enfin, pour ma part, nos effectifs, les effectifs dédiés à cette mission, ne sont pas assez nombreux. 1600 personnes, dont combien sont dédiées à des taches non de terrain ? Combien, peuvent, au meme moment se retrouver en patrouille ? (s'il fallait sortir tout le monde, en otant les malades, la garde du dispo, les EM, combien sont ops ? Quel est le nombre minimal de personnels qui composent une patrouille ? 4 (dans un VAB ) ? donc, ces 1600 militaires, pourraient faire 400 équipages de VAB.. Sachant qu'ils ne peuvent pas bosser à H24, en comptant que les personnels ne patrouillent "que" (au grand maximum, et sur la durée) 12 h par jour, il y a possiblement 200 "équipages de 4" qui peuvent patrouiller.... pour un pays de 5 millions d'habitants... bref, nous avons les bras trop courts

simplement, avec cet effectif, elle n'arrive pas à controler la totalité de la capitale... alors, vouloir controler un pays entier.. quand au génocide ou aux reglements de comptes, à partir du moment où l'on désarme les méchants, les gentils ne vont pas se priver... Un Kosovo bis qui se prépare ??

Bonsoir oui, mais, pour des esprits bien pensants, il ne pouvait y avoir que BEA qui avait du gaz et que les pauvres rebelles, eux, étaient des victimes. Ce n'est qu'une erreur de plus... et si ça se confirme, ce serait une fois de plus la preuve que nos politiques sont vraiment des brelles (et nous font avaler les couleuvres)

Bonjour Certes, il y a une résolution de l'ONU, mais pour couvrir une zone grande comme la France et la Belgique, nous ne pouvons pas décemment y aller seul (à pieds, à terre). Et avec seulement 1600 effectifs, qui suffiraient à peine à sécuriser la capitale. Que d'autres pays nous aident en nous pretant des avions, c'est une chose, mais ce n'est pas à 11 000 m d'altitude qu'il y a besoin de monde, c'est au sol. Nous avons déjà perdu 2 hommes et moi aussi, j'ai peur que cela ne continue. J'ai peur car c'est tellement le merdier que je ne crois pas nos politiques quand ils annoncent que ce sera court. Donc, ce sera long et saignant. Et pour quoi ? certes, empecher un massacre.... mais, il n'y a que nous qui le voyons, ce massacre ?? donc, non ! la voilure de nos armées est réduite pour cause d'économies ; le matos est usé. Les hommes servent de bouche trous pour colmater les aneries d'autres dirigeants (africains) qui ne sont pas matures et qui sont fiers, en plus. je ne vois pas où nous allons. EDIT : quand on voit qu'en France, pays calme et sans guerre civile, nous avons grosso modo 300 000 policiers et gendarmes pour assurer la paix publique et assurer un maillage que d'aucuns trouvent trop lache, .... que peuvent faire 1600 soldats dans un pays plus grand que chez nous ? est ce que vous pensez qu'avec nos infrastructures, notre pays, s'il était en guerre civile, pourrait se rétablir grace à seulement 1600 militaires ???

c'est ce que je me suis dit aussi. Pour moi, ça ne sent pas bon (d'humilier ainsi les interpellés): d'une part, les mecs d'en face, en uniforme, ne sont pas (tous) Centrafricains ; et des gars en uniforme d'une autre nationalité, à part à la Légion, chez moi, ce sont des mercenaires. Donc, les mecs de la SELEKA, s'ils veulent rester en vie, faut qu'ils rentrent chez eux. Ca ne sent pas bon non plus parce qu'il n'y a pas d'armée légitime, à encadrer, à renforcer. Il n'y a plus de pouvoir politique et, bien que la période s'y prête, j'ai l'impression que l'on nous prend un peu (trop) pour le Père Noel (apporter la paix, la réconciliation, voire le commerce et la prospérité, sans oublier une stabilité politique). Bref, seuls (avec 1600 personnes), c'est mission impossible. Que sommes nous allés dans cette galère ?

le 92 ? à fuir ! Il a été mis à jour avec le 92 FS : La différence ? l'espece de 1/2 lune à l'arriere de la culasse, à gauche. Ca n'empeche (toujours pas) la culasse de peter, mais elle ne revient plus dans la figure du tireur. Le 92 ? je pense qu'il y a du avoir, au début, une serie "spéciale" qui a passé les tests US avec succès. Une fois l'arme acceptée, elle a été commercialisée mais les americains ont eu "quelques" bris de culasse avant 15 000 coups, obligeant Berret' à revoir un peu sa copie. Ce n'est pas forcement innocent si le contrat n'a pas été reconduit, non ? Coté Glock, il arrive que des culasses pètent aussi. Vu en police. Au niveau de la fenêtre d'éjection, le métal blanchi, se fissure et casse (si on n'a pas cessé l'emploi avant). L'origine ? probablement la secousse "seche" du 9 para qui fatigue le métal dans une zone où il n'y en a pas beaucoup. Enfin, c'est ce que j'avais entendu du coté de Versailles, à l'époque. Mais, entre les 2, je choisis Glock à 500%.

bonjour j'ai utilisé ce genre de montage sur un Colt 45 pour m'entrainer ; il a l'avantage de ne pas "bouger" lors des séquences de rearmement contrairement au FN tactical

Bonjour une visée point rouge, c'est top pour les distances courtes : il suffit de poser le point rouge sur l'adversaire et de percuter pour le toucher. Pas besoin de prendre une position académique, d'aligner guidon et cran de mire, ça rentre. On les trouve meme sur les armes de poing. A la chasse, on donne un range d'utilisation jusqu'à 50-60 m (pour les battues). Pour l'emploi, tu gardes les deux yeux ouverts, donc tu peux controler ce qui va rentrer dans ta vision (hostile ou innocent qui peut passer dans la zone que tu engages)... Bon produit ! http://fr.wikipedia.org/wiki/Viseur_point_rouge

on essaie ! à l'époque du passage au revolver, dans les années 82-85, avec les RMR (après l'épisode des MR 73 avec des barillets qui acceptaient les demi lunes pour mettre les 9 para), nous sommes passés au 357 full métal jacket. A Lille, de mémoire, suite à une prise d'otage ou un incident grave, le GIPN local a tiré, touché l'auteur et blessé au moins une personne derriere : taux de pééntration trop important. Dans le meme temps, sur Marseille, un échange de tirs avec des malfaisants, une riposte policiere et un autre cas de surpenetration avec un autre individu (qui n'y était pour rien sur ce coup là (lire "connu des services de police mais pas sur ce coup là"). Ensuite, ça a ronronné jusque vers 84-85 où de nombreux cas de déssertissages des balles ont été notés. Il a fallut tirer rapidement ce qui était encore tirable (au stand) et la boite s'est inquieté du coup du remplacement (5 francs de l'époque, soit 75 cents la mun'). Entre le cout et les dégats collatéraux, on en est revenu (en arrière) aux bonnes vieilles mun' chemisées (un de mes officiers ne voulait pas me voir avec des speer gold dot arguant que ça ne respectait pas la convention de la Haye sur les munitions déformantes utilisées par les armées belligérantes... sauf que la police nationale n'est pas en guerre et que ce n'est pas une armée..) Bref, interdit de se faire prendre (avant) et si usage (justifié), la legitime défense annule les autres infractions... (sauf les sanctions administratives). J'avais donc soit des +P soit des gold dot, soit des hydra shock. Dans les années 2000-2005 et surtout depuis l'arrivée du SIG 2023, de nouvelles mun qui dissipent leur énergie à l'impact (déformantes, donc) sont apparues. Certains collegues ont pesté : sous incidences, elles ne passaient pas les portes des voitures... C'est un peu la quadrature du cercle : si tu veux toucher, il faut une munition qui ne s'arrete pas (et qui garde une certaine énérgie pour incapaciter à l'impact)... donc, des risques de surpenetration. Enfin, concernant la dame morte au USA, je ne suis pas certains que les policiers aient vu, avant le tir, la présence de l'enfant. Cela étant, chez nous, nous sommes formés à la procédure AMOK ; tu vas trouver plein de liens ici :http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=2&cad=rja&ved=0CDkQFjAB&url=http%3A%2F%2Fwww.polfed-fedpol.be%2Fpub%2Finforevue%2Finforevue1_11%2F11_01-IRFR-Amok.pdf&ei=JrVOUtuvFqmM7AaI1oHoAQ&usg=AFQjCNFp_-QIvVnQmSAvYkDmBwO5b874VA&sig2=LPWwyMCX9lkX7MsixCVpCg&bvm=bv.53537100,d.ZGU Imagine toi dans un avion de chasse derriere un des avions de ligne détournés le 11 septembre : tu as le choix de tirer missile et tuer 200 personnes d'un coup ou de laisser faire.... et d'avoir 3 000 victimes. Imagine toi à Nairobi : si tu portes assistance aux blessés, les auteurs continuent à massacrer ; il faut les eteindre le plus vite possible. Là, imagine toi que, dans le périmetre du Capitole, ce soit une voiture piegée ... que le bébé soit vrai (si la conductrice veut vraiment mourir, ce n'est pas cela qui changera la donne) ou pas... tu es dans la voiture de patrouille derriere ; tu fais quoi ? Le probleme, c'est que la situation bouge en permanence et qu'il faut faire vite. La conductrice a fait son choix. Le policier, tireur, devra vivre avec.

Il reste quand meme une hypothese :l'usage du gaz sarin a été ordonné par quelqu'un de haut gradé hierarchiquement, à qui on ne peut pas dire "non" mais sans l'accord du président syrien. Quand BEA a été nommé, j'ai cru comprendre qu'il était placé là parce que le fils de ... derriere, il y a un tout un conseil de généraux qui veulent garder leurs avantages, leur pouvoir etc... et là, il y avait peut etre un faucon qui a voulu pousser un peu plus loin

re, juste une illustration pour ce que tu écris : tout le monde a entendu parler des reglements de compte à Marseille, dans les cités. certaines montées d'immeuble dégagent de 40 000 à 100 000 euros de chiffre d'affaire par semaine. Regardez combien vous déclarez et ce que vous devez faire comme taf, horaires, risques pour les gagner. Imaginez des gosses, analphabetes ou presque, qui ont des parents au chomage et qui voient miroiter des billets comme ça ... vous croyez qu'ils vont raccrocher et aller bosser pour le SMIC ? (alors qu'un chouf, chez eux, fait 100 euros par jour.... 3000 euros par mois)

mais, ça, ça implique que le pilote du drone soit rentré dans la cité et soit monté sur le toit sans se faire reperer ; donc, s'il y est, pourquoi se limiter en temps avec l'autonomie du drone plutot que de poser des caméras ? et quand le drone sera repéré, il s'exfiltrera comment, le pilote ? et quand les mecs auront l'habitude d'avoir des drones au dessus d'eux, comment feront ils ? ils iront dans les caves ou les parkings souterrains...

bonjour la variante, c'est la caméra qui filme le secteur depuis un appartement inoccupé ou posée sur le tableau de bord ou la plage arriere d'une voiture ... comme des collegues de certains services savent faire.

sauf que là, on parle de quartiers, pas d'etendues, pas de km lineaires.. on parle de drones et l'image nous montre un objet de petite taille, donc une autonomie limitée (encore plus en electrique)... bref, dans le cas présent et comme ça, pour moi, c'est impossible. enfin, je vous rappelle que les caméras dans le domaine public ne doivent pas filmer les entrées des domiciles, et encore moins l'interieur des domiciles. Là, on en est loin.

et ça apporte quoi de plus, un drone, par rapport à des caméras ? combien de temps ça tient en l'air ? c'est blindé ? ça résiste à un chargeur de kalash ? (parce qu'on peut quand meme penser que les petits sauvageons vont s'amuser à les canarder) on fait quoi des images filmées ? (quand on sait que celles des images des caméras de Noailles ne peuvent pas servir aux poursuites, que vont apporter celles là ?) combien de temps pour que ça soit operationnel ? combien de personnel à former (et combien de temps) ?