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Inde : politique intérieure et internationale


Messages recommandés

  • 3 weeks later...

Il n' y a pas que les soldats américains qui torturent leurs prisonniers (Abou Ghraib). En Inde, les civils y participent également par les forces de sécurité indienne sans compter qu'ils ont la gâchette facile. Les soldats indiens ont le droit de torturer ou de mort en toute impunité.

Image IPB

http://www.youtube.com/watch?v=UzK6u1r0NMo

Tirs aveugles et autres exactions commises par les gardes-frontières.

L'Inde et le Bangladesh devraient prendre des mesures immédiates pour mettre fin aux meurtres de centaines de citoyens des deux pays, perpétrés à la frontière entre le Bengale-Occidental et le Bangladesh par des membres de la police des  frontières indienne (Border Security Force, ou BSF), a déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd'hui. L'organisation a ajouté que le gouvernement indien devrait poursuivre en justice les soldats de la BSF responsables de graves violations des droits humains.

« La police des frontières semble échapper à tout contrôle, et l'ordre est donné d'abattre n'importe quel suspect », a commenté Meenakshi Ganguly, Directrice pour l'Asie du Sud chez Human Rights Watch. « Les opérations aux frontières ne respectent pas la plus fondamentale des règles de droit, la présomption d'innocence. »

<Pas de photos hard core sur le forum nom de Diou

Le prochain qui m'en colle une, qui qu'il soit prendra pour les autres. Ca vous apprendra a pas tenir compte de la charte>

« Les habitants se plaignent de fréquents actes d'intimidations, d'insultes et de passages à tabac par des gardes frontières, en particulier ceux de la BSF, qui traitent tout le monde comme des suspects », a déclaré Meenakshi Ganguly. « La police des frontières, qui en temps de paix a pour mission la lutte contre les activités illégales, se comporte comme si elle était dans une zone de guerre en torturant et en tuant des habitants de la région. »

Plus de 900 citoyens bangladais ont été abattus par les membres de la BSF au cours des dix dernières années, dont un grand nombre alors qu'ils passaient sur le territoire indien pour voler du bétail ou se livrer à d'autres types de trafics. Cependant, dans un certain nombre de cas nous avons également découvert que des citoyens bangladais avaient été blessés ou tués par des coups de feu tirés à l'aveugle depuis l'autre côté de la frontière. Abdur Rakib, un garçon de 13 ans, a par exemple été abattu par un soldat alors qu'il faisait paître ses buffles près de la frontière. Un autre garçon âgé de 15 ans, Mohammad Omar Faruq, a été blessé dans l'incident.  

Le problème majeur, c'est que les gardes frontières indiens n'aiment pas les musulmans (Pakistanais ou Bangladeshis et surtout quand on vole des vaches qui sont sacrées en Inde) !

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  • 2 weeks later...

Petite info humoristique :

NEW DELHI (Reuters) - Trois ministres d'un Etat de l'Inde ont été contraints à la démission après avoir été filmés en train de regarder une vidéo pornographique sur un téléphone portable en pleine séance du parlement du Karnataka.

Les chaînes de télévision ont montré les images du ministre de la Coopération regardant avec son collègue chargé des questions de la femme et du développement des enfants un document pornographique.

Le propriétaire du téléphone portable qui contenait le document, ministre des Ports, de la Science et de la Technologie, a lui aussi été contraint de quitter ses fonctions.

Les trois hommes ont expliqué qu'ils n'avaient pas eu l'intention de mettre dans l'embarras leur parti, le Bharatiya Janata (nationaliste hindou), connu pour ses positions conservatrices. 

:lol: :lol:

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  • 2 weeks later...

Les services de renseignement indien RAW nettoient les opérations du Mossad en Inde

par Wayne Madsen

Un couple israélien de la secte Chabad, le rabbi Sheneor Zalman et sa femme Yaffa Shenoi, ont été avertis par la police de Kerala de quitter l’Inde sous quinzaine. Les deux personnes sont suspectées par le service de renseignement indien, le Research and Analysis Wing (RAW), d’être impliquées dans une opération secrète en Inde ayant des ramifications avec l’attaque terroriste de 2008 à Mumbai lors de laquelle six membres de la secte Chabad ont été tués dans une fusillade entre  les gangsters basés au Pakistan de Dawood Ibrahim et les résidents de la maison Chabad de Mumbai. L’incident fut rapporté comme un acte terroriste majeur alors qu’en fait, ce n’était qu’un règlement de comptes entre le cartel de la drogue d’Ibrahim et les Chabadniks qui étaient perçus comme faisant une incursion dans le réseau de la drogue de Mumbai, contrôlé par Ibrahim.

Le Wayne Madsen Report (WMR) a rapporté précédemment que les maisons Chabad du monde entier seraient, d’après un bon nombre de services de renseignement, des centres d’activité du Mossad œuvrant sous couverture d’activités religieuses.

Les agents du RAW sont intervenus dans la résidence de luxe du couple à Kochi, alors que des réunions tardives impliquant des suspects sous surveillance des services de renseignement indien, s’y tenaient. Le couple israélien vivait à Kochi depuis près de deux ans. Après que des preuves espionnage furent présentées par les services de police et de renseignement au district Ernakulum de Kochi, celui-ci décida de l’expulsion du couple israélien.

Les juifs de la secte Chabad et le Mossad ont été obligés d’abandonner leur ancienne base de Goa, dû à une recrudescence de la surveillance de la police fédérale indienne et des agents du RAW, leurs activités sont suspectées d’importer des cargaisons d’héroïne d’Afghanistan et de les exporter vers l’Asie du sud-est et les Emirats Arabes Unis à destination de l’occident. Le mossad israélien et la secte Chabad ont relocalisé leurs opérations à Kochi, qui a remplacé Goa comme point de transit majeur pour la drogue.

De plus, le suspect des attentats à la bombe de Mumbai David Headley aurait maintenu des contacts avec le Mossad et leur station de Goa avant les attaques terroristes. Il aurait également eu des liens avec le consortium maffieux d’Ibrahim au Pakistan ainsi qu’avec le groupe terroriste Lashar-e-taiba, dans la planification d’attaques terroristes  fausse-bannière en Inde. Lorsque le feu vert pour les attaques sur Mumbai fut donné, les hommes de main d’Ibrahim décidèrent d’utiliser cette occasion pour attaquer également leur concurrence dans le commerce de la drogue, ceux de la maison Chabad.

Kochi a aussi servi, d’après les sources du renseignement  indien du WMR, de centre de communication clandestin pour les sous-marins israéliens de la classe Dolphin et son contingent de nageurs de combat opérant dans l’océan indien et la mer d’arabie. Les sous-marins cibleraient l’Iran dans le cas d’une ouverture des hostilités entre Israël et l’Iran.

Les services de renseignement indien pensent également que les israéliens de Kochi ciblaient les communications secrètes de la base navale indienne de Kochi, le quartier général de la marine indienne pour la région sud. En ciblant la base navale de Kochi et son renseignement anti-sous-marins là et sur l’île de Willingdon, les Israéliens augmentaient leur capacité de prévenir les forces israéliennes des mouvements de transit du sud de tous les vaisseaux de guerre dans la région, incluant l’Inde, la Chine, les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la France et de leur passage vers les eaux de la Mer Rouge et de la Mer d’Arabie.

Rabbi Zalman et sa femme ont nié toutes les accusations contre eux et ont insisté sur le fait qu’ils rencontraient des gens jour et nuit pour rendre service à la communauté juive locale.

Nos sources nous disent qu’après des années de manipulation par le Mossad, les services indiens du RAW ont finalement pris la décision d’agir contre une cellule majeure du Mossad opérant dans le pays.

Article original en anglais : Indian RAW cracks down on Mossad operations in India

Wayne Madsen est un ancien officier de la marine américaine qui opéra un des premiers programmes de sécurité informatique pour la marine. Il travailla ensuite pour la NSA et le centre de données de la marine américaine au ministère de la défense américain. Madsen est membre de la Society of Professional Journalists (SPJ) et du National Press Club.

Les Israéliens me surprennent également : traffic de drogue, secte religieuse, ...

Décidément, la confiance règne avec nos pseudo-"alliés amis".

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Moais, faut voir si cette article n'est pas issue de l'imagination d'une personne qui à tourné à la  ''Meyssan''  :P

Si selon cet article, dans les années 1980, il a eu un comportement correct, il commence à écrire des théories plus ou moins crédibles depuis les années 2000. Pour lui, l'USS Cole à était touché par un missile tirée par un sous marin israélien  :O :

http://en.wikipedia.org/wiki/Wayne_Madsen

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Survival exhorte les Nations Unies à mettre fin au scandale des safaris humains

C'est un ''affaire interne'' mais comme il s'agit de tourisme pas du tout étique, je m'est cet article en ligne concernant les safaris photos dont sont l'objet les membres d'une petite tribu des iles Andaman :

http://www.survivalfrance.org/actu/8109

Article du wiki english sur les 250 a 400 Jarawa :

http://en.wikipedia.org/wiki/Jarawa_people_%28Andaman_Islands%29

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Une tragique méprise fait grimper la tension entre l'Inde et l'Italie

Par RFI

Mercredi dernier, le 22 février 2012, croyant à une attaque de pirates, deux membres italiens du personnel de sécurité du pétrolier Enrica-Lexie ont tué deux pêcheurs indiens, à 64 kms des côtes de l'Etat indien méridional du Kerala. Les deux hommes sont en détention dans le port de Cochin et le pétrolier est sous bonne garde. Une enquête est en cours mais l'affaire assombrit les bonnes relations entre Rome et New Delhi.

L'affaire est très sérieuse, on est en effet au bord de l'incident diplomatique. Les premières tentatives de négociations menées à New Dehli par une groupe d'experts italiens ont échoué.

Rome a donc dépêché sur place son secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères alors que le ministre lui-même envisage de s'y rendre la semaine prochaine. Giulio Terzi di Sant'Agata déclare que la coopération entre l'Inde et l'Italie n'est pas à la hauteur de ce qu'on pourrait en attendre pour résoudre rapidement le différend.

Attitude jugée hostile

Pour les Italiens, l'attitude du bateau de pêche a été jugée hostile et les procédures de mise en garde ont été respectées. Le drame a eu lieu hors des eaux territoriales indiennes, en conséquence, ils estiment qu'ils disposent de l'arsenal judiciaire adéquat pour juger leurs propres ressortissants. Les Indiens estiment pour leur part que les deux hommes devraient être jugés en Inde.

De leur côté les autorités locales sont sous pression. Les pêcheurs du Kerala envisagent de bloquer le port de Cochin pour inciter leurs autorités à la plus grande fermeté vis à vis des deux auteurs de la fusillade mortelle. En attendant, le pétrolier italien et ses 58 000 tonnes de brut a été autorisé à jeter l'ancre au large de Cochin, sous la surveillance des garde-côtes indiens.

Selon le journal La Croix,L’Italie souhaiterait la médiation du Saint-Siège dans un conflit avec l’Inde.

Décidément qui dirige l'Italie ? le Vatican, c'est risible si c'est vrai  ^-^

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je ne sais pas ce que ça cache au juste, mais l'Inde est en train de mettre le paquet contre l'Italie.

Gros soupçons + enquête du gouvernement indien sur possible ( :lol:)  corruption du contrat hélicos par Finmeccanica:

http://www.ilmessaggero.it/articolo.php?id=183268&sez=HOME_INITALIA

Le problème souvent très délicat de la diplomatie est l'ingérence italienne dans les affaires intérieures indiennes notamment religieuses lorsqu'ils s'agit de persécutions religieuses anti-chrétiennes.

La Rai a déjà diffusé des reportages TV + le gouvernement italien qui prennent faite et cause pour les chrétiens ainsi que l'évangélisation en Inde.

De plus, les nationalistes hindous n'apprécient guère les origines étrangères de Sonia Gandhi (alias Maino) : italienne et chrétienne.

Ils soulignent souvent la "main étrangère" des chrétiens indiens notamment les catholiques qui affichent soumission et fidélité au Vatican et non à l'état indien; sans parler leurs collaborations diverses avec les pays occidentaux chrétiens.

Ici, c'est une belle opportunité pour régler ses comptes surtout quand ce sont des Italiens qui tuent des chrétiens indiens.

Car si Sonia Gandhi intervient in catimini en faveur des 2 italiens, les nationalistes hindous pourront jouer sur sa trahison en faveur de l'Italie (son pays d'origine).

Une affaire très vicieuse dans laquelle l'Italie s'est empêtrée. Le paradoxe qui sert les intérêts des autres hostiles aux chrétiens indiens et à l'Italie.

Car si l'Italie obtient leurs libérations sans poursuite judiciaire (immunité internationale ou impunité), cela profiteraient aux extrémistes hindous qui exigeraient l'immunité "nationale" pour agresser ou tuer des chrétiens indiens.

Enfin, Massimiliano Latorre et Salvatore Girone risqueraient de lourdes peines telles que la prison à perpétuité ou même la peine de mort si inculpation pour homicides volontaires.

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  • 2 weeks later...

Des élections partielles dans cinq Etats de l'Inde déboucheront vraisemblablement sur un sérieux revers pour le parti du Congrès, au pouvoir, et la dynastie Nehru-Gandhi, selon les premiers résultats publiés mardi.

Ils montraient que le Congrès était vainqueur dans un seul de ces cinq Etats et qu'il était nettement distancé dans l'Etat le plus peuplé et le plus convoité par les partis politiques, l'Uttar Pradesh.

Ces élections partielles sont considérées comme un test de popularité pour le gouvernement du Premier ministre Manmohan Singh avant les élections de 2014, et pour Rahul Gandhi, dernier maillon de la dynastie Nehru-Gandhi.

Le gouvernement Singh est ébranlée par des affaires de corruption à répétition depuis 18 mois.

Avec ses 200 millions d'habitants, dont une forte minorité de musulmans, l'Uttar Pradesh est virtuellement le cinquième pays de la planète.

(AFP)

Un changement de régime politique en Inde pourrait-il remettre en cause le contrat Rafale ou d'autres positions stratégiques ?  :O

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  • 1 month later...

L’armée et le pouvoir démentent avoir craint un coup d’Etat militaire

L'armée et le pouvoir indiens ont démenti hier mercredi des informations de presse selon lesquelles des mouvements de troupes "se dirigeant" vers New Delhi ont fait craindre un coup d'Etat en janvier, une affaire qui survient après diverses polémiques impliquant un général.

Selon The Indian Express, un quotidien de premier plan en Inde, la crainte d'un coup d'Etat a ébranlé jusqu'au plus haut sommet de l'Etat lorsque des mouvements de troupes n'ayant pas été notifiés au préalable par l'armée ont été décelés dans la nuit du 16 au 17 janvier.

Cette nuit-là, des troupes appartenant à deux unités importantes des forces terrestres --une unité d'infanterie et une colonne de parachutistes circulant à bord de véhicules blindés--, progressaient vers la capitale fédérale depuis leurs bases situées dans des Etats voisins.

Le quotidien, qui ne cite aucune source directe, rapporte que le gouvernement a aussitôt pris des mesures de précaution, en procédant notamment à l'identification des soldats impliqués et en ordonnant à la police de ralentir la circulation sur les autoroutes menant à New Delhi.

Les troupes ont ensuite été arrêtées et renvoyées à leur base.

D'après ces informations de presse, l'armée, un temps sceptique, a ensuite expliqué qu'il s'agissait de manœuvres visant à tester les capacités de l'infanterie à opérer dans le brouillard. Quant aux parachutistes, leur exercice aurait consisté à rejoindre leurs avions.

Lors d'une conférence de presse, le ministre de la Défense, A.K Antony a catégoriquement démenti toute crainte d'un coup d'Etat, jugeant les allégations du quotidien "absolument sans fondement".

"Ils (les militaires) ne feront rien contre la démocratie en Inde. Ils sont de vrais patriotes", a-t-il ajouté, assurant que ces manoeuvres militaires étaient "habituelles".

S'exprimant devant des journalistes parlementaires, le Premier ministre Manmohan Singh a pour sa part jugé qu'il s'agissait d'"informations de presse alarmistes et qu'elles ne devraient pas être prises pour argent comptant".

De son côté, l'armée a publié un communiqué dans lequel elle affirme être "une armée nationale et nous n'avons aucun intérêt à interférer avec le gouvernement indien".

Selon un porte-parole de l'armée, le colonel Jagdeep Dahiya, "les mouvements de troupes qui ont été rapportés faisaient partie d'un entraînement de routine dans le cadre de procédures opérationnelles habituelles".

A la fois dommage, s'il y avait eu un coup d'état militaire : c'était bénéfique au niveau politique notamment contre les démocrates pourris indiens et militaires + cette espèce de république dynastique gandhienne pseudo-démocratique, sans compter la possibilité de réprimer ou d'anéantir l'insurrection maoïste et les autres rébellions séparatistes.

Si coup d'état militaire réussi : risque de sanctions internationales, suspension des contrats militaires à finaliser ou en cours, ... la croissance économique chuterait.

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Inde : la nouvelle stratégie des insurgés maoïstes.

Paulo Bosusco est un agent de voyage italien, amoureux des trekkings au coeur des forêts de l'Etat de l'Orissa, situé dans l'est de l'Inde. Il avait été enlevé le 14 mars par un groupe d'insurgés naxalistes (maoïstes) en compagnie d'un de ses clients, Claudio Colangelo, un médecin de Rome, lequel a été relâché onze jours plus tard. Jeudi 12 avril, les rebelles ont finalement libéré M. Bosusco. Aucune précision n'a été fournie concernant les conditions de sa libération.

Cependant, un autre otage, Jhina Hikaka, un homme politique élu à l'Assemblée locale de l'Orissa, est, lui, toujours entre les mains d'un autre groupe naxaliste opérant dans les régions de peuplement tribal aux confins de l'Orissa et de l'Andhra Pradesh après avoir été enlevé le 23 mars.

Ces prises d'otages illustrent une nouvelle stratégie de la guérilla maoïste, particulièrement active dans les régions déshéritées du centre et de l'est du pays. Les enlèvements de policiers ou de fonctionnaires locaux se sont multipliés ces dernières années. Le cas de Paulo Bosusco est toutefois inédit : pour la première fois un étranger était kidnappé par des naxalistes, donnant du coup une dimension diplomatique à la crise.

Cette affaire d'otages de l'Orissa est un rappel brutal de la part d'ombre de l'Inde émergente : l'existence de foyers d'insurrection d'extrême gauche prospérant au sein des populations laissées pour compte de la croissance, en particulier les tribus adivasis (aborigènes) peuplant les régions forestières. Dernier incident sanglant en date, douze agents de la Central Reserve Police Force (CRPF) ont été tués, le 27 mars, par l'explosion d'une bombe artisanale au passage de leur convoi aux confins orientaux de l'Etat du Maharashtra.

(le point.fr)

J'ai l'impression que les naxalistes indiens refont le même plan que les FARC colombiens : prendre des otages pour faire pression et exister politiquement. Une stratégie voué à l'échec.

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Les maoïstes bénéficient du soutien d'intellectuels indiens et étrangers de gauche (communistes, altermondialistes, écologistes, ...) comme la célèbre écrivaine Arundhati Roy (plus elle vieillit plus elle devient décevante, jamais de condamnation des attentats et des enlèvements).

Image IPB

Quand je vois les photos des deux otages italiens libérés, je me demande s'il n'y a pas connivence de ceux-ci avec la rébellion maoïste (libération de 27 prisonniers en échange) ?!

En Italie, l'extrême-gauche est assez important.

Image IPB

Dire que l'armée indienne attend impatiemment le feu vert du gouvernement de centre-gauche pour en découdre avec les maoïstes qui bénéficient de la complicité des habitants locaux, d'ONG, d'étrangers notamment occidentaux, appui indirect de la Chine, ... !

L'armée a une certaine spécialité d'étouffer des insurrections ou mouvements séparatistes :

- Kashmir

- Penjab (Sikhs)

- Assam

- Nagaland

Ci-dessous, près de 700 guérilleros appartenant à neuf groupes séparatistes ont déposé leurs armes mardi 25 janvier 2012 lors d’une cérémonie à laquelle était présent le ministre indien de l’Intérieur P. Chidambaram

Image IPB

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L'Inde a effectué un tir d'essai de missile à longue portée

NEW DELHI - L'Inde a effectué jeudi le premier tir d'essai d'un nouveau missile de longue portée à capacité nucléaire, pouvant frapper n'importe quelle cible située sur le territoire chinois, a-t-on appris de source militaire.

Le missile Agni V, de la classe IRBM des missiles intermédiaires de moins de 6.400 kilomètres de portée, a été lancé à 08H05 (02H35 GMT) depuis une base située en mer au large de l'Etat de l'Orissa (est), a déclaré à l'AFP cette source sous couvert de l'anonymat.

Il faudra un peu de temps pour savoir si (le tir) est un succès, a-t-elle précisé.

L'agence chargée du développement des technologies militaires (DRDO) avait espéré lancer le missile mercredi soir mais l'opération avait été différée pour cause de météo défavorable. La DRDO avait indiqué s'être fixé une fenêtre de tir de trois jours, entre mercredi et vendredi.

Un test réussi serait une avancée majeure pour la troisième puissance économique d'Asie, qui s'est engagée dans un vaste programme d'acquisitions militaires pour moderniser son armée et cherche à accroître ses moyens de défense, notamment à l'égard de la Chine.

Ce missile de 50 tonnes et de 17 mètres de haut doit en théorie pouvoir atteindre des cibles en Chine et dans toute l'Asie, ainsi que dans certains pays d'Europe, selon les experts.

Seuls la Chine, la Russie, la France, les Etats-Unis et le Royaume-Uni sont dotés de missiles balistiques intercontinentaux (ICBM), d'une portée de plus de 5.500 km.

(©AFP / 19 avril 2012 05h16)

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La Chine cite une portée potentielle de 8000km

http://articles.timesofindia.indiatimes.com/2012-04-20/china/31373388_1_agni-v-inter-continental-ballistic-missile-nuclear-capable

BEIJING: Chinese experts feel that there is to more India's successful long-range nuclear-capable missile Agni-V than what New Delhi is saying. A Chinese researcher said the missile "actually has the potential to reach targets 8,000 kilometers away".

Du Wenlong, a researcher at China's PLA Academy of Military Sciences, told the Global Times that the Agni-V "actually has the potential to reach targets 8,000 kilometers away".

Du added that "the Indian government had deliberately downplayed the missile's capability in order to avoid causing concern to other countries".

India Thursday test-fired the Agni-V missile that it said can accurately hit targets more than 5,000 km away. With this launch, India entered an exclusive club of nations that have this capability.

Zhang Zhaozhong, a professor with the People's Liberation Army National Defense University, told the Global Times that according to China's standard, an ICBM should have a range of at least 8,000 km.

"The Agni-V's range could be further enhanced to become an Inter-Continental Ballistic Missile," he said.

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Dix Francais arrêtés en Inde

Par Europe1.fr avec AFP

Dix ressortissants français ont été expulsés de l'Etat du Bihar, dans le nord-est de l'Inde, après avoir été arrêtés et accusés de travailler avec une ONG liée à la rébellion maoïste, ont annoncé lundi des sources officielles. Le groupe, comportant six femmes, a été expulsé vers Calcutta (est) pour violation des conditions de leur visa.

"Neuf des dix Français disposaient de visas touristiques, mais étaient impliqués dans les actions d'une ONG", a déclaré le directeur général adjoint de la police du Bihar, Kumar Rajesh Chandra, sans pouvoir préciser si les intéressés seraient ensuite expulsés du territoire indien.

Selon des sources policières s'exprimant sous couvert de l'anonymat, le groupe travaillait avec Ekta Parishad, une organisation caritative se présentant comme un mouvement non violent œuvrant pour l'accès à l'eau et à la terre des populations locales.

"Nous les soupçonnons fortement de s'être rendus dans les places fortes des maoïstes à Jamui et Simultala, et d'avoir tenu des réunions au cœur de la forêt", a déclaré un officier de police.

Le groupe de Français serait arrivé en Inde au mois d'avril, et s'était rendu dans le Bihar après avoir voyagé dans le sud. L'un d'entre eux disposerait d'un visa de travail. Selon le Hindustan Times, ils ont été arrêtés samedi puis amenés sous escorte policière à Patna, la capitale de l'Etat du Bihar, dimanche pour prendre un vol en direction de Calcutta.

Décidément même les extrémistes étrangers de gauche suivent le même parcours que les extrémistes musulmans !

J'espère que la DST suivra leurs traces (activités terroristes ou de soutien au terrorisme) continuellement.

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Antony warns of emerging threats from China, AfPak

New Delhi : Warning that developments in the Afghanistan-Pakistan region and China's strategic rivalry with India and Japan will have security implications for Asia, Defence Minister A.K. Antony Tuesday said that these threats and future challenges cannot be appreciated by other nations from outside the region.

Inaugurating the unified commanders conference of the army, navy and the air force here, Antony also stressed that modernisation of the armed forces remained the top most priority of the government and called for putting in place a mechanism to fast-track procurement of modern equipment and upgrading infrastructure.

"Any development in the Af-Pak region will have strategic and security implications for India. We need to keep a close watch on the situation in the region," he told the top commanders, noting that the latest events in the Afghanistan-Pakistan region clearly indicated that the threats from the region had not yet subsided.

His reference to the region comes in the wake of a series of terror attacks carried out by the Taliban on Western diplomatic missions in and around Kabul a week ago.

"China's rise as an economic and military power and its assertive policies have implications for India. China's strategic rivalry with India and Japan would definitely affect the Asian security environment.

"All these developments pose challenges to all the wings of the defence forces. In the Indian context, these challenges cannot be felt in the same measures by other countries," he said.

Referring to internal security scenario in the North East and Jammu and Kashmir, Antony said the situation in the border states had improved over the past few years.

"However, the coming summer months (in Jammu and Kashmir) will prove to be a real test for an even more realistic assessment. We have to remain vigilant and active and cannot afford to drop our guard," he added.

Regarding the joint Andaman and Nicobar Command of the three services, Antony said, "we are strengthening and revitalising the formation and are working on force accretion and upgrading the infrastructure to help it in fulfilling its operational task".

He also asked the commanders to address the entire spectrum of nuclear, biological and chemical warfare capability.

Emphasising on modernisation of the armed forces and hastening the process of weapons and equipment buying, Antony said this, however, cannot be done at the cost of a set of core values such as "transparency, probity and accountability."

He urged all commanders to ensure that these principles are adopted and followed in letter and spirit.

"We have a collective responsibility to ensure that every single rupee is spent meaningfully and judiciously and wasteful expenditure is eliminated," he added.

Noting that the government was constantly fine-tuning the defence procurement procedure to cut down delays in procurement process, Antony asked the services to "put their best foot forward" by having a well-defined approach to procurement, based on clear and objective general staff qualitative requirements (GSQRs).

"There is also a need to ensure that procedures are strictly adhered to and the services ensure the timely meeting of technical parameters," he said.

"The government is reviewing the current levels of delegation of financial powers to cut down on unnecessary delays and we have also revised the offset policy to facilitate its easy discharge by the original equipment manufacturers," he said.

Regarding a nationwide, secure and dedicated optical fibre network, to be implemented by the ministry of communication and information technology, in lieu of vacating of a part of spectrum held by the defence services, Antony said the approval of cabinet committee on infrastructure for budgetary grants for the project is awaited.

He said, the 'defence band' and the 'defence interest zone' have been mutually agreed upon by the ministry of defence and communication to meet the spectrum requirement for strategic communication of defence forces and this would be promulgated soon.

Describing cyber-crimes as "another dimension" in the security architecture, Antony said the defence services "need to be fully aware of the implications and put in place security systems and standard operating procedures to counter such threats."

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  • 4 weeks later...

People’s Liberation Army trained Maoists, says NIA chargesheet

NEW DELHI: Submitting documentary evidence for the first time on the nexus between Maoists and northeast insurgent outfits, the National Investigation Agency (NIA) on Monday filed a chargesheet against three members of the Manipur-based People's Liberation Army (PLA) for allegedly training the Red ultras and supplying them arms, ammunition and sophisticated Chinese communication devices.

The chargesheet, filed in a special court in Guwahati, mentioned that the two outfits - PLA and CPI (Maoist) - had signed "a joint declaration for unified actions of waging war against India" during one of their meetings in Myanmar in 2008.

The PLA's training modules for Maoists comprised both 'signal' and 'military' training programmes which were conducted in two phases in the Saranda forest area of Jharkhand during September-November 2010.

The Saranda forest area, which once used to be a 'liberated zone' of the Maoists, came under the domination of security forces only in May-June last year.

The chargesheet, carrying records of monetary transactions, was filed against self-styled chief of PLA's external affairs department N Dilip Singh alias Wangba and two other members of the outfit Senjam Dhiren Singh alias Raghu and Arnold Singh alias Becon. All three are lodged in Guwahati jail.

The NIA claimed to have established that the 'nexus' had taken root way back in 2006 and the two banned outfits held a number of meetings in Delhi, West Bengal, Assam, Mizoram, Odisha, Jharkhand and Chhattisgarh for delivery of 'consignments' and 'cash' since then.

"The PLA used to provide the CPI (Maoist) arms, ammunition and communication devices - procured through a network of smugglers in China and Myanmar. The Red ultras, in turn, used to provide ammonium nitrate (explosive) and cash to the northeast outfit," an NIA official said.

He said the PLA had set up a base in Kolkata mainly to receive money, to coordinate meetings between the two groups and supplying arms, ammunition and communication devices. Leaders of both the groups used to meet in different states and also in the national Capital in order to avoid detection of the law enforcement agency, the official added.

The NIA had on July 11 last year registered a case on the basis of reliable information that PLA had links with CPI (Maoist). Its subsequent investigation in coordination with Delhi Police, Kolkata Police and central intelligence agencies resulted in the arrest of the three.

"The investigation indicated that around June 2006, the PLA leadership met the top leaders of CPI (Maoist), which followed several other meetings between the two groups in 2006-2008. These meetings resulted in establishment of an office of PLA in Kolkata towards the end of 2006,", the NIA said in a statement.

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Mani, essaie des articles en français s'il te plait  ;)

Sinon, concernant les 10 français dont tu parlais 3 posts plus haut, ils n'ont en rien à priori de poseurs de bombes.

OK, mille excuses car j'ai remarqué que tout le monde comprend et parle la langue de shakespear ici du moins.

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  • 3 weeks later...

L'Inde prévoit un tir du missile Agni 6 en 2014; ce missile aura une portée entre 8.000 km et 10.000 km (force de dissuasion pour l'armée de terre et navale donc pour les sous-marins SNLE). http://ibnlive.in.com/news/agnivi-to-be-ready-by-mid-2014/260489-60-117.html

Cela signifie que ce missile peut atteindre toute l'Europe entière et l'Australie mais pas encore les États-Unis ! Il faut un missile d'une portée de 15.000 km dès lors l'Inde ne pourra toujours pas exercer de pressions ou de régler un jour les comptes de certains pays qualifiés de "Republics of Terroristan" soutenu par Washington.

Enfin, le missile Agni 5 va être tester à plusieurs reprises et certains avec plusieurs têtes.

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