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Forces de l'ordre


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Du cannabis cultivé en pleine ville, sur des balcons ou dans des armoires de culture entièrement équipées et discrètes, voilà qui ne surprend plus les policiers. La discrète culture de drogue récemment découverte à Saint-Martin-de-Ré réussit pourtant à se distinguer. Comme l'a révélé Sud-Ouest (une information confirmée depuis lors par le syndicat FO pénitentiaire), les pieds de cannabis se trouvaient tout simplement... dans la cour de promenade de la maison centrale de l'île de Ré. Et ils étaient cultivés par deux détenus.

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/du-cannabis-dans-les-jardins-de-la-prison-7465831.html

Au moins les coupables sont en prison !  >:(

Bravo la pénitenciaire !

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Il y a intérêt à augmenter le nombre de policiers et de juge quand on voit les résultats de certaines statistiques :

Les 20 000 personnes de nationalité roumaine mises en cause en 2011 représentent une augmentation de 69,35% par rapport à 2009, selon les statistiques de la police judiciaire, publiées ce jeudi par le Parisien. Près de 70% d'augmentation en deux ans. Le nombre de personnes de nationalité roumaine mises en cause pour des faits de délinquance a augmenté de plus de 69% entre 2009 et 2011, selon des statistiques de la direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) publiées jeudi par Le Parisien.

Selon ce qu'en rapporte le quotidien, les quelque 20.000 personnes de nationalité roumaine mises en cause en 2011 représentent une augmentation de 69,35% par rapport aux 12.000 qui l'avaient été en 2009. La note de la DCPJ précise par ailleurs qu'"en 2011, un étranger mis en cause sur dix est" un ressortissant roumain. Ce sont, ajoute la même source, particulièrement pour des faits de cambriolages, d'escroqueries et de vols à l'étalage, que ces personnes sont mises en cause. Quant aux Roumains mineurs, leur délinquance a augmenté de 102,92% entre 2009 et 2011, soit plus de 5.000 mis en cause en 2011, avec "une concentration près des grandes villes et des secteurs touristiques".

Interrogé par l'AFP, le ministère de l'Intérieur n'avait pas été en mesure, jeudi matin, de confirmer le contenu de cette note de la DCPJ, dont on reconnaît l'existence de sources policières.

Déjà, en juillet 2011, des responsables policiers et de la justice s'inquiètaient de la délinquance "générée par les ressortissants roumains" en région parisienne qui, selon eux, explosait, se diversifiait et devenait violente à l'égard des forces de l'ordre.

Entre le 28 novembre 2011 et le 30 janvier 2012, vingt-cinq policiers roumains ont patrouillé en uniforme avec des policiers français dans les sites touristiques parisiens, et deux d'entre eux sont restés jusqu'au printemps dernier avec 8 autres déjà en place à la PP, spécialisés dans les investigations.

http://fr.news.yahoo.com/délinquance-roumaine-france-augmentation-70-115347865.html

Il faudrait multiplier les échanges entre les services de police de l'UE.

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Interview de Samia Ghali, maire PS depuis 2008 des XVe et XVIe arrondis-sements de Marseille

Que préconisez-vous ?

Il faut commencer par casser les barres d’immeubles pour désenclaver les cités. Ensuite, je prône le recours à l’armée pour bloquer l’accès des quartiers aux clients des dealeurs. Comme en temps de guerre, avec des barrages.

La suite :

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2012/08/29/une-elue-marseillaise-prone-le-recours-a-l-armee-face.html

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J'en reviens du sud est, à côté de marseille, les gens sont assez désabusés là-bas sur les questions de violence.

Analyse d'un criminologue sur la violence à l'école, la creuse vs cités chaudes.

OU les gamins de 10 ans dans le rapport de forces et la recherche de domination permanente sur l'autorité des profs et de la police.

Bon, zappez le titre, "il dit tout haut la vérité ..machin", c'est pas le propo mais l'intervention reste intéressante sur un plateau ouvert comme celui de c'est dans l'air.

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Toujours intéressant, D. Theillier sur son blog Nicomaque présentait en 2010 un libre américain sur les modèles d'explication de la délinquance/criminalité:

http://nicomaque.blogspot.fr/2010/06/robert-j-bidinotto-et-les-theories-du.html?

Très intéressant pour ceux qui veulent comprendre la délinquance/criminalité dans les courants de pensée politique.

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Je sais que la violence et l'indiscipline ont toujours existé, mais mes parents n'ont par exemple jamais connu un tel foutoir au niveau scolaire par exemple.

Parce que tes parent étaient persuadé qu'en réussissant a l'école ils auraient plus ou moins la vie dont ils avaient envie, et qu'il était possible de réussir a l'école en étant un minimum studieux.

Les gamins en question, sont persuadé qu'ils sont incapable de réussir a l'école, et que de toute facon ca ne leur permettrait pas d’accéder a la vie dont ils rêvent - celle de tony montana - ... donc l'école devient une maltraitance comme une autre, qu'on fui comme on peut, tout en mimiquant la seule vie qui leur semble accessible et qui les fait rêver - violence > délinquance > argent > pouvoir > amour propre -.

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Parce que tes parent étaient persuadé qu'en réussissant a l'école ils auraient plus ou moins la vie dont ils avaient envie, et qu'il était possible de réussir a l'école en étant un minimum studieux.

Les gamins en question, sont persuadé qu'ils sont incapable de réussir a l'école, et que de toute facon ca ne leur permettrait pas d’accéder a la vie dont ils rêvent - celle de tony montana - ... donc l'école devient une maltraitance comme une autre, qu'on fui comme on peut, tout en mimiquant la seule vie qui leur semble accessible et qui les fait rêver - violence > délinquance > argent > pouvoir > amour propre -.

Ce que tu dis est vrai. Mais ces gamins se trompent. Les exemples existent largement de gamins des quartiers qui ont fait de bonnes études jusqu'au Bac, et obtenu un bon job après, moyennant une spécialisation professionnelle. Je ne parle pas là des cas exceptionnels à Bac +5 ou plus. Je pense que beaucoup de ces gamins ont de mauvais exemples sous les yeux, et aussi que l'EN est une lourde machine, incapable de différencier ses structures et ses méthodes en fonction des populations, tout ça pour sacrifier à tout prix au mythe du collège unique, du "on marche tous au même pas". Pourquoi ne pas faire des classes par niveaux, remettre en cause les procédés pédagogiques quand on a affaire à une population immigrée?
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Parce que tes parent étaient persuadé qu'en réussissant a l'école ils auraient plus ou moins la vie dont ils avaient envie, et qu'il était possible de réussir a l'école en étant un minimum studieux.

Les gamins en question, sont persuadé qu'ils sont incapable de réussir a l'école, et que de toute facon ca ne leur permettrait pas d’accéder a la vie dont ils rêvent - celle de tony montana - ... donc l'école devient une maltraitance comme une autre, qu'on fui comme on peut, tout en mimiquant la seule vie qui leur semble accessible et qui les fait rêver - violence > délinquance > argent > pouvoir > amour propre -.

Mais tout le monde sait que pour réussir, il faut se retrousser les manches.

Quand j'étais gamin, ceux qui ne bossaient pas n'avaient qu'un seul droit en classe: se l'a fermer. Et quand ils se plaignaient, les profs leurs rappelaient qu'ils avaient les résultats qu'ils méritaient. Ceux qui sont convaincu que l'on ne peut réussir à l'école n'ont cas rester chez eux. Au moins ils ne ruineront pas les cours de ceux qui bossent.

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D'accord aussi avec Serge : on a souvent des élèves déçus parce qu'ils sont recalés en fin d'année mais n'ont absoluement rien fichu pendant cette période alors qu'on leur a dit qu'ils allaient dans le mur. Qu'est-ce qu'on peut faire : les laisser passer d'office ?

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les réorienter ?

leur faire un cursus spécial ? avec des classes spéciales ? en fonction des niveaux ? sans leur faire une année scolaire en plus pour ne pas créé de "pariah" aux yeux et vus de tout le monde ? mais en rajoutant par exemple 4h de cours/d’études par semaine ?

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http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/08/30/difficile-decentralisation-de-la-police_1753411_3232.html

Depuis longtemps, les questions de sécurité suscitent un complexe d'infériorité au Parti socialiste. Les accusations de laxisme, d'angélisme à son égard font à chaque fois mouche et conduisent les dirigeants socialistes à faire leur mea culpa et à réaffirmer leur attachement à des politiques répressives en la matière. La célèbre déclaration de Lionel Jospin en mars 2002 sur la naïveté de son gouvernement a, de l'intérieur, renforcé cette croyance. Pourtant, cette idée ne repose pas sur des données objectives. Certes, les années 1997-2001 ont vu les statistiques de la délinquance enregistrer un accroissement des délits, et les années suivantes une décroissance.

Mais on sait que les chiffres posent plus de questions qu'ils n'apportent d'arguments, et qu'ils sont susceptibles d'aménagements : focalisation sur les petits délits qui permettent de "faire du chiffre", refus d'enregistrement de certaines plaintes pour faire baisser la délinquance, fermeture de postes de police et de gendarmerie rendant plus difficiles ces dépôts de plaintes. A contrario, l'augmentation de la délinquance de la fin des années 1990 doit beaucoup à l'ouverture de nombreux postes de proximité et à la mise en place d'une politique d'accueil des victimes.

Hors les chiffres, on observe que depuis la fin des années 1980, voire avant, les ministres de l'intérieur de gauche n'ont jamais invité les policiers au laxisme ou au laisser-aller. Chacun a, dans ses discours et dans ses actes, souligné l'importance de la répression, et le discours sur les "sauvageons" de Jean-Pierre Chevènement vaut bien d'autres déclarations tonitruantes entendues avant – Charles Pasqua – ou après lui – Nicolas Sarkozy.

Rappelons aussi que les lois qualifiées par certains de "sécuritaires" ne débutent pas avec l'arrivée de M. Sarkozy Place Beauvau. A maints égards, la loi sur la sécurité quotidienne du 15 novembre 2001, qui suit les attentats de New York, marque le vrai tournant, que ce soit pour le développement des fichiers, la lutte contre la fraude dans les trains ou les occupations de halls d'immeuble.

L'image laxiste accolée à la gauche doit plus à l'habileté des communicants de l'ancienne majorité présidentielle qu'à une quelconque faiblesse intrinsèque. Elle se fonde sur une image caricaturale et erronée de ce qu'est, ou devrait être, une politique de sécurité.

D'un côté, il y aurait la répression impitoyable, menée par des hommes politiques volontaires et inflexibles. De l'autre, des politiciens laxistes juste bons à faire jouer les policiers au football avec les délinquants des cités, au lieu de les interpeller, comme le montre la polémique sur la police de proximité, assimilée à une police "gentille". Or, cette dichotomie apparente cache en fait d'autres réalités.

"Proximité" n'est pas opposé à "répression", bien au contraire. Pour faire de la répression efficace, il est nécessaire d'avoir des policiers ancrés dans un territoire, qui connaissent les gens et disposent d'informations ; à défaut de proximité, la répression touche essentiellement les petits délits. En outre, le rejet de la police de proximité est surtout la négation d'une police au service du public. Il s'est en effet accompagné d'un renforcement des caractéristiques traditionnelles de la police nationale française : hypercentralisation et bureaucratisation.

En effet, aucun autre pays développé n'a connu comme la France un tel rejet de l'idée de proximité. La nécessité de créer une image de puissance à la tête de l'Etat explique certes l'affirmation d'une politique de sécurité hypercentralisée, mais elle n'a pu se développer que parce qu'elle correspondait à une tradition de fonctionnement technocratique où toutes les décisions sont censées se prendre au sommet de la hiérarchie.

Dans ce cadre, le policier français est jugé avant tout sur sa capacité à appliquer les décisions du ministère et à répondre à ses injonctions, telles que la production des "bons chiffres". La réponse aux préoccupations des citoyens et l'adaptation aux réalités locales servent dès lors de variables d'ajustement. En d'autres termes, mieux vaut un policier obéissant aux directives nationales qu'un policier qui réponde aux demandes des habitants de son secteur.

Tous les ministres de l'intérieur, depuis 2007, conscients de la nécessité de développer une action plus localisée se sont heurtés à ce principe. Bien qu'il génère de multiples difficultés, notamment pour les policiers de terrain, ce mode de fonctionnement est difficile à remettre en cause, parce que les multiples acteurs qui participent à cette machine craignent de voir leur pouvoir et leur image s'effriter. La réflexion sur l'évolution du métier de policier s'en trouve de fait limitée.

Réformer l'institution policière et lui faire adopter de nouvelles stratégies de sécurité demande du courage, de la pédagogie et du temps. La gauche a su autrefois lancer de grandes opérations de modernisation de la police et de renouvellement de ses stratégies. Saura-t-elle aujourd'hui mettre en place une vraie réforme redonnant la priorité au local ? Saura-t-elle relancer une vraie réflexion avec évaluation sur l'impact des nouveaux dispositifs mis en place ?

Si la police échoue à répondre aux attentes des citoyens, c'est à nouveau vers la concurrence que ceux-ci se tourneront, c'est-à-dire les polices municipales, si les budgets des collectivités locales le permettent, ou la sécurité privée, qui n'est pas à la portée de tous.

Christian Mouhanna, directeur adjoint du Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales, chargé de recherches au CNRS

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Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a convoqué un comité interministériel après un nouveau règlement de comptes mortel dans les quartiers nord de Marseille, le 19e dans la région cette année, sur fond de polémique sur un recours à l'armée réclamé par une sénatrice-maire PS.

Ce comité réunira le 6 septembre à Matignon le ministre de l'Intérieur Manuel Valls, Christiane Taubira (Justice), Vincent Peillon (Education), François Lamy (Ville), Marylise Lebranchu (Réforme de l'Etat), Arnaud Montebourg (Redressement productif) et Pierre Moscovici (Economie et Finances).

"Cela ne sert plus à rien d'envoyer un car de CRS pour arrêter des dealers. Quand dix d'entre eux sont arrêtés, dix autres reprennent le flambeau. C'est comme combattre une fourmilière", déclare jeudi la sénatrice-maire PS des 15e et 16e arrondissements de la ville, Samia Ghali, dans un entretien au quotidien régional La Provence, réalisé alors que le dernier règlement de comptes n'avait pas eu lieu.

"Face aux engins de guerre utilisés par les réseaux, il n'y a que l'armée qui puisse intervenir", a ajouté l'élue, dont les arrondissements ont été classés parmi les Zones de sécurité prioritaire (ZSP) par le ministère de l'Intérieur.

Manuel Valls a cependant opposé une fin de non-recevoir à la requête de Mme Ghali. "Il est hors de question que l'armée puisse répondre à ces drames et à ces crimes. Il n'y a pas d'ennemi intérieur" à Marseille, a-t-il réagi, prônant "une réponse globale, en profondeur et particulièrement forte" à la criminalité qui sévit dans les quartiers.

Le député PS Patrick Mennucci a dit approuver l'idée d'un "contrôle des entrées" dans plusieurs cités, pour "bloquer la route aux acheteurs qui se rendent en voiture sur les spots de vente de stupéfiants". "Si les forces de police ne suffisent pas, on peut faire appel à l'armée, sans substituer toutefois l'armée à la police", estime-t-il.

Mais le délégué zonal adjoint du syndicat de policiers Alliance, David-Olivier Reverdy, ne cache pas son scepticisme. "La France n'est pas en guerre", ironise-t-il. "Chacun son métier! Qu'on nous donne plutôt les moyens de lutter contre les trafics souterrains", ajoute le syndicaliste, s'étonnant "qu'on veuille remplacer les policiers, auxquels on refuse la présomption de légitime défense, par des militaires à l'usage des armes beaucoup plus souple".

http://fr.news.yahoo.com/ayrault-convoque-6-septembre-comité-interministériel-marseille-105907252.html

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INTERVIEW - Jean-Pierre Mignard, avocat et membre du conseil national du Parti socialiste et de la fédération des Bouches-du-Rhône.

Que pensez-vous de la déclaration de la sénatrice socialiste Samia Gahli qui en appelle à l'armée à Marseille ?

C'est le cri d'une personne qui se désespère de voir la situation s'empirer. Elle est dans son rôle d'élue. Mais à mon sens, la solution militaire n'est pas la plus adaptée. La police suffit. C'est pour Madame Gahli une manière de sonner le tocsin, de frapper l'esprit public. Cette situation ne peut plus durer. Dans la loi, l'état d'urgence existe et peut permettre aux préfets, sur une aire délimitée, d'accroître leurs pouvoirs. Il faut que le gouvernement proclame l'état d'urgence.

Concrètement, à quoi cela servirait-il ?

Cela permettrait d'augmenter les pouvoirs de la police, de réduire la liberté de circulation des personnes pour mettre fin à ces assassinats. Car il s'agit bien de cela. Ce ne sont pas des règlements de compte, ce sont des assassinats. Quatorze assassinats en pleine rue, de nuit ou de jour. Il faut mettre en œuvre des zones de sécurité, un couvre-feu, voire pourquoi pas interdire d'accès certaines personnes à ces quartiers. C'est comme cela qu'on limitera ou entravera l'action des tueurs.

Ça ne résoudra pas le problème de fond, à savoir les trafics de stupéfiants, d'armes, les rivalités entre bandes rivales…

Simultanément, il faut plus de moyens pour la police judiciaire pour résoudre les affaires et arrêter les tueurs. En 2005, pendant les émeutes, c'est la dernière fois que l'état d'urgence avait été proclamé. Il l'a été trop tard car les émeutes avaient déjà terminé. Aujourd'hui, la situation n'a rien à voir. Il s'agit d'une grande criminalité violente à laquelle il faut mettre un terme.

(20minutes.fr)

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les réorienter ?

leur faire un cursus spécial ? avec des classes spéciales ? en fonction des niveaux ? sans leur faire une année scolaire en plus pour ne pas créé de "pariah" aux yeux et vus de tout le monde ? mais en rajoutant par exemple 4h de cours/d’études par semaine ?

Mais est-ce que eux seraient quand même motivé pour travailler ?

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mouarf

Nawak

Tu crois vraiment que tu forceras certain à bosser pour un salaire de misère alors qu'ils peuvent se faire autant en 4 jours de choufs ou une demi journée de deal ?

mouaiiiiiiiiiiis......................................................

C'est un tout. Tant que l'on vendra à la télé des superstars avec des salaires de plusieurs millions en tant qu'icones pour la populace accro aux mainstream medias, tant que le salaire de la sueur sera en comparatif moins que peanuts, tant que le risque de perdre son job sera exponentiel, tu auras toujours des gens pour tenter leur chance

Si on veut remettre les gamins au boulot faut qu'ils soient quasi assurés d'un taff en sortie de cursus (et pas quasi assurés du chomedu) avec un salaire décent

Sinon tu vas avoir droit au "pourquoi je me casse le derche sur les bancs de l'ecole pour finir RMiste ou à l'usine à faire les 3x8 pour 1000 euros par mois"

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Il y a une solution beaucoup plus efficace que de prier pour des histoires de travail pour ceux qui sont dans la délinquance: on légalise la drogue (je suis sérieux ici et surtout pas de dépénalisation.). Et là, immédiatement, les gros grandeurs se retrouvent décapités.

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si tu durci les peines contre les mineurs, drogues et deli de petit caid divers... Oui car forcé de se faire de l'argent honnêtement.

Même moi qui le manie tous les jours je connais pas par coeur mon code pénal et mon CPP ...

Le durcissement des peines n'a pas d'effets dissuasif sur les petits délinquants (car ils font ce que les gros leur disent de faire ou agissent sur impulsion) ni sur les gros délinquants (parce que de toute façon eux ils savent ce qu'ils risquent et ils s'en foutent)

on légalise la drogue

C'est pas ridicule en effet.

Sur le cannabis qui est la moins dangereuse, déjà tu détruirais la plupart des réseaux mafieux car c'est une des drogues les plus consommées. ça peut poser des problèmes de santé public mais je pense que de toute façon c'est déjà le cas tellement c'est banalisé.

Le Crack et l'héro c'est quand même de la merde super dangereuse, (j'ai vu des gens qui devaient être amputés tellement ils avaient les bras troués) pas sur que ça soit une aussi bonne idée  :-[

La Coco, le speed, le LSD c'est pas non plus des bonbons même si c'est moins addictif.

Le problème c'est que si tu coupes la drogue tu vas déplacer la criminalité vers d'autres secteur et que ça ne résout pas la question de fond : pleins de jeunes paupérisés oisif parce que pas de perspectives d'insertion par l'emploi, sauf les plus éduqués / les plus courageux.

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