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Pourquoi le patriotisme est interdit


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Je suis d'accord avec vous sur l'horreur du communisme au XXeme siecle, d'ailleur pour les 50 millions de morts je vous trouve gentil, pour moi on peut lui mettre sur le dos dans les 170 millions... Comment dire, pour moi les communistes ont été des tueurs fou, ils font beaucoup de mort car barjot. Alors que les nazis je les verrais plutot comme des serials killer: froid et implacable.

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Ces années la sont des années de guerres dans le monde occidental avec notament le Viet nam. Etre patriote était assimilié au fait de soutenir son gouvernement et comme à l'epoque la plupart de la jeunesse était anti guerre et anti gouvernement... Les forces arémes étaient percuent comme des outils des pays riches pour massacrer des gens dans les pays pauvres et non les défendre. Peut etre du aussi à un angelisme vis à vis de l'URSS. De nos jours, pour moi etre rebel par rapport aux autres c'est plutot etre patriote [08]

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Oui les choses se renverse doucement.Et c'est pas pour me deplaire^^. Autre question je doute enormement que ne serait ce que le dixiéme des francais soit capable de se battre pour son pays ,c'est cela qui me fais le plus peur.Si les francais ne sont qu'une qu'une grosse masse immobile et frileuse incapable de defendre le pays aussi bien politiquement,ideologiquement ou encore militairement ,je ne penses pas qu'on soit capable de faire face a aucune menace.qu'en pensez vous

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Tu racontes un peu n'importe quoi la ,il n'y a pas de notes ,de barem entre un mort et un autre.que ce soit pour le nazisme ou le communisme,ils sont tous mort pareille,par épuisement.Et faut pas etre naifs sur les 50 millions de morts communistes il n'y avait pas 50 millions d'opposants politiques dangereux pour la nations.Selon toi tuer un juifs est plus grave que tué un homme qui cherche des medicaments vers l'ouest pour son fils.pffff c meme pas defendable comme position.

50 millions de morts nazis=50 millions de morts communistes c tout, le bilan est le meme.

non ce que je dis c est que le communisme a tué par interet alors que le nazisme a tué par haine...

il arrive beaucoup que dans nos pays nous tuons pour nos interets...la france a incité au meurtre en afrique pour maintenir ses interets...

evidemment nous sommes responsables de moins de morts,c est incomparable en chiffre mais c est l acte en lui meme qu il faut juger et vous avez beau vous mettre tous contre moi ca ne changera rien, car moi aussi j ai droit a l expression

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Ca c'est un droit indéniable,le jour ou on te l'interdira commences a te rebiffer.

Mais faut parfois reconnaitre qu'on a tord.Enfin croire en ce que tu dis est aussi un droit donc tu es le seul decideur.

moi je dis que tuer par interet n est pas criminel en soit..la france, l amerique on cherche a buter des terroristes pour proteger nos interets, on a favorisé des renversements politiques pour nos interets et le monde entier fait pareil...mao a tué 50 millions de gens par interet..tout le monde l a fait un jour alors pas la peine de cracher sur mao....que ce soit 50 millions de morts ou quelques milliers de morts, c est une question d interet.

ca c est toi qui dit que j ai tort...moi je crois pas.

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Un pavé dans la marre (ça fais tellemt de bien) de la part de l'Express (!) :

L'Express du 21/09/2006

Faut-il avoir honte d'être français?

par Eric Conan

La France doute! Les défenseurs des «bienfaits» de la colonisation s'opposent à ceux qui s'estiment victimes de celle-ci par hérédité. Un procès à la va-vite est lancé contre Napoléon, accusé d'avoir perpétré un génocide en rétablissant l'esclavage. Le film Indigènes reproche à la République d'avoir sacrifié les troupes coloniales avant de les oublier. Des associations demandent à l'Etat une repentance tous azimuts. De leur côté, les responsables politiques n'ont plus le courage de commémorer les grandes dates du passé et se réfugient dans un œcuménisme hypocrite. En réaction, des intellectuels dénoncent le mea culpa permanent. Dans La Tyrannie de la pénitence (Grasset), Pascal Bruckner veut en finir avec le «masochisme national». Le respect de l'autre doit-il conduire au lessivage de la mémoire nationale et à la culpabilité générale?

Le hasard est parfois bon metteur en scène: la coïncidence de la sortie du film Indigènes, de Rachid Bouchareb, et de La Tyrannie de la pénitence, le nouvel essai de Pascal Bruckner, nous offre un nouvel épisode d'un psychodrame mémoriel qui n'en finit pas d'obséder la France. Son histoire, de plus en plus résumée à une succession de crimes, est rejetée, à l'image de l'errance pathétique, au printemps dernier, du porte-avions Clemenceau, réduit à un dangereux tas de ferraille polluée par l'amiante et dont plus personne ne veut.

Relatant l'épopée de quatre soldats d'un régiment de tirailleurs algériens engagés de 1943 à 1945 dans les combats de la Libération (campagne d'Italie, débarquement de Provence, bataille d'Alsace), Indigènes relève plus de l'hommage militant que de la création cinématographique, bien qu'il ait obtenu au Festival de Cannes le prix d'interprétation masculine. «Si l'on s'en tenait strictement à la qualité du film, de sa mise en scène et de son scénario, il n'est pas sûr qu'Indigènes ferait autant parler de lui», a écrit Libération, regrettant «un film étouffé sous les bons sentiments». Mais c'est parce qu' «on est au-delà du cinéma», explique son réalisateur, Rachid Bouchareb: Indigènes veut rendre justice au rôle et au sort de ces milliers de soldats originaires des colonies et dont beaucoup périrent pour libérer le sol français. D'un épisode complexe où se mêlent gloire et injustice, héroïsme et ingratitude, surtout après guerre, du fait des turbulences de la décolonisation, Rachid Bouchareb, qui dit vouloir «dépasser l'Histoire», a récrit un récit simpliste, accusant la France.

«C'est l'histoire de tirailleurs qui se sont battus pour la mère patrie mais qui, le jour de la victoire, n'ont pas eu le droit de défiler sur les Champs-Elysées», résume Jamel Debbouze, qui joue l'un des rôles principaux. Mais, contrairement aux premières images du film,qui enjolivent paradoxalement leur sort, ces soutiers de la Seconde Guerre mondiale ne se sont pas tous portés librement volontaires, mus par le désir ardent de «libérer la patrie de l'occupation nazie». Pris dans les rets de l'aliénation coloniale, du paternalisme militaire (fidélité à un sous-officier) et parfois de l'enrôlement forcé, beaucoup furent ballottés d'unité pétainiste en troupe gaulliste au gré des revirements de leurs chefs, avant d'être jetés dans des combats qu'ils n'avaient pas toujours choisis. En revanche, et contrairement à ce qu'affirme l'acteur, ils ont bien défilé sur les Champs-Elysées, où la population leur a rendu hommage à plusieurs reprises, le 11 novembre 1944, le 8 mai et le 14 juillet 1945.

Autre caricature, Indigènes nous présente des héros qui sont systématiquement envoyés à la boucherie par des officiers blancs se délectant à distance du spectacle de leur décimation. Pour ceux que l'Histoire intéresse, il faut savoir que la campagne d'Italie fut l'une des plus meurtrières pour les officiers français. Or tous les gradés du film sont de belles ordures, à la seule exception d'un sergent pied-noir dont on découvre qu'il a du sang algérien… L'on pourrait aussi reprocher à un scénario qui veut faire œuvre de justice de ne pas avoir pensé à inclure au moins un soldat noir dans le quatuor des héros d'Indigènes censé symboliser les troupes coloniales.

Mais l'exactitude historique n'est pas le souci d'une œuvre qui veut surtout peser sur le présent. «Si je fais ce film, c'est contre Fabius», précise Jamel Debbouze, estimant que l'ex-ministre des Finances est le principal complice des injustices concernant le niveau des pensions des anciens soldats coloniaux. Et Samy Naceri, qui interprète un autre rôle d'Indigènes, ajoute que le film va permettre «d'économiser des milliards sur les budgets de prévention et d'intégration».

Cet espoir fait écho à l'appel des Indigènes de la République, lancé en janvier 2005 par des associations et des chercheurs enjoignant les «filles et fils de colonisés» à lutter contre les «discriminations de la République postcoloniale», selon une idée qui n'a cessé de s'imposer depuis quelques années: plus la France aura honte de ses crimes, plus les problèmes actuels de ceux qui s'identifient à ses victimes du passé se résoudront. Car il est plus confortable de considérer, comme Jack Lang, que les émeutiers de banlieue de novembre 2005 sont les «enfants ou les petits-enfants de la colonisation» que de reconnaître qu'il sont victimes de vingt-cinq ans de politiques urbaine et scolaire qui les ont reclus dans des ghettos abandonnés.

De la déportation des juifs à la colonisation en passant par l'esclavage et Napoléon, les revendications mémorielles communautaires se sont multipliées. Au détriment d'un récit commun devenu impossible, comme l'a montré la récente polémique sur l'article de la loi du 23 février 2005 recommandant - à la demande des pieds-noirs, qui se voyaient évincés des manuels d'histoire - que «les programmes scolaires reconnaissent en particulier le rôle positif de la présence française outre-mer, notamment en Afrique du Nord». Jacques Chirac [24] a exigé la suppression de ce texte alors que lui-même honorait encore, il y a dix ans, «l'importance et la richesse» de «l'œuvre civilisatrice de la France» en Algérie. En revanche, il ne réagit pas quand des nostalgiques de l'OAS érigent des monuments dédiés aux «martyrs de l'Algérie française» qui rendent hommage à des putschistes ayant tenté d'assassiner de Gaulle. Car, dans cette grande Bourse des mémoires communautaires, certaines sont orphelines, qu'on ne défend plus. Ainsi, en avril dernier, le monument en bronze de Craonne, élevé à la gloire des 200 000 morts de la bataille du Chemin des Dames de 1917, a été détruit par des récupérateurs de métaux sans que cela émeuve le moindre ministre.

Rivalisant les unes avec les autres, ces mémoires victimaires poussent à la surenchère. Ne s'intéressant qu'aux ombres de l'Histoire, elles finissent par les noircir. Seul le crime les intéresse, au détriment de l'héroïsme. Accabler Vichy en oubliant l'occupant nazi. Ne plus voir dans la Résistance qu'un panier de crabes. Ne s'intéresser qu'à l'esclavage européen - aboli - sans dire mot de celui qui existe encore, ailleurs, dans le monde. [13] [13] Faire de la colonisation l'essence de la République. Il n'y a plus de limites, toutes les provocations étant prises au sérieux au détriment de la vérité historique.

Cette dérive perverse avait suscité la colère du regretté Pierre Vidal-Naquet, anticolonialiste s'il en fut, qui dénonçait, quelques semaines avant sa mort, l'entreprise «frauduleuse» d'un ouvrage, Coloniser. Exterminer, d'Olivier Le Cour Grandmaison, faisant de la colonisation la matrice de l'extermination de masse nazie. Et Pierre Nora a dénoncé l'écho accordé à un opuscule, Le Crime de Napoléon, de Claude Ribbe, présentant l'Empereur comme l'inventeur des chambres à gaz. Usant de la même précision méthodique que Pierre Vidal-Naquet avec les négationnistes, l'historien Daniel Lefeuvre a relevé le caractère fantaisiste de nombre d'ouvrages militants dans Pour en finir avec la repentance coloniale (Flammarion).

Le philosophe Peter Sloterdijk voit dans cette transformation de l'Histoire en «spectacle immonde» une diversion: aider «les sociétés contemporaines à ne pas résoudre leurs véritables problèmes en les entraînant dans des débats artificiels». Cela avec la complicité d'une partie des élites, qui se donne bonne conscience en se repentant sur le dos des générations précédentes. Avec une ivresse qui confine à l'irrationnel: elle aboutit à coloniser non plus l'espace mais le passé, en imposant les valeurs morales du présent à des événements anciens que l'on ne cherche plus à comprendre mais à juger. Ce complexe de supériorité transforme toutes les grandes figures de l'histoire de France en suspects. Le courage des poilus? On préfère ne voir en eux que des victimes contraintes, plutôt que de faire l'effort de comprendre ce que fut le patriotisme. Les cheminots résistants fusillés? Que n'ont-ils fait pour arrêter les trains de déportés? Cet anachronisme dévore tout, et bientôt l'on reprochera à Jean Moulin de ne pas avoir institué la parité dans la Résistance…

L'histoire nationale finit par devenir insupportable. Dominique de Villepin a donc eu honte de faire commémorer la victoire d'Austerlitz alors que l'Angleterre a célébré avec faste celle de Trafalgar et la Belgique celle de Waterloo. François Mitterrand même semble déjà lointain, lui qui, en 1987, ne craignait pas d'assister à la messe pour le millénaire de la dynastie capétienne, avant de commémorer avec faste la Révolution française.

La connaissance historique est de plus en plus contestée par une logique judiciaire qui n'a plus de limite, comme le montre, aujourd'hui, la mise en cause du dictionnaire Le Robert, sommé par une association raciale et une association antiraciste de remplacer, sous leur dictée, sa définition de la colonisation, qui y figure depuis quarante ans, par une condamnation de ce «crime contre l'humanité». A quand l'interdiction des écrits de Senghor, coupable d'avoir estimé que «la colonisation est un phénomène universel, qui, à côté de ses aspects négatifs, a certains aspects positifs»? Et ceux de Marguerite Duras, qui évoquait ces «pays lointains et sauvages où tout était à faire».

C'est contre cette réécriture du récit national en réquisitoire permanent que s'élève aujourd'hui, avec colère, Pascal Bruckner, dans un essai à paraître le 3 octobre, chez Grasset. Il appelle à en finir avec cette Tyrannie de la pénitence et n'hésite pas à renverser la situation pour prôner une fierté française. Il montre, d'abord, que ce «masochisme» est une particularité occidentale récente dont la France offre une caricature. «Comme il y a des prêcheurs de haine dans l'islamisme radical, il y a des prêcheurs de honte dans nos démocraties, surtout chez les élites pensantes.» Il voit dans ce masochisme une forme de prétention: «La décolonisation nous a privés de notre puissance, notre poids économique ne cesse de décliner, mais, dans une colossale surestimation, nous continuons à nous voir comme le centre de gravité maléfique dont dépend l'Univers.»

Or, selon lui, nous ne sommes pas coupables. D'abord, parce qu'il «n'y a pas de transmission héréditaire du statut de victime et de bourreau», sauf à renouer avec l'essentialisme dont Maurras fut en France le dernier représentant. Et, surtout, parce que si «toutes les civilisations, les Perses, les Mongols, les Chinois, les Aztèques, les Incas, les Ottomans, ont été colonisatrices», seul l'Occident s'est amendé. L'esclavage? L'Occident n'a fait que prendre «le relais des Arabes et des Africains», mais il a «engendré l'abolitionnisme et mis fin à l'esclavage avant les autres nations». [13]

Refusant le rôle de bouc émissaire que l'on veut nous faire jouer, Pascal Bruckner ajoute que nous ne sommes pas responsables de la situation actuelle des pays décolonisés. Déjà, d'anciens vrais tiers-mondistes comme Gérard Chaliand et Yves Lacoste estimaient que, après quarante ans d'indépendance, les dictatures d'Afrique, saignées par la corruption ou les guerres tribales, devaient être tenues pour responsables de leurs malheurs. L'économiste Daniel Cohen ajoute que l'Occident ne s'est pas développé en pillant le tiers-monde et que les puissances coloniales se sont développées moins vite que les puissances non coloniales. Cinquante ans après son célèbre Portrait du colonisé, Albert Memmi pose donc la question dans Portrait du décolonisé: «Qu'avez-vous fait de votre liberté?»

Pascal Bruckner va plus loin: si nous ne devons pas nous sentir coupables, nous avons de quoi nous sentir plus fiers. Il n'hésite pas à revendiquer une supériorité historique: «L'Europe a plutôt vaincu ses monstres, l'esclavage a été aboli, le colonialisme abandonné, le fascisme défait, le communisme mis à genoux par KO. Quel continent peut afficher un tel bilan?» [13] [13]Alors que nous avons conscience de nos vices passés, pratiquant l'autocritique au point d' «exhiber nos plaies en public», le reste du monde demeure dans l'archaïsme de la recherche du bouc émissaire: le juif, l'Amérique, le Blanc. Pascal Bruckner propose donc d' «inverser notre rapport au passé: ne pas y voir une source de déploration mais de fierté». Retourner «l'accusation contre les accusateurs», les «soumettre à leur tour au feu roulant de la critique», «accuser plutôt que s'accuser»: «Il y a des mosquées à Rome mais y a-t-il des églises à La Mecque, à Djedda, à Riyad? Ne vaut-il pas mieux être musulman à Düsseldorf ou à Paris que chrétien au Caire ou à Karachi?»

Pascal Bruckner montre que l'enjeu n'est pas seulement symbolique mais politique: ce masochisme est fatal en France, nation politique qui s'est forgée autour d'une histoire fédératrice que n'osent plus assumer aujourd'hui que des naturalisés récents. Derniers en date, Chahdortt Djavann (Comment peut-on être français?) ou André Makine (Cette France qu'on oublie d'aimer) défendent mieux les valeurs universelles françaises que certains intellectuels baignés par un relativisme culturel à un niveau rarement atteint depuis l'époque coloniale. Associant déclinistes contempteurs d'une France «nulle», rappeurs subventionnés exhortant «à la baiser et à l'épuiser comme une garce» et céliniens mondains se délectant de la «France moisie», l'actuelle francophobie dominante dans les milieux médiatico-politiques est un facteur de la crise de l'intégration. Celle-ci ne peut fonctionner sur la détestation de la société accueillante, comme le rappelait Jean Daniel, en contestant le slogan retenu par la future Cité nationale de l'histoire de l'immigration («Leur histoire est notre histoire») alors qu'il convenait, selon lui, de préférer au contraire «Notre histoire est leur histoire», plus conforme à la tradition française. «L'anticolonialisme nous a conduits au culte de la différence tolérée», ajoutait-il, alors que l'on doit plutôt «exiger la recherche de la ressemblance».

Ressemblance dont le souvenir de la victoire de la France lors de la Coupe du monde, en 1998, reste la métaphore la plus forte et la plus appréciée des Français: une équipe de semblables, d'origines et de couleurs différentes, soudés par les mêmes maillots, le même langage, les mêmes règles du jeu et le même objectif.

Le film Indigènes s'annonce comme une arnaque ahurissante et une entreprise de manipulation intelectuelle rarement vue.

Chirac est un agent de la CIA, je ne peux vraiment pas envisager autre chose. Ce pseudo-gaulliste fait profil bas devant l'OAS.

Je souscris totalement à cette analyse, notamment sur la moralisation de l'Histoire alors qu'on attend tjs du monde arabo-musulman par exemple qu'il s'échappe du chemin qui mène au désastre, qu'est l'irrationalisme. L'Europe a su se débarasser de ses démons, on en attend autant de la part des autres.

Qu'en pensez-vous?

Quel est l'objectif de cette diabolisation de notre Histoire en totale ignorance de la vérité historique?

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il est vrai que notre passé colonial n est vu que d un point de vue politique et non pas d un point de vue economique ...le politique a eu des effets nefastes pour les populations colonisées mais les consequences economiques furent favorables aux colonisés....s excuser de la torture, c est normal, mais s excuser d avoir devellopé des pays je ne peux pas.

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ne parlons pas du passé colonial ou alors accessoirement mais j'aimerai qu'on se focalise sur l'entreprise de diabolisation de notre Histoire en relation avec la question pourquoi le patriotisme est interdit.

Comme je l'ai dit, il s'agit d'une visée multi-culturaliste. Anénantir tout sentiment d'appartenance par la détestation pour imposer un vide culturel ou plutôt une société multi-culturaliste.

S'émoustiller devant la perfection d'un masque africain m'intrigue dans un pays qui a vu naître Descartes, Montesquieu et De Gaulle je suis navré.

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N'est-il pas déja trop tard ? Vouloir restaurer la Vérité nous fera passer pour de tristes révisionnistes par toute la population d'origine "coloniale" déja abreuvé de cette bouilli idéologique nauséabonde... Ils préféront crier au mensonge que réfléchir. D'ailleurs il est amusant de voir des gens issus de pays jamais colonisés par la France, la villipender comme principale responsable du dénuement de leur pays et/ou réclamer leur inégration en France comme "compensation" de leur "exploitation"... Y aura t'il un droit de réponse à ce film ou les "bien-pensants" type Lang (Jack par Karl [08] ), Béart et Balasko vont ils encore hurler leur haine de la France ??? Pour les pertes respectives des troupes coloniales et de métropoles, ainsi que les contre vérités du film (défilé sur les Champs), est-il possible que la Justice prononce la lecture d'un texte (sinon vu le taux d'analphabétise c'est pas gagné...) citant les faits réels reconnus par les Historiens (plus images d'archives) ?

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Qu'en pensez-vous?

Quel est l'objectif de cette diabolisation de notre Histoire en totale ignorance de la vérité historique?

L'explication que j'ai et qui est plutot corroborrée par le discours en privé de certains, est que pour faire l'Europe il faut detruire l'identitée nationale.

D'ou l'immigration organisée par la droite Européenne, le fait que on laisse cette boullie se subtituer à l'enseignement de l'histoire etc..Entreprise facile.Il suffit ensuite de laisser faire les tiers mondistes de gauche.

La droite Européenne, la gauche Européenne et evidemment l'ultragauche non européenne mais tiers mondiste s'allient dans le meme discours.

Les conséquences de cette volonté d'élimination de la France risque de nous entrainer aux abysses.

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oula je ne suis pas d'accord avec toi Stratege.

Les pro-UE que tu cites sont plus des fanatiques et me semblent minoritaires ou d'une autre époque.

Après l'UE est bien entendu favorable à l'immigration puisqu'elle plafonne vers le bas, est une variable d'ajustement de la démographie, réduit le risque inflationniste et offre une main d'oeuvre qui ne manifeste pas et qui est docile. Le triomphe du court-termisme capitaliste puisqu'avec le regroupement familial, ce ne sont pas que des travailleurs mais des futurs "citoyens". Pour plus d'infos sur ce court-termisme généralisé et débilisant Cf le capitalisme est en train de s'auto-détruire d'Artus.

Mais l'UE est une contrainte gérable. S'il n'y avait que ça... Et puis il y a une prise de conscience générale au sein de l'UE.

Un chiffre : sur les 900 millions d’Africains, il y en a 470 millions qui ont moins de 17 ans.

Je vous épargnerai les prévisions démographiques de l'Afrique sur 20ans ou 50.

Il y a des sujets tabous auxquels on revient : le droit du sol par ci (Mayotte), la remise en cause du regroupement familial (plusieurs politiques de gauche comme de droite y planchent. Le regroupement familial est en fait contre-productif : un père africain vient travailler 6 mois ici sans sa famille. Il retournera donc dans son pays. Puisqu'il n'a pas de famille et est là de manière provisoire, il économisera. Il retournera donc dans son pays avec un pactole qu'il aura mis de côté ici. Ca c'est efficace comme politique de co-développement.)

Mais il y a un tel décalage entre l'amateurisme et l'ignorance du français de base, qu'il faut être pédagogue et y aller crescendo. Plusieurs fois tu as évoqué l'idée (de le pen à la base) d'un referendum sur l'immigration. C'est une arme bien trop précieuse pour une réformette ou une politiquette de l'immigration. C'est trop prématuré.

Il est clair que l'immigration va devenir un enjeu géopolitique majeur d'ici peu mais je ne me fais aucun soucis sur la prise de conscience à travers l'UE qui est en train de se réaliser.

Immigration illégale: Alliot-Marie met en garde contre crise majeure en Afrique

AFP 22.09.06 | 18h23

Le ministre français de la Défense, Michèle Alliot-Marie, a mis en garde vendredi à Bruxelles contre le risque de crise majeure en Afrique qui pousseraient des millions d'Africains à tenter de trouver refuge en Europe.

"Les crises en Afrique, si elles se généralisent avec leur cortège de massacres et de génocides, auront un jour ou l'autre un résultat immanquable: celui de nous retrouver avec 5, 6, 7 millions et peut-être davantage d'Africains qui iront chercher sur le continent le plus proche les moyens de survivre", a-t-elle déclaré à l'Ecole royale militaire belge (ERM), où elle venait d'être faite docteur honoris causa.

Evoquant le danger de "la multiplication des crises régionales", en présence de son collègue belge André Flahaut et de la présidente du Sénat Anne-Marie Lizin, Mme Alliot-Marie a affirmé la nécessité d'une "gestion européenne spécifique des crises en Afrique".

Vantant la coopération franco-belge dans le cadre de l'opération Artémis dans la province de l'Ituri (est de la République démocratique du Congo) en 2003 et de l'opération Eufor en cours à Kinshasa, la ministre française a souligné qu'il fallait "aussi aider les pays africains à gérer leurs propres crises".

"Pour des raisons de fierté nationale, leurs peuples auront du mal à supporter de dépendre de pays étrangers pour leur sécurité", a-t-elle estimé.

C'est pourquoi il faut que les Européens leur fournissent des équipements et entraînent leurs forces armées dans le cadre du programme français de renforcement des capacités africaines de maintien de la paix (RECAMP).

Face aux crises régionales comme aux autres dangers --terrorisme, prolifération des armes de destruction massive-- "pour avoir une petite chance de réussir, il faut, on ne peut qu'agir ensemble" au niveau européen, a dit cette proche du président français Jacques Chirac.

"De là la nécessité de faire de l'Union européenne un acteur autonome au sein d'un monde globalisé", a poursuivi Mme Alliot-Marie.

A cette fin, il faut accélérer la coopération entre les armées européennes, notamment au niveau de la formation, a-t-elle dit, prenant comme exemple la formation commune aux Français et aux Belges dans l'aviation de chasse et de transport et bientôt les hélicoptères.

"Une culture militaire commune est le gage de notre succès", a-t-elle insisté.

Enfin, déplorant l'échec d'une réponse européenne au tsunami asiatique de décembre 2004, à l'ouragan Katrina et au dernier grand séisme au Pakistan, Mme Alliot-Marie s'est félicité de l'accord entre les pays européens prévoyant de confier les transports d'urgence à l'état-major de l'UE.

"Si on veut de la rapidité, moi je ne connais que les militaires", a-t-elle dit.

Les 25 pourraient abandonner leur droit de veto en matière d'immigration

LEMONDE.FR avec AFP | 21.09.06 | 08h48 • Mis à jour le 21.09.06 | 10h02

Le Portugal et l'Espagne ont défendu, mercredi 20 septembre, à Lisbonne, la mise en place d'une "politique commune" des Etats membres de l'Union européenne en matière d'immigration. "Cette politique commune doit comprendre des politiques d'intégration des Vingt-Cinq millions immigrants en situation légale vivant actuellement en Europe", a déclaré Alberto Navarro, secrétaire d'Etat espagnol aux affaires européennes. Depuis janvier, l'Espagne a vu débarquer plus de 23 000 immigrants africains aux Canaries, un record.

De son côté, son homologue portugais Manuel Lobo Antunes a souligné que la cohésion et la solidarité sont des "principes fondamentaux" en Europe. Le Portugal s'est dit prêt à aider l'Espagne dans la lutte contre l'immigration illégale, défendant "une coopération" renforcée avec les pays africains. Le Portugal a notamment déployé une corvette de la marine au Cap-Vert.

Bruxelles devrait prêter une oreille attentive à cet appel des deux pays ibères et plaider pour une coopération européenne plus étroite sur l'immigration, un domaine où les Vingt-Cinq ont jusqu'ici voulu rester maîtres de leur politique nationale.

Le président de la Commission européenne, José Manuel Durao Barroso, avait lancé, jeudi 14 septembre, un appel à "la solidarité" des Vingt-Cinq, pour qu'ils intensifient leur aide envers l'Espagne. Il avait aussi appelé les Vingt-Cinq à "renforcer la coopération" sur toutes les questions d'immigration, "tant légale que clandestine". Depuis plusieurs années, la "solidarité" des Etats membres reste limitée dès lors qu'on aborde les questions financières.

"FAIRE SAUTER LE VERROU" DU DROIT DE VETO

Preuve du manque de moyens actuels de l'UE : sous la pression de l'Espagne, la jeune agence Frontex de contrôle des frontières extérieures de l'UE, dont le siège est à Varsovie, a mis sur pied une modeste mission aux Canaries, à laquelle peu d'Etats participent et qui est très critiquée par les Espagnols. "La Commission n'a pas de patrouilles navales ou de gardes-côtes. C'est aux Etats membres de mettre des moyens à disposition si on ne veut pas que la solidarité reste un mot creux", souligne Franco Frattini.

Confrontés à des besoins économiques différents, les Etats tiennent à rester maître du nombre d'immigrants rentrant chez eux. Et sur l'immigration légale, les décisions de l'UE sont prises à l'unanimité des Vingt-Cinq. Dans sa lettre, M. Barroso appelle à en finir avec l'unanimité pour passer à la majorité qualifiée. Un appel qui devrait être défendu, jeudi 21 septembre, par le commissaire à la justice et aux affaires intérieures, Franco Frattini.

Le ministre de l'intérieur français a lui aussi plaidé en ce sens, vendredi 15 septembre, à Bruxelles, en demandant de "faire sauter le verrou" que représente l'unanimité. Nicolas Sarkozy a également dénoncé les régularisations massives de clandestins effectuées par l'Espagne en 2005 et l'Italie en 2002 pour faire face aux besoins de leurs marchés du travail. Ces opérations, décidées sans consultations avec les pays voisins, constituent autant d'"appels d'air" pour les candidats à l'immigration, selon lui.

UNE POLITIQUE CENTRÉE SUR L'IMMIGRATION CLANDESTINE

Malgré ces critiques, la France, l'Italie, l'Espagne, et aussi Malte, entrée dans l'UE en 2004, font bloc sur ce dossier qui les touche au premier chef. Ces pays ont obtenu de la présidence finlandaise que l'immigration figure parmi les thèmes prioritaires du prochain sommet européen, le 20 octobre à Lahti, au nord d'Helsinki.

Pour Elizabeth Collett, analyste à l'European Policy Centre, le risque est cependant que les Vingt-Cinq se concentrent sur la lutte contre l'immigration clandestine, au détriment d'une politique d'immigration "positive" précisant les conditions d'une immigration économique légale. Pour l'instant, les Etats membres cherchent surtout à aider les gouvernements des pays d'origine à contrôler leurs frontières, alors qu'il faudrait "regarder très sérieusement les questions de développement", a indiqué Mme Collett.

Enfin, sur la destruction de l'identité nationale je lui attribuerai plutôt une autre visée. Une sorte de renoncement et de déculturation pour incorporer des populations qui ont définitivement refusé d'adhérer à la Fr, du moins la Fr en tant que vérité historique. Exactement l'effet d'oracle de Bourdieu que je décrivais page 1. En devenant rien, on peut intégrer tout.

Mais ça aussi c'est fini. Il y a une prise de conscience générale et il n'y a que quelques résidus 68ards et bobos qui s'émeuvent encore de l'idée qu'un pays a le droit de choisir son immigration, a le droit de choisir qui entre sur son territoire.

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j'ai remarqué que la question porte beaucoup sur les politiques, mais les français par eux même. Beaucoup de touristes venant en france ou qui emettent leur idée sur notre beau pays disent souvent qu'ils aiment la France mais sans les français, paradoxale non! Le patriotisme c'est une chose, c'est aimer ce qui fait qu'un pays est un pays, sa culture, ses traditions et tout un tas de choses, mais ce ne sont pas les gens qui y vivent. Le français de notre époque en générale, pas tous heureusement mais la loi de la majorité fait souvent penché la minorité dans leur sens sauf quelques irréductibles, bref le français de notre époque, c'est: (attention ça ne va pas plaire à tous mais j'en suis désolé) "Mes problème sont les problèmes des autres mais les problèmes des autres ne sont pas mes problèmes". Le français maintenant ne pense qu'à ça gueule, quoi qu'il arrive c'est l'état qui est responsable. Je fous le camps sur la cote d'Azur, merde j'ai bossé j'ai droit à mes vacances, au retour: Ho bas merde mémé est morte. Et oui! Hyperthermie, la canicule. Mais que fait l'état, la météo n'avait pas prévenu....... Des régions sont innondées c'est la faute de l'état, ceci cest l'état qui n'a pas fait et patati et patata? l'état nation, nation d'assisté. Le français est gueulard, le Français est bordelique. Toute notre histoire n'a été qu'une longue succéssion d'événement où l'inéfficacité due au comportement bordelique des têtes de lard de Français indiciplinés à cotoyé la créativité et le potentiel énorme de toute une nation. Dans les domaines scientifiques, militaires, culturels etc... la médiocrité de certain ont mis à mal la lumière d'autre. Les politique sont mauvais parce que les Français sont ingouvernables constament mécontent. Un coup je vote à gauche un coup je vote à droite. Les politiques sont à l'image de ceux qui votent pour eux. Refus constant de tout changement, le problème du Français, ses acquis et le chauvinisme. La lumière héxagonale il est vrai a illuminé le monde mais ce monde à changé et change, la France reste à la traîne et finira par devenir archaïque, dépassée par les événements, tout ça à cause d'une partie qui empêche les autres d'avancer, toujours ancrée dans le passé et à des idée humanistes qui ne sont plus en accord avec le contexte actuel. Mon grand père, résistant à été à Buchenwald, mais je n'en veux pas aux Allemands, le passé c'est le passé, alors je dit merde à ces pays qui viennent encore nous balancer le colonialisme à la face, ne sont se pas ces même pays d'ou venaient les hordes stopper à Poitiers pas un certain Charle Martel en 732 et dont un président en particulier très virulent mais qui, malgré tout est venu se faire soigner en France. Non il faut se bouger, je suis patriote, pas pour les gens, mais pour un idéal, une république qui ne resemble plus vraiment à ce que nos anciens voulaient en faire.

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Il est clair que l'immigration va devenir un enjeu géopolitique majeur d'ici peu

Parceque ce n'est pas le cas? LOL

Qu'y a t il de plus important que l'identité nationale et la liberté?

1,4 millions de francais ont été tués en 14-18 pour cela.On ne se fait pas tuer pour un % d'augmentation du pouvoir d'achat mais bien pour notre identité et nos valeurs.

mais je ne me fais aucun soucis sur la prise de conscience à travers l'UE qui est en train de se réaliser.

Quand on vois qu'ils concoctent des lois interdisant la critique de l'islam, je me fais du soucis.Abandonner le droit de veto est terrible si cela abouti a une politique plus laxiste.
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Non, le droit de veto est une catastrophe.

Exemple théorique :

Un pays comme l'Allemagne, a des besoins démographiques. Il met son droit de veto car il a besoin d'immigrés. Régularisation massive.

2jours après tu peux avoir 20 000 immigrés régularisés arriver en Fr en toute légalité.

C'est ce qu'ont fait ces fucking espagnols.

Càd on trace des traits dans l'eau.

J'observe par ailleurs que les espagnols, Zapatero le premier, vantaient il y a qques mois l'immigration. C'était un signe de la réussite économique espagnole disait-il. Ce grand naïf...

Il y a peu le n°2 du PS espagnol a appelé à l'immigration zero.

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on assiste malheuresement depuis quelques années à une réecriture de l'histoire qui a pour but de faire plaisir à quelques associations d'extreme gauche qui poursuivent leur grand rêve la destruction de l'état français ainsi que tous ses symboles, napoleon est résumé à un esclavagiste, mais on oublie de parler de la traite des noirs pratiqué par les arabes pendant des siècles(pas politiquement correct car seuls les blancs sont méchants) la france aurait une dette envers les pays colonisés ce qui justifierait l'immigration mais on oublie de dire que la decolonisation est surtout dû au fait que la france ne pouvait plus porter à bout de bras un continent; quant à l'identité nationale ,les traditions séculaires de ce pays ce ne seraient que des concepts fascistes n'ayant pour but que d'empêcher les populations immigrées à bien s'intégrer dans le pays ;on renie 2000 ans d'histoire pour faire plaisir à quelques uns et si tu penses le contraire tu n'es qu'un fasciste

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La décolonisation est surtout le fait que les pays colonisés voulaient se débarasser de leurs colons. Après tout c'est nous les Belges qui avont du décamper dare-dare pour que les Congolais puissent assouvrir leurs rêves d'indépendance, ce qui est leur droit. Mais bon maintenant, ils disent tous qu'ils sont plus mal barrés qu'au temps de la colonisation.

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Les pays africains,de l'afrique de l'ouest notamment n'ont jamais demandé leur indépendance.La France avait prévu depuis la fin de la 2eme guerre mondiale la decolonisation compléte des pays d'afrique noire,et ce n'est qu' a ce moment la que des partie et des groupes nationalistes ont commencé a se placer pour la prise du pouvoir.On leur a donné leur indépendance et fait comique ils se vantent aujourd'hui de nous l'avoir imposé. cela fait un an que je suis au sénégal,et ils se foutent royalement de notre geule,ils ont tres bien compris qu'on se faisait un complexe tous seul avec la décolonisation et ils en profitent un maximum.Maintenant n'avons plus le droit de plus rien dire parcqu'on a osé les coloniser et les mettre en esclavage(oui ,ils tentent de mettre sur le meme plan ces deux phénoménes differents.)Alors nous devons etre redevable a jamais..... j'avoue je commence a vraiment en avoir marre,et les sois disants bien pensant de la métropole sont dangereux,il détruise le terreau nationale(l'histoire)et affaiblisse considérablement notre pays a l'étranger.

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