Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
 Share

Messages recommandés

Baisse des impôts/taxes/etc. portant sur la production. -> baisse des prix

-> potentielle augmentation de consommation

-> modération des prix implicant baisse du loyer de l'argent -> facilité d'investissement production et crédit consommation

Donc c'est pas la relance par la planche à billets?
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 9,1k
  • Created
  • Dernière réponse

Top Posters In This Topic

Donc c'est pas la relance par la planche à billets?

Surtout pas ... les monétariste lient mathématiquement la masse monétaire et la production de richesse! Sauf que dans le modèle la disponibilité du crédit est "naturelle" ... alors que dans la vrai vie c'est pas comme ça :)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Surtout pas ... les monétariste lient mathématiquement la masse monétaire et la production de richesse! Sauf que dans le modèle la disponibilité du crédit est "naturelle" ... alors que dans la vrai vie c'est pas comme ça :)

Et c'est comment?
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Et c'est comment?

Exemple quand tu mets de l'argent a disposition d'une banque elle a le choix entre le préter a des particulier pour du crédit immo a 4% ou de l'investir sur les marché avec une espérance de gain tres supérieurs ... elle fait quoi a ton avis ;)

Les liquidité disponible vont la ou ceux qui en dispose voient leur intérêt... et se contrefoute du "modèle". Résultat les auto ajustement du systeme tombe souvent a l'eau invalidant tout ces modèles rigides.

L'école monétariste a d'ailleurs connu des "fork" ... les néoclassique entres autres qui eux meme on connu des variantes etc.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Exemple quand tu mets de l'argent a disposition d'une banque elle a le choix entre le préter a des particulier pour du crédit immo a 4% ou de l'investir sur les marché avec une espérance de gain tres supérieurs ... elle fait quoi a ton avis ;)

Les liquidité disponible vont la ou ceux qui en dispose voient leur intérêt... et se contrefoute du "modèle". Résultat les auto ajustement du systeme tombe souvent a l'eau invalidant tout ces modèles rigides.

L'école monétariste a d'ailleurs connu des "fork" ... les néoclassique entres autres qui eux meme on connu des variantes etc.

Certes, elle le fait, mais si c'est une banque de détail elle ne peut pas abandonner les particuliers quand même, et les laisser à la concurrence, car elle a intérêt à se diversifier pour être plus solide, pour ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier. On voit bien en ce moment que les banques de détail résistent mieux à la crise que les autres non?

Finalement les deux écoles ont chacune un peu raison non?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Certes, elle le fait, mais si c'est une banque de détail elle ne peut pas abandonner les particuliers quand même, et les laisser à la concurrence, car elle a intérêt à se diversifier pour être plus solide, pour ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier. On voit bien en ce moment que les banques de détail résistent mieux à la crise que les autres non?

Pourtant c'est le cas ... les banque de détails gagnent leur vie sur les service, CB forfait, adgio etc. et pas sur le crédit ;)

Les clients particuliers c'est chiant, couteux, et ca rapporte pas grand chose ... ca nécessite pas mal de personnel en agence, des frais de gestion de compte, tout cela en générant des faible revenu sauf a leur vendre tout un tas de service a la con, de leur faire payer les moyen de paiement etc.

Y a un rapport récent de la commission européenne a ce propos.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pourtant c'est le cas ... les banque de détails gagnent leur vie sur les service, CB forfait, adgio etc. et pas sur le crédit ;)

Oui mais elles le font... D'ailleurs on voit mal une banque abandonner le crédit aux particuliers mis à part les banques d'affaires.
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Oui mais elles le font... D'ailleurs on voit mal une banque abandonner le crédit aux particuliers mis à part les banques d'affaires.

Oui bien sur qu'elle le font mais avec quel volume par rapport au liquidité et dépots dont elle diposent? faible... C'est d'ailleurs pour cela que NS voulait libérer le crédit a son arrivé au pouvoir en 2002, en facilitant la solvabilisation de l'emprunteur via des hypothèque partielle et autre cautionnement en cascade. Si c'est pour du crédit conso "revolver" a des taux stratosphérique tu trouveras, mais des que les montant monte aussi bien pour de l'immo que pour de entrepreneuriat tu rames pour trouver du crédit.

Résultat pour dégager de la liquidité pour du crédit on est obligé de mettre a disposition toujours plus de monnaie via les banque centrale, ce que tu appeles planche a billet. Sauf qu'on ne contrôle absolument pas ou vont ces liquidités et qu'on récupère des bulles.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pourtant c'est le cas ... les banque de détails gagnent leur vie sur les service, CB forfait, adgio etc. et pas sur le crédit ;)

Les clients particuliers c'est chiant, couteux, et ca rapporte pas grand chose ... ca nécessite pas mal de personnel en agence, des frais de gestion de compte, tout cela en générant des faible revenu sauf a leur vendre tout un tas de service a la con, de leur faire payer les moyen de paiement etc.

Y a un rapport récent de la commission européenne a ce propos.

Oui mais c'est aussi une volonté des banques, elle pourrait revenir dessus, aujourd'hui une banque marge peu sur un crédit immo, mais demain?, ok ya d'autres facteurs, prix du marché..etc, mais les faibles marges des crédits immo, ont déjà été pointés.

Les activités de détail sont moins profitables certes, mais c'est un business plus sur et récurrent.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les activités de détail sont moins profitables certes, mais c'est un business plus sur et récurrent

Ce dont se foutent les managers de banques, focalisés sur les progressions marginalesde ratios, les cours de bourse du jour, les bénéfices de court terme, et fondamentalement, leurs ratios annuels aux maximum dont dépendent leur bonus. Penser à 5 ans, c'est déjà envisager la retraite :lol:.

elle ne peut pas abandonner les particuliers quand même, et les laisser à la concurrence

Outre la réponse de Gally, il faut ajouter que la banque de détail n'est pas une activité très concurrentielle dans les faits: tous arnaquent et traitent de la même façon sur un marché donné, en tout cas pas assez différemment pour que ce soit notable, et vaille surtout de changer de banque car, et c'est là un des points de ce marché, quitter une banque est lourd, lent et cher, et tout plein de complications, soit l'antithèse d'un marché fluide (supposé par Adam Smith comme une des 5 conditions de marché pur et parfait). Comme il est dit dans les cours d'éco: une banque vous lie.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La bonne nouvelle du jour Bernanke va nous faire un "quantitative easying 3"  :happy:

Les deux premiers n'ont servis a rien ou presque mais c'est pas grave ... faute de solutions.

Pendant ce temps en Europe personne n'a décidé d'envisager de régler les probleme de solvabilité des périphérique ... ca va faire 9 mois qu'on attend un "miracle" ... ca fait 9 mois que la BCE se sacrifie pour sauver les meuble ... et toujours personne pour décider un truc qui donne l'impression d'une porte de sortie un jour :lol:

Rassurant tout ca nan :)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Achetez de l'or, zut fallait le faire avant...  :lol:

Tu peux encore ... pas mal d'analyste envisage les 2000$ l'once d'ici pas si longtemps que ca. Apres savoir si c'est l'or qui s'enchérie ou le dollar qui baisse ... mystere :lol:

Le plus amusant c'est que l'euros boiteux mais un peu moins que le dollar, remonte face au dollar :happy: heureusement qu'on a la Grece sinon l'euro serait a 2$ et C7 nous aurait fait un infarctus.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ce dont se foutent les managers de banques, focalisés sur les progressions marginalesde ratios, les cours de bourse du jour, les bénéfices de court terme, et fondamentalement, leurs ratios annuels aux maximum dont dépendent leur bonus. Penser à 5 ans, c'est déjà envisager la retraite :lol:.

C'est un peu caricatural mais pas si éloigné que ça de la réalité  ;), toutefois on sait bien que lors des tempêtes boursières, les banques qui trinquent le moins sont celles qui ont un activité de détail en sus de leurs activités d'investissement, on a pu le constater lors de la chutte de lehman., le détail c'est du bon vieux business chiant mais stable.

et c'est là un des points de ce marché, quitter une banque est lourd, lent et cher, et tout plein de complications, soit l'antithèse d'un marché fluide (supposé par Adam Smith comme une des 5 conditions de marché pur et parfait). Comme il est dit dans les cours d'éco: une banque vous lie.

C'est de moins en moins vrai, et du chemin a été fait en termes de transparence sur les frais bancaires, merci NS d'ailleurs.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La première erreur commise le fut par les tenants de la politique budgétaire (les keynésiens), qui dominent la scène de Washington. A les en croire, il fallait accroître les dépenses publiques, avec déficits budgétaires à la clé, pour relancer l'économie.

Or, c’est un dogme qui ne résiste pas à la vérification des faits.

Rien ne contredit la dogmatique keynésienne de manière plus concluante que les coupes massives qui ont affecté les dépenses publiques sous les deux mandats de l'ancien Président Clinton.

Quand il a pris ses fonctions en 1993, les dépenses publiques représentaient 22,1% du PIB ; quand il est parti, en 2000, la part de l’état fédéral dans l'économie était descendue à 18,2%.

Ce n'est pas tout. Durant les trois dernières années du second mandat de l’ex-président, l’Etat fédéral a enregistré une suite d'excédents budgétaires. Clinton était même assez sûr de lui pour aller jusqu'à prendre le risque d’affirmer, en janvier 1996, lors de son discours sur l'Etat de l'Union, que « l’époque du tout-Etat est révolue ».

Ce tour de vis Clintonnien n’a pas précipité l'économie dans la récession, comme le keynésianisme l’aurait impliqué. Tout le contraire : sa vertu budgétaire toute  victorienne a redonné un sérieux coup de fouet à la confiance, et l'économie est repartie à toute allure.

C’est au contraire une politique très Keynésienne : laisser filer les déficits pendant la dépression, mais enregistrer des excédents les périodes grasses, selon les recommandations du maitre.

Ce n’est pas les dépenses publique qui qualifie une politique économique de keynésienne, mais le contexte.

[quote author= ]

Bâle III, entre autres, exigera des banques qu’elles détiennent davantage de fonds propres vis-à-vis de leurs actifs que sous le régime en vigueur de Bâle II.

Cependant, si cette mesure est censée renforcer les banques (et les économies), elle aura aussi pour conséquence de faire disparaître de la monnaie. il s’ensuit que son effet sera d’affaiblir l’économie, au lieu de la renforcer.

Ah ! C’est à ça qu’il voulait en venir. Rapproché avec son titre et l’institution à laquelle il est affilié tout s’explique…

Comme si que la croissance monétaire colle le plus possible avec le PIB était un drame !

[quote author=Drakene"" data-cid="538670" data-time="1311008709">

Mouais discours typique d'un monétariste, sans doute proche de Friedman (ok elle est facile celle la :oops:) qui fait du bashing contre les thèses Keynésiennes, rien de nouveau sous le soleil   8)

Friedman pensait aussi que la monnaie commandait tout, mais il prenait le problème par le bout inverse : se reposer sur la monnaie pour générer de l’activité marche un temps, mais c’est un expédiant artificiel générateur d’effet pervers ; c’est d’ailleurs le reproche fait aux keynésianistes par son école !

En fait le type fait toutes sorte de contre sens, sans se rendre compte que ce  à quoi il appelle, par exemple en rappelant la situation immédiatement antérieur de croissance monétaire  et d’argent facile est justement à l’origine de cette crise.

En définitive il prêche pour un retour à l’époque bénie des années 90 ou l’argent coulait à flot, oubliant que ce n’est plus possible vu que plus personne n’a la possibilité de s’endetter en masse. Il ne comprend pas que le monde dans son ensemble est entré dans un long cycle de désendettement et de stagnation qui va avec.

Il ne voit pas que le vrai drame n’est pas l’augmentation de l’endettement publique, qui soit y en passant a évité de tomber dans le trou d’une vraie, d’une méchante  crise à la « 29 » en amortissant le  choc. Non, le vrai problème est que le temps gagné n’a pas été mis à contribution pour purger les banques de leurs mauvaises créances.

La bonne nouvelle du jour Bernanke va nous faire un "quantitative easying 3"  :happy:

C’est bien ce que je pensais, on se dirige droit vers une longue et lente décente aux enfers déflationniste à la japonaise :P, avec des dettes publics qui font plusieurs fois le PIB. Et dire que Bernanke à justement fait son mémoire sue la crise de 29 en critiquant doctement la stratégie japonaise, ça laisse songeur…

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est de moins en moins vrai, et du chemin a été fait en termes de transparence sur les frais bancaires, merci NS d'ailleurs.

Notre cher président n'y ai pas pour grand chose c'est la commission européenne qui essaye de mettre les banque au pas s'inquiétant de la tres grande disparité des frais et condition d’accès aux services bancaires de base. Pour les frais ça va du simple au décuple ... le rapport de la commission qui vient de sortir est dispo sur le net, il montre qui malgré les injonction et autre règlement pas grand chose ne change en bien. M'enfin si tu veux mettre le boulot de la commission au crédit de notre président soit :)

C’est bien ce que je pensais, on se dirige droit vers une longue et lente décente aux enfers déflationniste à la japonaise :P, avec des dettes publics qui font plusieurs fois le PIB. Et dire que Bernanke à justement fait son mémoire sue la crise de 29 en critiquant doctement la stratégie japonaise, ça laisse songeur…

Le souci c'est que visiblement on ne sait pas par quel bout entamer la grosse purge qui va venir ... et donc on repousse en espérant qu'on va la dilluer sur le temps cette purge et que ce sera moins catastrophique que de la faire d'un coup d'un seul. C'est vrai aux USA mais aussi chez nous ... le sommet européen va semble t il encore accoucher de rien, et une des seul solution envisageable a terme, la fédéralisation européenne file des bouton a l'europe, au moins autant qu'un démontage de l'euro ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

En définitive il prêche pour un retour à l’époque bénie des années 90 ou l’argent coulait à flot, oubliant que ce n’est plus possible vu que plus personne n’a la possibilité de s’endetter en masse. Il ne comprend pas que le monde dans son ensemble est entré dans un long cycle de désendettement et de stagnation qui va avec.

En fait, ça fait penser à la grande crise des années 1870-1890 aux USA, en Angleterre et en France surtout (l'Allemagne étant à ce moment le "géant émergent"), après une période d'investissement industriel important, puis de financiarisation graduelle (le cap qui selon Marc Bloch avait été celui de l'économie créatrice à l'économie prédatrice) avec éclatement de la bulle du crédit facile et de l'investissement industriel forcément rentable. La différence étant quand même qu'à l'époque, la période "faste" avait été celle d'un primo équipement industriel avec donc un fort impact sur l'économie réel, et d'un développement des marchés via la colonisation, en plus de la bulle spéculative qui a commencé à croître en importance à mesure que les marchés "réels" devenaient matures. A part l'épisode de la grande guerre, il est ironique de noter que la vraie sortie de l'étau fondamental de ce circuit économique n'arrivera réellement qu'avec le modèle de redressement lancé par Roosevelt, soit un mix de tenue monétaire et de relance par la demande qui passa surtout en fait par ce qui deviendra la consommation de masse, soit l'idée que la main d'oeuvre nationale doit être le premier marché d'une production nationale, ce qui implique une politique sociale et une hausse des salaires bizarrement présentées par une majorité d'économistes aujourd'hui comme la seule solution pour les pays à économie mature, les gains de compétitivité devant se faire par tous moyens SAUF le rognage des salaires.
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Notre cher président n'y ai pas pour grand chose c'est la commission européenne qui essaye de mettre les banque au pas s'inquiétant de la tres grande disparité des frais et condition d’accès aux services bancaires de base. Pour les frais ça va du simple au décuple ... le rapport de la commission qui vient de sortir est dispo sur le net, il montre qui malgré les injonction et autre règlement pas grand chose ne change en bien. M'enfin si tu veux mettre le boulot de la commission au crédit de notre président soit :)

A chaque fin d'année nous recevons un listing détaillé de nos frais, c'est déjà un pas vers la transparence, quant à la disparité elle réside surtout dans la dénomination des lignes de frais.

Je ne doute pas de la mauvaise volonté des banques, il faut persévérer =).

Le souci c'est que visiblement on ne sait pas par quel bout entamer la grosse purge qui va venir ... et donc on repousse en espérant qu'on va la dilluer sur le temps cette purge et que ce sera moins catastrophique que de la faire d'un coup d'un seul. C'est vrai aux USA mais aussi chez nous ... le sommet européen va semble t il encore accoucher de rien, et une des seul solution envisageable a terme, la fédéralisation européenne file des bouton a l'europe, au moins autant qu'un démontage de l'euro ...

Il suffira d'une attaque sur la France, et le démontage de l'euro va vite gagner du terrain.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

...

Le souci c'est que visiblement on ne sait pas par quel bout entamer la grosse purge qui va venir ... et donc on repousse en espérant qu'on va la dilluer sur le temps cette purge et que ce sera moins catastrophique que de la faire d'un coup d'un seul. C'est vrai aux USA mais aussi chez nous ... le sommet européen va semble t il encore accoucher de rien, et une des seul solution envisageable a terme, la fédéralisation européenne file des bouton a l'europe, au moins autant qu'un démontage de l'euro ...

En fait il y a une solution, ou plutôt il y en avait –le mementum et peut être passé et surtout il n’y a plus de munitions- : à l’extrême bout du cas japonais qui ont laissé toutes ses mauvaises créances caché sans jamais chercher à les faires sortir du bois, il y a le cas Suédois qui à connue une crise de l’immobilier, un peu comme les subrimes pendant les années 90, et leur solution était la bonne. Elle consistait à massivement nationaliser les banques à problème pour liquider les dites créance…en les passant sur les lignes budgétaire :O

Mais l’opération à été si rondement mené, que même si elle à couté cher les premières années, la croissance est vite revenue, et non seulement les nouvelles recettes on fortement aidé à résorber le très fort endettement qui lui a été consécutif ; mais les privatisations n’ont été faite qu’après avoir récupéré l’argent prêté…certain devrais en prendre de la graine :P

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Boooo encore des truc de communiste ca!

Le souci c'est que le probleme qu'on a aujourd hui meme s'il a été déclenché par la reprise de créance privé par l'état, va bien au dela d'un simple crise de liquidité. Cette crise de liquidité c'est la goutte ... qui a fait déborder tout le systeme en fin de vie. Nous vivons au dessus de nos moyen depuis longtemps, l'euros n'a pas d'existence politique, nos économie ne sont pas capable de concurrencer les émergeant sur leur terrain etc.

Sauf que ca personne ne veut y venir ... on se contente de se passer la patate chaude de l'endettement en espérant qu'elle va refroidir et que ca va tout régler. Meme si la crise de liquidité s'estompe, restera toujours notre incapacité a produire de la croissance sans s'endetter toujours plus. Donc a priori on cours a la catastrophe.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Boooo encore des truc de communiste ca!

Le souci c'est que le probleme qu'on a aujourd hui meme s'il a été déclenché par la reprise de créance privé par l'état, va bien au dela d'un simple crise de liquidité. Cette crise de liquidité c'est la goutte ... qui a fait déborder tout le systeme en fin de vie. Nous vivons au dessus de nos moyen depuis longtemps, l'euros n'a pas d'existence politique, nos économie ne sont pas capable de concurrencer les émergeant sur leur terrain etc.

Sauf que ca personne ne veut y venir ... on se contente de se passer la patate chaude de l'endettement en espérant qu'elle va refroidir et que ca va tout régler. Meme si la crise de liquidité s'estompe, restera toujours notre incapacité a produire de la croissance sans s'endetter toujours plus. Donc a priori on cours a la catastrophe.

Le prolétariat vaincra ! :lol:

Bof ! Je pense qu’il y avait possibilité de faire encore quelques tours de piste encore quelques temps pendant la période de flottement 2007-2011, qu’il restait encore des jetons à jouer dans la machine ; mais je pense qu’i est maintenant trop tard…

Mais effectivement, les déséquilibres en tout genre sont intenables. C’est comme ce jeux stupide, la course à l’échalote ou il faut courir sur une jambe : la seul manière de tenir est de courir de plus en plus vite avant –inévitablement- de se fracasser la « goule ». Et l’économie mondial en est là aux bouts de ses dernières forces…

D’ailleurs, si j’avais un conseil a donnée : profiter bien de cette été et de sa douceur de vivre, c’est probablement le dernier avant tréééééééés longtemps ; genre une ou deux génération.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est pas la crise pour tout le monde...  =( =( =(

Source : http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2011/07/19/97002-20110719FILWWW00401-gb-16-mds-d-de-bonus-ont-ete-verses.php

GB: 16 mds d'€ de bonus ont été versés

Les entreprises du secteur financier britannique ont versé au total 16 milliards d'euros de primes à leurs employés entre avril 2010 et mars 2011, soit autant qu'en 2009/2010, selon l'Office des statistiques nationales (ONS). Les employés des banques, assureurs et autres établissements financiers britanniques ont reçu en moyenne 12.500 livres (environ 14.300 euros) de bonus sur la période, soit un total de 14 milliards de livres (16 milliards d'euros) pour l'ensemble du secteur.

Ce total est supérieur de 2 milliards de livres aux primes versées en 2008/2009 (au summum de la crise financière), et représente 58% de plus qu'il y a dix ans. Il reste toutefois nettement inférieur au record de 19 milliards de livres atteint en 2006/2007, c'est-à-dire juste avant l'éclatement de la crise du crédit.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
 Share

  • Statistiques des membres

    5 965
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Aure-Asia
    Membre le plus récent
    Aure-Asia
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...