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Ici on parle uniquement que de la société Nexter


Philippe Top-Force
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L'ancien PDG de NEXTER s'est planté, il aurait du choisir le nom d'un sommet Afghan.

Encore qu'avec la dissémination de nos OMLT sur le térritoire Afghan chacun pourra trouver un petit nom local à sa monture. =)

Pas du tout, il a le choix http://fr.wikipedia.org/wiki/Aravis

Et si tu veux en bâptiser sur le même thème des sommets des alpes françaises http://fr.wikipedia.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Sommet_des_Alpes_fran%C3%A7aises

Il peut en décliner toutes les versions.

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Un nom de baptême est toujours une affaire sérieuse.

Aravis semble bien trouvé car on ne peut le confondre phonétiquement avec aucun autre MRAP. Il se mémorise vite et lui donne une identité propre dans un milieu concurrenciel où tous les véhicules portent des noms d'animaux.

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  • 2 weeks later...

TTU relate ceci sur l'E Nexter.

http://www.ttu.fr/francais/Articles/Industrie%20%26%20materiels/nexterprospects.html

En présentant ses résultats 2009, mercredi 10 mars, Philippe Burtin, le nouveau PDG de Nexter, qui s'exprimait pour la première fois devant la presse, ne cachait pas sa satisfaction. Avec un chiffre d'affaire consolidé de 887 millions d'euros (soit une progression de 53%) et des prises de commandes qui s'élèvent à 1.286 millions d'euros (hausse de 130 %), Nexter présente "un exercice très favorable, qui constitue une base solide pour construire l'avenir". Grâce au plan de relance et à la montée en puissance des nouveaux matériels (VBCI, Caesar), Nexter dispose devant lui de 3 années d'activités. En moyenne, 1 VBCI sort des usines de Roannes tous les 2 jours et demi et un Caesar par semaine.

Disposant d'un solide carnet de commandes (2.508 millions d'euros), Nexter mise dorénavant sur l'export, relais de croissance nécessaire dans les années à venir, avec l'objectif d'atteindre un tiers de son activité à l'export. D'ors et déjà, le constructeur du Leclerc participe à de nombreuses consultations.

Le VBCI est présenté dans de nombreux pays, comme la Suède, pour lequel Nexter a initié une coopération avec Volvo pour un marché de 113 véhicules. De même en Espagne, où le groupe français s'associe à plusieurs partenaires locaux, au premier rang desquelles une société catalane GTD. Madrid doit dévoiler sa "short list" la prochaine semaine pour un choix début 2011. En cas de choix du blindé français, Nexter ouvrirait une chaîne de production en Espagne, alors que pour la Suède, les VBCI sortiront de l'usine de française. Autres prospects: le Royaume Uni pourrait se réinteresser au véhicule français, qui sera bientôt engagé en Afghanistan, tandis Nexter espère aussi des clients dans les pays du Golfe. Des démonstrations seront réalisées cet été ainsi qu'en Arabie Saoudite. Autre client potentiel, le Canada. Une démonstration s'est tenue il y a quelques semaines. Nexter y a aussi fait une offre non sollicitée du véhicule Aravis. Hautement protégé, les canadiens semblent avoir montré un certain intérêt pour ce véhicule financé sur fonds propres, d'autant plus que Nexter propose d'ouvrir une chaîne d'assemblage Aravis locale.

Autre matériel sur lequel Nexter porte de nombreux espoirs exports: le canon de 155 mm Caesar, engagé en Afghanistan par l'armée de terre. Malaisie, Inde, Moyen Orient ou Amérique Latine font aussi partie des marchés potentiels.

Interrogé sur des possibles alliances française (RTD, Panhard...) ou Européenne, Philippe Burtin a dévoilé sa stratégie: citant des propos tenus il y a peu par le DGA "Nexter n'est pas à vendre", il a ajouté "nous rechercherons des alliances sur des projets industriels. Seul un projet industriel amènera à une alliance cohérente avec un apport de compétences respectif."

Nexter, qui attend beaucoup de son alliance avec Thales et Safran dans la compétition Scorpion, met aussi l'accent sur l'importance de la R&D et des projets autofinancés, à l'image de l'Aravis. Il y a fort à parier, que l'industriel réserve quelques surprises et présentera de nouveaux véhicules pour le prochain salon Eurosatory qui se tiendra en juin prochain.

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http://marches.lefigaro.fr/news/societes.html?&ID_NEWS=138395683

Nexter a tourné la page du char Leclerc

C’est avec le VBCI, le Véhicule blindé de combat d’infanterie, et le canon Caesar, prometteurs à l’export, que le spécialiste français de l’armement terrestre a rebâti son modèle économique et renoué avec la croissance.

Pour la première fois depuis 1990, la contribution du Char Leclerc au chiffre d’affaires (1) consolidé de Nexter (ex-Giat Industrie) a été égale à zéro en 2009. A la grande époque, ce char d’assaut de 44 tonnes, livré à 406 exemplaires à l’armée française, a représenté la majorité des ventes. Emblème du Giat, vainqueur d’un contrat géant aux Emirats arabes unis pour 388 exemplaires, le Char Leclerc fut malgré lui le symbole des déboires financiers de l’entreprise publique. Après ce contrat pris à perte, Giat faillit mourir et ne dût son salut qu’à une restructuration drastique et aux deniers publics. Son sauvetage a coûté 4 milliards d’euros.

La reconstruction d’un modèle économique

Depuis quatre ans Giat s’est rebaptisé Nexter et tourné la page du Leclerc. Sa production en série a été arrêtée en juillet 2008 et l’activité générée par cette ligne de produit relève désormais de contrats de maintenance – 1 milliard d’euros pour la gestion du parc de l’armée française sur 10 ans -, d’amélioration (Retrofit) dans le cadre du programme Scorpion de modernisation de l’armée de terre (kit de furtivité notamment) ainsi que de revente de chars d’occasion à des pays étrangers (la Colombie est intéressée).

Nexter se définit comme un systémier de défense terrestre, a rebâti son modèle économique grâce à trois produits : le blindé à roues, VBCI, le canon Caesar ainsi que l’Aravis, un très gros 4X4 renforcé que Nexter présente comme la meilleure protection contre les « ied » (ces bombes artisanales dévastatrices qui explosent sous les chars).

Le retour de la croissance et de la visibilité

Les chiffres publiés au titre de 2009 montrent qu’après un exercice 2008 en creux, la croissance revient grâce à ces matériels nouveaux mais aussi grâce à l’impact positif du plan de relance. Nexter a réalisé un chiffre d’affaires de 887 millions d’euros l’an dernier et a livré 116 VBCI, 44 canons Caesar ainsi que 60 chars AMX 10RC. « Nous produisons un VBCI tous les 2,5 jours et un Caesar par semaine », résume Philippe Burtin, qui a pris la direction de Nexter à la suite de Luc Vigneron, parti à la tête de Thales l’été dernier.

L’entreprise qui a dégagé un résultat net de 141 millions d’euros (+42%) a vu sa marge opérationnelle s’améliorer de 107% à 16,6%. « Nous avons amélioré cette marge pour la quatrième année consécutive », rappelle Philippe Burtin. Nexter versera un dividende de 32 millions d’euros à l’Etat au titre de 2009. L’horizon du groupe est dégagé à moyen terme avec notamment un objectif de livraisons de 630 VBCI à l’armée française jusqu’à fin 2014 et des commandes pluriannuelles qui lui donne de la visibilité.

Des perspectives à l’international

Mais au-delà, il lui faut trouver des relais de croissance. A l’export d’abord où il a des prospects en Malaisie, en Inde, dans le Golfe pour le Caesar. Et cela, dans le cadre de partenariats avec des entreprises locales. Mais aussi en Espagne, Grande-Bretagne, Canada et Moyen-Orient pour le VBCI. En gagnant ensuite l’appel d’offre français pour le VBMR, le remplaçant du VAB (transport de troupe) dans le cadre du programme Scorpion. Une commande de 2300 exemplaires sur plus de dix ans. L’entreprise présentera en juin à Euro Satory, le salon de l’armement terrestre, un démonstrateur technologique, précurseur de ce que pourrait être une proposition de VBMR de la part de Nexter.

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  • 1 month later...
  • 5 months later...

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/air-defense/actu/020853877926-carnet-de-commandes-en-baisse-pour-nexter.htm

Faute de contrats à l'export à même de compenser l'atonie des contrats signés avec la France, le carnet de commandes de Nexter est passé de 2,5 à 2,1 milliards d'euros entre le 31 décembre 2009 et le 30 juin dernier. Analysant les récents échecs en Suède ou en Colombie, le groupe d'armement terrestre en a conclu qu'il devait améliorer la compétitivité de ses produits « dans un esprit totalement ouvert », a-t-il indiqué. Il pourrait s'agir selon nos informations de faire appel à des sous-traitants moins chers que certains fournisseurs d'origine. Mercedes pourrait ainsi ne plus construire la plate-forme de la jeep blindé Aravis. Sur les six premiers mois de l'année, le chiffre d'affaires de Nexter est ressorti à 538 millions, contre 423 millions il y a un an.

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L'échec de la vente de vbci et de Leclerc à du faire comprendre Nexter ! Je crois que le général avait raison a propos de nexter durant la démonstration du caesar on a de bon truc mais on sais pas vendre ! En espérant que Nexter ce bouge et innove (allez un nouveau fusil :D) et un digne successeur du amx-10p

Enfin bon il reste encore :

- Vbmr et ebrc : On juste vu que le X2

- Le canon P20

- Commande du canon Caesar

- Possibilité de renouveler les Auf1 (même si les chances sont minces)

- Vente du vbci en Espagne et au Canada

- Commande supplémentaire de Aravis

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  • 1 month later...

- Commande du canon Caesar

Pas avant des années

- Possibilité de renouveler les Auf1 (même si les chances sont minces)

Pas avant des années, si jamais ça arrive, en attendant il faudra se contenter de la modernisation (ça reste un équipement des plus performant)

- Commande supplémentaire de Aravis

Totalement exclu pour ce que j'en sais.

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Vers une entrée de Thales au capital de Nexter

Le président de Thales, Luc Vigneron, a présenté au Conseil stratégique du groupe, en fin de semaine dernière, le projet d'entrée au capital de Nexter. Cette prise de participation serait limitée, pour commencer, à quelque 25 % dans le groupe public d'armement terrestre. Le projet sera présenté demain aux administrateurs de Thales. Ces rapprochements entre Thales et Nexter d'une part, et Thales et DCNS d'autre part, sont souhaités par le ministère de la Défense.

6 décembre 10 - La Tribune

http://www.challenges.fr/actualites/entreprises/20101206.CHA0899/thales_pourrait_acquerir_25_du_groupe_darmement_nexter.html

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C'est de moins en moins la "mode"  des champions européens ! 

après le naval qui a échoué ( avec l' Espagne ) ou balbutie ( avec l'Italie, peut être l'Angleterre ... )  ... Même en national ( Thalès et DCNS )

et EADS + MBDA  ( qui ont réussit:  c'est mon point de vue ! )

Voilà que pour la "terre": on essaie de faire un champion  national  ....  C'est de toute façon pas mal que Nexter se renforce !

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  • 5 weeks later...

Il y un an, une idée avait circulé. Faire l'Aravis le véhicule des OMLT.

Je ne sais pas où ça en est. Abandonné peut être.

Oh oui et bien abandonné comme idée il est destiné aux équipes nedex qui accompagnent les buffalo et les souvim.

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quel est l'intérêt de Thalès pour Nexter (outre sa puissance financiere et sa réputation?) .

Les systèmes Electroniques de nos blindés sont ils si nécessiteux ?

Il me semble que pour les Episcopes ça se basait plus sur du SAGEM .

Enfin , je vois du Thalès à toutes les sauces, mais je ne comprends pas vraiment comment se définit le groupe en lui même .

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quel est l'intérêt de Thalès pour Nexter (outre sa puissance financiere et sa réputation?)

L'intérêt est double : d'une part permettre à Thalès de se positionner comme un systèmier à part entière, d'autre part de mettre la main sur un certain nombre de savoir-faire qui lui manque. Et puis, c'est peut-être une des seuls chances pour Nexter, sous son nom ou sous celui de Thalès, de survivre, car si son carnet de commande à court-moyen terme est à peu près rempli, à moyen-long terme, c'est un peu le vide abyssale.

http://www.boursorama.com/international/detail_actu_intern.phtml?num=76f128e81a3e1acc9e1c576af30224f7

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Et puis ne pas oublier que maintenant nexter est rentable et enfin restructuree donc mariable alors qu'avant c'etait une petaudiere

Disons qu'une grande partie de la mentalité "arsenal" a disparu. Mais, il y a encore de gros progrès à faire au niveau commercial, le personnel chargé de cette partie essentielle à toute industrie en étant encore à l'age de pierre. Assurer le client de la qualité d'un produit est une chose, lui donner envie d'acheter en est une autre. Du coté de chez Thales, il y a longtemps que l'on a compris cela.
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