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Flippy

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Tout ce qui a été posté par Flippy

  1. En absence d'une automatisation totale (et donc de tous les risques associés en cas de piratage ou de pétage de plomb de l'IA) il y aura toujours un temps de latence entre le drone et son pilote... c'est pas trop grave pour de la reco ou du bombardement mais cela devient très gênant pour de l'AA. L'avion piloté n'est pas encore totalement enterré.
  2. D'un point de vue pragmatique j'aurais tendance à penser que ce n'est pas du tout dans leurs intérêts de dégommer Bachar, car c'est indirectement grâce à lui que le Daesh bénéficie du "bouclier diplomatique" Russe. Sans oublier que sans Bachar la Turquie risque aussi de revoir ses priorités vis à vis du Daesh et enfin ce n'est pas dans l’intérêt des "riches donateurs" qu'ils deviennent trop puissant. Concernant une attaque en Arabie Saoudite... euh mouais je ne vois pas trop pourquoi un groupe fondamentaliste sunnite attaquerait un pays fondamentaliste sunnite (qui accessoirement fut longtemps leur principal soutien financier), mais admettons. Encore faut-il que les pilotes du Daesh survivent assez longtemps dans l'espace aérien de l'Arabie Saoudite (j'y crois moyen), mais admettons. Si par cible religieuse tu sous entends une attaque de la Mecque, c'est un suicide pour Daesh (au sens littéral du terme). Bref ces avions sont potentiellement une menace (sous resserve d'avoir du personnel qualifié et des munitions), mais cela reste très limité et il y a peu de chance que cela change quoi que ce soit à la situation.
  3. Flippy

    Le F-35

    Avoir un réacteur assez compact pour tenir sur une remorque... ok mais il faut encore rajouter plusieurs tonnes de blindage, tout le système de refroidissement (qui lui ne pourra pas être miniaturisé, sachant que 100MW ça ne se refroidit pas avec une simple clim) et si on veut produire de l’électricité il faut encore rajouter les turbines à vapeur (là aussi difficile à miniaturiser). Au final cela ne va pas énormément réduire la taille des centrales. Concernant une éventuelle application dans l'aviation il ne faut pas rêver. Un avion à propulsion nucléaire c'est possible, ça a été testé dans les années 50 sur le NB-36H. Sauf que le système (plusieurs dizaines de tonnes) occupait quasiment toute la place dans le fuselage ainsi qu'une grande partie de la charge utile. Même en admettant que le système à fusion de LM soit plus léger et compact, l’installation de ce système se fera quand même au détriment de la charge et du volume utile car il faudra quand même garder les réacteurs conventionnels sous les ailes au cas où. Sans parler des conséquences en cas de crash. Edit : Le NB36H n'utilisait pas son réacteur pour assurer sa propulsion, mais juste pour valider le concept d'un réacteur embarqué (notamment en ce qui concerne la protection de l’équipage). La suite du programme prévoyait par contre l'utilisation de la propulsion nucléaire, mais le programme a été stoppé entre temps.
  4. Il y a eu aussi décembre 94 qui a servit d'avertissement... Bof, l'objectif a "haute valeur symbolique" sera forcement dans le pays. Sachant que tous les bâtiments du pays sont déjà sous la menace d'un attentat suicide ça ne changera pas grand chose (d'autant plus que l’espérance de vie d'une bombe humaine dans la foule doit être beaucoup plus élevée que celle d'un chasseur volant dans l'espace aérien de la coalition).
  5. Les potentiels infectés auront la moitié de l'Afrique a traverser avant d'atteindre l'enclave de Melilla. Si le voyage prend trop de temps les clandestins risquent de ne plus être "au top de leur forme" lorsqu'il faudra escalader les clôtures.
  6. Je ne nie pas qu'il y a de la variabilité, juste que cette variabilité se voit surtout sur le long terme. Sur le court terme les fermes éoliennes utilisent plusieurs artifices pour lisser leur production, qu'ils soient mécanique (inertie du rotor, modification du profil des pale, génératrice relié à une boite de vitesse) ou électronique (onduleur)... et dans le pire des cas on peut jouer sur le nombre de turbines actifs. C'est suffisant pour pas que la production fasse le yoyo toutes les minutes et c'est tout ce qui compte car cela laisse le temps au centrales thermiques de suivre le rythme. Maintenant c'est clair que le "pouvoir tampon" des centrales thermiques n'est pas infini et qu'il y a une limite au nombre d'éolienne que le réseau peut encaisser. Mais tant que RTE ne tire pas la sonnette d'alarme c'est que la situation est encore gérable pour nous. De toute façon, si l'on considère que le but des éoliennes est de remplacer les énergies fossiles, il faut conserver au minimum 3-4 MW thermique pour chaque MW éolien (d’après le facteur de charge). Ce qui correspond grosso-modo aux proportions actuelles dans le mix français... il est désormais inutile d'en construire d'avantage chez nous, mais ça vaut toujours le coup pour les pays fortement dépendant des énergies fossiles.
  7. En quoi hydroélectrique n’est pas compatible avec l'éolien ? L'hydroélectrique à 2 fonctions, le stockage et gérer les variations très rapides de la consommation (monté en charge en quelques minutes). Concernant les petites centrales thermiques, il ne leur faut pas 2h pour monter en charge mais 30min maximum. Les éoliennes ne sont pas si intermittente que ça (rien à voir avec le photovoltaïque qui le yoyo à chaque fois qu'un nuage passe), c'est sur des échelles de temps de plusieurs heures que l'ont voit apparaitre ces variations de production. Or la consommation varie beaucoup plus vite sur cette même période, ce qui n’empêche pas le réseau d'encaisser sans problème (grâce à la réactivité de nos centrales thermiques et hydroélectrique). De ce point de vue là les variations de production des éoliennes sont négligeable. Le circuit vapeur aura une certaine inertie thermique, mais si ton but est de couper immédiatement la production il suffit juste de détourner toute la vapeur dans la tour aéroréfrigérante... tu passeras de 100% à 0% de production électrique en quelques minutes même pas. Enfin si tu dois en arriver là c'est que quelqu'un c'est planté dans ces prévisions sur la consommation. On ne rajoute rien du tout, on laisse faire les centrales thermiques et les barrages qui sont déjà là pour ça et qui peuvent sans problème encaisser les variations de productions des éoliennes. Ce n'est pas vraiment ça. Je cite le rapport de RTE sur l'année 2013 : "Le parc éolien a produit en moyenne en 2013 à 23,2% de sa capacité contre 24,0% en 2012, avec un maximum de 80,3% le 23 décembre 2013 contre 84,3% en janvier 2012. De par sa nature dite « fatale », la production éolienne présente une variabilité qui se répercute sur sa contribution à l’équilibre offre-demande. Ainsi, le parc éolien produit à plus de 47% de sa capacité pendant 10% de l’année mais à moins de 6% de sa capacité pendant une durée équivalente." Je t'invite à lire le rapport de RTE (cf. page 19 du pdf). le lien est ici Le coup du courant de mauvaise qualité ça vaut pour les écolo qui font installer une éolienne ou du photovoltaïque dans dans leurs jardins. Concernant les grosses éoliennes elles possèdent tout l'équipement nécessaire (directement dans l'éolienne ou dans un local à proximité) pour produire du bon courant alternatif de qualité et apte a être injecté dans le réseau.
  8. La fusion c'est pas pour demain c'est clair, mais ça ne presse pas pour le moment. Entre les réserves d'uranium, de plutonium et de thorium, la technologie de la fission a encore de quoi alimenter en énergie toute l'humanité pendant plusieurs siècles (voir beaucoup plus si on compte les réserves océaniques).
  9. Flippy

    Eurofighter

    Il avait peut être des idées révolutionnaires pour l'époque, mais le monde à évolué et il n'a pas su évoluer avec lui... sa façon de penser est aujourd'hui obsolète.
  10. Nos réacteurs actuelles ne tolèrent pas trop d'être sous exploiter (circuit prévu normalement pour des hautes pressions et risque d'empoisonnement au xénon). De ce côté là les RSF sont beaucoup plus souples (circuit faible pression et captage du xénon) et peuvent continuer de fonctionner normalement même à très faible puissance. Mais en pratique ça ne changera rien car ça coutera trop cher à faire tourner à bas régime.
  11. Techniquement nos actuelles centrales nucléaires peuvent aussi moduler leur production, soit en jouant sur la puissance du réacteur avec des variations de 5%/min ou soit en jouant sur le circuit de vapeur (on passe de 0 à 100% de production électrique en quasi instantanée). Si on ne le fait pas c'est pour des raisons économiques. Vu les fortes puissances en jeu, il y a de forte chance que cela soit pareil pour les réacteurs à sel fondu. Par contre je verrai bien les centrales au gaz être remplacé par des centrales à l’hydrogène (celui-ci pouvant être produit par électrolyse lorsque les centrales nucléaires sont en surproduction).
  12. L'intermittence de l'éolien c'est surtout sur la journée que cela ce voit (et ce n'est pas les petites variations entre 2 bourrasques de vents qui vont changer quoique ce soit, surtout vu l'inertie du rotor). Sachant que les données de météo France permettent de prédire à l’avance la production journalière, RTE et EDF ont largement le temps d'ajuster en temps réel la production. Donc oui on fait tourner des centrales aux gaz les 6000h restantes (production en semi-base) mais cela a toujours été le cas même sans les éoliennes puisque ces centrales servent déjà de variable d'ajustement pour moduler la production lors des pics de conso. Le but de l'éolien n'est pas vraiment de faire de la production de base ça c'est le boulot des centrales nucléaires, leur rôle est plutôt de remplacer en partie les centrales à gaz (dans la part du mix dédié au semi-base) lorsqu'il y a un peu de vent... et s'il y a pas assez de vent, on fait fonctionner les centrales à gaz comme on faisait jusqu'à présent. Il est totalement faux de dire qu'une éolienne en plus c'est une centrale à gaz en plus (on aura la centrale au gaz quoi qu'il arrive) par contre une éolienne en marche en plus, c'est une centrale à gaz en moins ! Le seul problème est de trouver le bon équilibre entre le nombre d’éolienne et de centrale à gaz pour ne pas trop perturber le modèle économique des centrales à gaz.
  13. Pfff vous y connaissez rien, un m41A tirant du 10x24mm caseless et lance grenade incorporé... ça c'est la classe.
  14. Flippy

    enola gay

    On peut aussi rajouter "Gadget". La 1er bombe atomique de l'histoire durant l'essai Trinity.
  15. Possible je ne suis pas un expert dans ce domaine. Pour les couts de production du MWh ce sont ceux que j'ai le plus souvent vu revenir sur les sites qui m'ont paru un minimum sérieux (sauf pour le nucléaire où je suis allé chercher directement dans les rapports de la cour des compte). Pour l'éolien terrestre le chiffre de 70€ est souvent mis en avant par les industrielles pour démontrer que la technologie reste abordable. Ce qui me semble cohérent avec le prix obligatoire de rachat par EDF (85,6€ soit 10-15% de marge pour l'exploitant). J'imagine bien que ce chiffre n'est valable que pour les meilleurs sites éolien, mais cela reste possible. Pour la fourchette haute je parle de 200€ qui correspond d'avantage à ce que l'on retrouve pour l'éolien offshore (j'ai déjà vu des chiffres de 175-200€ le MWh circuler à propos des 4 sites offshore attribués dernièrement dans l'Atlantique). Après concernant l’excès d'éolienne dans le mix énergétique, en théorie un réseau à la fois réactif et bien conçu doit pouvoir gérer sans problème les risques de surproductions. Par contre le vrai problème c'est l'obligation de rachat dicté par nos politiques qui réduit dangereusement la rentabilité des centrales thermiques en cas de surproduction (celle-ci devant s’arrêter pour laisser la priorité aux renouvelables). Or ce sont ces centrales thermiques qui assurent la réactivité du réseau.
  16. Si la centrale qui sert de backup doit toujours tourner 24h/24 c'est qu'il y a un gros problème avec tes éoliennes je pense. Attention au idée reçu, effectivement l'énergie éolienne aura recours à des centrales à gaz pour lisser sa production mais elle n'entrainera pas la construction de nouvelle centrale à gaz... elles ne feront qu'exploiter les centrales déjà en place... les mêmes qui sont actuellement chargées d'encaisser les variations rapides de consommation (ce que ne peuvent pas faire les centrales nucléaires). Et si jamais la demande devient trop faible, EDF ne va pas s'amuser à décharger dans la terre, soit ils vont exporter le surplus à l’étranger ou soit ils vont stopper l'éolienne en attendant que la conso remonte (sauf si c'est un concurrent d'EDF qui a négocié un contrat d'obligation d'achat, mais là c'est un problème politique). En ce qui concerne les problèmes de prévisions, pas de soucis RTE possède un service spéciale (IPES) qui s'occupe de ça en quasi temps réel avec la collaboration de Meteo France. Pour le reste... La rentabilité d'un site éolien dépend de son facteur de charge, or le seuil de rentabilité que l'on retrouve souvent dans la littérature tourne autour de 2000h à 2200h de fonctionnement pleine charge sur l’année (soit un facteur de charge d'au moins 23-25%). Pour infos, d’après les chiffres de RTE le facteur de charge du parc éolien français tourne autour de 23-24%. Ce n'est pas exceptionnel mais ça reste dans la limite de rentabilité (à comparer avec les allemands qui ne dépassent pas les 17-19%, entre ça et le solaire ça va faire mal lorsqu'il vont arrêter les subventions). - Niveau cout de production (en regardant ce qui ressort le plus souvent sur le net) ça tourne entre 70 et 200€ le MWh, l'éolien offshore étant de très loin le plus cher. Pour comparaison l'hydroélectrique ça tourne à 15-20 €, le charbon et le nucléaire sont à 50€ (chiffre de la cour des comptes), le gaz naturel autour de 70-80€ et le solaire photovoltaïque entre 160 et 350€. Bref, même s'il est encore un peu cher l'éolien reste bien meilleur que le photovoltaïque. Sachant qu'avec un prix de 70€ (dans le meilleur des cas) il devient aussi compétitif que le gaz naturelle. - Niveau bilan carbone d’après cette article on est à 50-60g d'équivalent CO2 par kWh pour l'éolien... ce qui est à peine plus que les émissions pour l'hydroélectrique (35g/kWh) et le nucléaire (entre 20-50g/kWh)... et largement moins que le gaz et le charbon (respectivement 400-800g et 1000g). Sachant que sa matière première est facilement recyclable, les éoliennes sont donc très écologiques. En conclusion Au contraire de la production offshore qui n'est pas viable économiquement, l'éolien terrestre est une assez bonne source d’énergie à la fois propre et pas excessivement cher. Par contre elle a quand même quelques petits inconvénients : - intermittence de la production donc faible proportion dans le mix énergétique pour ne pas déstabiliser le réseau - économiquement viable que sur les meilleurs site éolien - c'est très moche (baisse des prix des terrains) - potentiellement dangereux dans un rayon 500m en cas de bris de pale - impact potentiel sur une partie de la faune (les oiseaux, insectes volants et autres parapentistes ne sont pas trop fan).
  17. Il y a eu pas mal d'erreur justement (par durant le test c'est vrai, mais lors de sa préparation). Si les opérateurs ont forcés le système c'est justement pour rattraper une erreur à la base (baisse trop importante de la puissance du réacteur suite à une mauvaise manip des barres de contrôle). A ce stade ils auraient du selon la procédure reporter l'essai d'îlotage à plus tard. Sauf que les chefs ne tolérant pas l’échec ils ont cherchés par tous les moyens à remonter en puissance (alors que le réacteur subissait un étouffement au xénon) quitte à désactiver toute les systèmes de sécurité et remonter au maximum les barres de contrôle (ce qui n'était pas autorisé). Lorsqu'ils ont vraiment commencé l'essai (alors que tous les indicateurs étaient dans le rouge !), le réacteur était instable et n'avait plus ses barres de contrôles en position...
  18. Une arme conçu pour ne pas prendre la poussière... c'était dans le cahier des charges du FN 2000 si je ne dis pas de bêtise. Sauf qu'à trop vouloir protéger l'arme de la poussière, cela a eu un impact sur l'ergonomie (avec par exemple des chargeurs difficile à retirer à cause d'un joint au niveau du puits de chargeur).
  19. - Tchernobyl a été le fruit d'une succession d'erreur humaine aussi débile que dangereuse sur une technologie risqué (conception RBMK avec coef de vide positif). Rien à voir avec le parc français qui exploite la technologie REP à coeff de vide négatif. - Three-Miles Island a mise en évidence un problème de conception au niveau même de la centrale et de la procédure en cas d'accident. Cela a été pris en compte lors de la conception des centrales française qui sont postérieures à cet accident. - Pour Fukushima, la cause est une totale inadéquation entre la conception de la centrale et les risques de tsunamis (qui ont été largement sous estimés). De ce côté là le risque est assez minime chez nous. Ces trois accidents sont graves mais ils ont permis de faire grandement progresser la sécurité du parc nucléaire mondiale. De la même manière que l'avion, il est aujourd'hui le moyen de transport le plus sur au monde mais il a fallu beaucoup de crash dans l'histoire pour en arriver là. Certes ça produit des déchets (qui sont potentiellement le combustible de demain), mais jusqu'à preuve du contraire le nucléaire français n'a jamais tué personne, c'est la source d’énergie la plus propre à notre disposition et elle est très bon marché... alors pourquoi faudrait il absolument réduire la part du nucléaire en France ? A part satisfaire le dogme écolo il n'y a aucune autre justification.
  20. Je suis totalement d'accord avec toi mais ce n'est pas vraiment la direction que l'on prend en Europe. Au final on y reviendra mais on aura perdu beaucoup de temps pour rien (saleté de dogme "écolo").
  21. Flippy

    enola gay

    Pour l'anecdote, il n'y avait aucun système de sécurité sur ces bombes. Pour éviter tout risque d'atomisation "accidentelle" de la base Tinian, Little Boy a due être amorcée en vol par l'équipage de l'Enola Gay.
  22. Article très intéressant qui confirme bien ce que je pensais déjà de Negawatt (c'est même pire que je le pensais). Je trouve à la fois stupide et dangereux de rechercher de tel niveau d'exploitation, mais cela n'interdit pas pour autant d'en faire un peu. De toute façon il n'y aura pas une seule solution miracle à l’après pétrole, mais une myriade de solution qui permettront de récupérer un peu d’énergie partout où c'est possible (un peu de solaire par-ci, du nucléaire par là, un peu de biomasse là). C'est en diversifiant et en cumulant toutes ces sources d’énergie que l'on en trouvera assez pour remplacer le pétrole.
  23. Çà c'est uniquement dans le cas d'une centrale photovoltaïque. Il y a aussi les centrales solaires thermodynamique qui sont plus simple, ont un meilleur rendement et n'utilisent pas de terre rare. Tout dépend de la source qui est utilisée pour fournir la biomasse. Entre les déchets verts, les déchets de l’industrie agroalimentaire, les boues d'épuration... il y a déjà de quoi récupérer pas mal d’énergie sans devoir toucher à nos forets. Maintenant concernant la gestion des forets, il n'y a pratiquement plus de foret primaire chez nous (à part au fin fond de l'Europe de l'Est et de la Russie). Tant que l'on évite la coupe rase et la monoculture cela ne pose pas vraiment de problème environnemental. On ne pourra peut être pas remplacer tout le pétrole avec ça (comme tu l'as dit il ne faut pas prélever plus que ce que la nature peut régénérer) mais c'est toujours ça de pris.
  24. Flippy

    Vol MH17

    Sauf que contrairement aux autres, celui-ci a été abattu accidentellement durant un exercice militaire. Le SA5 (300km de portée) a loupé le drone servant de cible. Sauf qu'au lieu de s’autodétruire comme c'est prévu dans ce cas, il a continué son chemin sur 200km avant d'accrocher avec son radar terminal le vol 1812 qui passait par là...
  25. Flippy

    [Rafale]

    Joli coup de crayon.
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