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Hibernatus

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  1. Heu, vraiment? L'aveuglement de Staline devant la préparation de Barbarossa est tout de même un cas d'école!
  2. Mais si l'Autriche décidait brusquement de s'allier avec la Corée du Nord, je doute qu'elle subirait une opération militaire spéciale de la part de ses voisins
  3. Justement à cause de cette disproportion. Si les pays composant l'UE ne sont pas capables de s'opposer à une « puissance moyenne » théoriquement plus faible que leur collectif, c'est acter l'idée que l'Union Européenne n'est définitivement qu'une grande impuissance. C'est à mon sens là que se situe le risque existentiel.
  4. Ils ont pas mal fait flipper les puissances européennes au XIVe siècle. La plus glorieuse victoire de notre François Ier a été remportée à leur encontre, ce que les rares personnes encore capables d’ânonner "1515 Marignan" sont rarement capables de réaliser...
  5. Ce serait drôle si un Australien candidatait... AUKUS oblige!
  6. Loin d'une escalade, peut-être ne faut-il voir dans ces salves de la CdN qu'un simple contrôle qualité de la prochaine livraison d'obus à la Russie ? Ne me cherchez pas, je suis déjà sorti...
  7. Tchad : l’ex-opposant Succès Masra nommé premier ministre Le chef du parti Les Transformateurs avait appelé à voter « oui » au référendum constitutionnel voulu par le président de transition, Mahamat Idriss Déby Itno. https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/01/01/tchad-l-ancien-opposant-succes-masra-nomme-premier-ministre_6208651_3212.html
  8. Ah, j'adore cette expression : Georges Marchais, toute ma jeunesse
  9. Heureusement que la France a voté en faveur du cessez-le-feu au CS de l'ONU...
  10. Certes. Mais c'est plus la désinvolture de Delcy Rodriguez,faisant mine de réduire les préoccupations du Guyana à une affaire de gros sous, qui est "intéressante". Je cite l'article : "Le pays [Guyana] a ainsi demandé à la juridiction de contraindre le Venezuela à arrêter « de toute urgence » le référendum « sous sa forme actuelle » et à s’abstenir de toute action visant à prendre le contrôle du territoire. « Le tribunal a rejeté dans son ensemble cette demande inouïe et infondée », a déclaré Mme Rodriguez, qui a considéré le jugement comme une victoire. « Le Guyana a cherché à obtenir de l’argent et s’est fait tondre. »"
  11. Malgré l'injonction de la CIJ à renoncer à toute action visant à modifier le statu quo frontalier, le Venezuela maintient son référendum de dimanche. Il est vrai que la formulation plutôt conciliante de l'arrêt, bien en deçà de ce que demandait le Guyana, permet au Venezuela, par la voix de sa vice-présidente, de considérer la décision comme une victoire!... Le Brésil fait part de sa préoccupation et annonce une présence militaire accrue sur sa frontière nord. https://www.lemonde.fr/international/article/2023/12/01/le-venezuela-maintient-son-referendum-sur-l-avenir-de-l-essequibo-malgre-les-sommations-de-la-cour-internationale-de-justice_6203435_3210.html
  12. Hibernatus

    Eurofighter

    Voilà voilà : https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/11/24/airbus-denonce-le-veto-de-berlin-a-la-vente-d-eurofighter-a-l-arabie-saoudite_6202134_3234.html Airbus dénonce le veto de Berlin à la vente d’Eurofighter à l’Arabie saoudite Les Verts allemands s’opposent au contrat en raison de l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi par les services spéciaux saoudiens en 2018 et de la guerre au Yémen. Par Jean-Michel Bezat Publié le 24 novembre 2023 à 16h05, modifié le 24 novembre 2023 à 17h18 Le ton monte chez Airbus Defence and Space, la filiale militaire et spatiale de l’avionneur européen basée à Manching, en Bavière, mais aussi chez IG Metall, le puissant syndicat de la métallurgie allemande. Objet de cette colère : le refus opposé par Berlin à la vente de 48 avions de combat Eurofighter Typhoon à l’Arabie saoudite, qui doit rapidement renouveler et renforcer sa flotte. Au sein de la coalition SPD-Verts-libéraux du chancelier Olaf Scholz, les Verts s’opposent à ce contrat en raison de l’assassinat, en 2018, du journaliste Jamal Khashoggi par les services spéciaux saoudiens et de la guerre au Yémen. Guillaume Faury, président exécutif d’Airbus, avait jugé ce refus « dommageable pour la réputation de l’Allemagne ». Le directeur général d’Airbus Defence and Space, Michael Schoellhorn, revient à la charge, vendredi 24 novembre, dans Les Echos. Tout en rappelant que cette position est « inscrit[e] dans le traité de coalition » de 2021, il juge que cela « jette des doutes sur la fiabilité de l’Allemagne comme partenaire, pas seulement en Angleterre, mais aussi en France, en Espagne et dans d’autres pays ». Il rappelle qu’il était prévu, lors de la signature du programme, que « chacun devait laisser à l’autre la liberté d’exporter ». M. Schoellhorn souligne qu’« une discussion de fond s’impose donc à Berlin sur les règles qui découlent de la participation à un grand programme européen ». Car ce qui menace aujourd’hui l’Eurofighter Typhoon peut arriver au système de combat aérien du futur (avion, drones, cloud de combat…). Développé par Dassault Aviation, Airbus Defence and Space et l’espagnol Indra, ce dernier doit progressivement remplacer le Rafale et le Typhoon après 2040. Pour éviter tout blocage, la doctrine de l’exportation devra être fixée en amont par les pays partenaires. Londres redoute d’être doublé par Paris Le gouvernement britannique et BAE Systems font pression, en faisant miroiter à Riyad que l’assemblage des Typhoon saoudiens pourrait être transféré d’Allemagne vers le Royaume-Uni, selon le Financial Times. En cas de blocage, l’accord sur l’Eurofighter prévoit bien que la production puisse se faire ailleurs, rappelle M. Schoellhorn, qui juge cependant l’option « peu réaliste ». Londres redoute d’être doublé par Paris. Riyad a en effet demandé à Dassault Aviation de lui remettre, avant le 10 novembre, une offre chiffrée pour 54 Rafale. Certains analystes y voient un leurre des Saoudiens pour forcer la main au gouvernement allemand. Pour le patron d’Airbus Defence and Space, cette entrée dans la compétition est « valide », et « tout est ouvert ». L’aéronef français multirôle s’est déjà vendu à quelque 170 exemplaires à trois pays du Moyen-Orient et a d’autres commandes en perspective : l’Egypte, son premier acheteur en 2015, et les Emirats arabes unis – deux alliés de l’Arabie saoudite –, et le Qatar. Le rayon d’action du Rafale, ses capacités d’emport et ses performances en attaque répondent aux besoins définis par l’armée de l’air saoudienne. Une nouvelle doctrine française d’exportation se précise Dassault Aviation peut assurer son client que son usine de Mérignac (Gironde) et sa chaîne de sous-traitants sont suffisamment solides pour exécuter la commande, un argument de vente et une exigence de plus en plus forte des acheteurs. De plus, une nouvelle doctrine française d’exportation se précise. Elle vise à davantage associer les pays acheteurs aux évolutions des matériels et s’applique bien au « club Rafale » (Egypte, Emirats arabes unis, Qatar, Inde…) et au développement du dernier standard F5, qui combine avions et drones. Il peut séduire le deuxième importateur mondial d’avions de chasse (derrière l’Inde), qui souhaite développer une industrie d’armement. Les Américains, premiers fournisseurs de Riyad, ne sont pas pour autant hors course, selon M. Schoellhorn, même s’ils ont jusqu’ici refusé de lui vendre les deux fleurons de Lockheed Martin : le F-22 Raptor, qui assure la supériorité stratégique de l’US Air Force et n’est pas exportable ; et surtout le F-35, réservé aux alliés de l’OTAN, au Japon, à la Corée du Sud et à l’Australie. Il reste à savoir si la Maison Blanche et le Congrès sont disposés à lever certaines restrictions. La question des divergences de doctrine d’exportation se pose aussi pour la Turquie. Elle veut acheter quarante Eurofighter Typhoon, à la place de quarante F-16 américains, le Congrès ayant bloqué cette opération. Ce virage européen d’Ankara serait historique, son armée de l’air dépendant des géants de l’industrie aéronautique américaine. Londres et Madrid poussent cette vente. Berlin s’y oppose, en raison des déclarations violemment anti-israéliennes du président turc, Recep Tayyip Erdogan.
  13. Ils ont tout de même eu quelques Morane 406 à une certaine époque. Il est vrai que ça commence à dater...
  14. https://lavoiedelepee.blogspot.com/2023/10/prodromes-dacier.html Le regard de Michel Goya sur l'intervention terrestre à Gaza ; même s'il est en "pause", il n'est pas inutile de surveiller son blog! Considérations intéressantes sur les étonnantes lacunes de l'armée israélienne en terme d'expérience: "cette armée de très jeunes a de l'énergie, mais pas de mémoire".
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