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pascal

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Tout ce qui a été posté par pascal

  1. pascal

    VBCI

    réponse de M. Chassillan chez JMD cet aprème le 30 VCI est un tank "de papier" qui n'a jamais vu le jour
  2. @Dipper Je te recommande si tu peux le trouver le livre de Marc Théleri Initiation à la Force de Frappe Française 1945-2010 chez Stock Je tire mes infos de là. Ce bouquin est une mine de renseignements. Théleri écrivait bcp d'articles très pointus dans Air Fan dans les années 90 ... ;)
  3. pascal

    Eurofighter

    @Tmor Je suis étonné quand je lis qu'un pylone humide ne fait que çà... Certes quand il y a un réservoir au bout il ne porte pas d'armements mais bon, la fois d'après on peut y mettre autre chose... Cà me rappelle qq chose. En 91 dans le Golfe au début les Jag largaient les bidon comme tout le monde. Et puis un jour, la domination alliée étant ce qu'elle était (et vu qu'il n'y a pas de petites économies) qq a dit "ben après tout on pourrait rentrer avec" et c'est ainsi que les Jag sont rentrés avec leur ventral vide...
  4. Nous ne sommes plus en 40 ... d'ici à ce qu'on se fasse envahir... Aller tient on va faire un quizz PAR QUI? on se croirait au Sénat américain du temps du Mac Carthysme, n'y aurait il pas quelque part quelque chose qui s'appelle la dissuasion ?, n'oublions pas la notion de sanctuaire. Pour l'autre volet, en économie de marché une entreprise est tout sauf insignifiante ... C'est même essentiel et au cas où ce serait oublié c'est même aujourd'hui pour leur intérêts que souvent on fait la guerre, demandez à Dick Cheney l'ancien patron d'Halliburton ce qu'il en pense. L'entreprise, les russes depuis 89/91 sont biens placés pour savoir que c'est au final plus important qu'une centaine de divisions de blindés construits selon les normes du plan... entre 41 et 45 l'économie de guerre la plus performante était la plus capitaliste qu'on le veuille ou non. Pour faire la guerre il faut du bon matos, pour avoir du bon matos et la qualité il faut y mettre le prix l'homme est ainsi fait, si vous payez vos ouvriers spécialisés à coup de pompe, effectivement il y a de grands risques de perdre la guerre...
  5. @philippe DNG DCL même chose en fait non? le DNG (Dépaneur Nouvelle Génération) est un engin modulaire "déshabillable" qui peut au choix être équipé sur sa plage arrière d'un kit dépannage d'un kit de Déminage pour Dépanneur d'un kit génie d'un kit disperseur de mines Minotaur ces modules sont clipsé par 4 "twist locks" et manipulés par la grue dérivée du Bergpanzer 3 la grue du DNG (DCL pour Dépanneur Char Leclerc dans l' Armée Française) peut recevoir un godet et la lame dozer devant peut être remplacée par une charrue Par contre je ne connaissais pas ce Mars on en a bcp ou c'est un prototype? A noter que le DCL/DNG plus long d'un galet est aussi prévu en version "combat et assault génie"
  6. Faut pas oublier une chose c'est que depuis la première alerte nuc des Mirages IV jusqu'à la "doctrine Chirac" qui voulait qu'on puisse attaquer nucléairement parlant un adversaire non nucléaire (je schématise) notre doctrine était celle "du faible au fort" en clair la FOST et les FAS avaient un seul objectif l'URSS La FOST avait pour objectif essentiel Moscou Les FAS attaquaient par La Baltique le golfe de Finlande et bombardaient Leningrad et la Biélorussie, les avions se vautraient ensuite en Suède La mer de Norvège avec comme objectif Mourmansk La Mer Noire vers l'Ukraine les avions se posaient ou se vautraient en Turquie En aucun cas il n'étaient destinés à rentrer en France pourquoi? Ben parce que dans la stratégie du faible au fort la France aurait été vitrifiée ou en passe de l'être. En effet notre dissuasion était fondée sur le fait que nos armes nucléaires auraient du empêcher un adversaire (les russes de s'en prendre à nous). C0 voulait dire que si les Mirages avaient eu à décoller la France n'en avait plus que pour environ 20/25 minutes. La dissuasion du faible au fort c'est en fait tuer l'autre car il est en train de nous tuer. Pas réjouissant. D'autant plus que la fin de la guerre froide a révélé les plans des soviets en cas d'invasion de l'Europe. L'objectif était la nucléarisation préventive des arrières des forces de première ligne. Une espèce de doctrine Air Land Battle sur les "follow on forces" mais version nucléaire. Sur la liste des objectifs principaux les grands ports français... donc çà signifiait pour nous le déclanchement du feu nucléaire stratégique... L'axe principal d'attaque terrestre était entre la 7 ème armée US et la première armée française. Vous ne pensez pas qu'aujourd'hui on a pas répertorié les zozos capable de nous envoyer des missiles de croisières qui je vous le rappelle ont des portées qui se situent aux alentours de 1000/2000 kms? Ou bien des MSBS ? je suis d'accord avec Akhilleus On le sait Le pb et là on en revient à la doctrine Chirac du début c'est si par exemple un corps expéditionnaire français est visé par un missile moyenne portée avec une bombe "sale" au moyen orient. L'arme nuc est utilisée sur nos forces mais le sanctuaire national n'est pas menacé... Ouate areuh oui douhingue ine disse case congue?
  7. @Dipperm0 Le SNLE est en immersion profonde lorsqu'il reçoit le message à très basse fréquence de l'émission imminente d'un message opérationnel. Les messages VLF pour very low frequency proviennent des station de Saint Martin de Crau, Rosnay ou Kerlouan qui utilisent des câbles enterrés de plusieurs kilomètres. Durant la guerre froide il y avait l'alternative des Astarté On utilise aussi maintenant Syracuse C'est à ce moment là seulement qu'il remonte sous la surface pour recevoir en immersion périscopique via Syracuse ou sans monter en immersion périscopique grâce à son antenne filaire le message codé et concentré envoyé en emission permanente pour éviter les coupures. Ce message émane du président ou d'un délégataire désigné par lui soit du PC Jupiter sous les jardins de l'Elysée soit de l'ordinateur portable (la malette) entre les mains de son aide de camp lors des déplacements. Les délégataires sont des personnes désignées à son entrée en fonction par le pdt et qui en cas d'empêchement de celui-ci disposent avec l'assistance du Sécrétaire Général de la Défense Nationale des systèmes de relève des moyens d'assurer la mission. Les codes de guidage attribués à chaque tête nucléaire sont placés sur disque dur et envoyés au centre de Valduc au nord de Dijon où il sont installés sur les charges...
  8. @Tmor on dirait qu'il manque seulement l'antenne à balayage électronique située dans le radome qui est démonté. Cette antenne passive aurait du être présentée au ministre car c'est avec la voie IR de l'OSF ce qu'il y a de moins bon sur cet avion par ailleurs absolument remarquable ;)
  9. Celà ressemble aux déploiement de l'OTAN dans les pays baltes. Il y a là bas une permanence ops d'intercepteurs pour garantir l'espace aérien des républiques baltes notamment à l'égard des russes. Les installations de Keflavik sont largement dimensionnées pour les Mirages elles accueillaient en leur temps les F4 puis les F 15 du 57ème Fighter Interceptors Squadron de l'Air Force
  10. il se passe au large de la Guyanne ce qui se passe dans la forêt amazonienne. Les brésiliens tuent leur éco système et débordent chez les voisins. Il faut cintrer les contrevenants point barre et rendre un tel braconnage trop dangereux pour qu'il soit tenté. Là bas c'est le règne de la violence et les pêcheurs brésiliens n'ont rien à perdre...
  11. pascal

    VBCI

    @jeanmi j'avais réagit cher JDM en répondant à "Georges" que çà risquait de coûter cher de transformer un 30 en super VCI M. Chassillan apporte une précision intéressante on ne déplace pas le GMP vers l'avant ainsi on rend la chose (transfo) possible Je n'ai jamais vu de photos de la bête... était-ce un exercice de style ou qq chose destiné à un réel avenir?
  12. pascal

    Le F-35

    Quand on se souvient des désillusions des belges, noeuds landais, danois et autres norvégiens avec les premiers Vipers livrés à l'occasion du marché du siècle en79/80: -F 16 incapables jusqu'au MLU de tirer des mlissiles à guidage radar -pas de CME sans parler de leuures... -compensations industrielles réduites C'est à se demander aujourd'hui quel est le degré d'inféodation de ces pays aux américains réponse au delà de ce qu'on peut imaginer
  13. pascal

    OV-10 Bronco

    @jeff les premiers à faire çà furent les soviets çà s'appellait "taran" je crois dès 1941 la première victoire aérienne répertoriée en 14 était un abordage par un aéroplane russe sur un allemand ou un autrichien
  14. Si çà vous dit je peux essayer de constituer un recueil d'infos sur le 2000 "l'avion de ma génération" Ce sera du texte car j'ai bcp de doc papier d'époque çà serait une synthèse de tout ce que j'ai si çà rentre dans le présent sujet
  15. pascal

    Des Rafale pour la Hollande

    @P4 bien d'accord avec toi sur la première partie quant à la seconde j'ignore si un débat public peut commencer à faire bouger les choses
  16. C'est une très bonne nouvelle. Superbe champ d'action contre une belle opposition potentielle. On est dans le coeur de métier du -5 et des RDI de Cambrai C'est mieux que d'aller survoler BAGDAD
  17. pascal

    Le F-35

    Qu'on l'aime ou pas (personnellement j'ai rien contre mais de là à voir la moitié de l'Europe en acheter c'est autre chose...) le F35 est un programme Capital pour les américains... Ils mettront tout ce qu'ils ont en matière d'ingénièrie et de capacités de développement pour en faire un avion valable (à défaut d'être extraordinaire). Et le pire c'est que beaucoup de monde va l'acheter même s'il n'est pas extraordinaire. Il y a malheureusement des exemples passés: les allemands qui achetèrent entre 7 et 800 F104 pour faire de la pénétration tout temps ...
  18. pascal

    OV-10 Bronco

    le pb ce sont les pilotes, regarde ce que représente une opération de récupération (KOSOVO) le pire étant les missions Sandy au Vietnam où les américains perdaient des hommes et des avions pour aller en chercher d'autres mission resco en ex yougoslavie ou au Vietnam: deux hélicos avions CAS couverture de chasse brouillage ravitailleurs en Afghanistan c'est pire bien peu d'hélicos peuvent aller chercher du monde en altitude et sur de longues distances (Chiook Caracal...) vaste débat
  19. pascal

    OV-10 Bronco

    @g4lly il me semblait qu'il en était tombé plus que çà... Mais les soviets pratiquaient souvent le carpet bombing à altitude moyenne ou haute et la notion de dommages collatéraux leur était aussi étrangère que la virginité à Madonna La question essentielle dans ce débat est de savoir quelle est la survivabilité des avions d'appui rapproché lors des opérations de soutien des troupes au sol. Quelles sont les qualités principales que doit avoir l'avion pour: -remplir sa mission avec succès -constituer la cible la plus difficile possible à abattre -rentrer de sa mission en étant éventuellment capable de supporter des dommages de combat -protèger efficacement son ou ses pilotes -être rustique ne pas nécessiter un soutien logistique trop important -agir de nuit comme de jour... Il faut aussi tenir compte du contexte -zone urbaines -plaines sans relief masquant ou montagnes -altitude, chaleur... -type d'objectif visé -armement de l'opposition En fonction de tout çà il n'y a pas un portrait robot d'avion ou d'aéronef mais plusieurs Pour lutter contre les traficants de coke et shooter les DC 3 ou les cessna de transport il est certain que le A10 est suremployé quoique un SU 25 péruvien ait fait ce genre de carton Pour agir en zone plate sans trop de relief la vitesse et la précision sont essentielles surtout face à une grosse défense sol air contre laquelle une seconde passe signifie le shoot En zone montagneuse soit il faut avoir une chaîne de détection, guidage et frappe considérable (drones, tir sur coordonnées ou laser, ravitailleurs... ce que fait aujourd'hui l'ISAF en Afghanistan) ou alors il faut être agile et furtif pour jouer avec le terrain et se dévoiler au dernier moment, là ce n'est pas la vitesse de l'engin qui prime c'est les moyens d'identifier et de détecter la cible le plus vite possible ET AUSSI la faculté d'encaisser car moins on va vite et plus on est proche des méchants plus difficile c'est... Il y ade la place pour un certain nombre d'engins... Après c'est une question de prix à payer dans tous les sens du terme.
  20. @g4lly Communication entre membres d'équipages Je pense que c'est une question de temps. Les pilotes ont été habitués au travail côte à côte sur les Gazelles. C'est vrai que sur le Tigre l'environnement est vraiment différent. L'avionique est aussi complexe que celle d'un chasseur, le cockpit ressemble à celui d'un chasseur, bref il faut se réhabituer. Cà se fera petit à petit. De toute façon le saut technologique est tel que tout est à apprendre sur cet hélico. C'est comme si l'armée de l'air était passée du Jaguar au Rafale sans passer par la case 2000
  21. Un peu de sérénité dans ce monde brutal article pompé sur le site des ECHOS où il n'est (pas encore...) question du Maroc mais déjà de la Pologne et de la France La productivité, clef de la survie de la DCNS [ 23/11/07 Les Echos ] Pour éviter de sous-traiter une partie de la production des frégates Fremm, la direction des chantiers navals veut revoir l'organisation du travail. La fabrication d'une frégate (en photo la frégate Horizon « Chevalier-Paul »), pourtant bien plus modeste qu'un sous-marin ou qu'un porte-avions, prend au minimum trois ans. Changement de statut, de nom, nouvel actionnaire, le groupe de construction navale de la DCNS est en plein bouleversement depuis 2003. Moins spectaculaire, mais tout aussi important, le changement d'organisation du travail est lui aussi au programme : modernisation du management, meilleure allocation des ressources, souci de la productivité. L'heure est définitivement à la maîtrise des dépenses. Avec une ligne de conduite constante : « Pour pouvoir conduire des changements rapides, il faut aller lentement. » Un credo qu'ont fait depuis longtemps leur les salariés de la DCNS. Car, chez le constructeur naval, les cycles de travail sont longs : la fabrication d'une frégate, pourtant bien plus modeste qu'un sous-marin ou qu'un porte-avions, prend au minimum trois ans. Un temps de réalisation qui laisse la part belle aux gestionnaires. « Début 2007, nous avons fait une comparaison de nos prix avec ceux des sous-traitants français et européens. L'écart était significatif, notamment sur la construction des parties avant du bateau et du fait des coûts de main-d'oeuvre essentiellement. Nous avons joué la transparence avec les syndicats en leur montrant les écarts », raconte Bernard Planchais, directeur général délégué du groupe. Les écarts s'échelonnaient de 25 %, par rapport au mieux-disant français (dont une partie fabriquée hors de l'Hexagone), à 40 % avec des entreprises étrangères, notamment pour la partie avant de la frégate, moins militarisée et donc moins stratégique. Pour éviter de sous-traiter cette partie de la construction et devant la grogne sociale provoquée par cette éventualité, direction et syndicats ont dû plancher conjointement pour trouver des solutions. « Nous avons pris comme référence les coûts les plus bas des sous-traitants français, car sur les prix polonais par exemple, il n'était de toute façon pas possible de s'aligner, et nous avons cherché quels étaient les gains de productivité qui pouvaient être faits, notamment dans l'organisation du travail », continue Bernard Planchais. La charge de travail a été répartie sur trois sites : Cherbourg et Brest pour la partie avant, Lorient pour le reste, soit 740 personnes mobilisées au total lorsque le chantier tournera à plein rendement (600 à Lorient, 100 à Brest, 40 à Cherbourg). Travail par poste Au nombre des mesures d'importance : mieux organiser le séquencement des phases de travail entre les différents métiers. « Nous avons instauré le travail par poste : la journée, priorité aux coquiers, le soir ce sont les peintres, et la vérification de la soudure se fait la nuit », explique Georges Thierry, directeur du site de Lorient (2.000 collaborateurs) où une dizaine de personnes travaillent de nuit. Une organisation qui suppose de gérer au plus juste l'intervention de chaque corps de métier. « Le secret de l'efficacité dans nos métiers est d'éviter la coactivité, car certains ouvriers ne peuvent pas cohabiter sur un même chantier. Et ceci est encore plus vrai lors du travail à bord dans un espace plus confiné. Cela permet aussi d'éviter les accidents du travail », ajoute Jean-Luc Gueguen, ingénieur responsable de la production des frégates Fremm. Cette organisation présente aussi l'avantage d'éviter les temps morts entre deux activités, car comme le rappelle Bernard Planchais, « dans une activité industrielle comme la nôtre, il y a énormément de temps non productif entre les différentes phases car nous fabriquons souvent des prototypes, et non des modèles en série. Sur ce point, nos marges de progrès sont encore fortes. » Pas sûr cependant que tous les salariés puissent tenir un tel rythme, selon Bruno Simon, secrétaire CFDT du comité central d'entreprise à Brest : « Les dernières enquêtes sociales montrent que le moral des équipes n'est pas bon et que les salariés s'inquiètent pour leur avenir. Ils se demandent s'ils vont vraiment arriver à sauver leur activité. A chaque nouveau chantier, il faut réduire les coûts. A force, ça devient usant. » Toujours dans un souci d'efficacité, la direction souhaite développer la polyvalence des ouvriers : « Nos métiers sont très spécialisés, du coup, le travail est parfois haché. Pour gagner en autonomie, nous allons proposer des formations pour que les opérateurs puissent acquérir des compétences complémentaires par rapport à leur coeur de métier », explique Jean-François Gouez, DRH du site de Brest. Un coquier devra ainsi être capable de faire de la manutention pour continuer à travailler sans attendre l'intervention de son collègue. Autre levier de bon sens : rapprocher les vestiaires du chantier pour éviter les déplacements trop longs des ouvriers et regrouper les bâtiments. Sur le site de Brest notamment (3.200 salariés), certains bâtiments pouvaient être distants de 9 kilomètres les uns des autres. « Déplacer les sites pour se rapprocher, c'est bien, mais il ne faudrait pas que certaines activités, notamment pour les coquiers, passent à la trappe par la même occasion pour faire davantage d'économies », alerte Patrick Lechene, délégué syndical central CFDT. Managers de proximité Autant de changements qui ont rendu nécessaire l'instauration d'un nouveau management d'équipe. La formation des managers de proximité a, par exemple, été renforcée « pour leur redonner un véritable rôle de coordination. Un point quotidien est fait entre le chef d'équipe et ses ouvriers. Des tableaux de suivi permettent de suivre très précisément l'évolution des plannings et d'anticiper les risques de dérapage dans les délais », explique Jean-Philippe Leleux, chef du projet Fremm. Pour éviter que certains problèmes ne paralysent trop longtemps le chantier, des coordinateurs sont chargés du suivi et du règlement des « points bloquants ». Un système initié sur le chantier des frégates Horizon et qui sera dupliqué sur les Fremm, dont la construction a débuté en février et dont la France a déjà commandé 8 modèles : « On ne s'occupe pas de régler tous les problèmes, mais seulement ceux que les ouvriers ont du mal à régler directement entre eux et où il faut un arbitrage. Nous avons même un groupe d'intervention rapide constitué d'une équipe du bureau d'études qui vient directement sur le chantier pour trouver une solution », explique Loïs Charpentier, coordinateur pour la construction des deux frégates Horizon. Des tableaux « d'animation » ont aussi été introduits pour permettre aux ouvriers de faire remonter certaines informations : idées d'amélioration de certains « process », aménagement des postes ou diverses réclamations relatives aux conditions de travail. Enfin, des gains de productivité sont aussi attendus. Sur le terrain de l'emploi : les recrutements externes et les mobilités vers les fonctions support sont stoppés même si la direction dément tout plan social. Mais aussi grâce au recours à un logiciel de réalité virtuelle, une technologie de pointe utilisée pour la première fois par la DCNS. « Grâce à cette technologie de simulation, les clients pourront non seulement visualiser l'intérieur du bateau, mais évoluer dans l'espace et tester les aménagements. Cela nous permettra de corriger les erreurs de mauvaise disposition de certains matériels dans le bateau sans passer par le stade des maquettes en bois construites à l'échelle qu'il fallait reconstruire et rectifier à chaque fois », indique Yves Le Thérisien, responsable des systèmes d'information du site de Lorient. Si la fabrication des trois premières frégates est assurée pour les équipes de la DCNS, un point est prévu au deuxième semestre 2009 pour valider que la construction suit bien les exigences de coût et de délai fixées par la direction. La bataille de la compétitivité ne fait que commencer.
  22. pascal

    OV-10 Bronco

    @anthoemt oui et non Face à de l'opposition bien armée on va lui demander de faire beaucoup de choses (a part tout ce qui tourne autour de la soute de l'OV 10) notamment la nuit et là çà va changer pas mal de données de combat. De toute façon le Bronco est sous cocon et les cellules ont bien donné (il en reste combien au fait qui ont du potentiel qq le sait?) alors que le Warthog est en ligne à raison de 346 à passer au standard C. Le Charlie sera capable du Litening II et du Sniper XR entre autres et 242 jeux de voilure neufs ont été commandés chez Boeing. Le seul soucis ce sont les réacteurs pour l'instant les sous ne sont pas là pour les changer. Ce qui fait son attrait c'est sa solidité et la faculté à encaisser, le Su 25 est beaucoup tombé en Afghanistan même s'il était craint. Quant à ce qui est de faire tourner les avions au diesel (qui est quasi la même chose que lee kérozène ou le Fuel domestique) la logistique américaine y verrait un crime de lèse majesté. Quant au Frogfoot laissont le où il est, une copie reste une copie et puis là aussi: assez peu disponible et aucune compatibilité avec l'organisation US; en revanche les contractors pourraient loucher de son côté plutôt que de demander du Tucano ;)
  23. pascal

    Des Rafale pour la Hollande

    Le déploiement du Rafale sera un succès. L'avion semble déverminé et le tir en salve de l'aasm est validé depuis qq mois Les pilotes qui vont partir seront les plus expérimentés. Pour ce qui est des Hollandais je pense que tout sera politique au delà du seul défi technique que représente le F35, les américains mettront tout dans la balance...
  24. Pour un chinois (et çà n'est pes péjoratif) l'important c'est de faire des ronds alors mafieux ou trader tout est bon. Je me permet de dire çà car je connais un petit peu le SE asiatique... C'est une question de culture. Je vous laisse imaginer la frustration sous un régime communiste...
  25. pascal

    Des Rafale pour la Hollande

    Entre Jessica Alba et un tour en Rafale ... P4 il nous faut une réponse
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