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Armée Allemande


alexandreVBCI
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On se retrouvera si ce n'est pas déjà le cas à faire le sale boulot pour eux!!!

point de vue militaire, on fait déjà le sale boulot de l'Europe... qui nous reproche ensuite notre déficit. parce que franchement, vu les capacités actuelles de certains de nos alliés, on se dit qu'il vaut mieux être seul.

>:( >:(

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Je préfère bosser pour les allemands plutôt que pour les anglais  :lol: :happy:

je me demande se qui se dit et se trame entre allemands et US au sujet de l'Europe (genre on gère l'Europe ,vous inquiété pas messieurs les US ) ...

on est baisé car on est devenu comme ses deux pays ,et sa s'est comme sa (mon avis ne changera rien )...

eux l'assument +ou -mais nous on ne l'assume pas alors que tout le monde sait qu'on est des vassaux des US ...

pour les anglais ,faut croire qu'il y a eu refroidissement avec les US (voir comment obama les a fait chier avec BP ) et qu'ils cherchent à gardé une petite autonomie dans leurs business (se sont peut-être fait baisé en Irak en récupérant pas de bonne part de marché ) ,donc ils tentent de se s'arrangé avec les Français pour assuré des miettes en intérêt dans l'international je dirais ,comme nous d'ailleurs mais on reste quand même sous contrôle des US d'une certaine manière .

en gros ils en avaient un peu marre de se faire traiter de suiveur et de vassaux  par pas mal de monde les anglais ,et en se moment ils sont en train d'avoir leur petite crise par rapport aux US qui ont sûrement du les baisé en Irak .

d'ailleurs ils ont pas apprécié tout court de servir de bouche trou en Afghanistan et de faire donné la leçon comme quoi ils arrivaient pas à géré dans le helmand ,et se sont dit qu'au final les français avaient était moins con au final pour l'Irak et aussi pour l'Afghanistan (on s'est fait quand même désiré pour rentré dans le vif du "sujet" en Afgha ) .

les allemands ont étaient plus malin avec l'Afghanistan ,ils sont hyper pote avec les US mais se sont jamais mit trop en avant dans leurs discours ou actions militaire (je ne parle pas des opérations sur le terrain mais de leur place dans le système ) ...

les anglais sont pas pro- européens ,au moins on ne se fait pas de film car on le sait ,mais les allemands crie très fort qu'ils sont européens alors qu'ils ont de très bonne relation avec les US ...

pour eux l'Europe s'était se redoré le blason après la ww2 ,et les US ont toujours était là depuis ...

donc je me méfie aussi des allemands qui roule pour les US  ...

en fin de compte l'Europe s'est qu'une vaste blague  :P

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Le peu d’Europe qu'on a, on le doit au couple franco-allemand.

Il n'y aura pas d’Europe sans ces 2 là..

Peut être y a t-il des fois des frictions entre anglais et US, mais la politique UK est profondément ancrée outre-atlantique ils sont pieds et mains liées, il n'y a rien à attendre des UK pour faire avancer le train européen, ils ont 30 ans de retard, mentalités, institutions, économie.

Ils ont voulu ménager la chèvre et le chou, avoir le beurre européen, l'argent du beurre..etc, ce sont des maîtres diplomates, mais il faut qu'ils payent leurs choix opportunistes. O0

Je pense que les allemands sont disposés à la chose européenne autant que nous, ils n'ont aucune confiance dans les US. Qui fait confiance aux US aujourd'hui? Il ne reste plus grand chose des liens "fraternels" que la guerre froide entretenait

Le problème des allemands il est plutôt autour des questions de politique étrangère, ils n’arrivent pas à se projeter comme un acteur, grosse différence avec nous qui sommes particulièrement décomplexés  :oops:, et même trop au regard de nos capacités réelles de peser sur le cours des choses.

Sinon oui, l'europe telle qu'elle est aujourd'hui est une construction fragile, ca ne veut pas dire qu'il faut tout jeter à la poubelle  ;)

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Le peu d’Europe qu'on a, on le doit au couple franco-allemand.

Il n'y aura pas d’Europe sans ces 2 là..

Bizarrement je ne suis pas sûr de cela.

Les anglais sont plutôt réalistes et souverainistes, si on suivait la vision anglaise pour l’Europe les frontières seraient sans doute moins ouvertes, tout comme notre marché intérieure, la finance plus développé et les fonds européens iraient sans doute plus à l'éducation (au sens large) et la recherche, plutôt que la PAC et autres aides au développement des acteurs territoriaux.

Alors qu'avec les allemands qui ont ouvert un max nos marchés et fait en sorte de mettre les pays européens en concurrence pour sublimer et servir leur politique industrielle (vendre des grosses caisses à tout les pays d’Europe sans taxes et délocaliser sans probléme une partie de la production pour seulement faire le montage chez eux), je ne suis pas sûr que l’Europe "allemande" d'aujourd'hui soit la meilleur possible et bizarrement je fait plus confiance aux anglais pour ce qui est de créer des unions sans passer par l'oblitération de ces voisins...  O0

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Le peu d’Europe qu'on a, on le doit au couple franco-allemand.

Il n'y aura pas d’Europe sans ces 2 là..

Peut être y a t-il des fois des frictions entre anglais et US, mais la politique UK est profondément ancrée outre-atlantique ils sont pieds et mains liées, il n'y a rien à attendre des UK pour faire avancer le train européen, ils ont 30 ans de retard, mentalités, institutions, économie.

Ils ont voulu ménager la chèvre et le chou, avoir le beurre européen, l'argent du beurre..etc, ce sont des maîtres diplomates, mais il faut qu'ils payent leurs choix opportunistes. O0

Je pense que les allemands sont disposés à la chose européenne autant que nous, ils n'ont aucune confiance dans les US. Qui fait confiance aux US aujourd'hui? Il ne reste plus grand chose des liens "fraternels" que la guerre froide entretenait

Le problème des allemands il est plutôt autour des questions de politique étrangère, ils n’arrivent pas à se projeter comme un acteur, grosse différence avec nous qui sommes particulièrement décomplexés  :oops:, et même trop au regard de nos capacités réelles de peser sur le cours des choses.

Sinon oui, l'europe telle qu'elle est aujourd'hui est une construction fragile, ca ne veut pas dire qu'il faut tout jeter à la poubelle  ;)

avec les anglais on a pas de surprise ,on sait à quoi sans tenir je dirais et on est pas obligé de tout partagé pour s'arranger à l'occase quand une opportunité arrive .

faut-être honnête ,l'Europe je me pose des questions car chacun regardera toujours l'intérêt national plutôt que la cohésion européenne ,et sa on ne peu le nier .

moi le truc s'est qu'on a arrêté de se fritté avec les Brits et depuis la Crimée on bosse ensemble s'en forcémment se roulé des pelles (s'est une image osé mais sa correspond à sa je dirais  :lol:)  ,donc au moins on a pas de surprise ,et si on est pas d'accord on reste chacun dans son coin et on gère nos affaires comme on en a envie .

avec les Allemands ,j'ai l'impression que ceux-ci prenne du pied sur le moteur commun du départ et nous passe devant ,donc qu'ils s'occupent d'eux en priorité ...pas très cohésion je dirais même si on a des divergeances sur pas mal de points .

pour les Anglais ,quand j'entend leur PM dire qu'il est prêt à accueillir des boites Française ,sa doit la foutre mal en GB car sa s'est aussi une preuve qu'ils sont pas dans une grande forme en terme d'économie ,pour accueillir des boites Frenchies ...

certes s'est pas top pour nous si des boites se cassent tentait par l'offre ,mais là ils z'ont pas l'air de faire les difficiles je dirais .

on part hs je pense là  :lol:

Bizarrement je ne suis pas sûr de cela.

Les anglais sont plutôt réalistes et souverainistes, si on suivait la vision anglaise pour lEurope les frontières seraient sans doute moins ouvertes, tout comme notre marché intérieure, la finance plus développé et les fonds européens iraient sans doute plus à l'éducation (au sens large) et la recherche, plutôt que la PAC et autres aides au développement des acteurs territoriaux.

Alors qu'avec les allemands qui ont ouvert un max nos marchés et fait en sorte de mettre les pays européens en concurrence pour sublimer et servir leur politique industrielle (vendre des grosses caisses à tout les pays dEurope sans taxes et délocaliser sans probléme une partie de la production pour seulement faire le montage chez eux), je ne suis pas sûr que lEurope "allemande" d'aujourd'hui soit la meilleur possible et bizarrement je fait plus confiance aux anglais pour ce qui est de créer des unions sans passer par l'oblitération de ces voisins...  O0

je vois sa comme sa aussi .

on est pas obligé d'être mains dans la mains pour tout je dirais .

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Bizarrement je ne suis pas sûr de cela.

Les anglais sont plutôt réalistes et souverainistes, si on suivait la vision anglaise pour l’Europe les frontières seraient sans doute moins ouvertes, tout comme notre marché intérieure, la finance plus développé et les fonds européens iraient sans doute plus à l'éducation (au sens large) et la recherche, plutôt que la PAC et autres aides au développement des acteurs territoriaux.

Les anglais n'ont pas de vision européenne, ce sont des spécialistes des alliances croisées visant à isoler un tel ou tel, leur seul plan c'est la désunion justement, éviter que d'autres s'unissent et leur fassent de l'ombre. Ce sont des libéraux en termes d'échanges extérieurs je ne pense pas que les frontières seraient moins ouvertes, les leurs peut etre, les notres c'est sur que non :lol:.

Forcément ils se contrefoutent de la PAC, ils ont fait de la finance une industrie, et installer la concurrence fiscale comme une norme.

Nous qui sommes jacobins (et régicides ;)) par nature, je nous vois mal faire quelque chose de "fair" avec eux.

avec les anglais on a pas de surprise ,on sait à quoi sans tenir je dirais et on est pas obligé de tout partagé pour s'arranger à l'occase quand une opportunité arrive .

faut-être honnête ,l'Europe je me pose des questions car chacun regardera toujours l'intérêt national plutôt que la cohésion européenne ,et sa on ne peu le nier .

avec les Allemands ,j'ai l'impression que ceux-ci prenne du pied sur le moteur commun du départ et nous passe devant ,donc qu'ils s'occupent d'eux en priorité ...pas très cohésion je dirais même si on a des divergeances sur pas mal de points .

C'est difficile de jauger nos relations avec les anglais comme plus productives.

Avec les allemands nous faisons l'expérience de quelque chose de plus intégré, avec les anglais on s'est contenté de "partenariats" ponctuels et délimités.

Aprés c'est sur que c'est dérangeant de cohabiter avec quelqu'un qui finalement donne l'impression d'être meilleur surtout sur les questions économiques dans le contexte actuel  ;).

Dans les paroles des français, revient souvent l'expérience EUROCOPTER ou les allemands sont souvent décrits comme des profiteurs celà a semble t-il marqué les esprits mais ce n'est peut être qu'un mauvaise expérience.

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Les anglais n'ont pas de vision européenne, ce sont des spécialistes des alliances croisées visant à isoler un tel ou tel, leur seul plan c'est la désunion justement, éviter que d'autres s'unissent et leur fassent de l'ombre.

...

C'est surtout que l'on ne leur à pas donné leur chance.

Puis le Royaume-Uni a une certaine expérience en union justement, du coup pourquoi serait-il mauvais à ce jeu là ?

Ils auraient sans doute prit un autre chemin avec moins d’intégration mais plus de pragmatisme ou que sais-je encore.

Eux au moins on une vision du monde ou ils peuvent se permettre d'intervenir et essaient de conserver un certain statut.

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C'est surtout que l'on ne leur à pas donné leur chance.

Puis le Royaume-Uni a une certaine expérience en union justement, du coup pourquoi serait-il mauvais à ce jeu là ?

Ils auraient sans doute prit un autre chemin avec moins d’intégration mais plus de pragmatisme ou que sais-je encore.

Eux au moins on une vision du monde ou ils peuvent se permettre d'intervenir et essaient de conserver un certain statut.

Je comprends, ils font envie parce qu'ils ont conservé une certaine spécificité dans le micmac globalisé, c'est vrai.

Mais c'est parce que ils ont lutté comme toute forme d'union, fusion, intégration, qu'ils ont conservé une spécificité bien plus forte que notre pseudo "exception culturelle" mais je ne pense pas que ça en fasse des visionnaires, et surtout pas pour le projet européen.

Ce sont des individualistes brillants!

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C'est vrai qu'il y a une bonne part d'individualisme.

Mais il y a aussi une vision politique derrière, c'est pour cela que l'on peut se dire que s'ils avaient été plus impliquer dans la construction européenne, on aurait sans doute évité quelques inepties.

Puis même s'ils ne sont pas très chaud quand ils s'agit de l’Europe, ils sont toujours présent et reste un pays important de l'UE.

Nous n'aurions peut-être pas du suivre aveuglément les allemands dans cette épopée et un peu plus écouter les anglais au final.

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On n'a pas suivi les allemands... c'est plutôt qui avons été moteurs dans cette union, qui arrange nos affaires en premier lieu. L'UE c'est pour beaucoup l'idée française qu'il vaut mieux avoir les allemands pour amis plutôt qu'ennemis. Après, je ne saurais dire si les allemands l'entendent de la même oreille.

Les anglais ont beau jeu avec leur individualisme et opportunisme d'insulaires, ils auront toujours l'air malins à jouer un coup la petite musique de l'Europe continentale (panachant amitiés avec la France, l'Allemagne, etc) et l'autre celle des cousins américains.

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Je pense que la France y gagne plus en pouvoir que l'Allemagne, relativement parlant

Pas si sûr. La France, tout comme la Grande-Bretagne, a un poids diplomatique et géostratégique que l'Allemagne n'a pas et qu'elle a rarement eu d'ailleurs. Il y a peut-être eu cette ambition sous Wilhelm II., qui avait d'ailleurs compris que pour cela il fallait se tourner vers la mer et donc se constituer une marine puissante. Mais elle accusait déjà le retard sur ses voisins français et britanniques surtout, qui ont d'ailleurs tout fait pour verrouiller leur suprématie. Et puis la Seconde Guerre mondiale a largement condamné tout espoir de voir le pays jouir d'une nouvelle influence diplomatique.

Avec l'Union Européenne, l'Allemagne se voit placée au centre d'un ensemble de 500 millions d'habitants et avec une influence politique forte. Bien plus que si elle avait agi hors union. Mais on est déjà largement dans le hors-sujet.

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Vous sous-estimez les allemands, leur influence à l'est était considérable avant Maastricht, le mark était la monnaie des affaires et on y parlait aussi facilement allemand qu'anglais, ils ont été contraints de diluer cette influence avec l'union.

L'Allemagne a toujours eu un charisme économique que nous n'avons pas.

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Vous sous-estimez les allemands, leur influence à l'est était considérable avant Maastricht, le mark était la monnaie des affaires et on y parlait aussi facilement allemand qu'anglais, ils ont été contraints de diluer cette influence avec l'union. L'Allemagne a toujours eu un charisme économique que nous n'avons pas.

Avant Maastricht, l'influence à l'Est était celle de Moscou ou celle que le Kremlin voulait bien céder aux Allemands de RDA et à Honecker. Et tous ces pays satellites du bloc soviétique n'avaient qu'une importance relative quand on connaît le poids des décisions moscovites. Bref, ce n'était pas ici que se décidait le devenir du monde. Depuis la réunification et la chute du bloc soviétique, les Allemands ont progressivement gagné en importance du côté de la Pologne, de l'Ukraine ou de la République Tchèque. A noter d'ailleurs que ces pays ont justement gagné en intérêt après l'élargissement de l'Union Européenne à l'Est, ce qui dessert donc la position centrale allemande. Avoir une influence sur des pays qui ne comptaient pas, c'était sans réel intérêt.

Enfin, les Allemands ont désormais une relation assez privilégiée avec le Kremlin, ce qui est un gros plus quand on sait le potentiel russe. Et la reconversion de Schröder après ses mandats de chancelier n'est d'ailleurs pas un hasard quand on voit où il a été positionné. Néanmoins, la France, sous Sarkozy notamment, a prouvé qu'elle n'était pas totalement hors-jeu.

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La France n'a gagné dans l’Europe que la PAC, qui nous coute cher politiquement d'ailleurs.

Les allemands eux ont imposé la régionalisation, l'Euro est largement une copie du Mark, l'ouverture des marchés, la mise en concurrence des salariés etc.

Si quelqu'un a tiré quelque chose de l’Europe c'est bien les allemands, bien plus que nous en tout cas.

Bon ok, on a aussi pas mal influé sur le développement culturel et les aides.

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Les allemands eux ont imposé la régionalisation, l'Euro est largement une copie du Mark, l'ouverture des marchés, la mise en concurrence des salariés etc.

Si quelqu'un a tiré quelque chose de l’Europe c'est bien les allemands, bien plus que nous en tout cas.

Je rectifirai : les allemands se sont adaptés à l'ouverture des marchés, la mise en concurrence..etc, pas nous, là est la différence.

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Je rectifirai : les allemands se sont adaptés à l'ouverture des marchés, la mise en concurrence..etc, pas nous, là est la différence.

ben faut voir qu'avec les pays de l'Est ,il y a un paquet de pièces fabriqué chez eux pour le compte des Allemands .

donc pas loin et pas cher ,s'est là l'intérêt .

doivent faire la gueule les ouvriers allemands quand même ...

les anglais fabriquent plus rien donc le PB est réglé pour eux ... et ils risquent pas de se faire piquer leur technologie ,ils en on plus vue que leur économie est virtuelle (bourse tout sa quoi ) ...

nous on est pas parfait et on se retrouve entre les deux systèmes (allemand et anglais  ) ,mais que se passera t'il quand les allemands perdront de l'export car les pays émergeant auront se qu'il faut en terme de technologie fournie par les allemands ?

perso ,la mondialisation s'est pas mon crédo ...

et j'aurais plutôt visé une européanisation avant plutôt qu'une mondialisation ...

et là on est train de vendre la corde qui va nous pendre ...

et les allemands en vendent beaucoup de cordes je dirais ...

je ne suis qu'un petit qui comprend pas tout ,mais moi s'est comme sa que je sent la chose .

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Je suis d'accord.

La mondialisation va péricliter d'elle même, et la position actuelle des allemands est surement éphémère, mais il ne faut pas douter de leur capacité d'adaptabilité non plus.

On reviendra surement vers une européanisation à ce moment là, une vraie, plus intégrée, plus protectrice de ses intérêts, l'avenir dira ce qu'il restera de l'EURO, et peut être que ce rebond européen se fera à quelques pays en tout cas il ne pourra pas se faire sans le noyau dur franco-allemand...

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  • 4 weeks later...

Crise économique, budgets restreints et arbitrages budgétaires touchent aussi la Bundeswehr alors que dans le même temps doit s'opérer la professionnalisation de l'armée.

Recrutement difficile, démantèlement coûteux des casernes… la transition vers une armée de métier passe mal.

À l'en croire, ce ne devait être qu'une formalité. Poussé à la démission pour avoir plagié sa thèse en droit, l'ex-ministre de la Défense, Karl-Theodor zu Guttenberg, prétendait avoir laissé une «maison en bon ordre» sur la voie de la réforme. Était portée à son crédit la manière dont il avait mené de main de maître la future transformation de la Bundeswehr en armée de métier. Entrée en vigueur au 1er juillet 2011, la réforme prévoyait d'en faire une armée «plus légère, plus flexible et plus économe». Sur le papier, les effectifs devaient simplement passer de 220 000 soldats à 170 000 en 2017. Dans les faits, la réforme ressemble davantage à un chantier à problèmes qu'à une «maison en bon ordre».

Le nouveau ministre fédéral de la Défense a été le premier à signaler une première déconvenue: le recrutement. En décembre dernier, Thomas de Maizière révélait au Berliner Zeitung qu'un quart des recrues ne franchissait pas le cap des six mois sous l'uniforme. Soit parce qu'elles avaient trouvé mieux ailleurs, soit parce qu'elles ne satisfaisaient pas aux critères de sélection. Comme l'Allemagne, la Bundeswehr est confrontée à un problème démographique. Cinq mille jeunes volontaires, soit le strict minimum, devraient finir l'année 2012 sous les drapeaux, au lieu des 15 000 soldats espérés. Dans un pays où le chômage des jeunes n'excède pas 8 %, la grande muette doit affronter la rude concurrence du privé, en particulier dans les domaines médicaux ou techniques.

La caserne de Lütjenburg, dans le Schleswig-Holstein, est en train de fermer ses portes. Le contingent passera de mille hommes à une centaine cet été avant la dissolution complète du régiment début 2013. C'est l'une des premières fermetures des 32 bases et casernes promises à la disparition. «Le démantèlement des sites suit bien son cours», commente le ministère, mais les Länder se plaignent des coûts exorbitants de la déconstruction et la remise aux normes des sites: 1,2 milliard d'euros.

Réaffecté au dernier moment

Dans les rangs, la grogne monte car la réorganisation retombe sur les épaules des soldats d'active qui connaissent souvent leur lieu de réaffectation au dernier moment, en pleine période de rentrée scolaire en Allemagne. Certains aussi se plaignent de devoir faire davantage avec moins de moyens. Le chiffre de soldats diminue, mais pas le nombre de missions: la Bundeswehr participe à onze «opérations extérieures», du Liban au Kosovo, en passant par la mission Atalante au large de la corne de l'Afrique. Une autre source de problèmes est en vue, avec le retrait des troupes d'Afghanistan. Depuis avril, les avions de transport Illyouchine et Antonov, qui desservent la base de Masar-i-Sharif cinq fois par semaine, ne rentrent plus à vide à l'aéroport de Leipzig. Mais avec près de 4 800 soldats (le contingent allemand est le troisième plus important déployé sur place, après ceux des États-Unis et du Royaume-Uni). Faute d'effectifs suffisants, même au plus fort d'une évacuation très délicate, le grand pont aérien avec le nord de l'Afghanistan ne pourra pas mobiliser plus de 10 % des hommes.

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L'armée allemande autorisée à utiliser des moyens militaires sur son territoire.

Ils visent à intervenir contre d'éventuelles menaces terroristes, sous strictes conditions. C'est une première depuis la seconde guerre mondiale.

C'est la Cour constitutionnelle allemande qui a rendu cette décision vendredi. Jusqu'à présent, l’intervention armée sur le territoire allemand en cas de menaces terroristes était réservée aux forces de police, afin de séparer clairement les opérations de défense nationale de l’armée et les opérations de sécurité intérieure.

Cette séparation s’explique par la crainte d’un engagement de l’armée contre la population civile, héritée des abus du régime nazi. Selon la décision de la Cour constitutionnelle, basée à Karlsruhe (sud-ouest), l’armée pourra désormais intervenir sur le territoire «en cas de situation exceptionnelle de nature catastrophique», une première depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Cette autorisation exclut cependant «les dangers pouvant émaner d’une foule qui manifeste».

La force armée, seulement en «dernier recours»

L’armée n’est pas non plus autorisée à abattre un avion transportant des civils et qui aurait été détourné par des terroristes. Elle est seulement autorisée à procéder à des tirs d’avertissement pour le contraindre à atterrir.

Le déploiement de la force armée n’est possible qu’en «dernier recours», selon la Loi fondamentale allemande. Il appartiendra au gouvernement dans son ensemble d’estimer les cas d’extrême urgence justifiant une telle opération, cette tâche ne pouvant être déléguée au ministre de la Défense.

Cette décision de la Cour constitutionnelle corrige une décision précédente de 2006 qui excluait au contraire d’une façon générale toute opération de la Bundeswehr contre un danger intérieur.

(AFP)

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