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Guerre civile en Syrie


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il y a une heure, die kraft a dit :

car un canon  lisse en principe est fait pour tirer ce genre de munition...

maintenant ce n'est pas le même budget un obus flèche et un obus conventionnel..

Ça permet aussi de tirer des missiles par le canon.

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il y a 13 minutes, Libanais_75 a dit :

Le ministre russe de la defense invite les Etats-Unis à conduire des frappes conjointes à partir du 25 Mai contre les groupes qui ne se sont pas joint au cessez le feu.

https://www.rt.com/news/343767-russia-us-coalition-syria/

Proposition sérieuse, construite, formelle ?

L'article de RT s'appesantit sur l'embarras putatif de Washington, mais ne détaille pas grand chose tout de même.

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Moscou propose aux USA des frappes communes contre Al-Nosra en Syrie

Citation

Les autorités russes proposent aux Etats-Unis et aux membres de la coalition internationale mise en place contre l'organisation Etat islamique de mener des frappes aériennes contre le Front al Nosra, émanation d'el-Qaëda en Syrie, et d'autres forces qui ne respectent pas le cessez-le-feu.

Le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, a précisé vendredi que ce projet avait été exposé à des responsables militaires américains à Amman.

Moscou, qui se réserve le droit de frapper unilatéralement les groupes ne respectant pas le cessez-le-feu, propose que ces frappes conjointes débutent dès le 25 mai, a ajouté le ministre.

Seraient également visés les convois acheminant des armes vers les combattants, y compris via la frontière turque.

http://www.lorientlejour.com/article/987005/moscou-propose-aux-usa-des-frappes-communes-contre-al-nosra-en-syrie.html

habile

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Il y a 1 heure, judi a dit :

Bah faut le dire tout de suite et de cette manière :smile: Parce que la manière dont tu l'as dit, c'est est-ce qu'il a la capacité de le faire ? Tu aurais dû dire : est-ce qu'ils ont des obus-flèches en stock ? Ou un truc dans le genre. Parce que là, faut faire plus que lire entre les lignes pour comprendre. 

mea culpa :blush: je ne( l'fréplus )chef ..

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il y a 53 minutes, alexWF a dit :

Moscou propose aux USA des frappes communes contre Al-Nosra en Syrie

http://www.lorientlejour.com/article/987005/moscou-propose-aux-usa-des-frappes-communes-contre-al-nosra-en-syrie.html

habile

Les US frappent déjà JAN de manière anonyme, c'est habile dans le sens ou ça les obligerait à faire au grand jour ce qu'ils font (dans une toute petite mesure) à l'ombre et ce sont les turcs qui se font faire un enfant dans le dos.

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il y a 10 minutes, debonneguerre a dit :

Les US frappent déjà JAN de manière anonyme, c'est habile dans le sens ou ça les obligerait à faire au grand jour ce qu'ils font (dans une toute petite mesure) à l'ombre et ce sont les turcs qui se font faire un enfant dans le dos.

enfin les frappes US contre JAN sont quand même assez rare. 

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Les US rejettent l'offre russe de frappes conjointe en Syrie

http://www.lorientlejour.com/article/987025/syrie-le-pentagone-ecarte-des-frappes-communes-avec-la-russie.html

Citation

Le Pentagone a écarté la proposition de frappes communes en Syrie faite par Moscou vendredi, soulignant que les Etats-Unis ne collaboraient pas militairement avec les Russes en Syrie.

"Nous ne collaborons pas et nous ne nous coordonnons pas avec les Russes" sur les opérations militaires en Syrie, a indiqué un porte-parole du Pentagone, le capitaine de vaisseau Jeff Davis.

Le but des opérations militaires russes et américaines n'est pas le même, a expliqué le porte-parole américain.

"Les opérations russes consistent à soutenir et appuyer le régime d'Assad et nous nous concentrons uniquement sur la défaite du groupe Etat islamique", a-t-il dit.

Le ministre russe de la Défense Sergueï Choïgou a indiqué vendredi que la Russie proposait aux Etats-Unis et à la coalition internationale menée par Washington d'effectuer des frappes aériennes ensemble à partir du 25 mai contre des "groupes terroristes" actifs en Syrie.

Il s'agit de viser notamment le Front al-Nosra, branche syrienne d'el-Qaëda et les groupes armés illégaux qui ne soutiennent pas le cessez-le-feu instauré en Syrie, a déclaré le ministre en direct à la télévision publique.

La Russie et les Etats-Unis se sont engagés début mai à "redoubler d'efforts" pour aboutir à un règlement politique du conflit syrien et étendre le cessez-le-feu sur tout le territoire syrien.

Moscou et Washington, qui co-président le groupe de soutien international à la Syrie (GISS, 17 pays), pilotent le dossier et le contrôle du cessez-le-feu, instauré sous leur impulsion le 27 février et globalement respecté.

Les groupes jihadistes comme l'Etat islamique (EI) sont toutefois exclus de la trêve décrétée en Syrie afin de favoriser des pourparlers entre le régime de Damas et les rebelles pour mettre fin à un conflit complexe qui dure depuis cinq ans et a fait plus de 270.000 morts.

Vendredi, le porte-parole américain a précisé que Moscou n'avait pas fait de proposition formelle à Washington sur ces frappes communes.

"Je n'ai vu que les mêmes articles de presse que vous, rien de formel ne nous a été présenté", a-t-il déclaré.

 

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Syrie: 21 civils tués dans des attaques du régime dans le centre.

http://www.lexpress.fr/actualites/1/monde/syrie-16-civils-tues-dans-des-attaques-du-regime-dans-le-centre_1793927.html

 

 

What’s Left of the Syrian Arab Army? - Not much.

https://warisboring.com/whats-left-of-the-syrian-arab-army-eec39485df43#.5tz0j4cfh

 

 

A Hundred Tiny Hezbollahs - In Assad-controlled regions of Syria, the Lebanese group is making friends, influencing militias, and developing a new model of asymmetric warfare.

Révélation

SAYYIDA ZAYNAB, Syria — This southern Damascus suburb is awash with death. Every day brings news of a fresh martyr. No sooner do I exit the taxi than news comes from the mosque loudspeaker of another one: a young man from Fua, hundreds of miles away in the northern province of Idlib, who had been living here before he was killed in the fighting outside Damascus.

The historic mosque that gives the neighborhood its name houses, according to Shiite lore, the grave of the Prophet’s granddaughter, Zaynab. At its entrance, dozens of fighters are standing at attention, holding aloft a coffin. The coffin was initially draped in the Syrian flag, but when it entered the mosque, the flags were changed and replaced by Hezbollah’s distinctive green and yellow.

As the troops passed the mosque holding the coffin aloft in an honor guard parade, all of them turned in formation to face it and gave Hezbollah’s distinctive arm-out, palm-down salute, followed by the parade-ground shout, “We are ready to die for you, Zeinab!” Then they marched off.

Fua, a Shiite village, has been surrounded by Sunni Islamists for years now. The rebels accuse the town’s inhabitants not only of allying themselves with the Syrian government but of harboring Hezbollah. But to many of Fua’s residents, the Lebanese group represents not a dangerous invading force, but a vital source of military training and inspiration in their current plight.

Permission to visit Sayyida Zaynab is now effectively controlled by local officials working with Hezbollah rather than the Syrian regime. My trip came on the say-so of a local official called Sheikh Ayman. I met him and Louay Hussain — a balding, intense man with the demeanor of an enthusiastic press flack – in the sheikh’s first-floor office, over a breakfast of sweetmeats.

The martyred fighter from Fua was in the Syrian Army, according to Hussain, and he was killed in Ghouta — the equally impoverished, largely rebel-held agricultural belt outside Damascus — by the al Qaeda-affiliated Nusra Front. “Nusra,” he complained, “break the truce every day.” He may have been in the army, Hussain went to, but “his loyalty was to Hezbollah, and the Shiites.” Then, correcting himself, he added that a “Shiite’s loyalty is to Syria and their beliefs.”

Sheikh Ayman — squat, hirsute, unsmiling — hails from Zahraa, another embattled Shiite village in Aleppo province. He shares Hussain’s pessimism about the faltering cessation of hostilities, which the United States and Russia have tried to keep in place. It’s impossible to deal with the armed Syrian rebels, he tells me, and impossible to really police a cease-fire. “There are lots of different groups; we can’t talk to them all,” he said.

But who does he represent? “I am not from Hezbollah officially, but I have the faith of Hezbollah,” he said.

The sheikh works mainly in providing services, and in dealing with the families of martyrs. Hezbollah, he says, excels at this work: The Lebanese organization “is very well-organized and is now in every place in Syria, in a legal way. It is organized like a state; it is not just a party. There is an organization for martyrs, one for children, another for families.”

Hezbollah entered Syria’s war in 2012, and its military prowess played a decisive role in turning the tide of the conflict at the time. It look a lead role in recapturing the town of al-Qusayr, along the Lebanese border, in the summer of 2013.

But as the fighting has progressed, it’s clear that Hezbollah’s importance goes beyond the front line. It is playing a crucial mentoring role among paramilitary pro-government forces across the length and breadth of the country.

 

The guerrilla specialists

At least in Sayyida Zaynab, its organizational model is helping to provide services that President Bashar al-Assad’s overstretched state may not be able to. And perhaps most importantly, it is inspiring a new generation of decentralized, autonomous militias forged in its image.

As Syrians retreat to sect, ethnicity, and tribe, Hezbollah’s services as specialists in irregular warfare are in massive demand. This isn’t only true for Syria’s tiny Shiite minority: Many other religious groups have been threatened — but also emboldened — by the crisis. Faced with the rising tide of a vicious Islamism within the insurgency, they are organizing themselves in Hezbollah-like “self-defense forces.” From the Druze in Swaida to the Syriac Christians in rural Homs to the Alawi-led “Syrian resistance” formations in the coastal provinces of Latakia and Tartous, they see themselves as engaged in a life-or-death struggle for their beliefs, and they exist in a fractious, paramilitary relationship to the Syrian state.

Whereas some minorities were previously discriminated against and suspected of disloyalty by the Syrian security state, now the tables have turned and they’re flaunting their status. Faced with the rising tide of an Islamist insurgency, minorities know that they’re no longer the enemy, and that Syria’s security state needs all the friends it can get. “It’s become like a ‘get-out-of-jail-free’ card,” quipped one Druze woman I met in Damascus.

To supporters of Hezbollah’s cause, the organization is helping these locals by providing them with the training and logistical expertise to defend themselves from jihadists hellbent on destroying the state.

“Hezbollah doesn’t only want to defend a mosque for Shiites,” said Sheikh Ayman, “but to defend Sednaya [a Christian city outside Damascus] for Christians, to protect Lebanon via its border with Qalamoun.”

 Hezbollah fighters are also in Aleppo, I point out. “Aleppo is a difficult, dangerous area.” Then there’s the Golan region, bordering Israel, where Hezbollah has been called upon “to fight Nusra, which is being backed by Israel.” Faced with a range of possible enemies along its border with Syria, rumors abound here that Israel is helping some Islamist rebels group by treating their wounded.

Sheikh Ayman and Hussain were happy to admit that Hezbollah had entered Syria in large numbers, and that there had been many martyrs, but both maintained that the party’s role was primarily one of training and advising, rather than fighting on the front lines.

“There are only leaders from Lebanon here,” said Sheikh Ayman. “They help Syrians fight, in ‘self-defense’ and ‘resistance’ groups. Most of the fighters are Syrian.”

They have a point. Just as the Syrian Army too readily paints all of its enemies as “foreign terrorists,” Syria’s rebels too easily conflate Lebanese Hezbollah with local militias who’ve received training and inspiration from the group. A Syrian journalist who was present at the heavy fighting around the city of Palmyra, which was recently liberated from the Islamic State, told me that the Hezbollah presence was limited to a relatively small numbers of advisors — they were vastly outnumbered by Shiite Hazara fighters imported from Afghanistan, whose messianic fervor makes them ideal cannon-fodder.

 

A magnet for hatred

Hussain and I leave Sheikh Ayman’s office to take a walk toward the shrine, where I talked to many Shiites from northern Syria. My companion points out a few fighters from Iraq. But almost everyone was sporting Hezbollah’s distinctive dappled, dark-green uniform rather than the khakis preferred by the Syrian Army.

Even by Damascus standards, the area — thick with half-finished high-rises and burnt-out buildings — reeks of sewage and poverty. It has swollen with refugees as a result of the conflict, its population doubling to 150,000 people over the course of the war. The overwhelming majority are Shiites who’ve fled sectarian strife elsewhere in Syria to find refuge here — the natural home for their tiny minority. For the same reason, the area has become a magnet for the Shiite hatred of the Islamic State. Since the beginning of the year, Sayyida Zaynab  has been rocked by two huge Islamic State suicide attacks, which have killed hundreds and wounded hundreds more.

An ambulance raced past, bearing another wounded fighter, and almost knocked us down. A chorus of schoolboys dressed like Boy Scouts and carrying tiny trumpets busily rehearsed for the funeral of the martyr from Fua. At a central thoroughfare, we pass the site of the Islamic State’s attack in February, which killed around 100 people. While one bomb was aimed at a van full of fighters, the second went off in the middle of the market across the road. At one of the market stalls, a 10-year-old boy sits entirely still, his legs piled like dead wood; the bomb left him entirely paralyzed along one side of his body. Three weeks after I leave, April 25, an Islamic State car bomb attack will kill around 15 people and leave many more wounded.

At the gate to the historic mosque, security is intense. International pilgrims and fighters mill around in green scarves, but the guards aren’t taking any chances; phones are removed, bodies are meticulously searched. The mosque, built in the richly decorative Iranian style and topped by a gold dome, has remained largely unscathed by the conflict. The interior shimmers with crystal glass. “When you feel uncomfortable,” said Hussain, “you come here to pray.”

Young fighters wearing military regalia, some of them from Iraq and farther afield, queue to touch the shrine, or hold their palms out in silent prayer, asking Zaynab to intercede for them. Some are tearful, others prostrate themselves on the ground. Outside, palms outstretched, young men are reading posters of Quranic text and quietly mouthing words of prayer.

 

Locals with pitchforks

In Salamiyah, a small town in the heart of the central Hama province and the ancestral home of the Ismaili Muslim community, the same kind of martyrdom posters crowd the main street, and the talk of “resistance” is indistinguishable from the rhetoric at the shrine near Damascus.

There were demonstrations against the Syrian regime here at the beginning of the uprising in 2011, but nowadays, there’s no such public griping. The town is surrounded by fighters from the Islamic State and Nusra, who see the Ismailis as heretics. Just as in Sayyida Zaynab , the population of Salamiyah has almost doubled since the outbreak of the conflict, as Ismailis flee discrimination elsewhere and return to what seems like a natural fief.

In the town, a minder from the local Hama government introduced me to two old men who were members of a pan-Syrian movement called the Syrian Social Nationalist Party, which — along with the ruling Baath Party and the paramilitary National Defense Forces — are supplying thousands of local volunteers to help the Syrian Army fight the Nusra Front and Islamic State.

Pointing to a tiny ornamental scythe on the wall of a coffee bar, one explained that if things became desperate, they would use even that to fight against the Islamists. “They say we are to be killed,” he said. “We will do anything.” 

While I saw no evidence of Hezbollah involvement, it’s very likely that these “locals with pitchforks” are benefiting from Hezbollah expertise in asymmetrical warfare — or that they will be soon. In Lebanon at least, Hezbollah and the SSNP have been working closely for some time.

This is the sort of conflict that Hezbollah, which rose to prominence fighting an unconventional war against the Israeli army in south Lebanon, was built to fight. When, back at the municipal office in Sayyida Zaynab, I’d asked Sheikh Ayman if Hezbollah were better fighters than the Syrian Army, his answer was diplomatic. “They have more experience of this kind of guerrilla war.”

After the war in Syria is over, Sheikh Ayman maintained, the thousands of local volunteers organized in its image would go back to their jobs and families, and Hezbollah would return to Lebanon. “We have other issues to deal with there,” he said.

When I asked him about whether Hezbollah’s much-discussed role in the Syrian regime’s defense of Quneitra and the Golan might open up a second front against Israel, he smiled and replied, “Anything is possible.”

In the short term, the answer was pure bravado. Hezbollah’s Syrian allies have their work cut out to stay alive, never mind attacking Israel — but it was also worth thinking about the day after.

While Hezbollah’s intervention in Syria has cost it soldiers and international reputation among those who bemoan its decision to throw in with the Syrian regime, the group has made new friends and developed new military concepts. If it emerges from this conflict victorious, it might eventually use its new authority to revive the flagging Syrian Army or whatever takes its place.

On the streets of Sayyida Zaynab, there’s no denying Hezbollah’s popularity. While driving out of the neighborhood, our taxi driver waves to several truckloads of gung-ho fighters zooming past us in the other direction.

“Jaish al-Hur,” he quips: the Free Syrian Army. It’s Syrian gallows humor. The Free Syrian Army is his enemy, and its fighters aren’t anywhere near here.

Like almost everyone else I met in Sayyida Zaynab, he turns out to be from one of the Shiite enclaves in northern Syria. Back there, he’d been carrying a weapon as well as driving taxis In his hometown of Zahraa, he told me, he’d fought the Free Syrian Army, then the Nusra Front and radical Islamists. “But the people of Zahraa were strong, and killed them all.”

Could he imagine trusting local Sunnis from the neighboring villages again? “There is no trust, but no fear.”

Who was he fighting for? “Hezbollah.”

http://foreignpolicy.com/2016/05/15/a-hundred-tiny-hezbollahs-syria-iran-shiite-guerrilla-warfare/

 

 

The YPG going DIY, armour upgrades in Northern Syria

http://spioenkop.blogspot.fr/2016/05/the-ypg-going-diy-armour-upgrades-in.html

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Le 19/5/2016 à 20:36, zack a dit :

Pour ceux qui ont quelques notions d'arabes on se rend vite compte avec les vidéos filmer par ANNAS NEWS dans la banlieue de Damas que les équipages à l’intérieur des chars et BMP sont littéralement téléguidé par les officiers accroché a leur radio. Ont peut les entendre dire Gauche, Droite, Avance, Recule, Feu... C'est la que j'ai compris que les Russes avaient pris deux longueurs d'avance sur tout le monde avec leur game de "VCI" télécommander surtout avec le modèle Uran-9.

La situation tactique est quand même très particulière.

En particulier, l'officier qui commande est juste derrière en hauteur dans un immeuble. Il a clairement une bien meilleure vue de la situation que l'équipage pris dans la poussière de ses propres tirs.

Cela ne peut fonctionner car c'est dans les faits une guerre de siège.

Le 19/5/2016 à 21:19, French Kiss a dit :

Faut voir la resistance au brouillage des communications qui permettent le deploiement de ces engins, le pire ce serait la possibilite pour les bad guys d'arriver a pirater et a retourner un engin radio-commander contre ses propres troupe, ce qui j'imagine bien, ne doit pas etre specialement trivial, mais la premiere option doit etre assez accessible au niveau technos et moyens.

Le cryptage est très difficile à hacker car en plus de sa techno propre, il faut trouver une clé spécifique souvent propre à chaque utilisateur et que tu peux changer régulièrement.

Contre le brouillage, si les communication utilisent des antennes directionnelles et du saut de fréquence, voir mieux de la répartition de fréquence, cela devient très difficile.

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Il y a 20 heures, alexWF a dit :

La proposition russe n'est pas inepte, en gros elle consiste juste a demander a chacun de faire sa part pour tenter une solution qui pourrait calmer tout le monde, et eventuellement de se coordonner pour le faire plus efficacement, c'est juste que ca mettrait les US en porte-a-faux par rapport aux Seouds qui en veulent a Assad et soutiennent la moitie des groupes autres que daesh. D'un point de vue europeen je me dis que c'eut ete une belle occasion de mettre tout le monde d'accord, et de calmer eventuellement Erdogan, du point de vue US qui sont de l'autre cote de la planete avec la diva turco-saoudienne a ne pas vexer, bon...

il y a 12 minutes, Deres a dit :

Contre le brouillage, si les communication utilisent des antennes directionnelles et du saut de fréquence, voir mieux de la répartition de fréquence, cela devient très difficile.

Ca doit pas etre evident quand meme de garder une communication directionnelle en environnement urbain, ou alors seulement a courte distance (<1000m) s'il y a suffisamment de puissance, non?

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à l’instant, French Kiss a dit :

La proposition russe n'est pas inepte, en gros elle consiste juste a demander a chacun de faire sa part pour tenter une solution qui pourrait calmer tout le monde, et eventuellement de se coordonner pour le faire plus efficacement, c'est juste que ca mettrait les US en porte-a-faux par rapport aux Seouds qui en veulent a Assad et soutiennent la moitie des groupes autres que daesh. D'un point de vue europeen je me dis que c'eut ete une belle occasion de mettre tout le monde d'accord, et de calmer eventuellement Erdogan, du point de vue US qui sont de l'autre cote de la planete avec la diva turco-saoudienne a ne pas vexer, bon...

Sauf que les européens, et les français en premier lieu, sont encore plus soucieux de ne pas froisser les monarchies du golf que les US. Ne pas oublier que tous les contrats d'armements obtenu l'année dernière sont du à nos positions très proches dès leurs.

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Le 20/5/2016 à 02:32, Drakene a dit :

Ils finissent même par pommer un tank à cause de ça... C'est tellement ridicule, à la fin ils tirent même sur le bâtiment de droite qui est en face de la caméra tellement ils ne semblent pas sûr de savoir s'il est occupé ou non :blink: Putain l'EI a de beau jour devant lui en Syrie.

Comme c'est assez long et confus, j'ai du rater le moment où ils en perdent un, c'est à quel moment ?

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Il y a 3 heures, Dino a dit :

Sauf que les européens, et les français en premier lieu, sont encore plus soucieux de ne pas froisser les monarchies du golf que les US. Ne pas oublier que tous les contrats d'armements obtenu l'année dernière sont du à nos positions très proches dès leurs.

Comme aurait dit Perceval: c'est pas faux :coolc:

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Il y a 7 heures, French Kiss a dit :

Ca doit pas etre evident quand meme de garder une communication directionnelle en environnement urbain, ou alors seulement a courte distance (<1000m) s'il y a suffisamment de puissance, non?

Tu n'est pas obligé d'utiliser des "cornets" avec une ouverture très petite non plus, mais des antennes limitant plus qu'une antenne fouet qui fonctionne sur 360°, c'est déjà beaucoup plus protégé.

 

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il y a 13 minutes, numidiadz a dit :

Fiabilité ?

Les premières recherches, sur le nom du journaliste et sur celui du site mentionné comme source, ne sont guère encourageantes.

Sinon, on a ça aussi, comme nouvelle fraiche du front :

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2016/05/21/en-cinq-ans-60-000-personnes-sont-mortes-dans-les-prisons-du-regime-syrien_4923902_3218.html

Citation

« Depuis mars 2011, au moins 60 000 personnes ont perdu la vie sous la torture ou en raison des mauvais traitements, notamment l’absence de médicaments et de nourriture, dans les centres de détention du régime », a indiqué le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane. Il a précisé que ce chiffre avait été obtenu auprès de sources du régime.

 

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La page wikipedia Rami Abdel Rahmane (de son vrai nom Oussama Ali Suleiman) part un peu dans tous les sens avec moult descriptions et bios contradictoires :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Observatoire_syrien_des_droits_de_l'homme

Pas clair non plus donc.

En fait rien n'est clair dans ce drame.

 

Et pour faire amende honorable, une vue d'intérieur d'un T-90A (sûrement syrien) en situation de combat :

 

Modifié par MakSime
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Il y a 1 heure, Libanais_75 a dit :

Sept attentats islamistes font au moins 121 morts sur la côte syrienne. Un véritable carnage :

http://www.lorientlejour.com/article/987442/sept-voitures-piegees-font-un-carnage-a-tartous-et-jableh.html

Revendication par l'EI. Après la Turquie, après l'Irak, en même temps qu'au Yémen, alors que Raqqa est sous pression (au moins psychologique), que l'assaut sur Falloudja imminent...

Ca sent le champ du cygne, mais quels porcs immondes.

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Une telle attaque, avec autant de moyens et coordonnée, implique forcément des failles énormes dans les services de sécurité du régime dans des zones qui étaient pourtant très sécurisées jusqu'ici et relativement épargnées par ce genre d'attaques.
Après les attentats très meurtriers à Homs et Damas de ces derniers mois cela va commencer a faire beaucoup pour les populations pro-régime, qui ne voit toujours aucune fin en vue au conflit et la situation économique qui se dégrade de plus en plus, cela peut avoir de grosses conséquences internes pour le régime si la situation continue et ne s'améliore pas.

 

 

D'ailleurs l'EI semble déjà avoir réussi a provoquer une partie de ce qu'ils cherchaient avec ces attentats :  Des expéditions punitives de civils et/ou miliciens/militaires pro-régime ont lieux notamment autour de Jableh contre les camps de réfugiés internes, en grande majorité sunnite en représailles a ces attentats, c'est possible qu'il y ait des tués, même si a confirmer.
Des réfugiés internes font pourtant partis des victimes de ces attentats également d'après les premiers recensements.

Source pro-régime a propos des attaques punitives :

 

Modifié par Barristan-Selmy
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il y a 7 minutes, Libanais_75 a dit :

Les russes auraient perdu plusieurs hélicoptères durant l'assaut de l'OEI sur la base de Tiyas :

https://www.stratfor.com/analysis/discerning-damage-crucial-syrian-air-base

certains s'étonnaient ici de l'imprudence des Russes à aligner sagement leurs avions sur le tarmac des bases... si c'est vérifié c'est un sacré succès en face des Russes, cette attaque.

Modifié par penaratahiti
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