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L'Algérie


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12 terroristes abattus près de Boumerdes et de Ain Defla(Actualisé)

Par Kaci Haider | 23/02/2013 | 12:01

Mise à jour à 12h05 : Quatre autres terroristes ont été abattus ces dernières 24 heures à Boukadir dans la wilaya de Ain Defla a appris Algérie1 de sources sécuritaires.

Agissant à base de renseignements les éléments de l’Armée nationale populaire(ANP) ont réussi à neutraliser 8 terroristes ce samedi vers 1h30 du matin dans les maquis coincés entre les communes de Bordj-Menaiel et Timzrit, à une trentaine de kilomètres au Sud Ouest de Boumerdes.

Un lot d’armes de type Kalachnikov et de munitions a été récupéré à la suite de cette opération antiterroriste qui se poursuit toujours dans la région.

Les corps des terroristes éliminés ont été déposés au niveau des hôpitaux de Bordj-Menaiel et Thénia pour les besoins de leur identification.

Un regroupement des éléments armés dans la région aurait été projeté par l’organisation terroriste Al Qaeda au Maghreb Islamique(AQMI), selon des sources concordantes.

http://www.algerie1.com/actualite/8-ter ... boumerdes//quote]

La chasse a été bonne cette semaine

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Altercation entre l’ambassadeur Algérien et Marocain à l’ONU

Algérie-Focus

Le quotidien Reporters rapporte, en citant l’agence de presse des Nations unies, dans son édition de dimanche, que les deux ambassadeurs aux Nations-Unies ont eu un vif échange lors d’un débat portant sur la question du Sahara Occidental. L’ambassadeur algérien, Mourad Benmehidi, parlant des Droits de l’Homme, a cité le cas des 25 civils sahraouis jugés par une cour militaire pour des violences en relation avec le démantèlement du camp de Gdeim Izik, près de Laâyoune, en novembre 2010. Mécontente de la position algérienne, la représentante du Maroc a demandé une motion d’ordre, en estimant que le représentant de « l’Algérie n’avait pas à parler d’une mission de maintien de la paix en particulier ».

Pour sa part, le représentant de l’Algérie s’est élevé contre le point de vue exprimé par la représentante du Maroc, qu’il a réfuté, en précisant que de nombreuses délégations avaient, au cours de ces deux journées, évoqué des questions relevant de certaines missions de maintien de la paix en particulier. Exerçant son droit de réponse, la représentante du Maroc a évoqué l’échéance d’avril, date à laquelle chaque année le Conseil de  sécurité renouvelle le mandat de la Minurso, « ce qui relance l’activisme de la délégation de l’Algérie sur cette question ». Elle a essayé  d’impliquer l’Algérie dans le conflit du Sahara occidental et a déclaré publiquement que « l’Algérie n’a pas de leçon à donner au Maroc ». Comme quoi, mêmes les diplomates peuvent oublier les us de leur métier !

J'ai suivi hier sur Internationale - TV 5 Monde : le chef du gouvernement marocain, l'islamiste Abdelilah Benkirane. Ce dernier affirme que les frontières marocaines sont ouvertes et celles de l'Algérie fermée.

"Si on avait pu trouver une solution entre nous et nos frères algériens concernant l'affaire du Sahara, on coopèrerait beaucoup mieux et on serait capable tous les deux de résoudre ces problèmes", a-t-il poursuivi.

Avec la situation au Sahel, "nous sommes devant des conditions stratégiques qui font qu'on devrait laisser tomber tout ça", a-t-il plaidé.

"Tout le monde sait (...) que le Sahara est Marocain et que, dans le cadre de (l')autonomie, on pourrait trouver une solution. Si l'Algérie décide de régler ce problème, en une journée c'est réglé", a fait valoir M. Benkirane.

Ex-colonie espagnole, le Sahara occidental est contrôlé par le Maroc qui propose une large autonomie sous sa souveraineté. Mais les indépendantistes du Front Polisario, soutenus par l'Algérie, réclament un référendum d'autodétermination.

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Après six mois, la «réforme» de Sellal butte encore sur un bouchon de liège

Le 3 mars prochain, le Premier ministre Abdelmalek Sellal bouclera ses premiers six mois dans la fonction. Un premier constat. Il est mieux conseillé que son prédécesseur. En stratégie d’image. Il a, depuis son investiture, vite recensé les sources de nuisance audible dans l’espace public. Et tente, avec sa sincérité avantageuse, de les désamorcer en jouant la carte du dialogue. Premier succès, le FCE ne souffle presque plus un mot de travers sur la gestion gouvernementale. Ahmed Ouyahia n’a pas pu se prévaloir — et il ne l’aura pas démérité — d’une telle bienveillance du patronat. Second résultat, les chancelleries influentes à Alger sont attentives à un effet de «détente» nommé Sellal.

Le discours du Premier ministre, en décembre dernier au Sheraton Club des Pins, succédant à celui du président français François Hollande lors du forum d’affaires Algérie-France, lui a valu une wild-card de partenaire d’affaires ouvert. Sellal sait plaire. Surtout aux puissants. Mais pas seulement. Le Premier ministre a reçu et longuement écouté le comité de pilotage de l’initiative Nabni. Eux n’avancent pas par le rapport de force, mais uniquement sur la tectonique des idées. Sellal dit vouloir faire bouger les lignes dans le délai court de son «mandat» à avril 2014. Et cherche à se faire aider. Louable. C’est là qu’arrive le second constat. Il est déjà en retard.

Lorsque le décompte à mi-année est fait, il faut bien se résoudre au constat que, même à ses vis-à-vis les plus «lourds», Sellal n’a rien donné. Le  goulag bureaucratique de Ahmed Ouyahia est toujours là. Aucune des mesures, tant décriées par le patronat, de la LFC 2009 n’a été détricotée. Le crédoc pour les nationaux et les 49/51% systématiques pour les étrangers sont, pour ne citer que les principales, toujours en vigueur. Mais le Premier ministre a acheté du temps. Un crédit de «bonne volonté».

La nouvelle stratégie industrielle que prépare Cherif Rahmani promet de remplacer les «champions publics» de l’inconsistant Abdelhamid Temmar par des «champions privés». Tout le monde espère en être. Suffisant pour le Premier ministre pour obtenir une trêve sur son flanc droit. Le réveil, au second semestre 2013, pourra être brutal. Car bien sûr, la «réforme libérale Sellal»  est bien partie pour se révéler une «souriante illusion».  L’administration joue la continuité systémique avec «les circulaires Ouyahia». Et face à cela, la stratégie d’image du Premier ministre n’a plus d’effet. Sans mouvement politique de soutien, sans réseaux d’influence, sans credo porté pour la débureaucratisation et la modernisation de l’économie algérienne, l’impasse guette.

Les six premiers mois de Abdelmalek Sellal  ressemblent finalement à un zeste de communication dans une unité de bétonnage indéboulonnable. Illustration de la symétrie, pour une facilitation de la procédure d’ouverture de compte bancaire pour les citoyens, une campagne tapageuse sur la traque au blanchiment d’argent dans le circuit bancaire algérien. Un enjeu de pacotille. Sept cas recensés en 5 ans par la brigade qui en a la charge.

Par contre, une convaincante invitation pour l’argent de l’informel à rester en dehors du circuit bancaire. Le recensement des sources de nuisance audible a joué dans les deux sens. Si les «bien portants» ont été caressés dans le sens du poil, les faibles ont continué de trinquer sur la scène économique et sociale. La continuité est même assortie de hauts faits d’armes éloquents. La politique sociale de l’Etat interdit la revendication chez ceux qui n’en bénéficient pas. La police a tiré à balle en caoutchouc sur les chômeurs rassemblés à Laghouat. De même, l’Etat policier algérien de Sellal, semblable en cela à celui de Ouyahia, défend «la citadelle assiégée».

La Tunisie en crise politique va accueillir la planète entière ce printemps à l’occasion du forum social mondial dont elle a arraché l’organisation à des destinations prestigieuses dans le monde. Alger, plus vigilante qu’In Amenas, refuse pendant ce temps le principe d’une réunion de préparation dans une obscure Maison des syndicats à Dar El Beïda. Et expulse manu-militari les acteurs sociaux maghrébins invités à la rencontre. Entre Alger et Tunis, le plus précaire n’est pas celui que l’on croit. La «réforme libérale»  de Sellal serait elle donc Teatcharienne dans le traitement du syndicalisme et Boutefliko-Ouyahienne pour le reste ?

Une affaire résume, dans l’économie locale, toute la force d’inertie du système sur laquelle le sympathique M. Sellal a si peu de prise. Une douzaine d’entreprises privées de transformation du liège viennent, dans les wilayas de l’Est, de mettre au chômage plusieurs centaines de leurs travailleurs. La faute à Ouyahia. Rien d’étonnant jusque-là. L’ancien Premier ministre a signé, en mai dernier, une décision du CPE bannissant le secteur privé de l’approvisionnement en lots de liège issu forcément du domaine forestier public.

Priorité aux entreprises publiques. Petit détail embarrassant : la filière publique de transformation du liège est en panne. Machines obsolètes, encadrement technique perdu, endettement prohibitif. Les 3000 tonnes de la récolte 2012 ont quand même été réservées aux seules entreprises publiques à refonder. Ils iront s’ajouter à d’autres stocks non transformés. La filière privée de la transformation exportait, en moyenne pour 20 millions d’euros, des produits du liège vers l’Europe avant l’oukaze du printemps dernier. Que le Premier ministre ne peut pas changer. Car il faut ici plus que des propos avenants. Une plainte pour crime économique est dans le pipe. Et aussi la tentation de faire comme Amara Bouglez.

Le commandant haut en couleur de la base de l’Est de l’ALN, en conflit avec le CCE en 1957, s’était vu couper les vivres par la direction de la Révolution installée en Tunisie. Il a amassé des fonds pour ses troupes en organisant temporairement une filière de récolte du liège le long de la frontière boisée entre les deux pays et en trouvant en Tunisie des entreprises pour lui racheter ses fagots apportés à dos de mulet. C’est de Amara Bouglez que l’Algérie a encore besoin en 2013.

El Kadi Ihsane

http://www.elwatan.com/chroniques/analyseeco/apres-six-mois-la-reforme-de-sellal-butte-encore-sur-un-bouchon-de-liege-25-02-2013-204588_174.php

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Amara Benyounes a une ambition : améliorer le cadre de vie dans les villes algériennes. Pour y parvenir, il annonce un plan de réhabilitation et de mise à niveau des nouvelles et anciennes villes.

« Nous devons construire des logements dans une ville avec tous les équipements nécessaires, pour le bien-être du citoyen et pour améliorer le cadre de vie du citoyen. Il ne faut plus construire des cités-dortoirs, comme l’a dit le président de la République », a expliqué Amara Benyounes sur les ondes de la Chaîne III de la radio nationale.

Des hôpitaux, des salles de cinéma et autres équipements seront installés dans les nouvelles et anciennes villes selon les besoins de la population, a-t-il promis. « Nous allons ouvrir des discussions générales avec l’ensemble des secteurs pour déterminer quels sont les équipements dont a besoin la population », a précisé le ministre de l’Aménagement du territoire, de l’Environnement et de la Ville.

Une loi pour organiser la vie dans les villes

Amara Benyounes a affirmé que son ministère est en train de revoir la loi sur la réhabilitation de la ville. But : chaque citoyen doit connaître ses devoirs dans la copropriété. « Nous allons centraliser les lois qui existent dans une loi pour que les gens sachent exactement quels sont leurs devoirs quand ils habitent dans un immeuble », a-t-il expliqué. Le ministre prévoit même d’enlever les paraboles posées sur les balcons. « Nous sommes même en train d’étudier la possibilité d’enlever les paraboles qui sont sur les balcons », a-t-il ajouté. La loi prévoit également des sanctions contre les commerçants qui jettent leurs déchets dans la rue à la fin de la journée. « Les commerçants ont une certaine part de responsabilité dans la dégradation et dans la saleté de nos villes. Ils seront rappelés à l’ordre dans le cadre de cette loi. »

Ouverture des commerces et des cinémas la nuit

Le ministre ne trouve pas normal le fait que tout soit fermé dans les grandes villes la nuit. Il a annoncé qu’il est en discussion avec les ministères du Commerce, de l’Intérieur et de la Culture pour l’ouverture d’un certain nombre de commerces et de salles de cinéma. « On ne peut pas parler d’amélioration du cadre de vie dans les villes si ce cadre de vie ferme à partir de 18 heures. Nous sommes en discussion avec le ministère de l’Intérieur, le ministère du Commerce et le ministère de la Culture pour arriver à faire ouvrir un certain nombre de commerces, de salles de cinéma, de cafés, de restaurants… la nuit et réintroduire un peu de vie la nuit dans nos villes pour que les citadins puissent sortir », a-t-il dit. Tout un programme.

Source: TSA

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http://www.marianne.net/blogsecretdefense/Exclusif-la-France-va-depolluer-un-ancien-site-d-essais-d-armes-chimiques-en-Algerie_a965.html

Exclusif : la France va dépolluer un ancien site d'essais d'armes chimiques en Algérie

L'accord a été conclu très discrètement lors de la visite de François Hollande à Alger.

Exclusif : la France va dépolluer un ancien site d'essais d'armes chimiques en Algérie

Selon nos informations, la France va dépolluer un ancien site d'essais d'armes chimiques en Algérie, que l'armée française a utilisé jusque dans les années 70. L'accord, confidentiel, a été conclu entre Paris et Alger lors de la visite du président Hollande en Algérie en décembre dernier. Le site concerné est celui de Namous, dans l'ouest du pays. Connu sous le nom de B2-Namous par les militaires français, son existence, longtemps tenu secrète, n'a été révélée qu'en 1997 par le journaliste Vincent Jauvert, dans le Nouvel Observateur.

Le centre d'études du Bouchet (CEB), un établissement de la Direction générale pour l'Armement situé à Vert-le-Petit (Essonne) pilotera l'affaire. Ce centre est spécialisé dans la guerre chimique et bactériologique.

Namous, comme d'autres sites en Algérie, a été utilisé pour tester des armes chimiques, puis après leur interdiction, pour développer des systèmes permettant de s'en protéger... en conditions proches du réel. B2-Namous aurait fonctionné jusqu'en 1980, en parfait accord entre les autorités françaises et algériennes, qui, l'une comme l'autre, se gardaient bien d'en parler.

Dans quel état est le site aujourd'hui ? On l'ignore, mais le problème viendrait essentiellement de munitions non explosées. Il se dit même que l'on y trouve "un peu de tout" en matière de substances chimiques. En tout cas des choses à manier avec une grande prudence...

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"Tout le monde sait (...) que le Sahara est Marocain et que, dans le cadre de (l')autonomie, on pourrait trouver une solution. Si l'Algérie décide de régler ce problème, en une journée c'est réglé"

ouai discours plus royaliste que le roi ca et puis c'est l'algérie qui va résoudre le problème des sahraouis de ce pays aussi en une journée.

bref si tout le monde sait que ce sahara est marocain faut juste qu'il voit ca avec les sahraouis et lâche les baskets des algériens et se rapprochant des espagnoles et qu'il profite de l'occasion d'aller du côté du parlement suédois, européens.....qui eux savent aussi que ce territoire n'est pas marocain.   

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ouai discours plus royaliste que le roi ca et puis c'est l'algérie qui va résoudre le problème des sahraouis de ce pays aussi en une journée.

bref si tout le monde sait que ce sahara est marocain faut juste qu'il voit ca avec les sahraouis et lâche les baskets des algériens et se rapprochant des espagnoles et qu'il profite de l'occasion d'aller du côté du parlement suédois, européens.....qui eux savent aussi que ce territoire n'est pas marocain.   

ou l'algérie pourrait ne plus se mêler des affaires marocaines, au travers du polisario, même si on sait tous que "l'Algérie n'a rien a voir avec la question du Sahara"  :P

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Depuis quand on le nie ?

Le chef du gouvernement marocain Abdelilah Benkirane a cru bon d’étaler sa «science» sur la guerre au Mali et le dossier du Sahara occidental face aux médias français RFI, TV5 et le Monde. Son mot d’ordre ? L’Algérie est responsable de tout. Rien que cela !

L’islamiste Abdelilah Benkirane a donc profité de l’occasion pour signifier à son roi qu’il est bien dans sa cour et que son gouvernement, aussi islamiste qu’il soit, n’en a pas moins intériorisé la rhétorique makhzenienne qui consiste à casser de l’Algérie pour être dans les bonnes grâces de sa majesté.

Benkirane a donc utilement fait la «récitation» apprise par cœur par tous les acteurs politiques marocains.

Morceaux choisis : «Tout le monde sait que le Sahara est marocain et que, dans le cadre de l’autonomie, on pourrait trouver une solution. Et si l’Algérie décide de régler ce problème, en une journée c’est réglé». A la bonne heure !

Tout le monde ne sait pas que le Sahara est marocain, bien au contraire, aucun texte ni aucun document officiel de ; l’ONU ne reconnaît la souveraineté du royaume sur le Sahara y compris chez ses alliés français et américains.

Des paroles en l’air qui ont été saisies au vol par le ministère algérien des affaires étrangères qui a rafraîchi la mémoire du chef du gouvernement marocain à ce sujet.

La rhétorique makhzenienne

Dans une déclaration reçue à notre rédaction aujourd’hui le porte-parole du MAE, M. Amar Belani souligne que «Cette vision des problèmes» (celle de Benkirane) qui se pose au niveau de la région «est non seulement réductrice mais elle se fonde sur une argumentation spécieuse et une causalité artificielle».

Et d’ajouter : «Je ne reviendrai pas sur la genèse de la crise malienne, elle est connue de tout le monde. Mais s’agissant de la question du Sahara Occidental, et quitte à le répéter indéfiniment, cette question n’a pas de dimension bilatérale et elle ne relève d’aucune soit disant ancienne logique; Elle relève de la seule responsabilité des Nations Unies et tout le monde sait, et nos frères marocains les premiers, que la question du Sahara Occidental est inscrite depuis fort longtemps sur les tablettes de l’ONU au titre des 16 territoires non autonomes dont le processus de décolonisation».

Déclaration d’allégeance

Le porte parole des affaires étrangères a opportunément rappelé l’«attachement» de l’Algérie à l’application «ferme» de la doctrine des nations unies en matière de décolonisation et son soutien aux efforts de la communauté internationale en vue de la promotion d’une solution fondée sur «l’autodétermination du peuple sahraoui».

Une mise au point cinglante aux allégations du chef du gouvernement marocain, l’islamiste Abdelilah Benkirane qui a cru bon de montrer patte blanche à son roi quitte a débiter des contre-vérités et porter le chapeau à l’Algérie pour tous les conflits qui agitent la région.

Pour cause, Abdelilah Benkirane n’a pas hésité à réduire la question sahraouie à un simple conflit bilatéral» entre son pays et l’Algérie.

Ce qui est évidemment faux puisque l’Algérie fait du strict respect des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité prévoyant un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui, son unique credo. Un principe qu’elle observe depuis l’annexion par la force du Maroc de ce territoire en 1975 suite au départ des espagnols.

Mais il est aisé de comprendre la gêne du royaume de ce que l’Algérie, pays voisin, défende contre vents et marées l’option référendaire réclamée par le front polisario. Une option qui fait voler en éclat son «plan d’autonomie» malgré le soutien intéressé des capitales occidentales.

http://www.algerie1.com/actualite/alger ... benkirane/

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ou l'algérie pourrait ne plus se mêler des affaires marocaines, au travers du polisario, même si on sait tous que "l'Algérie n'a rien a voir avec la question du Sahara"  :P

arf on tourne en rond.... quand l'algérie parle du polisario elle ne parle pas d'une affaire intérieure marocaine mais du dernier pays africain colonisé par une puissance occupante étrangère qui plus est, se trouve à nos frontières et des centaines de milliers de réfugier se trouvent dans notre sol.

bref, rien ne pourra empêcher le destin naturelle de ce peuple à vivre indépendant ;)

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ou l'algérie pourrait ne plus se mêler des affaires marocaines, au travers du polisario, même si on sait tous que "l'Algérie n'a rien a voir avec la question du Sahara"  :P

Le probleme du Sahara Occidental ne releve nullement des affaires internes marocaines. C'est un probleme qui releve, par excellence, du droit international. La souvrainete du Maroc sur le territoire n'est nullement reconnue. Ca reste un territoire a decoloniser.

Je pense que si ce n'etait pas le cas cela ferait longtemps que l'on aurait demandé a l'Algerie de ne pas se meler des affaires internes d'un autre pays.

Bien plus, les Nations Unies, a travers Reso 1514 et 2809, demande instamment (urges in english) aux pays membres, d'apporter soutien morale et materiel, aux MNL (mouvements nationaux de liberation).

Tu peux regarder sous tous les angles, la realité est que l'Algerie agit et a toujours agit conformement au droit international.

On ne peut pas autant en dire pour d'autres pays...

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arf on tourne en rond.... quand l'algérie parle du polisario elle ne parle pas d'une affaire intérieure marocaine mais du dernier pays africain colonisé par une puissance occupante étrangère qui plus est, se trouve à nos frontières et des centaines de milliers de réfugier se trouvent dans notre sol. bref, rien ne pourra empêcher le destin naturelle de ce peuple à vivre indépendant ;)

1/ le SO ou RASD ne constitue pas un pays au sens légal du terme.

2/ Tindouf abrite tout au plus une centaine de milliers de réfugiés,

Kiriyama,

non, maroc et algerie n'ont jamais constitués un etat unique.

Ce qui est évidemment faux puisque l’Algérie fait du strict respect des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité prévoyant un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui, son unique credo. Un principe qu’elle observe depuis l’annexion par la force du Maroc de ce territoire en 1975 suite au départ des espagnols.

unique crédo : quid de l'asile au polisario, son armements (à coté duquel l'arsenal des djihadistes maliens fait figure de pétoire), son financement et l'appui total de sa diplomatie. drole de conception de la légalité internationale...
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Enfin !

Essais chimiques de B2-Namous

La France se chargera de la dépollution du site

La France va dépolluer le site de Oued Namous, qu’elle a longtemps utilisé après l’indépendance pour ses essais chimiques et bactériologiques.

Un accord confidentiel a été signé, à cet effet, à l’occasion de la visite du président français, François Hollande, en Algérie. L’information a été révélée, lundi dernier, par le journaliste de l’hebdomadaire français, Marianne, Jean-Dominique Merchet sur son blog Secret-Défense. «Selon nos informations, la France va dépolluer un ancien site d’essais d’armes chimiques en Algérie, que l’armée française a utilisé jusque dans les années 1970», a annoncé le journaliste, en précisant que le site en question est celui de Namous, appelé également B2-Namous.

L’opération de dépollution est confiée, selon la même source, au Centre d’études du Bouchet (CEB), un établissement de la Direction générale pour l’armement situé à Vert-le-Petit (Essonne). «Ce centre est spécialisé dans la guerre chimique et bactériologique», précise-t-il.

L’existence de cette base militaire française en Algérie a été gardée secrète jusqu’à la fin des années 1990. C’était le journal français le Nouvel Observateur qui a révélé son existence en 1997.

Le site de Namous, comme d’autres sites en Algérie, a été utilisé pour tester des armes chimiques, puis après leur interdiction, pour développer des systèmes permettant de s’en protéger... en conditions proches du réel. «B2-Namous aurait fonctionné jusqu’en 1978, en parfait accord entre les autorités françaises et algériennes, qui, l’une comme l’autre, se gardaient bien d’en parler», écrit encore le journaliste. Avec l’accord de hautes autorités algériennes à l’époque, un accord-cadre sur l’utilisation dudit site a été conclu le 27 mai 1967.

Ce sont l’ambassadeur français à Alger, Pierre de Leusse, et le commandant Chabou, au nom du président Boumediène, qui ont conclu l’accord. Pendant plusieurs années, les militaires français ont travaillé sous une couverture civile sur le site. Une filiale de Thomson sera leur employeur officiel mais l’autorité militaire aura le contrôle des opérations.

Le 4 décembre 1967, un autre accord secret sur B2-Namous est encore signé entre Paris et Alger. Mais c’était l’Armée algérienne qui assurait la garde extérieure de la base.

Madjid Makedhi

El Watan

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drole de conception de la légalité internationale...

Ce qui veut dire quoi au juste ? L'Algérie est elle dans l'illégalité internationale ? oui ou non ? Depuis le temps qu'elle soutient aussi ouvertement le polisario ca fait belle lurette qu'elle aurait été condamnée à l'ONU.

Quant à comparer cela avec la situation au Mali, cela relève de la plus grande malhonneteté intellectuelle.

En tout cas on peut saluer les efforts marocains pour nous faire prendre des vessies pour des lanternes et retourner la situation.

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Ce qui veut dire quoi au juste ? L'Algérie est elle dans l'illégalité internationale ? oui ou non ? Depuis le temps qu'elle soutient aussi ouvertement le polisario ca fait belle lurette qu'elle aurait été condamnée à l'ONU.

Quant à comparer cela avec la situation au Mali, cela relève de la plus grande malhonneteté intellectuelle.En tout cas on peut saluer les efforts marocains pour nous faire prendre des vessies pour des lanternes et retourner la situation.

oui on a le droit de soutenir, armer et heberger un mouvement, si tant que l'on ne se déclare pas "non partie prenante au conflit".

nulle comparaison de ma part avec le Mali. Mais je sens que c'etait histoire de vouloir a toute force placer le "malhonneteté intellectuelle"...propre a disqualifier l'autre, si tant est que tu puisses l'étayer...

il y a un topic sahara, autant s'en servir histoire de ne pas polluer celui-ci.

PGM

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oui on a le droit de soutenir, armer et heberger un mouvement, si tant que l'on ne se déclare pas "non partie prenante au conflit".

nulle comparaison de ma part avec le Mali. Mais je sens que c'etait histoire de vouloir a toute force placer le "malhonneteté intellectuelle"...propre a disqualifier l'autre, si tant est que tu puisses l'étayer...

il y a un topic sahara, autant s'en servir histoire de ne pas polluer celui-ci.

PGM

Pourquoi évoquer les islamistes armés du Mali alors ? N'est ce pas pour jeter le discrédit sur le soutien algérien à la cause sahraouie ?

Pourquoi ironiser sur la position de l'Algérie vis-à-vis de la légalité internationale sans répondre ensuite quand je te questionne sur les bases de cette saillie ?

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