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Crise financière mondiale [info only]


debonneguerre
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Je comprends rien ... l'heure d'été, leurs dettes, leur Dédé ....

Clairon

Pourquoi la dette : parce que le gouvernement japs a décidé de faire tourner la planche à billets pour financer sa dette, financer de la dette par de la dette, un peu à la façon des US, mais en sachant que les ratios de dettes d'état japonaises sont pharaoniques.

Le but des japonais étant faire chuter la valeur du yen pour doper leurs exportations et retrouver de la croissance ainsi.

Sauf que US et chinois ont la même stratégie.

Et les européens? ben rien pour le moment EURO fort sous pression de la problématique grecque, avec les risques que celà implique :

http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20130111trib000742026/pourquoi-l-europe-va-perdre-la-guerre-des-changes.html

Défaite annoncée

Car dans un contexte de guerre des changes, l’inaction de la BCE porte en elle la menace d’une hausse de l’euro. Le programme OMT semble garantir la zone euro de l’explosion. Il permet d’acheter des obligations souveraines à des taux attractifs (Espagne, Italie notamment) avec un minimum de risques. Par ailleurs, les taux de base de la BCE demeurent nettement plus attractifs que ceux des Etats-Unis ou du Japon. Craignant de voir se déverser des flots de yens ou de dollars, les investisseurs retrouvent donc le goût des produits en euro. Le succès des adjudications espagnoles et italiennes l’a prouvé. Tout est donc fait pour que l’euro soit plus recherché, alors même que yen et dollar se livreront à un combat ardent. Du coup, l’euro s’appréciera.

Cataclysme

Cette appréciation de l’euro n’est rien moins qu’un cataclysme pour les économies européennes les plus fragiles. Elle risque simplement de réduire en cendres les efforts consentis par ces pays pour améliorer leur compétitivité et qui ne portent actuellement que quelques fruits insuffisants sur les exportations. Alors, un nouveau cycle de tours de vis pour compenser la hausse de l’euro deviendra nécessaire. Si l’euro monte, il faudra encore réduire les salaires espagnols, grecs et portugais puisque la BCE refuse d’agir sur le taux de change par sa doctrine sur l’inflation. La récession repartira de plus belle et certains pays fragiles, comme la France, pourrait bien être alors emportés. Au moment où –peut-être– le Japon et les Etats-Unis redémarrerons dans le sillage de la Chine. L’Europe aura perdu la guerre des changes. Mais du moins, l’inflation ne sera pas supérieure à 2%.

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Delamarche parle de "défaut", mais je n'y crois pas trop :

d'une part un pays du G7 ne fait pas de bras d'honneur au reste du monde aussi simplement,

d'autre part la dette est détenue par des nationaux..banques..etc

Par contre delamarche a raison en ce sens que la situation de la dette japonaise est hyper tendue, ca se ressent peu à l'échelle internationale parce que elle est détenue en grande partie par des nationaux, mais le problème reste le même et ce sont les citoyens japonais qui vont se retrouver ne première ligne.

La stratégie semble claire, dévaluation de la monnaie pour doper les exportations, qui sera probablement corrélée à une inflation dont le gouvernement tentera de maîtriser la progression en la lissant sur le temps (jeu trés dangereux) pour ne pas fragiliser son système bancaire et de pensions.

Les premières victimes seront les concurrents des produits japonais sur les marchés d'exportations, les seconds les propriétaires de dettes japonaises (donc surtout les japonais)..puis en troisième tous les pays qui ont des problèmes similaires de dettes, de déficits, de bulles spéculatives (on reparle de l'immobilier chinois)...

Ca c'est le plan japonais, parce que les US, et les chinois, vont surement tenter de contrer cette stratégie dans la mesure ou ca va leur porter préjudice, donc grosse période d'instabilité en vue.

Et nous? ben vu qu'on est parti sur une logique de compétitivité par les coûts..austérité tous azimuts, l'EURO sera un refuge pour les spéculateurs, mais ça pourrait devenir intenable économiquement et politiquement, et la question de l’existence même de l'EURO dans son format actuel reviendrait sur le tapis.

Edit : grillé par Akhilleus qui peut effacer mon post si il le souhaite.

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L'enquête de l'agence Bloomberg montre à quel point les grands noms savent contourner la loi quand il s'agit de reprendre les vieilles habitudes. Visé dans cette enquête, le plus grand, le plus prestigieux de ces noms, celui de la banque d'affaires Goldman Sachs.

Il y a à peine six mois, son président, Lloyd Blankfein, jurait ses grands dieux que la banque avait cessé le trading pour compte propre. Devant plus de quatre cents personnes, à Washington, le responsable affirmait avoir "supprimé cette activité".

Une affirmation que contredit l'existence, relativement secrète, d'un fonds appelé MSI, pour Multi-Strategy Investing, un nom digne d'une banale gestion d'actifs. Sauf que le milliard de dollars qui y est géré vient de la banque d'affaires. D'après Bloomberg, MSI n'a pas de clients.

La loi générale de régulation bancaire Dodd-Frank (2010) comporte une partie destinée à interdire le trading pour compte propre (prop trading en anglais), c'est-à-dire la spéculation de la banque pour son propre profit, en raison du risque que ferait peser une éventuelle faillite sur l'ensemble du système.

Cette règle a été baptisée du nom de Paul Volcker, l'ancien président de la Réserve fédérale, qui avait, au moment de la chute de Lehman Brothers et de ses conséquences collatérales, jugé choquant que Goldman Sachs puisse être aidé par le contribuable dans la mesure où la banque se concentrait sur ses propres intérêts.

C'est à peu près à cette époque qu'on avait découvert que la banque ne servait pas toujours au mieux l'intérêt de ses clients. Elle sera condamnée à verser 550 millions de dollars à la Securities and Exchange Commission (le "gendarme de la Bourse" américain) pour régler des accusations liées à un produit nommé Abacus en 2010.

De fait, la banque proposait des produits structurés (en l'occurrence, des "subprimes", ces titres adossés à des créances hypothécaires douteuses) à ses clients, produits sur lesquels elle-même se positionnait à la baisse. Concrètement, Goldman Sachs vendait ces titres, qu'elle savait être "pourris". Ce faisant, elle pariait contre ses clients qui, eux, les achetaient.

Suite :

http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/01/10/comment-goldman-sachs-contourne-la-loi-sur-le-prop-trading_1814798_3234.html

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L'immobilier, ca fait gratter les journalistes éco, ya des tonnes d'articles, j'en met qu'un parce que pfff :

http://www.latribune.fr/vos-finances/immobilier/20130114trib000742388/2013-sera-l-annee-de-l-apathie-dans-l-immobilier.html

2013 sera l'année de l'apathie dans l'immobilier

Les notaires de France prévoient moins de 600.000 ventes en 2013 dans l'ancien. Le neuf ne se portera de son côté guère mieux, même si des incertitudes subsistent.

Le pessimisme est de mise pour 2013 sur le marché des transactions immobilières. Les notaires de France se disent en effet certains que les volumes des ventes n'atteindront pas 600.000 dans l'ancien. Alors qu'ils "s'élèvent habituellement à environ 800.000 mutations en moyenne annuelle", indiquent les notaires dans leur note de conjoncture de janvier.

Le volume des ventes "pourrait même ne pas dépasser 550.000", renchérissent-ils. Ce à cause de trois facteurs : "les perspectives économiques, avec une croissance faible entraînant une poursuite inéluctable de la hausse du chômage; l'attentisme des acquéreurs potentiels sur les marchés où la baisse ne se sera pas franchement enclenchée; et l'absence de toute aide de l'Etat à l'accession dans l'ancien, à l'exclusion des zones urbaines sensibles".

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http://www.lesechos.fr/economie-politique/france/actu/0202496804245-le-deficit-budgetaire-2012-a-87-2-milliards-528268.php

Bercy a arrêté les comptes de l'Etat. Le déficit dérape de 1 milliard par rapport à la prévision en raison de moins-values importantes de TVA. Les dépenses diminuent par rapport à 2011.

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http://www.lefigaro.fr/emploi/2013/01/14/09005-20130114ARTFIG00490-chomage-des-previsions-encore-plus-sombres.php

Le régime d'assurance-chômage (Unedic) revoit à la hausse ses prévisions sur le nombre de demandeurs d'emploi. Ceux-ci seraient 178.800 en plus en 2013, venant s'ajouter aux 322.400 supplémentaires de 2012.

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Encore un scandale... Le code minier et les prospections bloqués par les écolos :

L'information avait tout du canular. Et pourtant... Le 16 septembre 2011, c'est par un communiqué tout ce qu'il y a d'officiel que la compagnie australienne Elixir Petroleum a lâché sa petite bombe : sans le savoir, la Lorraine dormirait sur de gigantesques réserves de pétrole et de gaz. Les chiffres avancés par le groupe donnent le tournis : titulaire du permis Moselle - une licence d'exploration couvrant un peu plus de 5.000 kilomètres carrés, et englobant les villes de Metz, Nancy, Toul et Lunéville -, Elixir estime à l'époque les ressources locales à 165 milliards de barils de pétrole, et 18.000 milliards de mètres cubes de gaz. De quoi transformer la région en un nouvel eldorado digne du Qatar ou du Koweït !

La nouvelle, forcément, a fait son petit effet. Elle a aussi suscité d'emblée pas mal de scepticisme. Un océan d'hydrocarbures sous le sol lorrain... L'hypothèse est surprenante en soi. Qu'elle soit en plus formulée par un pétrolier dont personne ou presque n'avait entendu parler, voilà qui incite à la prudence. Au sein de la profession, les promesses d'Elixir en laissent plus d'un dubitatif. Pour beaucoup, la société australienne s'est surtout offert à peu de frais une belle opération de com : « Un petit acteur comme Elixir a tendance à surévaluer les ressources afin de doper son cours de Bourse, lâche un grand industriel du secteur. Cela lui permet de négocier dans des conditions favorables l'entrée d'un investisseur à son capital, ou d'un partenaire financier dans ses forages ». De fait, l'action d'Elixir avait bondi de 60 % après son communiqué sur les réserves mosellanes. Et trois semaines plus tard, l'entreprise cotée à la Bourse de Sidney réussissait une levée de fonds en Australie...

La belle histoire lorraine n'aurait-elle donc été qu'un formidable coup de bluff ? Sur place, seize mois plus tard, il faut en tout cas se rendre à l'évidence : aucun forage n'a été entamé. Contactée, la société n'a pas répondu à nos questions. Mais indique sur son site Internet continuer à discuter avec une trentaine d'investisseurs potentiels, prêts à partager les coûts des trois premiers puits envisagés. De communiqué en communiqué, elle admet aussi que les négociations traînent en longueur...

Petite compagnie indépendante, tirant ses revenus d'une participation minoritaire dans un champ exploité dans le golfe du Mexique, Elixir n'a, à l'évidence, pas les reins assez solides pour financer, seule, des forages qui peuvent coûter de 3 à 10 millions d'euros l'unité, selon la profondeur visée. Mais à l'en croire, cette « junior » pétrolière est toujours convaincue du potentiel de son permis lorrain. Une chimère ? Pas si sûr... Sur le papier, les géologues ne contestent pas la présence possible d'hydrocarbures. Après tout, cette région ne fait que prolonger le bassin parisien, dont les gisements d'Ile-de-France et de Champagne produisent, bon an mal an, 500.000 tonnes de brut - l'équivalent de trois jours de consommation des Français.

Géologue passé chez Total, puis chez CGGVeritas (une société parapétrolière spécialisée dans les études sismiques) et au BRGM (Bureau de recherches géologiques et minières), avant de créer la société CDP Consulting, Franck Hanot estime que le sous-sol lorrain mérite effectivement d'être regardé de près. Dans ses profondeurs, « il y a plusieurs kilomètres d'épaisseur de roche mère datant du Carbonifère. C'est énorme ! », s'enthousiasme-t-il. Là, se sont lentement formés les hydrocarbures, par décomposition de la matière organique piégée dans les sédiments. La plus grande part est restée prisonnière de cette roche mère. Mais grâce à des failles apparues dans le sous-sol, une fraction du combustible a pu s'échapper et entamer sa remontée naturelle vers la surface. Du coup, au-dessus de la roche mère, des couches plus récentes et relativement poreuses ont pu, telles des éponges, s'imbiber de pétrole ou de gaz.

Il y a trente ans déjà...

La présence d'hydrocarbures en Lorraine n'est d'ailleurs pas une découverte. Il y a trente ans, au sud du permis détenu par Elixir, le géologue Pierre-Louis Maubeuge avait fait jaillir du pétrole à Forcelles-Saint-Gorgon. Exploité de 1983 à 1998, son puits délivra 14.000 tonnes d'un brut de bonne qualité. Un peu plus à l'ouest, le gisement de Trois-Fontaines a longtemps produit du gaz. Le coeur du territoire visé par Elixir, en revanche, « est encore largement une terra incognita » souligne Didier Bonijoly, directeur adjoint des géoressources au BRGM. Seule une petite portion du permis a été explorée ces dernières décennies, avec une trentaine de forage effectués. Mais ils n'avaient rien donné.

C'est un vétéran de l'industrie pétrolière, le géologue américano-norvégien Kjell Finstad, qui a ravivé l'intérêt pour cette région en obtenant en 2009 le fameux permis Moselle, pour cinq ans renouvelables. Son pari, à l'époque, était de se positionner parmi les premiers sur un territoire censé regorger de gaz et de pétrole de schiste, dont l'exploitation était en train de décoller aux Etats-Unis. C'était avant la polémique sur la « fracturation hydraulique », qui allait conduire à l'interdiction de ce type de projet. Mais Kjell Finstad n'a pas assez de fonds pour entamer ses recherches. En février 2010, il revend donc son entreprise et le permis d'exploration qui va avec, à l'australien Elixir, lui aussi appâté par les gaz de schiste français. Le pétrolier australien confie à Franck Hanot le soin de récupérer 2.500 kilomètres d'anciennes données sismiques tombées dans le domaine public, et de les retraiter avec les outils informatiques actuels donnant une image du sous-sol plus précise que ce que la technique permettait il y a une trentaine d'années. Combinant ces résultats avec d'autres études, Elixir commence à écrire le « scénario géologique » qui va l'amener à faire ses annonces retentissantes en septembre 2011.

Problème : entre-temps, la thématique des gaz de schiste est devenue explosive. Trois mois plus tôt, le gouvernement Fillon a choisi pour des raisons environnementales d'interdire la fracturation hydraulique. Et, parmi les opposants aux gaz de schiste, certains soupçonnent Elixir de vouloir faire revenir les politiques sur leur décision, en annonçant des gisements colossaux. La compagnie, pour sa part, précise qu'elle se conformera à la nouvelle législation et qu'elle ne cherchera désormais que des hydrocarbures conventionnels, même si les quantités espérées sont bien moindres.

Car, d'après elle, le jeu en vaut encore largement la chandelle. Ayant affiné son modèle, Elixir estimait ainsi en juillet dernier avoir identifié 40 « prospects » et « leads » (un prospect est une zone déjà bien connue, sur laquelle des forages peuvent être tentés ; un lead est un prospect potentiel, sous réserve d'études complémentaires, NDLR). Autant de trous susceptibles, selon le groupe, de délivrer 161 millions de barils de brut ou, au choix, 15,8 milliards de mètres cubes de gaz.

Pas si mal... mais pourquoi alors n'a-t-elle toujours entrepris aucun forage ? Pour Didier Bonijoly au BRGM, qui ne cache pas son scepticisme même s'il considère que les géologues d'Elixir ont bâti un modèle intellectuel intéressant, le problème vient du fait que les cibles identifiées « sont très peu connues » à cause de l'absence de données sur une grande partie de la Lorraine. « Le risque d'y effectuer des forages stériles est donc plus élevé qu'en Ile-de-France et en Champagne sans investir au préalable dans d'importants travaux d'exploration. » Pas évident, dans ces conditions, d'attirer des partenaires.

D'autant qu'Elixir se heurte à une autre difficulté, plus insidieuse : depuis l'affaire des gaz de schiste, « les investisseurs anglo-saxons ont fait une croix sur la France », constate un des principaux pétroliers opérant dans l'Hexagone. Cette méfiance nouvelle, la plupart des observateurs la relie à l'abrogation du permis de recherche de Montélimar accordé à Total, après l'interdiction de la fracturation hydraulique. Dès lors, « la République a cessé d'être considérée comme un Etat de droit aux yeux de la communauté pétrolière internationale », déplore Philippe Labat, un vieux routier du pétrole, qui exploite un puits en Alsace et explore le sous-sol dans la Meuse et les Ardennes.

Verrous administratifs

Ennuyeux, car par ricochet, les permis accordés dans le pétrole et le gaz conventionnels sont, eux aussi, très fragilisés. Dans la Meuse, où son permis de recherche côtoie celui d'Elixir, « je ne trouve plus un centime auprès des partenaires potentiels », témoigne Philippe Labat. La raison ? « Mon permis courait jusqu'en février 2011, mais cela fait deux ans que j'attends l'arrêté ministériel de renouvellement alors que j'ai rempli tous mes engagements. Et mon voisin Elixir doit se trouver dans la même situation : comment voulez-vous qu'il attire aujourd'hui un investisseur alors qu'il ne sait pas si son permis sera renouvelé en février 2014 ? »

Mezza vocce, on confirme dans l'administration que quasiment toutes les demandes de nouveaux permis ou de renouvellements sont bloquées depuis deux ans. « Officiellement, le gel s'explique par la refonte du code minier, en cours. Dans les faits, les écologistes paralysent d'autant plus facilement les politiques que les arrêtés doivent être signés conjointement par les ministres de l'Ecologie et du Redressement productif, aux intérêts contradictoires. » Une paralysie préoccupante qui, bien au-delà d'Elixir et de la Lorraine, risque de remettre en cause le renouvellement de certaines concessions qui produisent du pétrole conventionnel depuis des années. « L'Etat doit clarifier sa position très vite, car la profession est en voie d'être sinistrée », prévient un acteur important du secteur.

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C'est la dèche pour le plus gros chantier naval Chinois...

China CSSC Holding, le plus gros chantier naval chinois, a annoncé ses résultats annuels pour 2012. Il en ressort une chute de ses bénéfices de 100% par rapport à l’exercice précédent, en raison de la forte baisse des commandes du secteur du transport maritime. Le chantier, dont le siège se situe à Shanghai, était excédentaire de 400 millions de dollars en 2011. Ses mauvais chiffres sont à l'image de ceux de la construction navale chinoise, qui subit actuellement, dans son ensemble, un très fort ralentissement.

http://www.meretmarine.com/fr/content/une-tres-mauvaise-annee-pour-le-plus-gros-chantier-chinois

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Déficit : -103 milliards d'€ fin Novembre

http://fr.news.yahoo.com/le-d%C3%A9ficit-budg%C3%A9taire-%C3%A0-103-4-milliards-deuros-082007497--business.html?bcmt_s=m#ugccmt-container

Image IPB

Le déficit du budget de l'Etat français s'établissait à 103,4 milliards d'euros fin novembre, a annoncé mardi le ministère du Budget, en répétant que selon des chiffres provisoires le déficit 2012 serait de 87,2 milliards d'euros.

:P ils ont une double comptabilité ...  :rolleyes:

By the way, avec un peu de volonté, on va passer à -2000 milliards d'euros de dette cette année  :oops:

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Les investissements quataris en France.

http://www.marianne.net/Ils-ont-livre-la-France-au-Qatar_a225524.html

la convention fiscale entre les deux pays - une sacrée niche fiscale qui dispense un investisseur qatari de tout impôt sur les plus-values réalisées sur la revente de biens immobiliers en France -, qui avait été tant décriée par le PS (du temps de l'opposition), n'a pas été abrogée...

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A vous dégoutez d’être un libéral, le FMI a gravement sous-estimé les effets néfastes des cures d’austérité qu’il préconise (par trois...) :

http://www.marianne.net/L-incroyable-erreur-des-experts-du-FMI_a225822.html

De toutes façons pourquoi prendre une moyenne sur une longue période et l'appliquer sur n'importe quel pays ?

N'est ce pas un peu rudimentaire pour une organisation qui dispose de tant de moyens et d’économistes ?

J'aurais bien d'autre choses a dire si ce fil le permettait.

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La Grèce va apparemment bénéficier d'une nouvelle tranche d'aide/hercut/autre moyen pour lui éviter de sombrer.

http://www.lalibre.be/economie/actualite/article/791273/l-ue-devra-encore-aller-au-secours-de-la-grece.html

Tiens c'est étonnant..

Plus léger.

http://www.marianne.net/L-angoisse-du-cadre-parisien-face-a-la-delocalisation-en-banlieue_a225839.html

C’est l’histoire du moment qui fait beaucoup rire les banlieusards sur les quais (ou dans les wagons, quand ils ont pu y monter) des trains d’Ile-de-France : les cadres de la SNCF seraient paniqués à l’idée de devoir emprunter eux-mêmes le réseau de leur société pour aller travailler !

La SNCF a en effet décidé de déménager plus de 5000 salariés, dont tout son encadrement, dans de nouveaux locaux situés à Saint-Denis, dans le 9-3. Pour cela il leur faudra prendre le RER ! Et, apparemment, les cadres de la SNCF, qui sont bien placés pour savoir comment cela fonctionne, n’en ont guère envie…

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Et que la fête se poursuive!!

Goldman Sachs : les dirigeants empochent plus de 100 millions de bonus en actions

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/industrie-financiere/20130119trib000743488/goldman-sachs-les-dirigeants-empochent-plus-de-100-millions-de-bonus-en-actions.html

Et ca reparle ici et là d'un CAC qui péterait les 4000 avant juin.. :P

Vendredi, le Dow Jones Industrial et le Standard and Poor's 500 se sont offerts des plus hauts niveaux depuis décembre 2007.

http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0202511360295-wall-street-finit-a-son-plus-haut-niveau-en-5-ans-530187.php

« C'est une excellente nouvelle, cela montre que le marché a su revenir à son niveau d'avant (la crise) et c'est un bon signe pour les investisseurs: cela montre que Wall Street va mieux », a applaudi Art Hogan, de Lazard Capital Markets. Selon lui, en dépit de résultats d'entreprises en demi-teinte et d'une baisse inattendue du moral des ménages en janvier, la place new-yorkaise a été soutenue vendredi notamment par des bons indicateurs en Chine . La deuxième économie mondiale a vu sa croissance progresser de 7,9% au dernier trimestre 2012, contre seulement 7,4% pour la période de juillet à septembre.

Sans surprises, ça se fête :

Autre bonne nouvelle : les républicains se sont dits prêts à relever le plafond de la dette pour 3 mois . En échange de cette concession, les républicains, qui contrôlent la Chambre des représentants, veulent que les démocrates, qui contrôlent le Sénat, votent de fortes coupes budgétaires.

Ah tiens un rabat joie qui se pointe, evidemment c'est un francais! :

Pour Pascal Lamy, 2013 se présente "moyennement bien"

http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20130119trib000743512/pour-pascal-lamy-2013-se-presente-moyennement-bien.html

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