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Les robots de combat


Akhilleus
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Il y a quelques années, on avait posté les photo du premier robot ''opérationnel'' de l'armée française, le SYRANO lancé dans les années 1990 sur la base du ''blindé'' léger Wiesel et qui à était remit a l'armée en 1999 :

http://fr.wikipedia.org/wiki/SYRANO

Mais depuis une sortie publique en 2005, je n'ai plus entendu parler de lui. L'a t on envoyé à la ferraille, d'autres sont ils en opérations ou en test de nos jours ?

Image IPB

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  • 2 weeks later...

Les nouveaux robots de combat de BAE :

http://www.theengineer.co.uk/opinion/comment/flights-of-fancy/1006653.article

http://www.theengineer.co.uk/news/bae-systems-looks-to-the-future-for-ground-warfare/1006598.article

The seven vehicle concepts being developed by the FPV group are:

• Pointer: an agile remote-controlled armed robot which can take on dull, dirty or dangerous jobs such as forward observation;

• Bearer: a modular platform which can carry a range of mission payloads;

• Wraith: an unmanned, highly stealthy scout vehicle;

• Safeguard: a large infantry carrier or command/control vehicle, which can also carry other vehicles;

• Charger: a heavily-armed attack vehicle, designed for high lethality and armed with a reconfigurable missile system;

• Raider: a small, highly agile autonomous reconnaisance and attack vehicle which can carry a variety of payloads;

• Atlas: a retrofittable convoy system with automated systems for following the vehicle in front, to remove drivers from harm’s way.

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  • 3 months later...

Super aegis 2 « le retour »

Visez-moi un peu l’engin !

http://www.youtube.com/watch?v=tKQdKsq0HP0

Je n’ai qu’une chose à dire : Mamaia !!!

Porté jusqu’à  3 Km :O

Quand on connait l’habilité des sud-coréen aux jeux vidéo, on ne peut que trembler et prier pour ne jamais se trouver dans leurs viseurs. :-\

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Ca peut être également très utile dans le cas d'un FOB paumé au milieu de nulle part ou dans une zone pas friendly pour deux sous. couplé à un lance grenade automatique gavé à la airbust ça doit faire du vilain. Ma principale interrogation porterait surtout sur l'endurance du système face à différents climats et environnements.

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  • 6 months later...

http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/11/12/avec-les-robots-guerriers-la-guerre-va-changer-de-visage_1602870_3224.html

Guer (Morbihan) Envoyée spéciale - Les experts militaires évoquent une véritable "révolution". La robotisation du champ de bataille s'accélère. La technologie est mûre pour bouleverser la guerre : car la perspective, désormais à portée, est celle d'une automatisation de l'usage de la force, de l'acte de tuer. Seraient balayées les lois de l'écrivain Isaac Asimov exigeant qu'un robot ne puisse porter atteinte à un être humain et doive obéir aux ordres qu'il lui donne. Les démocraties l'accepteront-elles ? Les milieux de la défense sont, eux, déjà en plein débat, comme en ont témoigné les militaires, chercheurs et industriels qui se sont réunis pour un colloque international aux Ecoles de Saint-Cyr, les jeudi 9 etvendredi 10 novembre, à Coëtquidan (Morbihan).

Une ligne jaune vient d'être franchie en France, comme elle fut plus récemment aux Etats-Unis ou en Israël. Sans oser le dire, les armées ont, en 2011, admis le principe du robot armé, du robot tueur, voire du robot suicide. Le langage employé, "robots effecteurs", témoigne d'un embarras moral. Il ne s'agit plus seulement de donner la mort à distance, ce que font déjà de nombreux soldats, pilotes de chasse, opérateurs de drones ou de missiles guidés.

L'armée de terre a ainsi dévoilé jeudi son "objectif d'état-major", premier document public sur le sujet. Il envisage l'usage de robots autonomes à l'horizon 2035. Pour les militaires, c'est demain. L'objectif affiché n'est pas, pour l'heure, de remplacer le combattant. On veut "mieux le protéger . En limitant les pertes, les robots faciliteront l'acceptation des conflits dans la durée", justifie l'état-major.

Quelles sont les priorités ? "Améliorer le renseignement de contact, améliorer le traitement du danger des mines et explosifs, renforcer les capacités de destruction du combattant, l'alléger." Elles se déclinent en matériels, que la défense décidera d'acheter ou non d'ici peu : microrobots caméra de 5 kg comme ceux déjà employés par le GIGN ; mini-robots de 50 kg capables de détecter des snipper et d'exploser un obstacle ; pantins permettant de robotiser le premier véhicule d'une colonne blindée, etc. "Cela fait vingt ans que nous réfléchissons à la robotisation, maintenant il faut mettre le pied dedans, ce qui n'empêche pas de réfléchir à long terme", explique le colonel Eric Ozanne, de l'état-major des armées.

L'affaire divise. Selon les uns, les armées n'ont pas d'autre choix que de se lancer dans la robotisation, et réfléchiront en marchant à ses usages. Selon les autres, il faut, pendant qu'il est encore temps, poser en préalable un cadre intellectuel et éthique. "Les décideurs veulent-ils la robotique parce que c'est la dernière mode, ou ont-ils une vraie vision ? Savent-ils que le monde que nous allons accueillir va bien au-delà de leur imagination ?", s'inquiète le général Michel Yakovleff, adjoint du commandant suprême pour l'Europe de l'OTAN. Ce haut gradé invite à relire les ouvrages de science-fiction qui nous ont alertés sur les dangers de la déshumanisation. "Tout ce qui déshumanise la guerre est une abomination", ajoute-t-il. Une fois les robots mis au point pour tuer de façon autonome, "les barrières morales tomberont si nous sommes menacés. Or, à l'arrivée, c'est le soldat qui devra gérer les conséquences des actes du chien de guerre qu'on lui aura donné".

Des matériels, d'observation ou d'agression, sont déjà dans les forces. Les équipements américains et israéliens dominent, mais des PME françaises, animées de jeunes ingénieurs inventifs, veulent convaincre la défense de leur passer des marchés. Cinquante pays sont lancés dans la bataille de la robotisation militaire.

Dans les airs, les engins télécommandés se généralisent en devenant de plus en plus autonomes. L'histoire a débuté au Vietnam pour les drones américains. Leur nombre est passé de 50 en l'an 2000 à 7 000 en 2010. Ils ont accompli un tiers des frappes en profondeur conduites dans les opérations militaires en cours, a rappelé le colonel Eugene Ressler, professeur à l'académie militaire de Wespoint. En mer, même chose. "En France, la marine nationale s'attend à une généralisation des robots au point que les centres de commandement des drones deviendront des cibles", note Christian Malis, professeur associé à Saint-Cyr.

Dans les armées de terre, le consensus s'est scellé dans les années 1990 : les robots accompliront les tâches "ennuyeuses, dangereuses ou sales". L'armée américaine comptait 162 robots terrestres en 2004 ; et 3 659 en 2010. Les progrès ont été plus lents. Mais nul n'est plus choqué d'évoquer la perspective d'employer des machines semblables au Goliath, le mini tank suicide de l'armée allemande lors de la seconde guerre mondiale.

Les robots terrestres conservent de nombreuses limites : lenteur, faible autonomie en énergie, liaisons erratiques, vulnérabilité aux intempéries... Les engins démineurs restent incapables de creuser pour détruire un explosif enfoui et éviter ainsi d'exposer la vie d'un homme. "60 % des robots reviennent d'opérations en pièces", souligne ainsi le colonel Matthias Habermann, officier référent de la Bundeswehr. "Parce que les missions militaires restent trop complexes pour les robots, la décision n'est pas encore prise d'en équiper l'armée allemande au-delà de ses forces spéciales", a-t-il précisé.

Les scientifiques assurent que ces lacunes seront très vite surmontées. "Les robots auront la mobilité de nos fantassins", assure le colonel Earl Powers, du Laboratoire de combat des Marines américains. "Au niveau tactique, ils seront partout : nous travaillons sur l'idée que chaque unité de fantassins aura ses drones de reconnaissance, d'armement, de port de munitions et de logistique, d'évacuation des blessés". "Nous allons avoir des surprises à l'avenir, prévient pour sa part le colonel Ressler. Nous programmons des robots qui pourront entrer dans un bâtiment et engager le feu de manière plus précise qu'un fantassin." Selon ce cadre, "il faut préparer nos officiers à cette révolution (...), le principal étant de leur donner des valeurs".

Le général Yakovleff, de l'OTAN, "ne croit pas" au robot "tueur", mais voit de façon assez précise le rôle du "capteur" ou du "serviteur". Pour lui, "les robots opéreront en essaim, ce qui exige des algorithmes capables de les faire fonctionner de façon collective ; ils seront mono-capteurs, portables ; ils ressembleront plus aux animaux qu'on le pense, et se déplaceront à des vitesses tactiques comparables au chien". Pour ce haut responsable militaire, il faut "un robot pour un homme", pour que celui-ci reste le responsable.

Les chercheurs travaillent sur la façon dont les machines peuvent se coordonner entre elles autant qu'avec l'homme. Jeffrey Bradshaw, de l'Institute for Human and Machine Cognition de Floride, évoque "un travail d'équipe". Mais quelle vitesse de décision accorder à la machine pour que l'homme puisse continuer d'intervenir ?

En 1139, le deuxième Concile de Latran avait interdit les arbalètes car elles n'étaient pas certaines d'atteindre leur cible sans risquer de tuer un innocent. En 2011, l'on sait que les algorithmes les plus sophistiqués aboutissent à des décisions aberrantes, comme l'ont montré ceux utilisés pour réguler les marchés financiers.

Les robots pulvérisent les lois de la guerre, avertit Noël Sharkey, professeur d'intelligence artificielle à l'Université de Sheffield (Royaume-Uni). "Les robots, même capables de discriminer une cible, n'ont pas de bon sens. Ils sont incapables d'appliquer les règles de proportionnalité de l'usage de la force. Ils ne sont pas responsables, souligne-t-il. Avec des drones qui volent à Mach 22 comme on les expérimente, les êtres humains ne peuvent plus être dans la boucle pour prendre des décisions !"

Les militaires soulèvent de très nombreuses questions éthiques. "Si on attaque mon robot, vais-je tirer dans la foule pour le défendre ?, questionne le général Yakovleff. Va-t-on bâtir des escadrons de la mort de robots pour détruire ceux du camp adverse en se disant que si un homme reste à proximité, on tirera aussi ?"

Il faut d'urgence établir un cadre, défend le commandant Mark Hagerott, de la US Naval Academy, en raison de la pression économique - les robots sont moins chers que les hommes - et de l'inertie des progrès scientifiques - on ne peut revenir en arrière une fois que la technologie est là. "Face au développement massif de robots capables de déployer une force létale, il faut une prohibition."

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Johnny 5 ! Moi ça m'a traumatisé quand il se faisait détruire...  :'(

Pour ce qui est de la robotisation du champ de bataille, ces projets confirment que militaires et industriels U.S. n'ont rien appris de ces 10 dernières années.

Tu sais que la DARPA est sur le point de tester des puces cognitives....

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La DARPA (l'agence de la Défense américaine pour la recherche) poursuit sa lancée dans le biomimétisme et projette de concevoir cette fois-ci, un robot autruche.

Le robot est baptisé Fast Runner. Le projet a été mené par l’équipe du Dr Russ Tedrake, pensionnaire de l’Institut de Technologie de Massachussetts (MIT). Il a été réalisé en collaboration avec l’Institut de la cCognition Humaine et de la Machine en Floride (IHMC). Debout sur deux pattes, possédant un long cou, Fast Runner a tout d’un autruche, physiquement parlant. Ce robot a la capacité de courir à plus de 30 km/h et cette vitesse diminue de 50% sur un terrain accidenté. L’autruche robotique devrait mesurer 140 cm pour un poids de 30 kg pour la version finale.

Sa vitesse maximale devrait également être aux alentours de 45 km/h sur un terrain plat. On ignore encore la future fonction de cet oiseau métallique de l’armée.

http://www.tomsguide.fr/actualite/robotique-armee,1633.html

On approche de l'univers de StarWars les gars !

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Autant on arrive a faire des choses biens dans la robotique appliquee au domaine medical, autant pour des applications militaires, on part sur des terrains extremement glissant...

Ben quoi, la chine a 100 millions de soldat entrainé équivalent à une armée de classe A alors que nous en avons à peine 200 milles, les robots compléterons les 99 millions....

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Je suis sur que ton projet d'Attaque sur la Chine va interesser l'EMA...  :lol:

J'imagine une armée de robot "francais" tous équipé de puces chinoises :lol: on sera bien emmerdé quand il faudra leur botter le cul pour éviter qu'il nous mettent aux travaux forcés :happy: A 200 000 contre 99 millions ... va en falloir du talent, surtout avec juste la bite - pour les militaires qui en ont - et le couteau.

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  • 2 weeks later...

A partir de cet hiver, ce sont 8 petits robots sur quatre roues, capables de sauter, qui vont être déployés en Afghanistan pour tests en grandeur nature. Surnommé  »puces des sables », ces robots de quelques centimètres sont capables de sauter jusqu’à sept mètres de haut.

Le robot, équipé d’une caméra, sera utilisé en zone de guerre afin de se prendre pour Solid Snake et infiltrer et opérer sans se faire remarquer. Un robot d’intelligence et de renseignement.

La force d’équipements rapides (REF) américaine en a commandés 8 et s’ils remplissent leur mission correctement, ce seront sûrement plusieurs milliers qui prendront le chemin du théâtre des opérations.

Ces petits robots ont étés développés par la DARPA et réalisés par Boston Dynamics comme les robots Big Dog / Alpha Dog et Petman.

Vidéo :

http://www.gizmodo.fr/2011/11/28/une-puce-des-sables-robotisee-va-etre-deployee-en-afghanistan.html

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  • 3 months later...

Après les robots BigDog et PetMan, le DARPA s’attaque aux félins avec Cheetah. Ce robot quadrupède semblant tout droit sorti du film « Mission to Mars » est développé afin de rejoindre l’armée américaine qui espère un jour remplacer toutes ses troupes par des robots.

Le robot BigDog vous avait fait frémir par sa dextérité presque animale ? Cheetah vous fera sauter au plafond (vérifiez la hauteur des plafonds avant de regarder la vidéo). Cheetah a pour ambition de devenir aussi felin, agile et rapide qu’un guépard. Ce robot est le résultat du projet M3 (Maximum Mobility and Manipulation).

Pour le moment, le robot arrive à courir à la vitesse de 29 km/h, battant ainsi tous les records de vitesse des robots à pattes. Les chercheurs espèrent que leur robot atteindra les 80 km/h. Les premiers essais sur terrain auront lieu prochainement.

Vidéo :

http://www.gizmodo.fr/2012/03/06/cheetah-le-nouveau-robot-du-darpa-bat-des-records-de-vitesse.html#more-166345

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  • 3 weeks later...

Il résout un problème de franchissement de façon très simple. Le point à définir maintenant est: l'encaissement des chocs pour le matériel embarqué et le positionnement dudit matériel car on voit que parfois il atterrit sur le "dos" ce qui à l'heure actuelle ne semble pas un problème. Il faudrait donc un support qui soit pivotant pour que ça ne finisse pas à l'envers et placé de façon à bloquer/gêner le drone dans sa progression.

Mais j'aime bien le concept, c'est simple et visiblement très efficace.

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  • 4 weeks later...

L’armée américaine commande des robots jetables pour 1,5 million de dollars.

Le 110 FirstLook, commandé à une centaine d’exemplaires par la Défense américaine, est un robot de reconnaissance qui ne dépasse pas 25 cm et est muni de quatre caméras.

La JIEDDO (Joint Improvised Explosive Device Defeat Organization, organisation chargée de la lutte contre les engins explosifs improvisés) du ministère américain de la Défense a passé commande auprès d’iRobot de plus de 100 robots terrestres jetables.

La plupart des gens connaissent iRobot pour son modèle d’aspirateur populaire Roomba; ce qu’ils ne savent pas, c’est que le fabricant approvisionne également l’industrie et l’armée (nous avons eu une longue discussion avec son directeur de la technologie Tom Wagner à ce propos en février 2011).

Le robot 110 FirstLook, qui a été lancé l’année dernière, pèse 2,3 kg et ne dépasse pas 25 cm à sa dimension la plus large. Il est conçu pour se faufiler dans les endroits inaccessibles à des fins de reconnaissance, par exemple, si une unité veut faire évacuer un bâtiment mais ne sait pas ce qui se trouve derrière la porte.

Il dispose de quatre caméras embarquées (avec capacité infrarouge), peut supporter une chute de 5 m sur du béton, est étanche jusqu’à 1 m, grimpe sur des objets jusqu’à 20 cm de haut (par exemple, des marches d’escalier) et peut automatiquement se remettre d’aplomb en cas de culbute.

L’infanterie du futur, en gros, pendant au moins six à dix heures d’affilée.

Les robots ont déjà été livrés à la JIEDDO et prendront part à une évaluation opérationnelle au cours du printemps. En attendant, iRobot travaille sur l’ajout de la communication audio bilatérale et la mise en place d’un réseau maillé numérique des robots, afin que de multiples robots puissent relayer les communications radio sur de plus grandes distances.

http://www.smartplanet.fr/smart-business/larmee-americaine-commande-des-robots-jetables-pour-15-million-de-dollars-13063/

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Jetable dans le sens : pouvoir le balancer par dessus un mur ou à travers une fenêtre à l'étage, le larguer d'un hélico, etc...  pas dans le sens consommable.

Au lieu des fantasmes de robots géants façon Gundam ou humanoïde façon Terminator, on s'achemine vers des mini ou micro robots passe partout, de surveillance et demain d'attaque. Bref, un univers plus proche du film Planète Hurlante.  :O

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