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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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J'y ai pensé :

http://en.wikipedia.org/wiki/GDP_(disambiguation)

Mais ça n'a aucun sens.

Je pense que ça touche à la structure de la dette publique. Pas sur de tout piger.

C'est la dette du japon, exprimé pour pays détenteur, en pourcentage de leur PIB respectif, et de leurs passifs étrangers respectifs - ce qu'il ont preté a l'étranger et qu'on leur doit -.

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debonneguerre t'es pas vraiment de bonne foi  ;)

Y a plein d'hommes et femmes politiques capable en France, ce n'est pas parce que le pouvoir en place est médiocre que le reste de la classe politique l'est, à droite comme à gauche il y a des gens compétents.

Oui car il vas vraiment falloir finir par accepter que ceux qui nous gouvernent actuellement sont d'une médiocrité certaine et que peu de monde auraient fait pire.

Perso je ne m’inquiète plus du débat droite, gauche, je m’inquiète pour mon pays qui se désintègre en plein vol, tous les indicateurs sont au rouge, éducation, dette, justice, sécurité, balance commerciale, emploi, c'est la débande complète.

Les rapports de l'OCDE sont très alarmants, il suffit de les lire pour voir l'évolution de notre pays depuis 5ans, je ne parle même pas des rapports du FMI ou des ONG.

Et effectivement je suis d'accord avec toi c'est un problème d'homme  =D

+ 1 (ceci dit attention " l'homme " que l'on évoque a des admirateurs inconditionnels ici persuadés que grâce à lui "on est redevenu crédibles" :rolleyes:) n'est ce pas philippe ?
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C'est la dette du japon, exprimé pour pays détenteur, en pourcentage de leur PIB respectif, et de leurs passifs étrangers respectifs - ce qu'il ont preté a l'étranger et qu'on leur doit -.

Arf ! J'avais pas lu le titre. Merci Gally.

Les anglais et les japonais jouent à "je te tiens tu me tiens par les c******s" ?

Où c'est dû à leurs secteurs bancaire disproportionnés ?

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Oui car il vas vraiment falloir finir par accepter que ceux qui nous gouvernent actuellement sont d'une médiocrité certaine et que peu de monde auraient fait pire.

Lesquels??

Tu peux te bercer de douces illusions et croire que dés que sarko se sera fait sortir les problèmes vont se résoudre parce que les gens "compétents" sont là a attendre leur tour.

Et non car je suis à peu prés sur que ces gens si compétents vont dire "oh mais regardez ce que sarko a fait c'est trop tard, il en a tellement fait ohllala", bref les excuses et pleurnicheries que les politiciens sortent après chaque élection tout compétents qu'ils sont! comme c'est bizarre!.

debonneguerre t'es pas vraiment de bonne foi  ;)

Y a plein d'hommes et femmes politiques capable en France, ce n'est pas parce que le pouvoir en place est médiocre que le reste de la classe politique l'est, à droite comme à gauche il y a des gens compétents.

Des gens compétents la France en produit des milliers depuis des décennies, et la situation dans laquelle on se retrouve aujourd'hui n'a pas entamé sa genèse en 2002 désolé de te l'apprendre, faut sortir de l'obsession SARKO.

Et donc je reviens à ça : oui c'est un problème "d'homme", qui ne s'apprécie pas au niveau strict de sa compétence, mais au niveau du courage, de l'abnégation, de la vision, du projet.

Le courage de s'affranchir des clientélismes et des pressions de ceux qui veulent se préserver, de bousculer les carcans, et les dogmes, le courage de se mettre en danger pour une idée qui le dépasse, le courage d'assumer ses choix sans se défiler à la première difficulté dans cette société du pathos ou ca pleurniche à tour de bras.

Et oui SARKO n'est pas cet homme là, même si à certains égards il n'a pas manqué de courage en 5 ans, mais si ce mec existe actuellement parmi les gens compétents dont vous parlez, j'aimerai bien que vous me le désigniez. :oops: :lol:

On verra bien peut être que dans l'épreuve certains vont se révéler mais pour le moment je ne vois qu'une bande de politicards qui préparent scrupuleusement mai 2012 et rien d'autre.

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(....)

Et oui SARKO n'est pas cet homme là, même si à certains égards il n'a pas manqué de courage en 5 ans, mais si ce mec existe actuellement parmi les gens compétents dont vous parlez, j'aimerai bien que vous me le désigniez. :oops: :lol:

Nicolas Dupont-Aignan ou JL Mélenchon comme suggestions ; perso j'en vois pas d'autre qui semblent correspondrent aux qualités que tu as évoquées : au point où en en est d'ailleurs on n'aurait rien à perdre en donnant à l'un de ces deux là l'occasion de le prouver !

Et si je ne prétends pas détenir la Vérité ou la Raison (ni plus ni moins que les autres), je tiens à souligner que ce n'est pas HS d'avoir exprimé une préférence pour deux personnages politiques, puisque la crise financière sert de prétexte à des instances internationales vendues à des intérêts privés (banques et multinationales) pour dicter leurs lois et leur politique économique aux Etats.

Or, justement quelques "politiciens" minoritaires (de par la volonté du bon peuple qui tout en se plaignant que "c'est toujours les même cons qui nous gouvernent" les reconduit à chaque élection : question de "représentativité" sans doute) proposent d'envoyer au Diable ces instances, et leurs oukases, pour renouer avec la liberté de mener une vraie politique de relance.

Tandis que tous les autres n'ont pas mieux à proposer que de ramper devant le FMI, et la Commission Européenne en nous faisant croire que ce serait la seule manière d'en sortir.

Appauvrir la classe moyenne qui est la seule base solide et pérenne de l'économie, ben voyons continuons comme ça et vous verrez comme ça ira mieux dans 5 ans :|

   

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http://www.telegraph.co.uk/finance/financialcrisis/8932640/Jacques-Delors-interview-Euro-would-still-be-strong-if-it-had-been-built-to-my-plan.html

Jacques Delors dans le "Telegraph" : - "C'est point ma faute ! J'leur avait dit moi..."

Responsable mais pas coupable ? (j'ai déjà entendu ça quelque part...).

To use that British understatement that Continentals enjoy, one might suggest that it has not been a good year for the euro. And now, some say, only about a week remains to put things right. So who better to question than the man who invented it? In Paris on Wednesday, I called on Jacques Delors.

Mr Delors, who was President of the European Commission from 1985 to 1995 (10 ans...), is the only foreign bureaucrat ever to have become a household name in Britain. In 1988, he enraged Margaret Thatcher by coming to address the British TUC on the joys of the European “social dimension”. Her famous Bruges speech later that month was her attempt to stand against the tide of European integration that he represented.

It was Mr Delors whose report produced the plan for what we now call the euro. He was such a demon figure for British eurosceptics that The Sun produced the headline “UP YOURS, DELORS” and invited its readers to turn, face the English Channel and make a rude gesture at him in unison.

I climb several twists of typical steep Parisian stairs to a modest office. The small, bespectacled figure who greets me is old in years — he was born in July 1925, three months before Mrs Thatcher — but with undiminished physical and mental vigour. We talk for two hours, and one feels he would happily continue for another two.

Mr Delors is known for his austerity, but the man I converse with is not stiff or pompous. He remembers his old adversary with a slightly amused respect, noting her immense capacity for work and her vision in looking for change in the Soviet Union before others did.

He reflects on their difference of background and character: “I think for Mme Thatcher I was a curious personage: a Frenchman, a Catholic, an intellectual, a socialist.”

Deciding not to beat about the bush, I ask the man who prides himself on being an architect of European Union whether he got it all wrong. Unhesitatingly, he denies it. It is a fault in the execution, not of the architects, which he claimed to have pointed out in 1997 when the plans for introducing the euro finally came together. At the time, he says, the best of the eurosceptic economists, whom he refers to as “the Anglo-Saxons”, raised the simple objection that if you have an independent central bank, you must also have a state.

Mr Delors thinks “they had a point”, but the way round this problem was to insist on the economic bit of the union as much as the monetary. As well as creating a single currency, you also had to create common economic policies “founded on the co-operation of the member states”.

I get the impression from Mr Delors that he thinks Mrs Thatcher would have agreed with this view. She certainly would not have agreed, however, on the Delors version of what that co-operation should produce — the harmonisation of most taxes, plans to deal with youth and long-term unemployment, and that social dimension for which he always called because “it is not just a question of money. I said all these things, but I was not heard. I was beaten.”

There was also a problem of “surveillance”. The Council of Ministers should have made it its business to police the eurozone economies and make sure that the member states really were following the criteria of economic convergence. This did not happen.

For a long time, the euro did remarkably well, Mr Delors argues, bringing growth, reform and price stability to the weaker members as well as the stronger. But there was a reluctance to address any of the problems. “The finance ministers did not want to see anything disagreeable which they would be forced to deal with.” Then the global credit crisis struck, and all the defects were exposed.

Whom does he blame most for this? He thinks that “everyone must examine their consciences”. He identifies “a combination of the stubbornness of the Germanic idea of monetary control and the absence of a clear vision from all the other countries”.

What of his own country’s role? Mr Delors patriotically declined to be drawn on this point, though I detect some dissatisfaction. He reminds me that he is, after all, speaking to an English not a French newspaper.

By way of a friendly aside, Mr Delors adds that Britain, though not in the euro and therefore not “sharing the burden”, is “just as embarrassed” as the Europeans by the financial crisis.

“I can see Mr Cameron’s worries,” he goes on, “It is a big worry for the British if we can create and trade eurobonds in Paris and Frankfurt.’

In general, says Mr Delors, among all the 17 member states of the eurozone, the reaction to problems from 2008 to today has been “too little, too late”.

Surely, I say, that is exactly what you would expect from such a system faced with such difficulties. No, he replies sharply: look at what happened at the end of the 1980s with the fall of the Berlin Wall. Helmut Kohl, François Mitterrand, George Bush senior and Mikhail Gorbachev (Mrs Thatcher is not included in his gallery) “could all have spoken and acted too little, too late”. But in fact “they reacted quickly to this revolution, thanks to the intelligence of these men. There was an aspect of sangfroid and political vision”.

He clearly sees the fall of the Wall as the high-water mark of Western strength. He equally clearly sees no such political vision today.

So will the euro survive? Mr Delors does not, of course, deviate from his belief in the European single currency. He is also very conscious of the danger of someone in his position saying anything that might help to destabilise the situation. I am struck, however, by his downbeat interpretation of events.

“Jean Monnet [the founding father of the European Union] used to say that when Europe has a crisis it comes out of the crisis stronger … but there are some, like me, who think that Monnet was being very optimistic. You must be very vigilant to make sure that you do come out of a crisis in a better state … I am like Gramsci [the Italian Marxist philosopher]: I have pessimism of the intellect, optimism of the will.”

Right now, Mr Delors judges, “even Germany” will have great difficulty in sorting out the mess. “Markets are markets. They are now bedevilled by uncertainty. If you put yourself in the position of investment funds, insurance companies and pension funds, you will understand they are looking for a clear signal.”

All the heads of government need to give this signal together. Instead, there has been, at least until the end of October, “a cacophony of statements”.

The euro can emerge from this crisis only if two conditions are met. “The first is that the firemen must put out the fire. The second is that there must be a new architecture. If you have one of these things without the other, the markets will be sceptical.”

The choice is “either to accept a greater transfer of sovereignty or to submit to a common discipline”.

But surely, I ask, as someone who has always advocated more European democracy, isn’t he worried by the takeover of the technocrats? In Greece and Italy, leaders have been parachuted in without anyone asking the voters. This does not bother Mr Delors at all.

“This is not the first time in history that we have put in a non-political person to ensure the transition. The markets are reassured that there is a man in place who knows what he’s doing. He can calm the many, many antagonisms.”

Jacques Delors is a master of all the technicalities of the argument, and all the Byzantine structures of the institutions, and speaks confidently in their jargon, but his mind seems burdened by deeper thoughts, too. He sees the crisis of the euro as part of something deeper and wider even than the credit crunch itself. He believes that the main social and economic “players” have their doubts about European policies.

“You hear it every day. You hear it in the markets. This is reinforced by populism in certain countries. Whether we like it or not, we are part of the West, and the West could possibly lose its leadership, and it is important that we preserve the values that matter not only to Europe, but to Britain and the United States — the values that are Judeo-Christian in origin — Greek philosophy and Greek democracy and Roman law, and the Age of Enlightenment and the French Revolution.”

Yet obviously, at the same time, we cannot “tell the President of China what to do. Other peoples want to preserve their values, and we want to preserve ours. This is the great challenge.”

So the crisis of the euro is all part of a crisis of the Western way of doing things? “Oui, c’est ça.”

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Pauvre DELORS! qui se fait embêter par..des anglais  :lol: :happy:

Tu peux aussi mettre Chevenement dedans, au moins dans le discours.

Pour Melanchon je suis moins d'accords.

Dupont Aignan? c'est qui? ;)

Melenchon, c'est un idéologue, populiste de gauche...mais un tribun remarquable  ;) par contre avec lui se repose quand même la question de la compétence économique  :lol:

Chevenement: arrêtez d'embêter les vieux  :lol:

Faut pas confondre le courage et la provocation.

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Pauvre DELORS! qui se fait embêter par..des anglais  :lol: :happy:

Dupont Aignan? c'est qui? ;)

Melenchon, c'est un idéologue, populiste de gauche...mais un tribun remarquable  ;) par contre avec lui se repose quand même la question de la compétence économique  :lol:

Chevenement: arrêtez d'embêter les vieux  :lol:

Faut pas confondre le courage et la provocation.

Dupont Aignan c'est lui http://site.web.news.free.fr/presidentielles2012/sarkozy?id=23
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Et non car je suis à peu prés sur que ces gens si compétents vont dire "oh mais regardez ce que sarko a fait c'est trop tard, il en a tellement fait ohllala", bref les excuses et pleurnicheries que les politiciens sortent après chaque élection tout compétents qu'ils sont! comme c'est bizarre!.

Oui, enfin, si la crise qui devrait arriver finit par arriver, ce genre de comportement a la "je balance la patate chaude" ne seras plus faisable ni acceptable.

Et donc je reviens à ça : oui c'est un problème "d'homme", qui ne s'apprécie pas au niveau strict de sa compétence, mais au niveau du courage, de l'abnégation, de la vision, du projet.

Le courage de s'affranchir des clientélismes et des pressions de ceux qui veulent se préserver, de bousculer les carcans, et les dogmes, le courage de se mettre en danger pour une idée qui le dépasse, le courage d'assumer ses choix sans se défiler à la première difficulté dans cette société du pathos ou ca pleurniche à tour de bras.

Et oui SARKO n'est pas cet homme là, même si à certains égards il n'a pas manqué de courage en 5 ans, mais si ce mec existe actuellement parmi les gens compétents dont vous parlez, j'aimerai bien que vous me le désigniez. :oops: :lol:

Il faudrait un politique qui accepte une mission suicide quoi  ;)

On verra bien peut être que dans l'épreuve certains vont se révéler mais pour le moment je ne vois qu'une bande de politicards qui préparent scrupuleusement mai 2012 et rien d'autre.

En fait, tu 'attends aucune reponse quoi.

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Il faudrait un politique qui accepte une mission suicide quoi   ;)

Les hommes providenciels existent mais nos mécanismes de fonctionnement ne les révèlent pas.

Plutôt que de passer au quinquenat, si le septena été passé au mandat unique, nous aurions participé au découplage du PR avec la logique de communication qui nous mine tant.

Il y a deux trois autres petits points marginaux qui pourraient faciliter beaucoup de choses tel le non cumul effectif non des mandats  mais des fonctions ainsi que le couplage des élus avec leur lieu réel de résidence.

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Bon je vais pas répondre aux gars qui parlent dans le vent avec des attaques ad nominem et sans argumentation, ce n'est pas nécessaire.

Sur le sujet, en effet il ne faut pas aussi oublier la responsabilité des électeurs car les politiciens sont avant tous élus par les électeurs. Connaissez vous une seule élections remportée par celui qui promettait vraiment moins à tout le monde? Bayrou a eu 17% en 2007 alors qu'il était le plus sérieux sur la réduction de la dépense de l'état, c'est bien mais pas suffisent.

Schröder, celui souvent cité en exemple en france actuellement, a certes rendu l'allemagne plus compétitive, mais il a fait le contraire de ce qu'il a promis et de plus, cela lui a coûté sa propre réélection en 2005 de son propre aveux ( http://www.foxytradingclub.com/vcc-hidden/actualites/vite-cest-chaud/schroeder-l-europe-n-est-pas-en-danger)

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on vois beaucoup de noms cités dans ce sujet  je suis tres surpris que  " ron paul " n'apparaisse pas une seule fois dans ce sujet ni meme tout court dans le forum !

ni meme "françois asselineau"

pour ceux qui ne  connaissent pas ron paul informez vous bien

sur qui il est, sur  sa carriere politique et sur ce qu'il dénonce depuis plus de 40 ans ...les livres qu'il a écrit..

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on vois beaucoup de noms cités dans ce sujet  je suis tres surpris que  " ron paul " n'apparaisse pas une seule fois dans ce sujet

Ah ... il est candidat à la présidentielle ? un de plus ...

:lol: nan, je plaisante, quoique ...

En quoi l'élection US qui a lieu fin 2012, nous concerne-t-elle ? (en fait en quoi la primaire républicaine nous concerne ?)

Déjà en France on joue la présidentielle bien trop tôt. Les gens en ont déjà marre.

Les hommes providenciels existent mais nos mécanismes de fonctionnement ne les révèlent pas.

Plutôt que de passer au quinquenat, si le septena été passé au mandat unique, nous aurions participé au découplage du PR avec la logique de communication qui nous mine tant.

Le quinquennat n'est pas adapté.

Le septennat, quand il y en a deux de suite, c'est trop long mais une fois sept ans peut être également trop court ...  :P

Il faudrait le septennat prolongeable en trois ans supplémentaires. 7+3 = 10 ans.  =D

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on vois beaucoup de noms cités dans ce sujet  je suis tres surpris que  " ron paul " n'apparaisse pas une seule fois dans ce sujet ni meme tout court dans le forum !

ni meme "françois asselineau"

Le citer, c'est bien. L'écouter, c'est mieux:

http://plusconscient.net/geopolitique-a-mondialisation/51-francais/261-francois-asselineau-les-etats-unis-controlent-ils-leurope-

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Lesquels??

Tu peux te bercer de douces illusions et croire que dés que sarko se sera fait sortir les problèmes vont se résoudre parce que les gens "compétents" sont là a attendre leur tour.

Et non car je suis à peu prés sur que ces gens si compétents vont dire "oh mais regardez ce que sarko a fait c'est trop tard, il en a tellement fait ohllala", bref les excuses et pleurnicheries que les politiciens sortent après chaque élection tout compétents qu'ils sont! comme c'est bizarre!.

Des gens compétents la France en produit des milliers depuis des décennies, et la situation dans laquelle on se retrouve aujourd'hui n'a pas entamé sa genèse en 2002 désolé de te l'apprendre, faut sortir de l'obsession SARKO.

Et donc je reviens à ça : oui c'est un problème "d'homme", qui ne s'apprécie pas au niveau strict de sa compétence, mais au niveau du courage, de l'abnégation, de la vision, du projet.

Le courage de s'affranchir des clientélismes et des pressions de ceux qui veulent se préserver, de bousculer les carcans, et les dogmes, le courage de se mettre en danger pour une idée qui le dépasse, le courage d'assumer ses choix sans se défiler à la première difficulté dans cette société du pathos ou ca pleurniche à tour de bras.

Et oui SARKO n'est pas cet homme là, même si à certains égards il n'a pas manqué de courage en 5 ans, mais si ce mec existe actuellement parmi les gens compétents dont vous parlez, j'aimerai bien que vous me le désigniez. :oops: :lol:

On verra bien peut être que dans l'épreuve certains vont se révéler mais pour le moment je ne vois qu'une bande de politicards qui préparent scrupuleusement mai 2012 et rien d'autre.

Debonneguerre, tu définis là ce que les américains appellent un "leader", un concept qui n'existe pas tel quel en français. Quand les américains choisissent leur président, ils cherchent plus un leader qu'un homme compétent. Ils font ainsi parfois des choix qui semblent étranges au reste du monde: Ronald Reagan, réélection de Bush. Si Obama n'est pas réélu, ce sera parce qu'il n'a pas été suffisamment leader a leurs yeux.

Ce concept de leadership est omniprésent dans la culture américaine. On organise des séminaires de formation, des cours sur le leadership, des anciens politiciens et chefs d'entreprise tiennent des conférences pour partager leur expérience de leader, etc...

En France, un bon dirigeant, semble t-il, est celui qui fait régner la 'concorde nationale', qui fait face a moins de grève, qui prend les décisions en accord avec ce que pense le peuple tel que le montre les sondages d'opinions, etc... On trouve absolument incompréhensible en France qu'un Tony Blair par exemple aille en guerre en irak alors que tous les sondages montrent que son peuple s'y oppose.

Cette culture de leadership est l'une des choses qui différencient le Québec des autres provinces canadiennes. Au Québec on est plutôt consensuel, on n'a pas vraiment cette culture. C'est ainsi qu'on se retrouve aujourd'hui avec un premier ministre conservateur qui a la majorité absolue au parlement, mais qui n'a que 5 députes élus au Québec. Pour que cela arrive, il a fallu qu'il fasse le plein de votes dans les autres provinces. Il vient de faire sortir le canada du protocole de Kyoto, alors que les québecois sont très sensibles aux questions de réchauffement climatique. Malgré tous ces problèmes, je trouve personnellement qu'il est un bon premier ministre pour le canada. Les canadiens des autres provinces l'ont plébiscité car ils ont trouve en lui un leader fort.

Je pense qu'en temps de crise un pays a besoin d'un leader, qui doit diriger son peuple, et non être dirige par les opinions des journalistes et les résultats des sondages. L’idée est que le leader a accès à plus d'information et à plus d'experts, et quand il est convaincu que quelque chose est bon pour son pays, il doit être capable d'obtenir que le peuple puisse le suivre, malgré ce que peuvent montrer les sondages et la presse. A moins d’être masochiste ou particulièrement sage, il est évident que le peuple n'acceptera pas facilement les reformes qui vont le faire souffrir. Si le leader se trompe, il le payera aux prochaines élections. on l'a vu avec Blair.

Tout le monde dit que la France est un pays difficile a gouverner, donc c'est un pays qui a besoin d'un leader fort en temps de crise, un d'un homme consensuel quand les choses vont bien.

Jacques Chirac est l'exemple type d'un président qui n'a pas été un leader pour son pays. En 12 ans de pouvoir, on peut difficilement citer une seule reforme majeure accomplie sous sa présidence. L'accomplissement majeur de ses 12 ans de pouvoir? opposition à la guerre en irak, une guerre qui a quand même eu lieu et qui ne concernait pas directement son pays.

Si vous voulez mon opinion d'un non français, je dirais qu'avec l'avenir qui s'annonce difficile, la France a besoin d'un véritable leader, et d’après ce que j'ai pu observer jusque la, Nicolas Sarkozy semble avoir les qualités nécessaires a un dirigeant de temps de crise, et en plus il a déjà fait son apprentissage. Il a fait des erreurs de forme au début, mais maintenant il semble s’être assagi. Et il n'a pas peur de faire machine arrière quand il se rend compte qu'il s'est trompe.

Pensez un peu a la guerre en Libye, est ce que un président sans leadership aurait pu faire jouer a son pays le rôle qu'il a joue en Libye, prendre les risques qu'il a pris?

Un jacques Chirac aurait il fait passer la retraite a 62 ans, quand même des écoliers se sont joint aux grévistes pour 'protéger leur retraite'?

Et il y a encore un tas d'autres reformes impopulaires a faire passer, puisque apparemment on est seulement au début de la crise.

Quand a François Hollande, peut être qu'il sera un leader encore meilleur que Sarkozy, peut être qu'il fera passer des reformes que même Sarkozy ne pouvait faire passer, seul l'avenir le dira. S'il se montre un piètre leader comme Chirac, ce sera malheureux pour la France.

Voila, c'est mon opinion. J’espère ne pas avoir trop choque les anti-sarkozy, car j'ai remarque que ceux qui s'opposent a lui le font avec beaucoup de passion.

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Au USA c'est notion de leadership du moins en politique est souvent associé a la notion de consensus ... notion elle aussi absente en France. En gros la bas on cherche un leader capable de - ou plutot dont l'équipe est capable de - dégager un consensus.

C'est d'ailleurs tout le jeu de l'opposition la bas que de mettre le président en défaut sur cette capacité de consensus, du moins de consensus suffisant, pour gouverner. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle vu d'ici la politique effective des républicain et des démocrates semble si proche.

En France au contraire on cherche a monter les uns contre les autres ... pour tirer les marrons du feu. Un peu comme des ados qui se déguise en n'importe quoi pour montrer qu'il existe individuellement. Résultat on aboutit a une sorte d'escalade dans mise en avant pas la différence avec la politique de l'autre avec comme seul fond de commerce le meme que celui des vendeur de bouffe industriel, avec moi vous en avait plus pour le meme prix.

En ca Sarkozy pas plus que Chirac avant n'a voulu ni n'a su, dégager quelconques consensus, passant leur temps désigner deci dela une brebis un jour un bouc l'autre, responsable de tous les mots de leurs électeurs.

Pourtant Chirac suite a son élection "massive" avait toutes les cartes en main pour jouer ce genre de consensus. Au contraire il a joué le rattrapage ... essayé de faire ce qu'on lui a privé de faire pendant ses belles années. Idem pour Sarkozy, qui nous fait la politique dont il révait dans les année 80 ... en 2010 ... et forcément ca marche pas comme ca :lol:

Avoir le leadership c'est bien, a condition que ce soit un outil seravtn a produire un consensus relatif, permettant un progres ... le leadership en lui meme n'est qu'un outil pas une fin.

L'exemple type du leadership contre le consensus, c'est Mitterrand et la peine de mort. Ca marche parfois et sur certain engagement symbolique, mais ca ne permet pas d'imposer ex nihilo n'importe quoi, n'importe comment.

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Jacques Chirac est l'exemple type d'un président qui n'a pas été un leader pour son pays. En 12 ans de pouvoir, on peut difficilement citer une seule reforme majeure accomplie sous sa présidence. L'accomplissement majeur de ses 12 ans de pouvoir? opposition à la guerre en irak, une guerre qui a quand même eu lieu et qui ne concernait pas directement son pays.

ça, c'est la vision de la gauche qui ne voit, dans son vote de deuxième tour en 2002, comme accomplissement et justification, que la non participation à la guerre en Irak.

Comme les médias sont principalement de gauche, cette vision est unilatéralement servie aux français.

Un jacques Chirac aurait il fait passer la retraite a 62 ans, quand même des écoliers se sont joint aux grévistes pour 'protéger leur retraite'?

Oui. Une réforme du système des retraites a été passée sous Chirac (menée par Fillion).

Quand a François Hollande, peut être qu'il sera un leader encore meilleur que Sarkozy, peut être qu'il fera passer des reformes que même Sarkozy ne pouvait faire passer, seul l'avenir le dira. S'il se montre un piètre leader comme Chirac, ce sera malheureux pour la France.

Voila, c'est mon opinion. J’espère ne pas avoir trop choque les anti-sarkozy, car j'ai remarque que ceux qui s'opposent a lui le font avec beaucoup de passion.

Dommage qu'une position "pro-Sarko" doive passer par de l'anti-Chirac ...  :P

Pour ce qui est d'Hollande, votre propos est totalement erroné et passe la structure politique française qui fait qu'un élu de gauche n'aura pas de base les syndicats et un certain agrégat contre lui à la première réforme venue (quel qu’elle soit).

Ce n'est pas une forme de leadership (ou leader-sheep en l’occurrence ...) mais juste le fonctionnement politico-lobbyiste de gauche.

C'est pour cette raison que votre jugement de Chirac est totalement déplacé car il y a eu le patch de réforme Jupé de 95 qui n'est pas passé, malheureusement pour les finances publiques ..., suite à la mobilisation des forces de gauches alors que c'était une réforme courageuse en son temps.

On aura a passer en 2012 des réformes plus douloureuses qui auront à être acceptées pour raison de crise.

L'exemple type du leadership contre le consensus, c'est Mitterrand et la peine de mort. Ca marche parfois et sur certain engagement symbolique, mais ca ne permet pas d'imposer ex nihilo n'importe quoi, n'importe comment.

Mauvais exemple.

Si cette réforme était passée par referendum, j'aurais plussoyé, car Mitterrand aurait alors convaincu au-delà de son clivage idéologique.

Faire cela au Sénat, on ne peut pas dire que cela relève de la grande performance, même si ça n'a pas été facile.

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tu es sérieux là ?

Évidemment si tu ne regardes que TF1 et ne lis que le Figaro, ça ne s'applique pas ...  :oops:  :oops:  :oops:

1 - wikileaks, je m'en fout

2 - rien dans ce qui est écris n'est contradictoire avec ce que moi j'écris. Au contraire, les journalistes sont bien tous issus du même "monde" (de gauche).

3 - quand une remarque vient des US à propos de l'Europe : c'est l’hôpital qui se fout de la charité. Ils n'ont pas de pluralisme chez eux mais du bi-partisme. Hors de ce contexte plus rien n'existe pour eux, donc pas de quoi donner des leçons aux autres.

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Debonneguerre, tu définis là ce que les américains appellent un "leader", un concept qui n'existe pas tel quel en français. Quand les américains choisissent leur président, ils cherchent plus un leader qu'un homme compétent

En France, qui sont les grandes idoles ? De Gaulle, Napoleon, louis XIV, voir Francois Ier et Henry IV.

Franchement, ce que t'apelle "leadership" j'apelle ca "poudre aux yeux".  L'ami Obama, avec son "Yes, we can", comment il les a tous emballe juste avec du vent.

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2 - rien dans ce qui est écris n'est contradictoire avec ce que moi j'écris. Au contraire, les journalistes sont bien tous issus du même "monde" (de gauche).

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Euh, oui mais c'est bien sûr.

Les journalistes c'est que des mecs qui sortent de Neuilly et font de grande écoles ou 99% des gens sont de droites, mais c'est des mecs de gauche... :P

Non c'est juste des mecs de droite qui mettent de l'eau dans leurs vins et sont plus capables que d'autres d'avoir un regard critique (il est vrai que la critique positive ils ne connaissent pas), mais on ne peut pas vraiment les traiter de gauchistes tellement ils sont à la droite de la gauche ou simplement à droite.

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