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true_cricket

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Tout ce qui a été posté par true_cricket

  1. Les conteneurs ne sont pas simplement posés sur le pont mais saisis, soit par des twist-lock, soit par des ridoirs. Mais c'est comme tout matériaux : on peut dépasser la limite de résistance et ça casse.
  2. Je ne vois pas comment un changement de propulsion peut donner une différence de 35% de masse, lorsqu'on sait que la propulsion d'un navire représente dans les 10% de sa masse totale.
  3. Les camions des services logistiques des armées sont dotées de systèmes de déchargement. Pas besoin de système de manutention externe, comme une grue ou un chariot élévateur.
  4. J'ai du mal à saisir somment le Royaume-Uni pourrait garder des bases en Ecosse sans l'accord de cette dernière. A pire l'Ecosse faigt un blocus des portes des bases et les anglais gfinirotn par sortir quand ils auront faim. Quand à l'Ecosse, elle a le pétrole dans sa zone économique exclusive. Jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus certes, mais c'est déjà une exportation. De toute façon, l'Angleterre n'exporte pas grand chose de physique non plus.
  5. Mais quid du revêtement du pont d'envol? ne risque-t-il pas de s'enflammer, même si l'acier situé en dessous diffuse bien la chaleur? C'est quoi de l'acier civil ou militaire? Il y a juste une spécification technique pour l'acier choisi, qui sortira des mêmes usines et que tout le monde peut commander.
  6. true_cricket

    Le successeur du CdG

    La cours des compte insiste sur le fait que le programme était "voué à l'échec" pour justifier son avis. Mouais, un peu facile une fois qu'on connaît de dénouement de l'affaire.
  7. - Ca dépend du navire Ca va de kW à de dizaines de MW -oui, des générateurs électriques (d'autres moteurs dédiés à ctte tache) -des batteries, mais peu d'énergie stockée -non -presque toutes, à part les armes d'infanterie -non. On la produit sur place
  8. JE vois des barbes courtes, pas des gens mal rasés. Et la barbe n'est pas interdite.
  9. true_cricket

    voiture volante

    Cette phrase montre un manque cruel de mise en pratique. On en reparle après 5 ans d'activité professionnelle?
  10. true_cricket

    voiture volante

    Le risque lié au survol d'une agglomération c'est de voir un avion s'écraser dans une zone dense en population. FInir avec un avion qui traverse le balcon et se retrouve dans le salon, tuant des gens qui n'avaient rien demandé à personne. Voir ce que j'ai écrit plus bas : le risque n'est pas acceptable lorsque des personnes qui ne sont pas concerné sont touchées par les accidents. Par ailleurs, le carburant largué présente lui aussi un risque d'explosion et de pollution, surtout si c'est à basse altitude. Voler est plus sûr que rouler car : -le nombre d'appareils sur les routes est bien plus important que le nombre d'appareil dans les airs -la qualité de l'entretien est plus importante sur les avions que sur les voitures Ne fantasmons pas sur l'électronique, c'est loin d'être la solution à tous les problèmes. L'électronique connait aussi des soucis, des erreurs. Et surtout elle a un coût d'entretien qui ne doit pas être négligé. Le risque c'est le produit d'une probabilité d’occurrence par des conséquences. Pour maintenir le risque acceptable, il faut réduire l’occurrence lorsque les conséquences augmentent en impact. Mais en augmentant le nombre d'engins en circulation, on augmente mécaniquement la probabilité occurrence. Par ailleurs, un parachute pour un appareil comporte plusieurs handicaps : -d'une part, il a besoin d'une altitude minimale pour pouvoir se déployer et freiner efficacement. -d'autre part, il s'agira d'un élément que l'on transportera en permanence, pour un usage unique. Donc du poids additionnel, donc une baisse de la rentabilité de l'appareil. Ce n'est pas complètement vrai. L'électronique est fiable lorsqu’elle est bien conçue, et entretenue. Si on peut garantir cette fiabilité par l'entretien sur les engins spatiaux, on ne pourra plus le faire sur des engins de consommations courante où le suivi sera aléatoire selon le propriétaire. SI la panne d'un micro-onde n'engage que rarement la vie humaine, celle d'un appareil restera toujours plus lourde de conséquence. Par ailleurs, se posera dans le cas des systèmes totalement automatisés le cas de la responsabilité en cas d'accident, donc une société judiciarisée : qui va payer pour les victimes? Oui et non. D'une part, le posé des hélicoptères n'a plus lieu à New York, dont emblématique immeuble était le MetLife building, suite à des accidents ayant tué des piétons en bas des tours. Car si le risque est jugé acceptable pour celui qui prend l'hélicoptère en connaissance de cause, il n'est plus acceptable du tout lorsqu’il touche des personnes qui passaient par là, sur un trajet quotidien, et qui ne sont pas concernés par les avantages de la méthode de transport. D'autre part, il y a des limitations quand aux trafics d'aéronefs au-dessus des villes, ce sont des réglementations locales, pour limiter les problèmes de bruit, mais aussi pour des raisons de sécurité. A Okinawa, quand un hélicoptère s'écrase sur une école, la population n'accepte plus la base proche et ses vols à basse altitude.
  11. Les FREMM n'ont pas d'ailerons de stabilisation mais une stabilisation par rudder-roll, basée sur des oscillations des safrans indépendants, légèrement inclinés. Par ailleurs, pour soulever tout ou partie d'une frégate de 5000t, cela revient à faire porter cet effort sur les seuls ailerons : -il faut donc un élément très solide en terme de résistance des matériaux, surtout au niveau du pivot -une aile portante génère de la traînée en même temps qu'elle génère de la portance (traînée induite : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tra%C3%AEn%C3%A9e_induite) -une aile portante génère de la traînée de par sa présence dans l'air (même formule que pour la génération de la portance avec un Cx au lieu du Cz) -enfin, il faut que l'aileron génère assez de portance. La portance générée vaut : F=1/2*rho*S*Cz*V² rho = masse volumique de l'eau (=1025kg/m3 en mer) S = surface de l'aileron (quelques mètres carrés) Cz = coefficient de portance du foil (entre 0,3 et 0,7 selon ce qui est recherché pour une aile portante plongée dans l'eau-prenons 0,5) V= vitesse du navire, en m/s. A 20noeuds, on fait du 10m/s Donc, un aileron arbitraire de 10m², à 20noeuds, génère 256kN de portance, soit 26 tonnes-force. C'est à dire qu'avec deux ailerons, on atteint 1% du poids du navire. Conclusion : ça va être dur de soulever la bête. Et je n'ai pas calculé la traînée additionnelle.
  12. C'est basé sur la réglementation civile : on dit au début qu'ils sont des navires construit selon la division maritime 234 "navires spéciaux" de la règlementation des Affaires maritimes. Et la phrase citée ci-dessus relative aux munitions indique qu'il faudrait prévoir une application du code IMDG (transport par voie maritime des matières dangereuses) sur ce navire, donc appliquer la règle SOLAS II-2/19 (je crois), qui n'est pas obligatoire sur les navires. Ca ne veut pas dire qu'il n'y aura pas de tourelle, mais précise juste que le référentiel de sécurité employé, puisqu'à priori il semble ne pas être spécifiquement militaire.
  13. Oui. sauf si les propriétaires se manifestent.
  14. Les 27% sont en puissance installée? Ou en puissance produite?
  15. L'équipement dépend des missions qui sont confiées au navire. Et les moyens doivent être pensés de façon globale : -les plates-formes hélicoptères n'ont d'utilité que si l'on dispose d'hélicoptères à poser dessus -si on achète un canon, il faut en payer les obus et l'entretien courant, et la formation du personnel si c'est une installation spécifique -les moteurs doivent être adaptés au profil d'emploi du navire, et non surdimensionnés pour uen vitesse de pointe emplyés une fois l'an (lors des essais?), si on veut un matériel pérenne et fiable, et adapté qu carburant disponible sur place. -etc... Bref, c'est une affaire de compromis, et l'armement des navire destinés à l'action de l'état en mer a déjà été discuté, et nous savons chacun la position des autres, on ne gagnera pas à revenir là dessus vu que chacun campe sur ses opinion.
  16. true_cricket

    Le(s) PA de la Royale

    Pour ma part, je n'ai pas d'information vérifiée là dessus. Mais certaines personnes le savent forcément (ou du moins, ont les documents qui après analyse leur permettrait de savoir), que ce soit à bord ou à la direction technique de la DGA. J'ai ouïe dire et lu dans des sources ouvertes que cela avait augmenté d'entre 2000 et 4000 tonnes entre ce qui était prévu au début de la construction et ce qui est aujourd'hui. La surface de flottaison étant de 5000-6000m² (calcul sur un bout de table), cela donne un enfoncement additonnel entre 30cm et 90cm. Ce n'est pas une fourchette très précise, mais c'est à comparer aux 8,5m de tirant d'eau publiés officiellement (je vérifierai dans Flotte de Combat en rentrant chez moi).
  17. true_cricket

    Le(s) PA de la Royale

    Il s'agit de rambardes mobiles, semblable à des "raquettes pivotantes de pont d'envol". En effet, on voit clairement qu'elles ont des coins supérieurs arrondis, et qu'elles n'ont pas de rambarde intermédiaire mais un filet au milieu, ce qui est typique des raquettes de pont d'envol françaises (les autres pays ont d'autre façon de faire les angles et les filets). Tout cela pour dire qu'elle ont un pivot sur leur partie inférieure, avec une goupille de blocage, et que la position verticale de ces raquettes n'est pas parfaite, des jeux pouvant apparître au fil de l'emploi. Rien de tordu donc. On se trouve à cet endroit sur le chemin des aussières, comme en témoigne le treuil d'amarrage situé un peu plus en arrière sur le spooson, les bites et le chaumard à rouleau. En l'absence de chaumard vers l'avant, les architectes ont choisi des barrières amovibles.
  18. true_cricket

    Le(s) PA de la Royale

    Où donc des tubes tordus sur la photo?
  19. true_cricket

    Marine Britannique

    C'est un projet qui n'existe qu'à l'état d'image pour l'instant, étant donné que personne ne l'a commandé.
  20. Sachant que le transport maritime c'est environ 80% des tonnes-km du transport mondial, pour environ 50% de la valeur du commerce mondial.
  21. Ben... ce sont tous des patrouilleurs. Pour de l'Action de l'Etat en Mer je ne sais pas s'il aurait été utile de vouloir réinventer l'eau chaude.
  22. B2M devrait ressembler à ça : http://www.meretmarine.com/fr/content/la-dga-officialise-la-commande-des-b2m BSAH & PLG : c'est pas juste une consultation pour l'instant? Je ne trouve rien sur je JO-UE ( http://ted.europa.eu/TED/main/HomePage.do ) où sont d'habitude publiés les appels d'offre.
  23. true_cricket

    Marina militare

    Vu que pour l'instant ils ne se servent pas vraiment de leurs navires, ils peuvent dépasse en tonnage que cela ne changera rien sur les mers du monde...
  24. Le rapport posté plus haut ne concerne que les navires civils. Pour les navires militaires, cela fait bien longtemps qu'ils se branchent à quai, étant donné les périodes beaucoup plus longues qu'ils y passent. Certains enseignements de ce rapport restent applicables aux navires militaires, mais ne sont pas nombreux.
  25. Ce n'est pas parcequ'un navire a la capacité technique de naviguer xxx jours par an qu'il les fait effectivement tous les ans. cela permet d'être plus réactif en cas de mission impromptue longue durée puisque el navire est conçu pour.
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