Paschi

« A quoi ça sert de revenir au Nigeria ? » : à Benin City, le difficile retour des migrants rapatriés de Libye. Malgré la mise en place de nombreux programmes de réinsertion, les « returnees » peinent souvent à reconstruire leurs vies. https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/10/20/a-quoi-ca-sert-de-revenir-au-nigeria-a-benin-city-le-difficile-retour-des-migrants-rapatries-de-libye_6146648_3212.html

Je ne veux pas plomber l'ambiance festive du vendredi mais... Vlad, jeune Ukrainien de 16 ans emprisonné par l'armée russe au printemps, est désormais libéré et sain et sauf en Suisse. Dans un témoignage rude et brutal, il a raconté à la RTS les conditions de son enfermement pour aider les autres enfants toujours séquestrés. https://www.swissinfo.ch/fre/-ils-m-ont-donné-pour-mission-de-nettoyer-la-salle-de-torture-/47993494?

https://www.blick.ch/news/wegen-rueckschlaege-im-ukraine-krieg-verliert-putin-jetzt-auch-noch-den-rueckhalt-von-china-id17979045.html Poutine est-il en train de perdre le soutien de la Chine ? La Russie et la Chine sont unies par leur aversion pour les Etats-Unis. Mais cette relation semble désormais s'effriter, car la Chine ne semble pas très enthousiaste à l'égard des récentes attaques contre Kiev. Il semble que Xi Jinping ait fait un mauvais calcul. Au début de l'année, le président chinois Xi Jinping (69) a décrit son amitié avec le chef du Kremlin Vladimir Poutine (70) comme suit : "Une amitié sans frontières". Mais la guerre d'agression de la Russie contre l'Ukraine a compliqué la relation. Poutine espère le soutien de son homologue, mais Xi semble prendre peu à peu ses distances. La raison : les dirigeants de Pékin sont pris dans un dilemme. Plus la guerre dure, plus le soutien de la Chine à Moscou se fait discret. En revanche, les voix critiques se font plus fortes. "Le comportement de la Russie lors du début et de la conduite de la guerre prouve que son aventure militaire est irréfléchie et que ses forces armées conventionnelles sont faibles", déclare par exemple Shi Yinhong (71 ans), professeur de relations internationales à l'Université du peuple de Pékin, à l'Agence de presse allemande. Il semble désormais que la Chine tourne le dos à la Russie. Ainsi, lors d'une conférence de presse au congrès du parti communiste jeudi, les principaux responsables de la politique étrangère n'ont pas mentionné l'"amitié sans frontières" avec la Russie. Il est également habituel qu'un journaliste russe puisse poser la deuxième ou la troisième question sur le partenariat avec Moscou. Ce n'est pas le cas cette fois-ci. La Chine rompt-elle maintenant avec la Russie ? Le président russe Vladimir Poutine avait déjà reconnu en octobre, lors d'une rencontre avec le chef de l'Etat et du Parti Xi Jinping, "des inquiétudes et des questions" du côté chinois - sachant qu'il exigeait beaucoup de Pékin. Avec les revers des forces russes sur le champ de bataille, la position de la Chine "a rapidement évolué vers un nouveau niveau", estime le professeur Shi Yinhong. L'annexion des territoires occupés en Ukraine après les référendums fictifs a apparemment encore affaibli le soutien. Xi a sans doute mal calculé son soutien à Poutine. "Il a dû penser que la guerre serait rapidement terminée", estime l'expert Richard McGregor du Lowy Institute australien. "Il doit maintenant recalibrer. Il est trop tôt pour dire si les Chinois pensent qu'ils ont fait une erreur d'appréciation. Mais je pense qu'ils sont définitivement en train de tourner et de se tortiller". Selon McGregor, Pékin est actuellement "extrêmement inquiet". "Une Russie affaiblie de bout en bout n'est pas bonne pour la Chine", explique l'expert de Lowy à l'agence de presse allemande. "La Chine n'a rien contre le fait que la Russie soit le partenaire junior de leur coalition. Mais ils ne veulent pas non plus qu'elle soit trop faible".

on est vendredi alors... je sais :

https://www.thedrive.com/the-war-zone/ukraine-situation-report-russian-attacks-on-power-plants-spurs-emergency-actions À la suite de ces attaques, l'Ukraine introduira demain des restrictions d'approvisionnement en électricité dans tout le pays, a annoncé Kyrylo Timochenko, chef adjoint du bureau de Zelensky, sur sa chaîne Telegram. "Demain [...], des restrictions d'approvisionnement en électricité seront introduites dans toute l'Ukraine", a déclaré Timochenko. "Aujourd'hui, l'ennemi a de nouveau détruit des installations de production d'énergie. Veuillez prendre cela au sérieux. A partir de 7 heures du matin jusqu'à 11 heures du soir, il est nécessaire de minimiser l'utilisation de l'électricité. Ceci s'applique aux résidents de TOUTES les régions du pays. Si cela n'est pas fait, vous devez vous préparer à des coupures temporaires. De même, à partir de demain, l'utilisation de l'éclairage public sera limitée dans les villes. Ce sont des mesures forcées. Par conséquent, nous devons tous travailler ensemble sur notre front !" Les annonces de Kiev sont intervenues le jour où trois autres centrales électriques ukrainiennes ont été touchées par des frappes russes.La dernière en date est celle de la région d'Ivano-Frankivsk, dans l'ouest de l'Ukraine, où Svitalana Onyshchuk, chef de l'administration militaire régionale, a déclaré que la centrale électrique au charbon de Burshtyn avait été touchée, rapporte CNN. "Malheureusement, notre région a subi aujourd'hui une attaque de missiles. Notre centrale thermique (TPP) de Burshtyn a été touchée aujourd'hui. Un incendie s'est déclaré à la suite de cette frappe", a écrit M. Onyshchuk dans une publication sur Facebook. "Tous les services d'urgence travaillent sur place. Dieu merci, il n'y a pas de victimes", a ajouté M. Onyshchuk. Plus tôt dans la journée de mercredi, des responsables de la région de Vinnytsia, dans le centre de l'Ukraine, et du district de Kryvyi Rih, dans la région de Dnipropetrovsk, dans le centre-est, ont fait état de frappes sur des installations énergétiques, rapporte CNN. Les dernières nouvelles Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Mes excuses aux "usual suspects", rien sur le F-35, armé de terre oblige DRA 10, au service de la Confédération C’est l’unité d’élite de l’armée suisse, la crème des Forces spéciales de la Confédération. Ses militaires surentraînés ont été engagés dans la plus grande discrétion en Ukraine et en Afghanistan, pour exfiltrer des Suisses en danger. Leurs missions sont à hauts risques, pour eux-mêmes, et pour la neutralité suisse. Pour la première fois, ces soldats d’élite se révèlent devant une équipe de télévision, un document rare et inédit. https://www.rts.ch/play/tv/temps-present/video/dra-10-au-service-de-la-confederation?urn=urn:rts:video:13481554

Je crois que tu t'es trompé de lien. Celui que tu as mis concerne des affrontements en Guinée.

C'est en effet une explication. Selon le point d'emport le missile est soit allumé et tiré depuis le point d'emport, soit lâché et en suite le propulseur s'allume.

J'avais lu l'article sur le site de la BBC et ce qui m'avait parut bizarre, c'est le terme utilisé. Ils ont écrit "A missile was released from a Russian aircraft" et pas "A missile was fired from a Russian aircraft". Bon après c'est de la sémantique mais cela m'avait quand même laissé dubitatif. https://www.bbc.com/news/uk-63327999

Orban va finir par se prendre un coup de pied au c** de la part des USA https://www.bbc.com/news/world-europe-63317158 Les États-Unis rappellent à la Hongrie pro-Poutine qu'elle est un allié occidental L'ambassade des États-Unis à Budapest a riposté aux semaines de commentaires anti-américains vitrioliques du gouvernement Fidesz de Viktor Orban sur la guerre en Ukraine. Une vidéo d'une minute publiée par l'ambassade cette semaine sur Twitter présentait cinq remarques anti-américaines formulées par des personnalités du gouvernement ou leurs alliés médiatiques. Les utilisateurs devaient deviner si les remarques venaient du président russe Vladimir Poutine ou des hommes du dirigeant hongrois. La bonne réponse, à chaque fois, était Team Orban. Parmi les commentaires, citons : "[Les États-Unis] sont les bénéficiaires de la guerre, ils ne sont donc guère intéressés à y mettre fin rapidement". C'était de la part du directeur d'un institut financé par le gouvernement. Le quiz de l'ambassade des États-Unis est chargé d'ironie, car il coïncide avec le lancement d'une 14e "consultation nationale" en Hongrie, au cours de laquelle le gouvernement de M. Orban présente un quiz de son cru, comportant sept questions tendancieuses au public. L'objectif est d'obtenir le soutien des Hongrois pour, en l'occurrence, les critiques du gouvernement à l'égard des sanctions européennes contre la Russie. Parmi les questions posées dans le questionnaire figurent les suivantes : Les factures d'électricité des ménages en Europe ont atteint des niveaux record. En réponse aux sanctions, la Russie menace de couper l'approvisionnement en gaz. Cela met en danger l'approvisionnement pour le chauffage domestique et la viabilité de l'économie européenne. Êtes-vous d'accord avec les sanctions concernant l'approvisionnement en gaz naturel ? Oui ou non. Les partis d'opposition hongrois affirment que la crise économique actuelle est, au moins en partie, le résultat des dépenses excessives et prolifiques du gouvernement Orban, qui a dilapidé l'argent de l'UE pour récompenser ses alliés commerciaux au cours des 12 dernières années et pour gagner les élections d'avril. La guerre de la Russie en Ukraine est présentée par les médias contrôlés par le Fidesz comme la faute des États-Unis. Si le Premier ministre a parfois évoqué une "agression russe", le conflit est présenté comme une bataille entre superpuissances, provoquée par les tentatives de l'OTAN d'encercler la Russie - un argument utilisé par Vladimir Poutine pour justifier l'entrée en guerre. Dans le même temps, le ministre hongrois des affaires étrangères, Peter Szijjarto, rencontre régulièrement son homologue russe, Sergei Lavrov, ainsi que les directeurs des entreprises publiques russes Rosatom et Gazprom, afin de garantir la continuité des approvisionnements en gaz et en énergie nucléaire. Pour encourager les gens à participer à la consultation nationale et à donner les "bonnes" réponses, le gouvernement a installé des panneaux d'affichage géants dans toute la Hongrie cette semaine. "Les sanctions de Bruxelles nous détruisent", tel est le message, avec une bombe étiquetée "sanctions" qui vole dans les airs. Le parti d'opposition Momentum a déposé une plainte officielle auprès de l'autorité de contrôle de la publicité, estimant que cette publicité enfreint les directives éthiques. Les médias gouvernementaux omettent de signaler ou sous-estiment les dommages que les sanctions ont causés à l'économie russe. Les mêmes auteurs ont présumé d'une victoire rapide de la Russie, et semblent maintenant ne pas être impressionnés par les avancées ukrainiennes sur le front. Les derniers médias indépendants ou d'opposition en Hongrie couvrent en détail la situation sur le terrain. Autre ironie, le gouvernement hongrois a en fait voté en faveur des huit trains de sanctions introduits jusqu'à présent par l'UE. Ceci de la part d'un gouvernement qui lance des attaques verbales constantes contre "Bruxelles" ou les "bureaucrates de Bruxelles". "Bruxelles est une ville", a déclaré sèchement le commissaire européen Thierry Breton aux journalistes mardi à Budapest, après des entretiens avec des responsables gouvernementaux. Derrière la dernière querelle avec les États-Unis et les reproches constants adressés à l'UE se cachent de dures réalités financières : En septembre, l'inflation annuelle en Hongrie était de 20 %. Toutes les dépenses financées par le gouvernement central ont été suspendues. Les institutions culturelles et sportives, y compris dans les villes contrôlées par le parti Fidesz, ferment pour l'hiver, incapables de faire face à la flambée des factures de chauffage. Les enseignants sont en grève Des nuages sombres s'amoncellent sur l'avenir de l'extension de la centrale nucléaire de Paks-2, construite et financée par la Russie. Le gouvernement a désespérément besoin des fonds de l'Union européenne, toujours bloqués par des problèmes de corruption et de respect de la législation européenne. Dans les négociations privées, il fait preuve d'une nouvelle volonté de compromis. En public, sa rhétorique est sans limites. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Actuellement, l'UDC a cinq candidats à la succession d'Ueli Maurer. Quatre hommes : et une femme. Cette dernière, Michele Blochliger, leur pose problème car elle est binationale https://www.rts.ch/info/suisse/13452109-albert-rosti-entre-dans-la-course-au-conseil-federal.html https://www.rts.ch/info/suisse/13446125-werner-salzmann-est-le-premier-candidat-declare-a-la-succession-dueli-maurer.html https://www.rts.ch/info/suisse/13467485-le-zougois-heinz-tannler-3e-homme-candidat-a-la-succession-dueli-maurer.html https://www.rts.ch/info/suisse/13477026-ludc-zurichoise-lance-hansueli-vogt-dans-la-course-au-conseil-federal.html et une femme, Michèle Blochliger : https://www.rts.ch/info/suisse/13471163-la-nidwaldienne-michele-blochliger-est-la-premiere-femme-candidate-a-la-succession-dueli-maurer.html Cette dernière, leur pose problème car elle est binationale : La candidate de l’UDC au Conseil fédéral Michèle Blöchliger reconnaît avoir la double nationalité suisse et britannique. Dans un premier temps, la conseillère d’Etat nidwaldienne avait déclaré que cette information n’était "pas exacte". Elue ou pas, elle va de toute manière renoncer à la nationalité britannique, précise-t-elle. https://www.rts.ch/info/suisse/13477979-candidate-au-conseil-federal-ludc-michele-blochliger-admet-etre-binationale.html Les verts avaient un temps pensé à lancer une candidature mais y renoncent car ils se sont rendus compte que cela était voué à l'échec. https://www.rts.ch/info/suisse/13474424-les-verts-renoncent-a-attaquer-le-siege-udc-au-conseil-federal.html Donc, s'il n'y a pas d'autres candidats, ce sera à l'UDC de designer leurs candidats officiels (généralement on en présente deux) à la succession d'Ueli Maurer.

Cela ne s'arrange pas.... talie : Berlusconi dit avoir « renoué » avec Poutine et attaque Zelensky ; malaise dans la coalition des droites. Ses propos ont provoqué la stupéfaction de Giorgia Meloni, la dirigeante du parti postfasciste Fratelli d’Italia, qui s’emploie à former un gouvernement avec Forza Italia et la Ligue, partis respectifs de Silvio Berlusconi et de Matteo Salvini. https://www.lemonde.fr/international/article/2022/10/19/italie-berlusconi-dit-avoir-renoue-avec-poutine-et-attaque-zelensky-malaise-dans-la-coalition-des-droites_6146550_3210.html

Pour l'instant pas de détails là dessus, à par qu'il reste un passage permettant à un membre de l'équipage d'accéder à la tourelle dans le cas où il faudrait y accéder pour procéder à une réparation.

C'est une idée tentante par contre, faudra assumer les conséquences, et ressortir les calèches et autres carrioles à bras. Il faudra faire une croix sur le pétrole provenant du Moyen Orient.

Le FH70, obusier de 155 millimètres, est utilisé par les pays de l'OTAN depuis plus de 40 ans. Les lettres et le numéro correspondent en fait à l'expression Field Howitzer for the 1970s. Les forces ukrainiennes en ont fait l'acquisition en mai dernier grâce à l'Italie et ont reçu une formation en Estonie. Les soldats de la 30e brigade mécanisée ukrainienne disent avoir été frappés de tous côtés autour de la ville ukrainienne clé de Bakhmut. Les forces russes ont progressé lentement mais sûrement dans la zone.

Dans le même temps il semble pratiquement acté que l'Iran a accepté de vendre des SRBM à la Russie. Si cette annonce se réalise il faut voir combien de temps il faudra à l'Iran pour livrer lesdits SRBM à la Russie. Si cela se fait rapidement et en nombre cela peut causer des problèmes aux Ukrainiens https://www.thedrive.com/the-war-zone/ukraine-situation-report-iranian-officials-admit-to-selling-russia-ballistic-missiles Des responsables iraniens ont reconnu pour la première fois qu'ils prévoyaient de vendre à la Russie des centaines de missiles balistiques à courte portée (SRBM) et des drones, a rapporté Reuters, citant deux hauts responsables iraniens et deux diplomates iraniens. Cette reconnaissance va à l'encontre des précédents démentis de l'Iran concernant la vente de missiles et de drones à la Russie, malgré le fait évident qu'il l'avait fait. La semaine dernière, le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amirabdollahian, a déclaré que "la République islamique d'Iran n'a pas fourni et ne fournira pas d'armes à utiliser dans la guerre en Ukraine", selon un compte rendu de son appel avec son homologue portugais, le 16 octobre, rapporté par le Washington Post. "Nous pensons que l'armement de chaque partie de la crise prolongera la guerre". L'accord, rapporté pour la première fois dans cet article du Post qui n'a pas été reconnu par l'Iran, porte sur des SRBM Fateh-110 et Zolfaghar capables de frapper des cibles à des distances comprises entre 300 et 700 kilomètres. ... L'Iran a accepté de vendre des SRBM à la Russie le 6 octobre, selon Reuters, "lorsque le premier vice-président iranien Mohammad Mokhber, deux hauts responsables du puissant Corps des gardiens de la révolution islamique (IRGC) et un responsable du Conseil suprême de la sécurité nationale se sont rendus à Moscou pour discuter avec la Russie de la livraison" de drones Shahed-136, ceux qui se sont abattus sur les villes ukrainiennes lundi. "Les Russes avaient demandé plus de drones et ces missiles balistiques iraniens à précision améliorée, notamment la famille des missiles Fateh et Zolfaghar", a déclaré à Reuters l'un des diplomates iraniens, qui a été informé du voyage.

https://www.rheinmetall.com/de/rheinmetall_ag/press/news/latest_news/index_35328.php Le 15 octobre 2022, Rheinmetall a remis le premier des 209 véhicules blindés de combat d'infanterie Lynx aux forces armées hongroises. Deux ans seulement après la commande, le président du directoire de Rheinmetall AG, Armin Papperger, a remis les clés au ministre hongrois de la Défense, Kristóf Szalay-Bobrovniczky. La remise a eu lieu dans le cadre d'une cérémonie de prestation de serment des nouvelles recrues des forces armées hongroises à la caserne Petöfi Sándor de Budapest, à laquelle a également assisté le Premier ministre Viktor Orbán. Lynx deviendra l'épine dorsale des forces d'infanterie mécanisées de la Hongrie. "Nous sommes très fiers de pouvoir remettre aujourd'hui le premier véhicule blindé de combat d'infanterie Lynx à notre partenaire hongrois", a déclaré Armin Papperger. "Il s'agit d'une étape importante. Le Lynx est le système de combat le plus moderne de sa catégorie. Avec cette décision d'acquisition pionnière, les décideurs militaires et politiques hongrois ont démontré leur leadership. Le pays ne se place pas seulement à la pointe de la technologie militaire européenne. Le gouvernement hongrois suit également de manière conséquente et avec beaucoup d'efforts sa ligne de conduite consistant à être un partenaire fiable et militairement performant pour les forces de l'OTAN". En septembre 2020, le ministère hongrois de la Défense a confié à Rheinmetall la livraison de véhicules de combat et de services associés d'une valeur de plus de 2 milliards d'euros. Le volume de livraison global comprend également des munitions et des services logistiques ainsi que neuf chars de dépannage 3 buffles, neuf chars poseurs de ponts et 16 camions. La Hongrie est le premier pays membre de l'OTAN et de l'UE à recevoir le nouveau véhicule blindé de combat d'infanterie Lynx de Rheinmetall. Avec ce succès important, le groupe technologique de Düsseldorf a réussi à percer sur le marché mondial avec son nouveau véhicule de combat innovant. Le Lynx KF41 destiné aux forces armées hongroises sera livré en sept variantes, dont le véhicule blindé de combat standard, le véhicule blindé de reconnaissance, le véhicule de conduite de tir, le véhicule porteur de mortier, le véhicule sanitaire et le véhicule d'entraînement à la conduite. Le contrat comprend également d'autres services fournis par Rheinmetall, tels que des simulateurs, la formation et l'entraînement, ainsi qu'une dotation initiale en pièces de rechange et des services de maintenance. Les véhicules blindés de combat d'infanterie Lynx seront équipés de la tourelle habitée Lance de 30 mm et du système de protection actif à distance StrikeShield, tous deux également développés par Rheinmetall. Dans une première phase de production, la Hongrie doit recevoir 46 véhicules blindés de combat d'infanterie Lynx de fabrication allemande. À la fin de l'année prochaine, Rheinmetall veut produire les autres véhicules dans le pays client. Pour ce faire, le gouvernement hongrois et Rheinmetall avaient déjà convenu à la mi-août 2020 de créer une coentreprise qui serait responsable de la mise en place d'une production de Lynx dans le pays client. Le site de production ultramoderne pour ce véhicule de combat innovant est actuellement en cours de construction à Zalaegerszeg dans le cadre du complexe industriel ZALAZone. Ce centre de compétence contribue non seulement au maintien et à l'extension des capacités hongroises en matière de développement et de production de véhicules de combat modernes, mais renforce également l'économie locale. Les nouveaux collègues hongrois de Rheinmetall travaillent déjà en Allemagne sur les nouveaux véhicules Lynx et acquièrent ainsi des connaissances et des compétences précieuses qui favorisent le transfert de savoir-faire et de technologie. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Madagascar : le ministre des affaires étrangères limogé après son vote contre la Russie à l’ONU https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/10/18/madagascar-le-ministre-des-affaires-etrangeres-limoge-apres-son-vote-contre-la-russie-a-l-onu_6146376_3212.html

J'en parlais dans un autre sujet et vu qu'il n'y a pas de sujet général sur le Nigeria, je le poste ici en espérant que @collectionneur n'en m'en tiendra pas rigueur Inondations au Nigeria : 600 morts et 1,3 million de déplacés depuis juin. Depuis le début de la saison des pluies, de nombreuses régions du pays ont été ravagées par les inondations, faisant craindre une aggravation de l’insécurité alimentaire. https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/10/17/inondations-au-nigeria-600-morts-et-1-3-million-de-deplaces-depuis-juin_6146118_3212.html Inondations au Nigeria : la principale compagnie gazière « active la force majeure » https://www.lemonde.fr/afrique/article/2022/10/18/inondations-au-nigeria-la-principale-compagnie-gaziere-active-la-force-majeure_6146282_3212.html

https://www.thedrive.com/the-war-zone/ukraine-situation-report-iranian-officials-admit-to-selling-russia-ballistic-missiles Rapport de situation en Ukraine, les dernières nouvelles

Concernant la Serbie, cela date de juin mais je doute fortement que l'opinion ait changé entre-temps : https://information.tv5monde.com/info/la-serbie-un-bastion-pro-russe-au-coeur-de-l-europe-459072

Et on passe, presque, complètement sous silence les inondations catastrophiques au Nigéria qui ont fait plusieurs centaines de morts. Plus rien sur le Pakistan dont les régions inondées sont toujours sous l'eau.

Certainement qu'il se trouvait à une distance suffisante pour ne pas être repéré. La qualité suffisante des optiques faisant le reste

Le Skyshield de Rheinmetall serait un très bon candidat pour lutter contre ces saloperies de drone iraniens mais, comme c'est un produit d'Oerlikon Contraves, ils ne recevront certainement pas l'autorisation d'exporter.

Juste. Mais quand même, quand on additionne le tout cela fait quand même une sacré quantité de matériel.