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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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Bizarre reuters, comme quoi c'est vraiment opaque cette salade.

J'ai entendu ce matin que le taux de participation était de 83% et l'objectif de 90%.

La Grèce va activer les clauses d'actions collectives (?) pour forcer les récalcitrants à adhérer..ce qui équivaudrait à un défaut de paiement et donc une possible activation des CDS pour ceux qui en ont, hedge funds essentiellement qui n'avait racheté de la dette grecque dans ce but d'ailleurs.

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100 milliards d'effacer*, ce sont les Portugais, les Espagnols et les Irlandais qui doivent avoir la gueule de bois...

*mais il y a perte de souveraineté en échange et même avec 100 milliards de cadeau, ils vont encore en chier autant sinon plus que les autres.

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Bizarre reuters, comme quoi c'est vraiment opaque cette salade.

J'ai entendu ce matin que le taux de participation était de 83% et l'objectif de 90%.

La Grèce va activer les clauses d'actions collectives (?) pour forcer les récalcitrants à adhérer..ce qui équivaudrait à un défaut de paiement et donc une possible activation des CDS pour ceux qui en ont, hedge funds essentiellement qui n'avait racheté de la dette grecque dans ce but d'ailleurs.

En fait c'est 85.7% d'acceptation sur les créance en droit grec - 84% du tout -. taux permettant a la Grèce d'activé les clause d'action collective - voté récemment - et forçant la main de ce qui n'ont pas adhéré. Une fois ces clause activé le taux d'adhésion arrivera artificiellement autour de 95.7% selon le gouvernement grec. Le reste c'est la dette en droit étranger, dont le sort est loin d’être réglé.

Il y a 172 milliard de créances de droit grec, sur 206, et 34 milliard de droit étranger.

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Qu'est ce que les créanciers ont a gagner à effacer la dette de la Grèce ? Pourquoi cet enthousiasme ?

Les créanciers? espérer récupérer un peu de leur sous plutôt que rien du tout ... En acceptant le deal il récupère des titres garantis par le fond européen, et donc ont une garantie de récupérer ~20% de leur mise.

L'enthousiasme? la fin du suspens, a savoir l'europe va casquer 130 milliards de "don", et la grece n'a plus 107 milliards a payer, ca devrait éloigner une banqueroute de la grece quelques mois.

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"Encore un instant, monsieur le bourreau" dit la Grèce...  ;) La Grèce fera faillite, car j'ai cru comprendre que malgré tout elle restait à 160% d'endettement rapporté au PIB et ça c'est un taux insupportable d'après nos experts économistes car à ce taux là la croissance sert juste à rembourser les intérêts de la dette, or y a pas de croissance. Ce n'est pas réjouissant certes, mais il vaut mieux voir les choses en face que d'être surpris après...  =|

Un article de La Tribune qui explique tout cela:

Athènes est-elle tirée d'affaire ? On en est encore loin. Certes, le montant du stock de dette grecque est considérablement réduit et l'épée de Damoclès des remboursements des échéances disparaît. D'autant que le Fonds européen de stabilité financière versera 54,5 milliards d'euros au budget grec. Pour un temps, donc, on devrait en finir avec les coups de chaud trimestriels qui émaillent l'actualité européenne depuis deux ans. Mais pour un temps seulement. Car le déficit public grec, lui, ne va pas se résorber comme par magie.

Le scénario du FMI

Selon le scénario du FMI, le déficit primaire d'Athènes, en dehors du paiement des intérêts de la dette, devrait se situer à 1 % du PIB cette année. Dès 2013, le pays pourrait être en mesure de dégager un excédent primaire qui devra se situer à 4,5 % du PIB de 2015 à 2020. A partir de 2014, le ratio de la dette nette sur le PIB devrait commencer à reculer pour avoisiner les 129 % en 2020. Mais ce scénario, déjà considéré comme inquiétant par les dirigeants européens, apparaît cependant très optimiste. Il est basé en effet sur une baisse des dépenses publiques de 7 milliards d'euros d'ici à 2014, soit 17 % du total, sur une stabilité des recettes et sur un produit des privatisations de 50 milliards d'euros au total.

Le risque croissance

Mais plusieurs économistes doutent de la crédibilité de ce scénario qui repose sur une croissance moyenne du PIB à partir de 2015 de 4 % par an. Déjà pour 2011, la prévision d'une croissance de 1,1 % de la Troïka relève du fantasme. Le PIB grec devrait se contracter de 5 %. En supposant que la dépense publique soit réduite aussi brusquement que le prévoit le plan européen, on voit mal comment la croissance pourrait revenir rapidement en Grèce. Or, sans croissance, tous les efforts de consolidation budgétaire seront vains : les recettes continuant à reculer, on voit mal comment le déficit primaire pourrait se transformer rapidement en excédent. Encore moins comment il pourrait atteindre 4,5 % du PIB. Les experts de RBS, qui tablent ainsi plutôt sur une croissance annuelle de 2,5 % à partir de 2015, prévoient ainsi que le ratio dette sur PIB en 2020 serait alors de 160 %, soit... son niveau actuel. L'Europe n'aurait alors, selon eux, pas d'autre choix que de lancer un troisième plan de soutien. Mais les Etats membres de la zone euro accepteront-ils alors de mettre à nouveau la main à la poche ? Le risque de faillite grec n'aura donc pas disparu à long terme.

Le risque politique

A plus court terme, la question politique sera cruciale. Les Européens souhaiteraient ajourner les élections législatives anticipées prévues en avril prochain. Les derniers sondages ne sont en effet pas sans les effrayer : les trois partis à la gauche du PASOK social-démocrate totaliseraient en effet 39 % des intentions de vote, soit autant que les deux grands partis, la Nouvelle Démocratie et le PASOK. Avec une extrême gauche si forte, le risque d'une remise en cause du plan de route est élevé. On les voit mal accepter le maintien d'un tel excédent primaire sans souhaiter augmenter la dépense publique. Le pari des dirigeants européens est que si l'on attend l'échéance normale de 2015, la situation du pays sera suffisamment redressée pour affaiblir les partis contestataires. Mais la rue grecque acceptera-t-elle d'attendre jusque là alors que le gouvernement Papademos devait être provisoire et que les élections anticipées ont déjà été repoussées de février à avril ? Le risque d'une explosion sociale incontrôlée n'est pas moins grand que celui de la faillite désordonnée.

Le risque MES

Reste enfin le problème du pare-feu. En juillet, le Mécanisme européen de stabilité (MES) prendra le relais du FESF. Que lui restera-t-il en caisse ? Selon les calculs de RBS, l'aide à Athènes coûtera entre 124 et 141 milliards d'euros au FESF. Si on table sur une participation du FMI de 13 milliards d'euros, ce qui n'est pas acquis, il restera alors au FESF une capacité d'endettement de 219,9 milliards d'euros. Un chiffre absolument insuffisant pour contrer une attaque sur l'Espagne ou l'Italie. Autrement dit, la confiance dans la zone euro ne sera pas rétablie auprès des investisseurs. La solution pourrait être de combiner les forces du FESF et du MES. La balle est dans le camp de l'Allemagne. Le gouvernement Merkel l'a évoqué, mais sa majorité parlementaire fait preuve d'une forte résistance. Or, la politique européenne se fait aujourd'hui en grande partie au Bundestag. Ce facteur d'incertitude va continuer à empoisonner la zone euro, malgré le succès de l'offre d'échange grecque.

En conclusion, si les marchés se focalisent sur cette offre d'échange à court terme, son succès n'est donc nullement une amorce de la fin de la crise européenne.

Et Olivier Delamarche a donc raison de dire qu'on part dans le mur avec la Grèce et qu'on devrait arrêter de lui prêter de l'argent...

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Donc ça retarde juste l'échéance, ça ne sauve pas le pays de la faillite ?

+ 1.

Un bras d'honneur des Grecs. En gros c'est toi qui va payer les 100 milliards des Grecs alors même que notre dette sur PIB est délirante (en tous cas - nous Français).

Merci Goldman Sachs.

La Grèce gagne deux ans. De toutes manières elle sortira de l'Euro : c'est inévitable.

Delamarche doit bien se marrer...

Au départ ils nous apportaient le plat en nous parlant d'un haircut de 60%, puis 70%, puis désormais : 100%.

Oups, Edit/ Ce n'est pas le bon graphique. Sorry. /.../

Le déficit du budget US bat tous les records historiques !

http://www.zerohedge.com/news/us-budget-deficit-hits-all-time-high-february

On remarquera sur la graphique numéro 2 que le 11 septembre 2001 marque le début de la chute vertigineuse de l'Empire Américain.

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L'or repasse au dessus de 1700$ l'once !

En fait : ce n'est pas l'or (ou l'argent, ou le cuivre) qui montent. C'est le dollar qui perd de façon régulière sa valeur (et l'Euro). Les monnaies se déprécient et les métaux restent stables.

http://sheepgetslaughtered.blogspot.com/

Je conseille - plus que l'or - les lingots d'argent plus abordables* (pour le moment), dont la demande pour l'industrie par exemple, reste soutenue et dont le potentiel de croissance des cours peut protéger une partie de votre investissement contre l'inflation.

*(env. 410 Euros le lingot d'un kilo).

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Au départ ils nous apportaient le plat en nous parlant d'un haircut de 60%, puis 70%, puis désormais : 100%.

Pendant ce temps-là au USA, le BLS rapporte 243 000 chômeurs de plus en janvier et 200 000 en février.

http://www.zerohedge.com/news/goldmans-february-nfp-forecast-200000-82-unemployment-rate

Ce qui est marrant dans ce tableau c'est comme à partir de février 2010, les prévisionnels sont complètement décoréllés du réel..

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Carte biométrique Vitale : vitale pour la fraude ou pour les entreprises privées ?

Dans l’échelle du hochet sarkozyste, il y a le sans-papier qui égorge un mouton dans sa baignoire puis le musulman qui veut rendre le halal obligatoire à la cantine et enfin le fraudeur à l'assurance maladie, plus exactement l'assuré fraudeur et évidemment pas le médecin, électeur potentiel. Jeudi sur RMC, Nicolas Sarkozy a trouvé l’idée majeure pour lutter contre le fléau : créer une Carte Vitale biométrique. « Il nous impose de lutter contre la fraude, il nous impose de demander un effort aux Français comme aux étrangers qui en bénéficient », s’est-il justifié.

En 2004, la réforme de l’assurance maladie prévoyait déjà la mise en place d’une Carte vitale biométrique avec les empreintes de l’assuré pour 2006. Raté. La mesure a fait son retour dans un rapport de la Mission d'évaluation et de contrôle de la Sécurité sociale (Mecss) de l'Assemblée nationale en juin 2011. Elle n’a jamais vu le jour en raison du coût du dispositif. Et cette idée a été récemment reprise par Marine Le Pen.

La candidate FN brandit d’ailleurs souvent le chiffre de « 10 millions de fausses Cartes Vitale ». Mais ce chiffre qui vient d’un rapport de l’Igas datant de 2004 fait référence aux cartes en surnombre et non aux cartes falsifiées. En effet, une personne qui a du refaire une nouvelle carte n’est pas obligée de rendre l'ancienne. De plus, l’Igas a souligné dans son rapport qu’en matière de fraude, « les risques réels sont limités. Dans les faits, les cartes Vitale non récupérées sont rarement utilisées ». Et les montants de la fraude à l'assurance maladie des assurés sont minimes par rapport à celle des professionnels de santé : 2,5 millions d'euros en 2010, sur un niveau total de fraude de... 156 millions.

Un marché de 9,4 milliards de dollars en 2014

Peu importe, la biométrie, c’est le nouveau dada de Sarkozy. Hier, la proposition de loi créant la carte d’identité biométrique a été adoptée. La nouvelle carte contiendra notamment les empreintes de son détenteur. Un fichier national est aussi mis en place avec les empreintes de tous les propriétaires d’une carte biométrique, les services de police auront accès à ce fichier dans le cadre de leurs enquêtes. Mais l’argument sécuritaire est mis à mal par le fait que si la carte est censée être sécurisée, les documents permettant de l’obtenir ne le sont pas comme l’explique le journaliste Jean-Marc Manach.

La justification se trouve donc ailleurs. Dans son rapport sur le texte, le député UMP Philippe Goujon, a été clair : « Les principales entreprises mondiales du secteur sont françaises, dont 3 des 5 leaders mondiaux des technologies de la carte à puce, emploient plusieurs dizaines de milliers de salariés très qualifiés et réalisent 90 % de leur chiffre d’affaires à l’exportation. Dans ce contexte, le choix de la France d’une carte nationale d’identité électronique serait un signal fort en faveur de notre industrie ». Le député Goujon avait également défendu plusieurs amendements favorables aux entreprises privées de sécurité dans le cadre de la Loppsi 2.

Derrière la carte biométrique, il y a donc d’importants intérêts économiques en jeu. D’ailleurs, selon Owni, 14 représentants du Gixel, le lobby du secteur, ont été auditionnés au Sénat dans le cadre de cette proposition de loi. Le marché de la biométrie est en pleine expansion. Selon l'International Biometric Group, le marché mondial devrait passer de 3,4 milliards de dollars en 2009 à 9,4 milliards en 2014.

Safran n°1 mondial

Parmi les principaux leaders français, il y a d'abord Morpho, filiale du groupe Safran et n°1 mondial. L’entreprise a remporté en 2010 un marché de 1,5 milliards de dollars pour collecter les empreintes digitales et scans de l’iris de l’œil de la population indienne. Manque de chance, le projet a été arrêté en décembre dernier.

Il y a aussi Thalès qui revendique avoir délivré plus de 250 millions de titres d’identité dans plus de 25 pays. En 2008, l’entreprise a remporté le marché anglais pour la mise en place d’une carte d’identité biométrique. Re-manque de chance, en 2010, le nouveau gouvernement conservateur a annulé le projet au nom de la défense des libertés publiques. On peut aussi citer Gemalto, fabricant de la Carte vitale, ou ST Microelectronics.

Le lancement de la carte d’identité biométrique devrait donc ravir le secteur. Un appel d’offres devrait être lancé fin mars. Un nouveau marché d'autant plus salutaire que l’industrie de la biométrie a déjà un contentieux avec la France. En octobre 2005, le ministère de l’Intérieur, dirigé par un certain Nicolas Sarkozy, décide d’attribuer la fabrication des nouveaux passeports électroniques à Oberthur, à l’époque poids lourd français du secteur. Le groupe a vendu en novembre dernier son activité cartes à puce au fonds américain Advent international pour 1,15 milliards d’euros.

Lobbys

Le problème est qu’en France, c’est l’Imprimerie nationale, entreprise publique, qui a le monopole de la fabrication des pièces d’identité, elle peut en sous-traiter la conception de la puce au privé mais elle doit garder la mainmise sur le processus. Un principe fixé par une loi de 1993 signée par … Nicolas Sarkozy alors ministre du Budget.

En avril 2006, le Conseil d’Etat annule le marché et Oberthur s'est retrouvé floué. Le ministère de l’Intérieur lui aurait alors versé 3,2 millions d’euros en guise de dédommagement (l’entreprise en demandait 11). Comme par hasard, en juillet de la même année, plusieurs députés UMP ont signé une proposition de loi mettant fin au monopole de l’Imprimerie nationale. Parmi ces députés, Pierre Méhaignerie, maire de Vitré… où se trouvait une usine de cartes à puces Oberthur, avant son rachat par Advent. La droite sait donc se soucier de sécurité. Enfin, de celle des actionnaires surtout.

Marianne.fr

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Un exemple: FH a annoncé la création d'un congé "bénévolat" du même type que le congé "parental", autrement dit, un congé pour s'occuper d'associations... pour acquérir "de l'expérience"... Là je tire mon chapeau, en pleine crise économique et financière mondiale, c'est vrai que les associations c'est important, et surtout, surtout, on acquiert une expérience du tonnerre pour lutter contre la concurrence sur les marchés de la mondialisation...  :lol: Si c'est ça son "courage" je crains le pire côté Défense Nationale quand il faudra défendre son budget contre autres ministères du loisir, du temps libre, que sais-je...  =D

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Un exemple: FH a annoncé la création d'un congé "bénévolat" du même type que le congé "parental", autrement dit, un congé pour s'occuper d'associations... pour acquérir "de l'expérience"... Là je tire mon chapeau, en pleine crise économique et financière mondiale, c'est vrai que les associations c'est important, et surtout, surtout, on acquiert une expérience du tonnerre pour lutter contre la concurrence sur les marchés de la mondialisation...  :lol: Si c'est ça son "courage"...

Rhooooo cesse de persifler voyons! puisque notre cher président nous rabâche que la crise est finie ... c'est qu'elle est finie.

La vraie question de la journée c'est, va t on cassé les 3500!

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OCDE : "La conjoncture s'améliore dans la zone euro".

http://www.latribune.fr/actualites/economie/20120312trib000687718/la-conjoncture-s-ameliore-dans-la-zone-euro.html

Le PIB a augmenté de 0,2% en janvier selon l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). C'est la première hausse de l'activité depuis septembre.

Enfin une bonne nouvelle pour les pays de la zone euro. Selon les prévisions de l'organisation l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) dévoilées ce lundi, le PIB a augmenté de 0,2% en janvier. C'est une hausse inédite depuis le mois de septembre 2011. Depuis cette date, le PIB mensuel des pays de la zone euro avait reculé trois mois d'affilée avant de stagner en décembre. En France, le PIB aurait progressé de 0,3%. Il n'aurait augmenté que de 0,1% en Allemagne.

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Attention ! La Chine part de bien plus loin. Le confort de 300 millions de Chinois se fait au détriment de 1 milliard d'autres. Les Chinois sont autour de 7%, 7,5% (en majeure partie grâce à de l'investissement, ils financent leur croissance grâce à leurs économies : leurs fameuses "réserves de change"). Si la Chine tombe à 6% c'est la catastrophe car leur modèle de croissance est caduque.

Hors, leur pognon provient d'Europe et des USA : leurs premiers débouchés - et de très loin.

Si la crise nous oblige à ralentir nos importations de Chine, la croissance Chinoise sera très vite en berne. Les Chinois veulent favoriser la consommation intérieure pour y pallier mais cela ne marche pas encore et cela est à très court terme. Financer la croissance par la consommation et le crédit à outrance : on a vu où ça va ! Et ils ne feront probablement jamais 9% de croissance par ce biais.

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Ce serait peut être plus stable pour eux qu'ils se développent en vendant sur leur propre marché au lieu de deplacer ce probleme du credit à la consommation chez ces abrutis d'occidentaux. Et pour cela les augmentations de salaires remplaceraient les credits. Et si ils n'ont plus de croissance a deux chiffres ca n'a aucune importance ce qui compte c'est que leur niveau de vie s’élève en profitant eux même de leur travail.

Ils ne pouvaient pas continuer éternellement sur une telle croissance c'est pas viable à long terme ce modèle delirant.

C'est a dire qu' ils dépendent trop de pays qui se désindustrialisent et qui continuent pourtant à consommer comme des goinfres. Au bout d'un moment les masses de dollars, voire d'euros, accumulés en Chine finiront par ne plus rien valoir vu que ces monnaies ne s'appuieront sur rien de tangible. A moins de racheter les monuments et oeuvres d'art européens. C'est qu'on est plus riche que les USA  :oops:.

Bon, mon raisonnement est encore parti en freestyle mais c'est pour qu'on en voie bien le sens : :lol: .

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@ Jojo

Un exemple: FH a annoncé la création d'un congé "bénévolat" du même type que le congé "parental", autrement dit, un congé pour s'occuper d'associations... pour acquérir "de l'expérience"... Là je tire mon chapeau, en pleine crise économique et financière mondiale, c'est vrai que les associations c'est important, et surtout, surtout, on acquiert une expérience du tonnerre pour lutter contre la concurrence sur les marchés de la mondialisation...  cheesy Si c'est ça son "courage" je crains le pire côté Défense Nationale quand il faudra défendre son budget contre autres ministères du loisir, du temps libre, que sais-je...  grin

Je ne sais pas si tu es dans le milieu asso, moi  j'y baigne au travers de mon club sportif, je peux te dire que cette idée est loin d'être bête. Le rôle social des asso est FONDAMENTAL et plus de jouer un rôle de stabilisateur social çà ne couterai pas un rond

on acquiert beaucoup d'expérience en gérant des assos notamment quand on a pas ou peu de formation ...

Le milieu associatif tire le diable par la queue et manque de bénévoles et d'encadrement et pourtant son rôle est on ne peux plus important l'ignorer c'est méconnaître la réalité quotidienne. Le milieu asso génère indirectement énormément de richesses en occupant les gens en fournissant des services, de l'activité, en luttant contre le désœuvrement, en apprenant les gens à se côtoyer en fournissant du lien social.

C'est l'économie immatérielle

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