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Economie et climat. CO2 or not CO2?


Jojo67
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Messieurs les contestataires de la responsabilité humaine dans le réchauffement global de 1.5 degré constaté depuis 1 siècle vous avz peut-être raison mais en quoi cela nous dispense t-il de faire (sans urgence, mais sans traîner non plus) une transition vers les énergies renouvelables ?

 

Les ressources fossiles sont vouées à s'épuiser, que ce soit d'ici 40 ans (pétrole), ou 150 ans (gaz naturel et charbon), et surtout beaucoup de pays n'en ont pas et doivent les importer. Alors qu'au contraire il n'y a aucun pays qui n'a ni vent, ni soleil, ni bois ...

 

L'avenir c'est de produire le plus propre possible avec un mix de nucléaire (propre quand pas de fuite radio-active, et super-rendement au m²), et d'énegies renouvelables : éoliennes, solaire, chaudières à copeaux de bois ou biomasse, hydroliennes utilisant la force des marées ...

Et là au moins on est sûr à 100% que ces énergies n'engendreront pas de conséquence néfastes sur la qualité de l'air, ni sur la température de la planète. J'ajouterai que plus les énergies renouvelables évolueront vers de meilleurs rendement, moins la fission nucléaire sera nécessaire. 

 

Quand aux premières centrales à fusion nucléaire, beaucoup de scientifiques disent qu'elles ne seront pas mises en service avant, au mieux 2060

 

Au total les climato-sceptiques n'ont donc aucun argument valable pour continuer à défendre l'usage débridé d'énergies fossiles ni pour empêcher l'inévitable transition vers les énergies renouvelables. En effet au delà de leur côté "zéro-émission" et de la problématique du recyclage de leurs composants toxiques (batteries, métaux lourds des panneaux solaires) celles-ci sont la clé de l'indépendance énergétique dont la plupart des Etats rêvent.

 

Au passage elles sont également une solution pour réduire une source récurrente de tensions et:ou de guerres internationales...        

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Quand aux premières centrales à fusion nucléaire, beaucoup de scientifiques disent qu'elles ne seront pas mises en service avant, au mieux 2060

On n'en sait strictement rien, certains projets pourraient aboutir très vite, ou pas.

 

Les ressources fossiles sont vouées à s'épuiser

Elles sont d'autre part très mal répartie sur la planète, ce qui oblige les pays sans ressource fossile à exporter beaucoup pour se payer leur énergie. Même des pays relativement riche comme l'Argentine on de sérieux problème d'achat d'énergie, le Japon aussi est mal depuis l'arrêt des réacteurs nucléaires.

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Je ne suis absolument pas contre les énergies renouvelables, je suis contre les histoires qu'on nous raconte pour nous faire réagir (et nos politiques). Si on veut avoir un développement cohérent des énergies renouvelables, on doit le faire pour les bonnes raisons. Si on fabrique et installe plein d'éoliennes uniquement pour être écologique alors peut-être bien qu'on fait fausse route et qu'on dépense à mauvais escient des ressources considérables.  En économie , on parle des coûts et des coûts d'opportunités, c'est a dire ce qu'on dépense et les gains qu'on aurait pu avoir à faire autre chose de nos moyens.

 

 

 

Au total les climato-sceptiques n'ont donc aucun argument valable pour continuer à défendre l'usage débridé d'énergies fossiles ni pour empêcher l'inévitable transition vers les énergies renouvelables.

 

Les écologistes n'ont aucune solution valable pour mettre fin à l'usage débridé des énergies fossiles alors faute de mieux c'est un moindre mal de continuer  en attendant une meilleure solution ... et venez ne pas me dire que la hausse des températures, l'augmentation des catastrophes climatiques et la hausse rapide du  niveau de la mer etc. vont être catastrophique . Les données ne sont pas suffisantes pour pouvoir l'affirmer clairement .

Modifié par Divos
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Les écologistes n'ont aucune solution valable pour mettre fin à l'usage débridé des énergies fossiles alors faute de mieux c'est un moindre mal de continuer  en attendant une meilleure solution ...

 

Si avec pleins de centrales au charbon :D

 

et venez ne pas me dire que la hausse des températures, l'augmentation des catastrophes climatiques et la hausse rapide du  niveau de la mer etc. vont être catastrophique . Les données ne sont pas suffisantes pour pouvoir l'affirmer clairement .

Ce qui n'est pas l'avis de la grosse majorité des scientifiques. Mais après on parle d'une période de 90ans. Donc plutôt que de faire l'autruche il est encore temps de chercher des solutions. Et comme on l'a répété de nombreuses fois les effets liés au CO2 et aux polluant ne se limitent pas au réchauffement climatique. Bref il faut se bouger pour sortir de ces problématiques plutôt que des les ignorer.

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Il y a un élément dont vous ne tenez pas compte : à ma connaissance 90 % du réchauffement climatique est absorbé par les océans, ce qui limite fortement l'impact actuellement visible<, une fois que ce radiateur sera bien chaud/aura bien perturbé les courants marins il sera largement trop tard pour faire quoi que ce soit; idem pour le réchauffement du permafrost : dès qu'il fond il dégage du méthane 20 fois plus "réchauffeur" que le CO2, une fois qu'il sera monté en atmosphère le RC deviendra autonome et impossible à juguler.

 

Malheureusement aucune grande puissance industrielle ne veut faire quoi que ce soit d'efficace; au mieux de grand congrès annuels pour déclamer leur "volonté ferme" de s'y attaquer.

 

Sans vouloir attaquer qui que ce soit sur le forum, je pense que nombre de climatosceptiques sont d'une manière ou d'une autre payé par de grands groupes (pétrole/nuc/industries) pour instiller un "doute raisonnable". Ce genre d'attitude est l'apanage des avocats de la défense lors d'une situation désespérée pour obtenir un non-lieu. Dans ce genre d'attitude je me rappelle ces "experts" dans les années 90 qui juraient sur la bible que la cigarette ne provoquait pas le cancer du poumon.

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Les résultat des missions topex poseidon sont public suffit de les lire ... jusque là on était incapable d'avoir une approche global du niveau eustatique des océan. L'élévation "globale" est d'environ 4mm l'an, mais les laisses  peuvent varier beaucoup plus avec des intensification local des phénomène de "marée" et phénomène associé par exemple.

 

L'élévation du niveau des océans est un phénome tres complexe, qui considere la température et la masse d'eau donc le volume, mais aussi et surtout les entrée et sortie du systeme, via l'évaporation et écoulement, l'eau peu se déstcoker par ci se resotker par là etc. Un variation du climat vers un modele plus énergétique pourrait par exemple conduire a une accumulation de vapeur d'eau dans l'atmsphere et a parallelement plus de pluie et de phénomene météo violent, l'eau étant dans l'atmosphere n'étant plus dans la mer ca compense pour partie l'élévation du volume des mer lié a la dilatation ... etc.

Pas seulement. Les masses d'eau océaniques répondent aussi à la gravité et aux phénomènes géologiques. Les plus grandes transgressions marines ont eu lieu alors que les vitesses d'expansion des dorsales océaniques étaient maximales avec une forte intumescence thermique. Il est vrai que les échelles de temps ne sont pas les mêmes, néanmoins, je ne suis pas certains qu'en dehors des zones à risques sismiques, ces problèmes soient regardés de près.

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Il faut lire ces études, leurs méthodologie et leurs conclusions avant de tirer des conclusions définitives comme tu le fais ici. En particulier, tu ne soulèves aucun lièvre: les auteurs savent parfaitement que 100% de ces études ne concluent pas à un changement climatique anthropique, simplement parce que ce n'est pas l'objet de l'article. Oreskes 2004 classe par exemple les abstracts de son corpus en 6 catégories, distinguant notamment les articles qui acceptent le consensus, les articles qui n'en disent rien, les articles dont ce n'est pas l'objet (par exemple ceux ne traitant que de problèmes méthodologiques), etc. Ce qui est frappant, dans ces études bibliométriques, n'est pas tant d'évaluer la manière de catégoriser les papiers acceptant explicitement ou ne s'opposant pas à l'idée d'un changement climatique anthropique que l'inexistence quasi-totale des papiers qui concluent à son inexistence. Sur 928 articles analysés, Oreskes n'en compte AUCUN. Sur 11944 articles, Cook et al. n'en compte que 78 (0,7%).

Doran et Zimmerman 2009 ont travaillé autrement: ce n'est pas une étude bibliométrique (sur les publications), mais une étude par questionnaires auprès de chercheurs en sciences de la terre et portant sur leurs opinions avec deux questions simples: (1) la température moyenne a-t-elle monté, stagné ou baissé depuis 1800, et (2) l'activité humaine est-elle un facteur significatif dans les changements de la température moyenne? Sur 3146 répondants, on a 90% de "monté" à la question 1 et 82% de "oui" à la question 2. Si on entre dans les spécialités, on voit que les géochimistes et géophysiciens sont un peu moins convaincus que les autres de l'impact de l'homme sur le climat, mais les tenants du RCA restent largement majoritaires. Si on se centre sur ceux qui ont publié des papiers récents sur le changement climatique, le degré d'approbation au RCA frôle les 97%.

On peut discuter de ces études autant qu'on veut, on peut dire que tous les scientifiques se trompent, on peu penser ce qu'on veut, mais il y a un FAIT incontestable: contrairement à ce que disent les climatosceptiques qui veulent faire croire à un débat scientifique virulent dans la communauté scientifique, la contestation du RCA n'est absolument pas un sujet qui agite les scientifiques. Les thèses "sceptiques" sont, littéralement, inexistantes scientifiquement: une très petite minorités de scientifiques du domaine contestent le RCA, ne produisant par ailleurs quasiment aucun article allant en ce sens, articles qui sont par ailleurs 10 à 20 fois moins cités que ceux concluant à un changement anthropique.

 

 

Je serais curieux de connaître ces "milliers de publications"...

Je me demande si le mot anthropique ici n'est pas de trop. On peut conclure à juste titre à un réchauffement, sans pour autant apporter la preuve de la contribution anthropique, tout simplement parceque cette contribution a été estimée au doigt mouillé et que les hausses de températures prédites sont très fortement dépendante des rétroactions positives. Ces rétroactions positives se sont montrés soit inexistantes soit très largement surestimées. Qu'on arrive pas à décider entre des modèles prédisant 5 C de réchauffement sur 100 ans et ceux à 1C en dit très long sur l'état des connaissances calamiteux des mécanismes climatiques. Par ailleurs, la seconde question est très mal posée pour la bonne raison que le terme significative peut vouloir dire tout et son contraire. À combien estime t-on la part anthropique dans l'augmentation des températures du siècle dernier? Réponse: au delà de la contribution du CO2 qui est minime (même les carbocentristes ne le contestent pas) et honnêtement on n'en sait rien.

La contribution anthropique est-elle suffisante pour oblitérer la variabilité naturelle? Tout laisse à penser que ce n'est probablement pas le cas. Si la réponse est non, cela veut dire qu'on a probablement pas grand chose a craindre.

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Il y a un élément dont vous ne tenez pas compte : à ma connaissance 90 % du réchauffement climatique est absorbé par les océans, ce qui limite fortement l'impact actuellement visible<, une fois que ce radiateur sera bien chaud/aura bien perturbé les courants marins il sera largement trop tard pour faire quoi que ce soit;

Non. Que les océans pour tout un tas de raisons puissent stocker beaucoup plus de chaleur que l'atmosphère est un fait, que les océans puissent se réchauffer sans aucun réchauffement préalable de l'atmosphère est tout simplement impossible. Si les océans se réchauffent, l'atmosphère se réchauffe aussi. L'atmosphère peut difficilement réchauffer de manière significative les océans. Par contre, ceux-ci peuvent très bien chauffer l'atmosphère en relargant la chaleur stockée.

Imaginer par ailleurs qu'on puisse réchauffer la parti profonde des océans sans avoir au préalable chauffé la couche supérieure de ceux-ci est une sinistre plaisanterie.

Le seul moyen d'enfouir efficacement de la chaleur est par convection. La encore la chaleur doit venir du haut. Soit dit en passant, la circulation thermohaline est un de ces courants qui est capable d'apporter de la chaleur en profondeur........chaleur qui peut disparaître pendant très longtemps, considérant que cette circulation thermohaline met environ 2500 ans pour faire un tour complet, cela laisse bien du temps.

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Pour la sensibilité climatique, le Giec en donne une fourchette dans son dernier rapport de fin 2013 je cite:

Résumé pour les décideurs page 14:

http://www.ipcc.ch/report/ar5/wg1/docs/WG1AR5_SPM_brochure_fr.pdf

 

"La sensibilité climatique à l’équilibre quantifie la réponse du système climatique à un forçage radiatif constant sur plusieurs siècles. Elle est définie comme le changement de la température moyenne du globe en surface sous l’effet d’un doublement de la concentration du CO2 atmosphérique, lorsque l’équilibre est atteint. Il est probable que la sensibilité climatique à l’équilibre se situe entre 1,5 et 4,5 °C (degré de confiance élevé), extrêmement improbable que celle-ci soit inférieure à 1 °C (degré de confiance élevé) et très improbableque celle-ci soit supérieure à 6 °C (degré de confiance moyen). La limite inférieure de la plage probable évaluée est ainsi inférieure aux 2 °C indiqués dans le RE4, mais la limite supérieure reste inchangée. Cette évaluation reflète une meilleure compréhension de la sensibilité climatique, des données d’observation sur une durée plus longue portant sur l’atmosphère et l’océan, et de nouvelles estimations du forçage radiatif..."

 

Je note que la valeur basse de la sensibilité climatique a été abaissée de 2°C à 1,5°C, la valeur haute ne bougeant pas. J'observe que cet écart de valeur de 2 à 4,5°C est énorme et montre une grande incertitude qui contraste avec les certitudes que l'on nous vend à longeur de journée. Bref c'est conforme à la mission du Giec qui est rappelons-le d'étudier les risques liés au changement climatique d'origine humaine... Politique, politique... ???

J'observe que depuis la fin du sicèle dernier aucune hausse des températures globales n'a été constatée. La précédente hausse allait en gros de 1978 à 1998. En gros 20 ans. Elle succédait à la stagnation-baisse de 1945 à 1978. Je rappelle que les GES ne sont sensés avoir une effet majeur sur le climat que depuis 1950 selon les dires du Giec. Or la pause actuelle dure depuis 17 ans. Y a de quoi se poser des questions non? Et évoquer les pétroliers n'est qu'une façon de fuir le débat de fond.

Modifié par Jojo67
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Je me demande si le mot anthropique ici n'est pas de trop. On peut conclure à juste titre à un réchauffement, sans pour autant apporter la preuve de la contribution anthropique, tout simplement parceque cette contribution a été estimée au doigt mouillé et que les hausses de températures prédites sont très fortement dépendante des rétroactions positives. Ces rétroactions positives se sont montrés soit inexistantes soit très largement surestimées. Qu'on arrive pas à décider entre des modèles prédisant 5 C de réchauffement sur 100 ans et ceux à 1C en dit très long sur l'état des connaissances calamiteux des mécanismes climatiques. Par ailleurs, la seconde question est très mal posée pour la bonne raison que le terme significative peut vouloir dire tout et son contraire. À combien estime t-on la part anthropique dans l'augmentation des températures du siècle dernier? Réponse: au delà de la contribution du CO2 qui est minime (même les carbocentristes ne le contestent pas) et honnêtement on n'en sait rien.

La contribution anthropique est-elle suffisante pour oblitérer la variabilité naturelle? Tout laisse à penser que ce n'est probablement pas le cas. Si la réponse est non, cela veut dire qu'on a probablement pas grand chose a craindre.

 

En fait, la formulation exacte de la question dans l'enquête de Doran & Zimmerman 2009 est:

 

Do you think human activity is a significant contributing factor in changing mean global temperatures?

 

Il est vrai que la question ne définit pas ce qu'on entend exactement par "signifiant", et d'autres formulations auraient été envisageables. Par exemple "Pensez-vous que l'activité humaine est un facteur principal...?" La question n'en est pas pour autant mal posée. Tout dépend ce qu'on cherche à savoir. Ce n'est pas très clair pour Doran et Zimmerman dans la mesure où, leur papier étant très court, ce n'est pas réellement expliqué (c'est sans doute expliqué dans la thèse de Zimmerman, publiée l'année précédente, mais je n'ai pas pu y avoir accès). Disons qu'ils mettent en relation les opinions et représentations des chercheurs en sciences de la terre avec celles présentes dans le "grand public", car ils s'interrogent sur le décalage de perception sur la question entre le public et le monde scientifique. Je pense que la formulation de la question est calquée sur celle utilisée dans les enquêtes d'opinion, de sorte à pouvoir en comparer les résultats. Par ailleurs, je pense que ce n'est pas nécessairement intéressant d'avoir une définition précise, et notamment quantifiée de ce qu'on entend par "significativement": on ne cherche pas à évaluer un seuil, mais à mettre au jour des opinions, ce qui sont des questions très différentes (et un seuil ne se fixe pas par sondage). Celui qui pense que l'homme est responsable de 90% du réchauffement pense grosso modo la même chose que celui qui pense qu'il l'est à 50%, au moins en tant qu'ils s'opposent clairement tous deux à celui qui pense qu'il n'a pas d'impact sur le réchauffement.

 

Quoi qu'il en soit, même limité, le résultat est intéressant: il montre au moins que l'immense majorité des scientifiques interrogés (82%, toutes sous-disciplines confondues) considèrent que l'activité humaine influe sur le climat, ce qui coupe les ailes à un canard sceptique qui voudrait que la controverse principale porterait sur la possibilité des activités humaines à peser sur l'évolution du climat. Nombreux sont les sceptiques qui disent: "oui, il y a peut-être un réchauffement, mais l'homme ne peut en être responsable car il n'y a que très peu de CO2 dans l'atmosphère, une partie seulement de celui-ci étant d'origine humaine", etc., et d'appuyer que ce serait cette position que défendent "la plupart des scientifiques". Si on suit Doran et Zimmerman (dont l'étude se centre sur les scientifiques américains et canadiens, c'est-à-dire les aires où le climato-scepticisme est le plus actif), c'est faux: plus des 3/4 pensent clairement que l'activité humaine a une influence claire sur le climat.

 

Il est vrai qu'un sondage d'opinion, fût-ce sur des scientifiques, ne prouve en rien que le réchauffement du climat est dû aux activités humaines, mais par contre il prouve plus clairement que les climato-sceptiques qui prétendent qu'une grande partie des scientifiques ne partage pas cette idée est une invention.

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J'observe que depuis la fin du sicèle dernier aucune hausse des températures globales n'a été constatée. La précédente hausse allait en gros de 1978 à 1998. En gros 20 ans. Elle succédait à la stagnation-baisse de 1945 à 1978.

 

C'est amusant que tu dises que la "précédente" hausse allait de 1978 à 1998. En effet, comme je l'ai dit l'autre jour, si on découpe cette période à la manière climato-sceptique, il s'agit en réalité de deux plateaux: 1978-1987 et 1988-1997. Et maintenant les sceptiques nous disent que cette période était en réalité une hausse? J'ai du mal à suivre... ??? ???

 

Cette façon de saucissonner les courbes pour en tirer des conclusions orientées est ce qui est montré dans cette animation connue:

 

Escalator_2012_500.gif

© Skeptical Science

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Quand le GIEC parle de "communauté scientifique" c'est un peu comme quand les Etats-Unis parlent de la "communauté internationale". Cela veut dire : les gens qui pensent comme moi et dans le cas du Giec les scientifiques que j'ai sélectionné pour faire mon rapport. Car le Giec sélectionne des noms de scientifiques mais aussi de juristes, économistes, etc. pour faire son rapport. Et le sondage ne porte que sur les gens sélectionnés bien entendu. Le reste des scientifiques est laissé à l'écart. Ne nous trompons pas sur ce point en nous laissant abuser par les mots choisis.

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Quand le GIEC parle de "communauté scientifique" c'est un peu comme quand les Etats-Unis parlent de la "communauté internationale". Cela veut dire : les gens qui pensent comme moi et dans le cas du Giec les scientifiques que j'ai sélectionné pour faire mon rapport. Car le Giec sélectionne des noms de scientifiques mais aussi de juristes, économistes, etc. pour faire son rapport. Et le sondage ne porte que sur les gens sélectionnés bien entendu. Le reste des scientifiques est laissé à l'écart. Ne nous trompons pas sur ce point en nous laissant abuser par les mots choisis.

Honnêtement faut arrêter d'affirmer tout et n'importe quoi. Çà devient fatiguant a force.

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Ce qui n'est pas l'avis de la grosse majorité des scientifiques. Mais après on parle d'une période de 90ans. Donc plutôt que de faire l'autruche il est encore temps de chercher des solutions. Et comme on l'a répété de nombreuses fois les effets liés au CO2 et aux polluant ne se limitent pas au réchauffement climatique. Bref il faut se bouger pour sortir de ces problématiques plutôt que des les ignorer.

Exact : les adversaires d'une transition rapide vers les énergies renouvelables oublient un peu vite par exemple que le CO2 acidifie les océans, ce qui est une menace pour le plancton, nourriture de base de la moitié des espèces marines qui elles mêmes sont nourritures de base de celles que nous mangeons. Les conséquences de l'acidification des mers seront donc à terme dramatiques pour notre espèces qui par ailleurs prolifère de manière totalement irresponsable.

 

Moralité : que nos rejets intensifs de CO2 modifient ou non le climat il y a urgence à les réduire, et ce n'est pas la première fois que c'est dit ici. Que certains lobbys qui ont les politiques de ce monde dans leur botte en soient contrariés ne devrait pas peser lourd au vu d'un enjeu aussi important. 

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Exact : les adversaires d'une transition rapide vers les énergies renouvelables oublient un peu vite par exemple que le CO2 acidifie les océans, ce qui est une menace pour le plancton, nourriture de base de la moitié des espèces marines qui elles mêmes sont nourritures de base de celles que nous mangeons. Les conséquences de l'acidification des mers seront donc à terme dramatiques pour notre espèces qui par ailleurs prolifère de manière totalement irresponsable.

 

Moralité : que nos rejets intensifs de CO2 modifient ou non le climat il y a urgence à les réduire, et ce n'est pas la première fois que c'est dit ici. Que certains lobbys qui ont les politiques de ce monde dans leur botte en soient contrariés ne devrait pas peser lourd au vu d'un enjeu aussi important. 

 

 

   N'exagérons rien non plus, les espèces en question on pourtant forcément connue bien d'autres réchauffements par le passé et sont pourtant toujours la ... Et puis bon a parler d'acidification des océans il est + sage de parler d'une baisse de son caractère légèrement basique plutôt (PH de 8,25 ce qui est basique) et les prévisions en la matière prévoient au grand maximum par exemple une baisse du PH de 0,4 environ vers 2100, soit rapprochant un peu + l'eau de mer océanique vers la neutralité, ceci dit ces espèces sont sensibles a l'acide carbonique malgré tout de la même manière que le calcaire est rongé par les très faibles taux de cet acide dans les eaux douces d'aquifères et de karst qui est un des éléments majeurs expliquant comment l'eau creuse des grottes ...

 

   Pour moi le fait est que ces espèces nous sont parvenues jusqu'a aujourd'hui est la preuve qu'elles sont moins sensibles qu'on voudrait bien s'en convaincre sinon elles auraient déja disparues depuis belle lurette du fait des océans qui ont connu de très nombreux épisodes d'acidification et elles sont toujours la, restant la matière première principale du calcaire oolitique (calcaire fait de débris de coquilles microscopiques, de coquilles d'espèces un peu + grosses et de débris de coraux, les + fins calcaire en craie sont par exemple des calcaires oolitique lié a de grands épisodes sédimentaire de plancton microscopique a coquille avec très peu de coquilles + grosses et pas ou peu de coraux)  qui est un type de calcaire divers et variés du grossier a la craie ... Mais toujours originel de débris d'animaux marins a coquilles

 

   Comment ses espèces qui ont du naitre durant le dernier milliard d'année aurait par exemple pu passer le terrible réchauffement lié a l'extinction massive ou la crise du Permien, si ces espèces n'étaient pas capables d'y survivre malgré tout (pour rappel la crise du Permien au + fort avait rendu le cercle polaire a un climat quasi sub-tropicale tellement le réchauffement fut intense avec des libérations extrêmement massive de méthane qui l'ont très clairement fait s'emballer quand au départ c'était des épanchements volcaniques intenses qui avaient très nettement fait monter le taux de CO² + haut que le réchauffement qu'on prévoit aujourd'hui mais sur une période + longue pour y arriver ...)  La logique veut que la plupart des espèces animales a coquilles n'y survivent pas au vu combien l'acidité océanique a du monter haut a cette époque ... Pourtant elles ont survécu ce qui va dans le sens que ces espèces ont + de résillience pour y faire face qu'on veut bien l'imaginer sinon elles n'existeraient plus au vu des épisodes qu'il a fallu affronter ces 600 derniers millions d'années ...

 

    Ceci dit une étude qui serait pas mal, serait de savoir a quel point la prolifération de ces espèces a coquilles calcaire a été ralenti pendant ces périodes de réchauffement intenses ou moyens durant les nombreux réchauffement qu'il y a eu durant la préhistoire ... Normalement on doit pouvoir étudier des variations de leur taux de prolifération dans des couches de craie ou l'on pourrait stratifier des différences de taux de prolifération en corrélation avec des périodes de réchauffement ... A moins que les calcaires de type craie aucun ne le permet pour X ou Y raison, car il me semble qu'il est rarement stratifié de manière nette, par exemple on y voit même pas apparaitre les saisons annuels

 

   Pour autant, elles sont de toute façon bien parvenues jusqu'a notre ère malgré ces périodes qui ont du être + qu'hostile a leur prolifération normale, il doit y avoir une raison ... Réponse immunitaire des espèces ? Ou espèce qui peut survivre facilement même si les taux de reproduction chute au + bas ?

 

   Il faut chercher les réponses et pas faire les alarmistes, si elles ont survécu a ces épisodes, il y a une raison

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Honnêtement faut arrêter d'affirmer tout et n'importe quoi. Çà devient fatiguant a force.

Renseigne-toi avant de répondre n'importe quoi. Le site du Giec et sa procédure de sélection pour le groupe de travail numéro 1 serait intéressant à visiter peut-être pour toi?

 

 

Reports_procedures_2013.png

Modifié par Jojo67
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Renseigne-toi avant de répondre n'importe quoi. Le site du Giec et sa procédure de sélection pour le groupe de travail numéro 1 serait intéressant à visiter peut-être pour toi?

 

 

Reports_procedures_2013.png

 

Justement: ce schéma n'explique pas comment sont sélectionnés les auteurs, mais seulement à quel moment du processus intervient leur nomination.

La procédure et les critères de sélection des auteurs sont résumés ici: http://www.climatechange2013.org/images/uploads/FS_select_authors.pdf

Les détails de la procédure de sélection, de travail, de révision et d'approbation est ici: http://www.ipcc.ch/pdf/ipcc-principles/ipcc-principles-appendix-a.pdf

L'idée selon laquelle le GIEC exclurait les scientifiques ne pensant pas "comme il faut", tel Richard Lindzen, est un vieux canard très répandu sur les sites climato-sceptiques, mais complètement faux. Lindzen, qui a été un des auteurs du SAR (Second Assesment Report) et TAR (Third Assesment Report), n'a pas été exclu, mais a choisi de ne plus présenter sa candidature car il était en désaccord avec certains de ses collègues. Les sceptiques aiment à dire que leurs vues ne peuvent être entendues au GIEC car ils y seraient ostracisés, mais rien n'est plus faux: tout un chacun peut s'inscrire en ligne comme reviewer. C'est gratuit et tout le monde peut postuler, il ne faut même pas de diplôme (je connais même quelqu'un qui s'y est inscrit au titre de cantonnier). Pour l'AR5, c'était ici: http://fod.ipcc.unibe.ch/registration/ (mais le lien n'est plus fonctionnel, le recrutement pour l'AR5 ayant été clôturé en 2011). Les sceptiques savent très bien que c'est faux, d'ailleurs, puisqu'ils vont tous s'y inscrire pour ensuite se faire mousser; certains sites climato-sceptiques phares incitent même à le faire, tel Anthony Watts: http://wattsupwiththat.com/2011/12/15/register-to-become-an-expert-reviewer-for-ipcc-wg1/

Modifié par Bat
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Cela c'est la théorie chef... Dans la pratique, les sceptiques n'ont pas voie au chapitre et on le voit par exemple dans le dernier rapport de 2007 où le rôle du soleil dans le climat, qui n'est pas dans la ligne du parti, n'était pris en compte que par une personne, la chercheuse Judith  Lean. Les climatosceptiques se sont d’ailleurs gaussés du fameux consensus dont se prévaut constamment le GIEC, consensus qui ne reposait que sur une seule personne s’agissant du Soleil… Cette attitude était si incompréhensible que lors de la supervision des travaux des scientifiques par les Etats, lors de la rédaction du Quatrième rapport, un représentant du gouvernement norvégien a protesté et a recommandé d’inclure au moins un représentant des relations rayons cosmiques-climat et a cité un certain nombre d’articles pertinents qui avaient été publiés sur ce sujet, notamment les travaux de Svensmark et de son équipe. La réponse du GIEC fut la suivante : « Les choix ont été faits depuis longtemps. Il est techniquement impossible de revenir dessus. » Pour les sceptiques on parlait désormais au sujet de cette affaire de « Judithgate ».

Modifié par Jojo67
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Renseigne-toi avant de répondre n'importe quoi. Le site du Giec et sa procédure de sélection pour le groupe de travail numéro 1 serait intéressant à visiter peut-être pour toi?

 

 

Reports_procedures_2013.png

Oui mr je copie colle des trucs que je ne comprends pas...

Perso je serais content de voir des études contredire ce qui a été résumé par le GIEC, les perspectives n'étant pas super positive et je trouve toujours plus intéressant quand il y a un peu plus de débat scientifique et des positions qui s'opposent, malheureusement dernièrement je tombe presque une fois par semaine sur des études qui ne font que renforcer la position présenté par le GIEC. Et je tombe tout aussi souvent sur des commentaires affligeant de personnes qui affirment pleins de trucs et qui n'ont je pense jamais prit la peine de feuilleter un peu le rapport du GIEC (Et pourtant il y a même une version courte en Français).

 

Et pire évidement des Mr tout le monde qui arrivent à discréditer un gros paquet d'étude scientifiques en deux phrases laconiques et en copiant des trucs. J'ai l'impression de discuter avec les témoins de Jehova que j'ai rencontré il y a peu qui m'expliquait sereinement qu'il n'y a aucune preuve sur les origines de l'homme, les dinosaures, la physique et la cosmologie... Rien. Et c'est marrant car avec votre cheminement intellectuel on pourrait en effet dire qu'ils ont raisons.

 

Pour ma part je vais laisser les spécialistes dans leurs domaines faire leur boulot et attendre les résultats, Il y aura sûrement des erreurs et des inexactitudes mais je m’éviterais les positions politiciennes et les théories en tout genre.

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Seb arrête de me prendre pour un couillon svp. Je n'ai pas le temps ni d'ailleurs l'envie de développer à fond ici et ce n'est pas possible d'ailleurs sur un forum. Pour le climat, j'ai creusé la question durant 3 ans et cela m'a ouvert les yeux, moi qui croyais encore aux dires du Giec au départ. Du coup, contacté par un éditeur qui avait lu un powerpoint que j'avais fait j'ai accepté d'écrire un livre sur le sujet. Bref mon cas prouve que quand on se renseigne à fond on change d'avis sur la question et on a pour le moins des doutes sur le climat version GES.

Le livre:

http://www.amazon.fr/gp/product/2363670027/ref=s9_simh_gw_p14_d0_i1?pf_rd_m=A1X6FK5RDHNB96&pf_rd_s=center-1&pf_rd_r=0JT0R734AAMTMHR4XGYB&pf_rd_t=101&pf_rd_p=463375513&pf_rd_i=405320

Le powerpoint (en cours de mise à jour):

http://www.astrosurf.com/astrocdf67/dossier_divers/climatJC.pdf

Modifié par Jojo67
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Seb arrête de me prendre pour un couillon svp. Je n'ai pas le temps ni d'ailleurs l'envie de développer à fond ici et ce n'est pas possible d'ailleurs sur un forum. Pour le climat, j'ai creusé la question durant 3 ans et cela m'a ouvert les yeux, moi qui croyais encore aux dires du Giec au départ. Du coup, contacté par un éditeur qui avait lu un powerpoint que j'avais fait j'ai accepté d'écrire un livre sur le sujet. Bref mon cas prouve que quand on se renseigne à fond on change d'avis sur la question et on a pour le moins des doutes sur le climat version GES.

Le livre:

http://www.amazon.fr/gp/product/2363670027/ref=s9_simh_gw_p14_d0_i1?pf_rd_m=A1X6FK5RDHNB96&pf_rd_s=center-1&pf_rd_r=0JT0R734AAMTMHR4XGYB&pf_rd_t=101&pf_rd_p=463375513&pf_rd_i=405320

Le powerpoint (en cours de mise à jour):

http://www.astrosurf.com/astrocdf67/dossier_divers/climatJC.pdf

Oui tout comme les bouquin qui disent que Elvis n'est pas mort ou que l'homme n'est pas allé sur la Lune, que l'etre humain et issue d'un croisement entre des hommes primitifs et des extraterrestres. C'est bien connu qu'un livre est une preuve irréfutable...

 

Et honnêtement en lisant ton powerpoint c'est ni plus ni moins que du copier coller des arguments de divers lobbys et autre. Et surtout aucune réflexion ni analyse. Bref comme je l'ai dit avant : copier coller. Ca prouve qu'on peu écrire des livre sans rien apporter au débat.

 

Le plus intéressant c'est ta remarque :

Bref mon cas prouve que quand on se renseigne à fond on change d'avis sur la question et on a pour le moins des doutes sur le climat version GES.

 

Qui biaise et absurde.

 

EDIT : Un simple exemple tu site les 700 Scientifiques qui auraient signe une pétitions aux USA... Bizarrement tu ne détail pas ce que contient réellement ces 700...(par exemple le fait qu'un certains nombre ne soient pas scientifiques). Parmi les vrai scientifique ceux qui ont au moins bosse sur le domaine et encore moins le fait que c'est une initiative de lobbys US. Une manière de cacher des informations a tes lecteurs en quelque sorte.

 

EDIT2 : Ou tiens, vu que les pétitions sont a la mode certains ont aussi signe celle la :

http://www.cornwallalliance.org/articles/read/an-evangelical-declaration-on-global-warming/

Du coup forcement en suivant ton raisonnement : Dieu existe

 

C'est aussi marrant de lire un peu le background des noms que tu a relevé en particulier. C'est assez folklorique pour pas mal d'entre eux.

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Pourquoi vous perdez votre temps? On peut discuter éternellement du RCA comme d'autre sujet de polémique: combien de mort à Tchernobyl? Combien de cancer à cause de pesticide dans la bouffe? Parfois il faut admettre qu'on ne peut mesurer honnêtement certain phénomène, car ils sont trop faible, trop lent, trop noyé dans le bruit de fond pour sortir autre chose que des thèses contestables. La question du pétrole et des énergies fossiles reste totalement posé avec ou sans RCA: ça pollue, ça tue, c'est mal répartie sur la planète et les ressources sont très limité. Le RCA est peu être qu'un simple moyen de propagande, complètement inefficace, mais il ne faut pas perdre de vu que la stratégie actuelle mène droit dans le mur. Regardez l'Argentine, pays relativement bien développé, ils n'arrivent plus à payer leur énergie, ils ont des coupures d'électricités: la nécessité d'importer du pétrole, du gaz et du charbon rend obligatoire une politique d'échange intensif, couteuse, très difficile à équilibrer. On est déjà dans le rouge à 80-90 dollars le baril, on fera comment à 400 dollars le baril dans 20 ans? Rigolez pas, le prix a quadruplé depuis 2000.

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Oui tout comme les bouquin qui disent que Elvis n'est pas mort ou que l'homme n'est pas allé sur la Lune, que l'etre humain et issue d'un croisement entre des hommes primitifs et des extraterrestres. C'est bien connu qu'un livre est une preuve irréfutable...

 

Et honnêtement en lisant ton powerpoint c'est ni plus ni moins que du copier coller des arguments de divers lobbys et autre. Et surtout aucune réflexion ni analyse. Bref comme je l'ai dit avant : copier coller. Ca prouve qu'on peu écrire des livre sans rien apporter au débat.

 

Le plus intéressant c'est ta remarque :

Qui biaise et absurde.

 

EDIT : Un simple exemple tu site les 700 Scientifiques qui auraient signe une pétitions aux USA... Bizarrement tu ne détail pas ce que contient réellement ces 700...(par exemple le fait qu'un certains nombre ne soient pas scientifiques). Parmi les vrai scientifique ceux qui ont au moins bosse sur le domaine et encore moins le fait que c'est une initiative de lobbys US. Une manière de cacher des informations a tes lecteurs en quelque sorte.

 

EDIT2 : Ou tiens, vu que les pétitions sont a la mode certains ont aussi signe celle la :

http://www.cornwallalliance.org/articles/read/an-evangelical-declaration-on-global-warming/

Du coup forcement en suivant ton raisonnement : Dieu existe

 

C'est aussi marrant de lire un peu le background des noms que tu a relevé en particulier. C'est assez folklorique pour pas mal d'entre eux.

Ta façon de raisonner est typique des écolos militants, avec les procès d'intention, et les amalgames (que viennent faire la Lune les extraterrestres et Dieu là dedans...) manque plus que les pétroliers tiens... Bref ça ne vole pas très haut.

Modifié par Jojo67
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Cela c'est la théorie chef... Dans la pratique, les sceptiques n'ont pas voie au chapitre et on le voit par exemple dans le dernier rapport de 2007 où le rôle du soleil dans le climat, qui n'est pas dans la ligne du parti, n'était pris en compte que par une personne, la chercheuse Judith  Lean. Les climatosceptiques se sont d’ailleurs gaussés du fameux consensus dont se prévaut constamment le GIEC, consensus qui ne reposait que sur une seule personne s’agissant du Soleil…

 

Là, c'est à mon tour qu'il faut arreter de dire n'importe quoi:

 

The Earth’s global mean climate is determined by incoming energy from the Sun and by the properties of the Earth and its atmosphere, namely the reflection, absorption and emission of energy within the atmosphere and at the surface. Although changes in received solar energy (e.g., caused by variations in the Earth’s orbit around the Sun) inevitably affect the Earth’s energy budget, the properties of the atmosphere and surface are also important and these may be affected by climate feedbacks. The importance of climate feedbacks is evident in the nature of past climate changes as recorded in ice cores up to 650,000 years old.

 

AR4, résumé technique, p.21

 

Pour les détails sur l'irradiation solaire: http://ipcc.ch/publications_and_data/ar4/wg1/en/ch1s1-4-3.html

 

Par ailleurs, il est utile de rappeler que chaque rapport rend compte des avancées, et ne (re)fait pas tout le travail déjà fait, sinon on ne cesserait d'inventer l'eau chaude. Le rôle du soleil avait déjà été évalué en détail dans les 3 rapports précédents.

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