Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

TarpTent

Members
  • Compteur de contenus

    5 700
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    24

Tout ce qui a été posté par TarpTent

  1. Ah d’accord, c’était le côté explorateur de l’être humain que tu voulais mettre en avant. Tout à fait d’accord avec toi, il est bien évident que de ce côté-là, l’humain ira voir de lui même ce qui se trouve dans l’espace, peu importe la situation sur Terre, bonne ou catastrophique. Mon post réagissait surtout sur le terme « invivable » que tu avais employé.
  2. ... en fait je crois que je n’ai rien compris à ta remarque (indépendamment du ton inutilement agressif et des jugements de valeur qu’elle contient). Tu me la refais un peu plus constructive et explicative, s’il te plaît ?
  3. TarpTent

    F-22

    Au contraire, en langage LM, ça se dirait plutôt « superbe opportunité de business !! ». C’est à l’USAAF que ça pourrait coûter cher, pas à LM. Il en est de même pour les hangars et l’entretien de tous les autres types d’appareils et de matériels endommagés par la tempête : tous les industriels se frottent les mains d’avance. Concernant les appareils, les officiels de l’armée semblent être disposés à être relativement transparent sur le sujet, globalement. On devrait donc en savoir assez vite un peu plus sur les coûts de remise en état, les appareils qui définivement seront destinés à n’être que des donneurs d’organe, et la baisse effective de capacité opérationnelle s’il y a lieu.
  4. C’est surprenant de voir combien cette photo donne l’impression qu’on est à l’étroit, dans ce cockpit (encore plus sachant les mensurations de l’appareil...) (bon par contre, la main droite sur le stick et la gauche tenant la poignée d’éjection, c’est une position standard de vol ? L’instinct de survie ? )
  5. Il va falloir s’entendre sur le terme d’ « invivable » quand même, parce que s’il s’agit de ressources raréfiées ou de variations de températures rendant la vie et la subsistance difficiles sur Terre, il va être très difficile de trouver des planètes « plus vivables ». D’autant que si l’on est capable (càd si on a la technologie) de vivre sur Mars ou dans une station spatiale et d’y reproduire des conditions de vie acceptables, alors on est capable de vivre dans le désert Saharien ou dans celui de Gobi : nul besoin d’aller sur une autre planète pour celà. Je rejoins Collectionneur, il n’y a qu’en cas de surpopulation persistante que certains pourraient décider d’aller vivre ailleurs, dans un endroit filtré et réservé reproduisant peu ou prou des conditions idéales à leurs yeux. Bon, ils pourraient faire de même en créant une île façon continent au milieu d’un océan ou en Antarctique et le résultat là encore serait exactement le même : même maîtrise technologique nécessaire, et même éloignement des masses. (ceci étant, la colonisation de l’espace par l’homme est effectivement inéluctable, sauf à se prendre une énorme météorite sur la tronche avant que l’on ai pu faire nos premiers essais viables sur la Lune ou sur Mars)
  6. Ah pardon, ça « Dassault n'est pas foutu à développer un chasseur utilisant le même concept », ce sont les gens Ah bin oui, tout est plus clair. Tout comme tu n’as pas non plus compris que ma remarque qui disait que tu aurais pu utiliser n’importe quel constructeur d’avion, ta réflexion visant à considérer que parce qu’un constructeur n’était pas en capacité de produire un tel engin, ses « aficionados » de la marque dénigreraient le concept était juste totalement à côté de la plaque. Franchement, tu devrais vraiment boire moins et soigner ta lubie envers Dassault, tes neurones n’en peuvent manifestement plus, je maintiens.
  7. Ils sont restés calmes et ont tous joué leur rôle correctement au final, c’est intéressant. Pour ceux-là par contre... comment dire... « Air India a annoncé vendredi la suspension de deux de ses pilotes dont l'avion, avec 136 personnes à bord, a heurté au décollage un mur dans un aéroport indien avant de poursuivre son vol près de quatre heures durant avec un fuselage endommagé. » « (...) des responsables aéroportuaires "ont constaté que l'appareil pouvait être entré en contact avec le mur d'enceinte de l'aéroport". "La question a été transmise au pilote qui était aux commandes", lequel a "signalé que les systèmes de l'appareil fonctionnaient normalement", explique la compagnie aérienne. "Il a alors été décidé de détourner l'appareil vers Bombay par mesure de précaution". » ... où il a donc atterri 4 heures après le décollage. https://www.lepoint.fr/insolite/un-avion-d-air-india-percute-un-mur-au-decollage-mais-poursuit-son-vol-12-10-2018-2262501_48.php#xtor=RSS-221 Le mur aurait de quoi déposer plainte : L’avion aussi :
  8. Récemment, j’ai bondi en apprenant que Mc Arthur avait un plan pour balancer 26 bombes nucléaires (+ 8 ?) tout le long de la frontière sino-coréenne afin de couper les approvisionnements et les mouvements de soldats. Il voulait ainsi créer un cordon sanitaire à l’aide d’une ceinture radioactive et a défendu son plan mordicus. http://www.amitiefrancecoree.org/article-guerre-de-coree-comment-l-arme-nucleaire-a-failli-etre-utilisee-par-les-americains-119169153.html MacArthur a lourdement insisté pour pouvoir lui-même appuyer sur le bouton à sa guise et a fini par être relevé de son commandement par Truman. Après, j’ai aussi lu quelque part que l’option nucléaire avait été envisagée par les US dans le cadre de l’opération Vautour en Indochine, avec 3 bombes qu’ils prévoyaient d’y larguer pour faire suite au retrait des français afin de freiner l’avancée Viet-Minh. (Refus d’Eisenhower) Il faut croire que l’utilisation d’armes nucléaires faisait vraiment triper les généraux américains en ce temps-là. Ils ont dû être sacrément frustrés de ne pas avoir pu utiliser de tels joujoux...
  9. Toi qui est si friand d’expliquer aux autres d’utiliser leur cerveau, il y a un moment où tu vas te décider à mobiliser tes neurones sur celui-ci ? Parce que tu aurais pu citer Sukhoï comme Boeing comme Latécoère en lieu et place de Dassault, ta dernière réflexion aurait toujours autant été à côté de la plaque. Si vraiment tu fais un tel blocage sur Dassault, ce n’est pas l’alcool qui va t’aider. Mais ça se soigne très bien, rassure-toi.
  10. TarpTent

    L'Inde

    Avec l’avènement des « fake news » est apparu le mouvement de « facts checking », beaucoup plus neutre et tout aussi apprécié et de plus en plus recherché, et c’est justement ce que ton article commence à faire dès la seconde page. Je rejoins Defa550, avec une forme épurée et factuelle laissant beaucoup moins de prise à la polémique et moins centrée sur la sensibilité des lecteurs, l’article atteindrait certainement sa cible et pourrait être publié sans risquer de froisser qui que ce soit tout en facilitant sa transmission. Vu le gros boulot fait sur cet article, ce serait quand même dommage de le laisser en plan de la sorte, même si je suis bien d’accord avec toi et que je comprends parfaitement que certaines fois, on a vraiment envie de coller les pieds où l’on veut (et aussi bien dans la gueule, donc parce que ça serait largement mérité...).
  11. L’article précise bien cependant cette notion de cadeau empoisonné, qui ne tient pas au fait que la Russie veut utiliser l’Euro plutôt que le Dollar dans ses transactions commerciales avec les européens, mais au fait que les russes « demandent aux partenaires de l’Union européenne en contrepartie de lever les sanctions qui pèsent sur la Russie. » Même si cette levée des sanctions est demandée depuis longtemps par « les entreprises européennes, françaises comme allemandes (...) pour pouvoir relancer les flux d’échanges commerciaux avec la Russie sans avoir à négocier des garanties toujours complexes », « lever les sanctions reviendrait à se mettre en position de risque d’affronter l’administration américaine qui les impose. Risque d’amendes financières très lourdes, risque de fermeture du marché américain. Or, pour l’instant, l’Europe a besoin d’accéder au marché US. » Quoi qu’il en soit, j’ai déjà indiqué ici à plusieurs reprises mon opinion sur le sujet : Trump a fait un magnifique cadeau à l’Europe et vient de définitivement affaiblir les États-Unis en poussant bien trop loin son utilisation du Dollar comme outil de coercition. Un pas après l’autre, toutes les pièces sont en train de se mettre en place, et les USA n’ont pas fini de pleurer cette perte même s’il y aura encore pas mal de soubresauts avant l’établissement du nouvel équilibre.
  12. C’est un trèèès vaste sujet, qui dépend aussi totalement de l’échelle à laquelle on se place pour étudier les choses. Selon que l’on va regarder cela sous l’angle de l’individu, de la production industrielle locale, des grands équilibres ou à l’échelle de la Terre dans le temps long, on pourra arriver à des constats et des solutions radicalement différentes. La question sera donc de savoir où mettre le curseur, et à quelle échelle. De la même manière, les scientifiques entre eux peuvent avoir des visions différentes et des modèles prédictifs donnant des résultats assez différenciés, ce qui fait qu’aucune solution basée sur de l’ingéniérie - et encore plus pour la géo-ingénierie - ne peut offrir une garantie de non-nocivité ou d’absences d’effets catastrophiques à plus long terme. Le cas cité ici des poussières typiquement est une arme à double voire triple-tranchant : sur du court terme, cela pourrait fonctionner, mais à plus long terme cela pourrait entraîner une mini période-glaciaire justement parce qu’une fois que les particules sont dans l’air, il leur faudra très longtemps pour revenir sur terre pour certaines d’entre elles en fonction des vents et des courants (voir le cas des éruptions volcaniques effectivement citées), et donc leur pouvoir couvrant durera bien au-delà de ce que l’on souhaitait au départ. Et ce sans compter tout ce que l’homme va se prendre dans les poumons, augmentant considérablement les soucis respiratoires et donc les dépenses médicales dans certains endroits (il n’y a qu’à voir l’effet périodique de simples vents sahariens remontant le sable jusqu’aux côtes méditerranéennes pour en juger l’effet de visu et in situ dans les Alpes Maritimes. Comme dirait l’autre, ce n’est peut-être pas une si bonne idée...). Soufre, aluminium dans l’air, poussières, etc. le principe est le même, les effets de bords identiques et dans tous les cas, on en perdra totalement le contrôle. D’abord, posons une base qui va faire hurler des 2 côtés : on peut tout autant considérer que le réchauffement climatique en cours est d’origine 100% naturel ou 100% dû à l’homme, ou quelque chose entre les 2. Mon propos n’est pas de relancer le débat, juste qu’en la matière il n’y a aucune certitude si ce n’est une bataille de chiffres et de modèles sur lesquels chacun s’écharpe, et des faits mis en avant par les uns et les autres et nécessairement orientés dans le sens des messages défendus. (Groenland puis mini période glaciaire sans besoin de l’homme sur une très courte période d’un côté par exemple, et variations très significatives voire inquiétantes des températures de l’autre.) Certains aspects sont abusivement gonflés, d’autres volontairement passés sous le tapis : Autant donc ne pas devenir un ayatollah d’un des 2 bords, et plutôt pragmatiquement se dire que l’activité humaine a un effet, et peu importe s’il est essentiel ou secondaire. La seule vraie certitude, c’est que nos modes de production et de consommation détruisent la planète en la polluant (pétrole, plastiques, pesticides, déforestation et destruction massive de faune et flore, pollution de la terre et des eaux, catastrophes atomiques, etc.), et ça devrait déjà en soi être bien suffisant pour nous faire tous bouger - mais bizarrement non - . Le cas de l’électrique actuellement est typiquement le genre de « solution » que l’on peut regarder sous différents angles et aboutir à des conclusions radicalement différentes. A l’usage, l’électrique ne dégage rien et ne pollue pas. Parfait donc pour remplacer par exemple nos vieux moteurs à explosion et limiter le dégagement de CO2. Inconvénient, la production d’un véhicule électrique et notamment sa batterie est bien plus polluante que pour un véhicule normal, à un point tel que le bilan énergétique sur l’ensemble du cycle de vie du véhicule (donc depuis l’extraction de la matière première jusqu’à la mise à la casse du véhicule) reste encore largement défavorable à l’électrique. Localement, on respire mieux, mais dans les pays d’extraction des terres rares et de production des batteries, c’est l’inverse. Et ce, sans même aborder le fait qu’on ne sait pas recycler une batterie et qu’elle est ultra-nocive et polluante. Donc à l’échelle de la planète, vouloir basculer vers du tout-électrique en l’état actuel de notre maîtrise de cette technologie revient à se donner l’illusion de résoudre le problème et à plus long terme s’en créer quelques très gros supplémentaires (comme avec nos centrales pour les déchets nuclaires). Pour autant, l’électrique semble la meilleure voie pour améliorer le bilan carbone et limiter les dégagements de CO2 de l’activité humaine dans l’atmosphère. Du coup, passer par une période transitoire avant d’aboutir à la solution durable la plus adéquate paraît nécessaire, même si elle est douteuse. (L’hybride par exemple est l’exemple-type de fausse-bonne-idée et même un non-sens par certains aspects, mais transitoirement nécessaire à plus d’un titre). La question est donc, quelles sont les meilleures solutions technologiques pavant le chemin vers le tout électrique ? - le nucléaire ? Efficace, bon marché une fois les investissements faits, une bombe à retardement écologique pour les déchets, un risque significatif d’accident fortement néfaste pour l’homme et la nature à grande échelle et un coup d’entretien allant monstrueusement croissant au fil des ans. Bref, une solution à utiliser avec beaucoup de retenue et une vraie conscience des limites et des contraintes, au-delà du simple leitmotiv de l’indépendance énergétique, et difficilement conciliable avec une économie de marché pour une entreprise privée qui toujours fera passer l’entretien des infrastructures en variable d’ajustement de ses intérêts. (En passant, je laisse délibérément de côté les barrages et la géothermie, fortement dépendants de la géographie) - les éoliennes ? Tout comme les batteries, les moteurs des éoliennes sont extrêmement polluants à produire, créent une pollution sonore significative et semblent (parce que les études divergent sur le sujet) modifier très localement le climat avec le brassage incessant de l’air tout en étant des tueuses en série d’oiseaux. Et puis ça produit quand ça peut et non quand on veut, d’où le besoin de stockage passif derrière. - les panneaux solaires ? La technologie a évolué ces dernières années (rendement, pollution à la production, matières rares, etc) mais je suis ça de trop loin pour avoir un avis clair sur le sujet. - Batteries et solutions de stockage ? Ultra-polluants avec nos technologies actuelles, peu efficients au demeurant, et faible durée de vie. Solution transitoire mais certainement pas définitive, une bombe à retardement écologique là encore, même si Renault par exemple vient d’indiquer ses plans pour réutiliser les batteries n’ayant plus la capacité de charge requise pour équiper ses véhicules électriques. - Bio-carburants ? Comment le dire diplomatiquement ? Dans le genre « idée incroyablement c***ne », on a rarement fait pire. Piquer des terres arables (voir en créer de nouvelles en détruisant massivement la nature) servant à produire de la nourriture pour remettre dessus une mono-culture tout aussi destructrice pour la terre et décider avec de produire de quoi se déplacer, c’est vraiment vouloir regrouper en un seul concept la totalité des mauvaises idées que l’on a eu depuis l’avènement de l’ère industrielle. - Hydrogène ? Sans doute la direction la plus prometteuse à l’heure actuelle. Outre que l’hydrogène peut être un sous-produit de la production pétrolière, il peut également être produit directement par catalyse à partir de panneaux solaires locaux, d’éoliennes ou d’autres sources d’électricité. La difficulté étant essentiellement le rendement énergétique puisque le processus consomme de l’électricité, les catalyseurs aujourd’hui sont encore constitués de matière « noble » donc chère et polluante à l’extraction - cobalt notamment - et la mise sous pression en bouteille, qui consomme de l’énergie et ne rend pour le moment pas la solution intéressante et simple à petite échelle. Les circuits de distribution peuvent être à l’identique de ceux du pétrole ou du gaz (gpl par exemple en station-service, butane ou propane), et l’hydrogène est pertinent aussi bien en pile à combustible pour les téléphones que pour alimenter une voiture ou une maison. Ça nécessite certes de l’eau, mais elle n’a pas besoin d’être potable... (si vous voyez où je veux en venir... d’autant qu’on purifie l’eau usée dans le même temps), sinon il peut aussi être produit par fermentation. Mais on parle là de transitions extrêmement compliquées sur l’ensemble de marchés par des acteurs (trans-)nationaux non étatiques. Donc à moins d’avoir une certitude de débouchés économiques et/d’incitations fortes des Etats, aucune chance que ces entreprises investissent massivement pour développer rapidement ces marchés. Or on n’a peut-être pas 25 ou 50 ans devant nous à attendre l’avènement d’un nouveau paradigme énergétique. Reprenons maintenant la réflexion à une autre échelle : celle de l’être humain et du local, et partons d’un constat arbitraire : celui qui pollue, c’est le consommateur. Je sais, ma remarque est débile justement parce que l’on sait que la production et le recyclage sont ultra-polluants... sauf que cette production n’a lieu que parce qu’il y a des clients... C’est précisément pour celà que l’on a aujourd’hui autant de mouvements qui se lancent et communiquent autour d’actions locales voire individuelles, qui permettront par effet boule de neige de créer les conditions d’une plus vaste transformation espérée bénéfique à terme. (Mais c’est un très vaste sujet, et ce n’est peut-être pas le bon fil pour cela, ou pas le bon moment non plus, puisque ça peut revenir à aborder les concepts de décroissance ou d’autonomie, et là tout de suite, ça braque énormément de personnes quand ils en comprennent concrètement les effets sur leur mode de vie et leur confort individuel).
  13. TarpTent

    La Composante Air belge

    C’est bien justement parce ce qu’il n’y a que des dégâts matériels qu’on en plaisante. Et oui, c’est un vrai coup de bol en ce sens. Dans mon cas, sans aucun doute. Ce n’est pas du dénigrement, juste de l’humour. L’accident est cocasse, relativement impressionnant et particulièrement rare, et n’a fait aucune victime. les raisons seront bien évidemment intéressantes, mais ne nous privons pas de plaisanter un peu quand même, la situation s’y prête sans insulter qui que ce soit ni manquer de respect.
  14. TarpTent

    La Composante Air belge

    Cibles d’opportunité. Esprit d’initiative, vitesse d’exécution et traitement de précision par un militaire entraîné et affuté.
  15. TarpTent

    La Composante Air belge

    Bah, s’il était entretenu comme il était peigné, faut pas s’étonner non plus du résultat, hein !
  16. TarpTent

    La Composante Air belge

    C’est certain que s’ils les détruisent tous ainsi avant d’avoir même pu décider s’ils allaient les upgrader ou non... je suis sûr que LM est derrière cet acte de sabotage, je ne vois pas d’autre explication plausible
  17. Je m’apprétais à poster ça dans un fil sur les nouvelles technologies au sein de la DGA, mais il y a une petite surprise concernant le nEUROn dans la vidéo de l’article... https://dai.ly/x6v4s6s Allez directement à 49 sec si vous n’avez pas la patience. Il ne doit pas y avoir de grand secret puisque c’est la DGA qui fournit la vidéo, mais ça reste parlant quoi qu’il en soit. Pour l’information sur l’outil en réalité virtuelle utilisant les Hololens de Microsoft :« Les ingénieurs des armées développent donc un outil qui permet de « visualiser en réalité augmentée la signature radar [image holographique radar] directement sur l'aéronef, dans le but de localiser simplement et rapidement les éventuelles dégradations de l'état de furtivité de l'avion ». Un outil qui sera très précieux à l'avenir, car « la signature radar sur un avion furtif peut évoluer sans que l'on s'en rende compte visuellement », précise la DGA. Le système final serait composé d'un « moyen de mesure de signature radar déplaçable », c'est-à-dire « un émetteur et un récepteur d'ondes radar (ou électromagnétique), couplé à un système d'exploitation », ajoute la DGA. Ainsi, un mécanicien sur le terrain, en France ou en opération extérieure, pourrait dégainer un mini-radar mobile et mesurer en quelques instants la signature radar d'un appareil, pour la comparer d'une part avec les mesures effectuées précédemment sur le même appareil, et d'autre part avec la signature radar de référence, captée dans les conditions optimales du centre Solange. » https://www.lepoint.fr/high-tech-internet/furtivite-comment-les-armees-veulent-utiliser-la-realite-augmentee-10-10-2018-2261939_47.php#xtor=RSS-292
  18. C’est un point de détail mais pour ceux qui comme moi s’emmèlent les pinceaux en permanence entre les versions D et C de l’AVE (la D pour Discrétion étant venue en premier, suivie de la C pour Contrôle) :
  19. TarpTent

    Le F-35

    < Mode langue de pute On > Ils sont obligés de les vérifier un par un par eux-même parce que l’info n’est pas dans Alis ou bien parce qu’Alis est incapable de la recracher proprement, en temps et en heure ? (Traitements trop longs, pas prévus ou pas encore implémentés, ou pas de corrélation réacteur - carlingue par exemple ) < Mode langue de pute Off >
  20. ... Star Citizen Squadron 42 ... hier, c’était la CitizenCon, et ils ont présenté des... cinématiques de Squadron 42. https://www.journaldugeek.com/2018/10/11/squadron-42-casting-monstrueux-mode-solo-longtemps-attendu-star-citizen/?utm_source=feedburner&amp;utm_medium=feed&amp;utm_campaign=Feed%3A+LeJournalDuGeek+(le+Journal+du+Geek) bref, toujours rien en vue.
  21. TarpTent

    Le F-35

    “If suspect fuel tubes are installed, the part will be removed and replaced” ( Joe DellaVedova, une porte-parole du JPO). “If known good fuel tubes are already installed, then those aircraft will be returned to flight status,”. Ils envisagent donc plutôt une série de pièces défectueuses ou ne respectant pas les normes définies ou les contraintes.
  22. Par les gouvernements anglais successifs, oui. Après, on peut aussi considérer que son discours est recevable, de la même manière que l’on reproche à nos gouvernements successifs la désindustrialisation de la France. (on n’est quand même pas les derniers sur ce forum à dire qu’il faut arrêter de vendre nos joyaux sous couvert de développer la collaboration européenne, n’est-ce-pas)
  23. Un point de vue différent sur le Brexit, relayé dans un article d’AgoraVox : celui de « Sarah Woolley – représentante du syndicat des boulangers, des travailleurs de l’alimentation et des industries connexes et active dans la défense de l’environnement –, paru dans le Morning Star le 23 septembre 2018. Elle y témoigne de l’état d’esprit et de la combativité de la classe ouvrière britannique, comme de sa vigilance face aux contradictions du Parti Travailliste qui tient son congrès cette semaine à Liverpool. » Quelques extraits : « Nous avons voté pour la possibilité de reconstruire notre économie, notre industrie et nos services publics dévastés. Ma génération et celles à venir veulent élire des politiciens qui feront pencher la balance des droits et des lois en faveur des travailleurs, des syndicats, de la production réelle et de la création de richesses. Les commissaires européens non élus, les lois et directives de l’UE, axés uniquement sur les intérêts des grandes entreprises, ne peuvent et n’ont jamais fait cela. » « Nous avons sacrifié deux générations à un ordre du jour fixé par les banques. (...) Le résultat ? Une industrie britannique, des services publics et des compétences qui disparaissent à une échelle jamais vue auparavant dans le monde.» « L’Union européenne se droitise dans son Parlement fantoche (...). Des pays comme la Grèce ont été dépecés par l’UE à un degré jamais vu en temps de paix (...) » « Il faut parler davantage des personnes et de leurs besoins que du commerce. Vous ne pouvez faire du commerce que si vous produisez des choses que les gens veulent acheter. (...) Nous avons besoin d’une nouvelle éducation nationale pour former une nouvelle main d’œuvre pour des emplois hautement qualifiés, stables et productifs. C’est du nouveau compromis et de la nouvelle liberté réelle dont nous devrions parler. Le brouhaha sur le Brexit va et vient. Nous pourrons relever la tête à la fin du mois de mars et attaquer le vrai travail d’une façon nouvelle.» https://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/l-ue-nous-la-quittons-en-mars-208372?utm_source=feedburner&amp;utm_medium=feed&amp;utm_campaign=Feed%3A+agoravox%2FgEOF+(AgoraVox+-+le+journal+citoyen)
  24. En lisant le titre de cet article, ma première réflexion a été « c’est quand même l’hôpital qui se fiche de la charité ! », puis en lisant l’article lui-même, ça s’est réduit à « p****tain, le niveau.... ! ». « Avoirs iraniens : Washington dénonce un « abus de droit » de Téhéran à la CIJ. https://www.romandie.com/news/Avoirs-iraniens-bloques-Washington-denonce-un-abus-de-droit-de-Teheran-a-la-CIJ_RP/960345.rom
×
×
  • Créer...