Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

TarpTent

Members
  • Compteur de contenus

    5 700
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    24

Tout ce qui a été posté par TarpTent

  1. Le Starship a manifestement rencontré un souci lors du stacking. L’alignement ne s’est pas spécialement passé en douceur, même si cela n’est pas nécessairement ma cause du souci rencontré : Quoiqu’il en soit, S28 a été finalement ramené au sol, et une inspection a été menée sur l’un des crochets d’amarrage du Starship au Booster :
  2. Pour suivre, parce que cela sera une brique essentielle de la MCO dans l’espace : L’Esa vient d’envoyer sa 1ere imprimante 3D de pièces en métal, lors de Cygnus NG-20. Traduction auto du communiqué de l’ESA : « L'impression 3D en métal aura bientôt lieu en orbite pour la première fois. Une imprimante 3D en métal de fabrication européenne pionnière est en route vers la Station spatiale internationale dans le cadre de la mission de réapprovisionnement Cygnus NG-20 lancée hier. « Cette nouvelle imprimante 3D imprimant des pièces métalliques représente une première mondiale, à une époque d'intérêt croissant pour la fabrication dans l'espace », explique Rob Postema, directeur technique de l'ESA. "Les imprimantes 3D à base de polymère ont déjà été lancées et utilisées à bord de l'ISS, en utilisant un matériau plastique qui est chauffé à la tête de l'imprimante, puis déposé pour construire l'objet désiré, une couche à la fois. « L'impression 3D métallique représente un plus grand défi technique, impliquant des températures beaucoup plus élevées et la fusion du métal à l'aide d'un laser. Avec cela, la sécurité de l'équipage et de la station elle-même doit être assurée - tandis que les possibilités d'entretien sont également très limitées. En cas de succès cependant, la résistance, la conductivité et la rigidité du métal amèneraient le potentiel de l'impression 3D dans l'espace à de nouveaux sommets. » Une fois arrivé à la Station spatiale internationale, l'astronaute de l'ESA Andreas Mogensen préparera et installera l'imprimante 3D en métal d'environ 180 kg dans le support de tirage européen Mark II dans le module Columbus de l'ESA. Après l'installation, l'imprimante sera contrôlée et surveillée à partir de la Terre, de sorte que l'impression peut avoir lieu sans la surveillance d'Andreas. Le démonstrateur de technologie Metal 3D Printer a été développé par une équipe industrielle dirigée par Airbus Defence et Space SAS - qui cofinance également le projet - sous contrat avec la Direction de l'exploration humaine et robotique de l'ESA. « Cette démonstration en orbite est le résultat d'une étroite collaboration entre l'ESA et la petite équipe dynamique d'ingénieurs d'Airbus », commente Patrick Crescence, chef de projet chez Airbus. « Mais ce n'est pas seulement un pas vers l'avenir ; c'est un saut pour l'innovation dans l'exploration spatiale. Il ouvre la voie à la fabrication de structures métalliques plus complexes dans l'espace. C'est un atout clé pour sécuriser l'exploration de la Lune et de Mars. » L'imprimante imprimera en utilisant un type d'acier inoxydable couramment utilisé dans les implants médicaux et le traitement de l'eau en raison de sa bonne résistance à la corrosion. Le fil d'acier inoxydable est introduit dans la zone d'impression, qui est chauffée par un laser de haute puissance, environ un million de fois plus puissant que votre pointeur laser moyen. Au fur et à mesure que le fil plonge dans le bassin de fusion, l'extrémité du fil fond et le métal est ensuite ajouté à l'impression. L'ingénieur en matériaux de l'ESA, Advenit Makaya, de la Direction de la technologie, de l'ingénierie et de la qualité de l'ESA, a fourni un soutien technique au projet : "Le bassin de fusion du processus d'impression est très petit, de l'ordre d'un millimètre de diamètre, de sorte que la tension superficielle du métal liquide le maintient solidement en place en apesanteur. Malgré cela, le point de fusion de l'acier inoxydable est d'environ 1400 °C, de sorte que l'imprimante fonctionne dans une boîte entièrement scellée, empêchant l'excès de chaleur ou de vapeurs d'atteindre l'équipage de la station spatiale. Et avant que le processus d'impression ne commence, l'atmosphère d'oxygène interne de l'imprimante doit être ventilée dans l'espace, remplacée par de l'azote - l'acier inoxydable chaud s'oxyderait s'il était exposé à l'oxygène. » Quatre formes intéressantes ont été choisies pour tester les performances de l'imprimante 3D Metal. Ces premiers objets seront comparés aux mêmes formes imprimées au sol, appelées impressions de référence, pour voir comment l'environnement spatial affecte le processus d'impression. Les quatre tirages sont tous plus petits qu'une canette de soda, pèsent moins de 250 g par tirage et prennent environ deux à quatre semaines pour l'imprimer. Le temps d'impression prévu est limité à quatre heures par jour, en raison de la réglementation du bruit de la Station spatiale - les ventilateurs de l'imprimante et le moteur de l'imprimante sont relativement bruyants. Une fois qu'une forme aura été imprimée, Andreas la retirera de l'imprimante et l'emballera pour un retour en toute sécurité sur Terre pour le traitement et l'analyse, afin de comprendre les différences de qualité et de performance d'impression dans l'espace, par opposition à la Terre. Une référence et une impression 0xg, qui fait partie d'un outil dédié, iront au Centre européen des astronautes (EAC) à Cologne, en Allemagne. Deux autres se dirigeront vers le cœur technique de l'ESA, le Centre européen de recherche et de technologie spatiale (ESTEC), où une équipe du Laboratoire des matériaux et des composants électriques attend les échantillons pour l'analyse macro et micro des pièces imprimées. L'impression finale sera destinée à l'Université technique du Danemark (DTU), qui a proposé sa forme, et étudiera ses propriétés thermiques à l'appui, par exemple, de l'alignement futur de l'antenne. « En tant que projet de démonstration technologique, notre objectif est de prouver le potentiel de l'impression 3D métallique dans l'espace », ajoute Rob. « Nous avons déjà beaucoup appris pour en arriver à ce point et nous espérons en apprendre beaucoup plus, sur la voie de faire de la fabrication et de l'assemblage dans l'espace une proposition pratique. » L'un des objectifs de l'ESA pour le développement futur est de créer une économie spatiale circulaire et de recycler les matériaux en orbite pour permettre une meilleure utilisation des ressources. Une façon serait de réutiliser les bits des vieux satellites en nouveaux outils ou structures. L'imprimante 3D éliminerait le besoin d'envoyer un outil avec une fusée et permettrait aux astronautes d'imprimer les pièces nécessaires en orbite. Tommaso Ghidini, chef du département mécanique de l'ESA, note : "La 3D du métal dans l'impression spatiale est une capacité prometteuse pour soutenir les futures activités d'exploration, mais aussi au-delà, pour contribuer à des activités spatiales plus durables, par la fabrication in situ, la réparation et peut-être le recyclage des structures spatiales, pour un large éventail d'applications. Cela comprend la fabrication et l'assemblage de grandes infrastructures en orbite ainsi que l'établissement humain planétaire à long terme. Ces aspects sont des priorités dans les prochaines initiatives technologiques transversales de l'ESA. » Thomas Rohr, qui supervise la section des matériaux et des processus de l'ESA, ajoute : « Cette démonstration technologique, qui présente le traitement des matériaux métalliques en microgravité, ouvre la voie à de futures entreprises de fabrication d'infrastructures au-delà des confins de la Terre. » » https://www.esa.int/Science_Exploration/Human_and_Robotic_Exploration/ESA_launches_first_metal_3D_printer_to_ISS
  3. On doit être un 1er avril : “L'ESA a publié un appel à l'industrie pour qu'elle soumette des propositions de concepts de booster et de premier étage réutilisables.“ (En-fin !) Ils ont réussi à appeler cette initiative… “BEST!“ (pour Boosters for European Space Transportation)
  4. Après que SpaceX ai travaillé une partie de la nuit sur le SQD, le stacking a enfin été effectué :
  5. Découvert indirectement via … air-défense, ce site d’analyse d’une photo afin de voir et savoir ce qui a été retouché : Digital Photo Forensics. Version gratuite en ligne : https://fotoforensics.com Source indirecte :
  6. Et c’est maintenant le S28 qui a été amené, en préparation d’un stacking : On aura finalement prochainement un test de remplissage complet pour la nouvelle ferme de carburant. Si tout se passe correctement, il se pourrait que le prochain destacking soit réalisé pour mettre en place activer les systèmes d’auto-destruction, avant IFT-3. Pendant ce temps-là, E. Musk refroidit sérieusement l’ambiance autour du HLS Artemis et le prochain retour sur la Lune contractualisé avec la Nasa : E. Musk : "Starship devrait pouvoir atteindre la Lune dans moins de 5 ans". Comme, contractuellement, la date de retour sur la Lune est prévue d’ici 2,5 ans, soit il fait excès de prudence, soit le retard pris sur certains segments - notamment les essais de mise en orbite et de ravitaillement - ont pris plus de retard qu’attendu, et ne pourront pas être comblés. Et l’assemblage ainsi que le transport des sections de la seconde tour de lancement vont bon train : - Assemblage d’une section directement depuis Boca Chica : - 4 autres segments qui avaient été assemblés en Floride se baladent sur une barge, et devraient arriver à Boca d’ici 7 jours :
  7. B10 vient d’être amené cette nuit au Pad Orbital A et y a été juché. Le dernier tank de la ferme à carburant ayant été installé hier, nous pouvons nous attendre à un test cryo complet, voire une répétition générale jusqu’à l’amorçage des Raptor. Aucun tir statique n’est pour le moment programmé. Comme avant le vol IFT-2, la FAA a fait savoir qu’elle n’avait pas l’entièreté des informations nécessaires à la délivrance d’une licence de vol La dernière fois, il s’était passé 2 semaines entre ce post et la délivrance de celle-ci.
  8. Retour sans encombre pour la Crew Dragon de la 3ième mission d’Axiom, AX-3, et de ses passagers :
  9. Retour sans encombre pour la Crew Dragon de la 3ième mission d’Axiom, AX-3, et de ses passagers :
  10. Il y a actuellement un très fort débat sur le nombre toujours croissant d’entrées illégales sur le territoire américains - en volume assez impressionnant - , et largement favorisé par les Démocrates à des fins politiques. C’est un nouveau front qui s’ouvre, et le budget consacré à l’Ukraine est en débat depuis bien plus de 6 mois dans la société américaine et au Congrès.
  11. Comme souvent, les chinois ne font pas semblant. Pas semblant de repomper les idées et concepts, de le faire très ouvertement, et d’y mettre beaucoup de moyens, surtout si ça fait ses preuves ailleurs. Ainsi donc, Shanghai Spacecom (id Shanghai Yuanxin) vient de lever près d’1milliard de $ pour sa future constellation de satellites, qui se nommera G60… Starlink (parce que pourquoi pas…). Il y a quand même des différences techniques, d’après d’après les demandes déposées auprès de l’UIT : - Bandes Ku, Q/V (pas de Ka, pas de E) - 1 160 km d'altitude (vs. ~500-550 km) La démarche est soutenue en arrière-plan par le Ministère des Finances, la Banque du Développement de Chine, le Gouvernement de Shanghai, l’Academie Chinoise des Sciences, etc. L’entreprise a déjà fabriqué son 1er satellite en décembre 2023 et sa capacité de production est estimée à 300 par an. Le déploiement devrait démarrer assez rapidement sur 2024. À noter qu’il s’agit de la seconde constellation de satellites à être planifiée en LEO après "Guowang", qui elle est développée pat l’entreprise publique chinoise Satellite Network Group.
  12. B13, qui attendait patiemment son tour, vient d’être intégralement stacké. Il lui manque les grid fins et les Raptor, mais ca ne lui empêchera nullement d’aller faire un tour à Massey’s Range pour un premier test de remplissage cryo.
  13. ça s’agite mais il n’y a rien de vraiment nouveau pour le moment, et rien de particulièrement important - soit en préparation du prochain vol, soit comme évolution significative -. Le S26 continue d’être renforcé et devrait être le 1er cargo mis en orbite, qui servira d’une part à confirmer que le carburant peut être conservé à suffisamment basse température pendant un temps significatif, et d’autre part à réaliser le 1er transfert de Starship à un autre (possiblement). Les renforts sont directement liés à sa nature de tank et sont réalisés précisément autour de sa section de réservoir d’oxygène liquide. L’une des bonnes hypothèses est qu’il s’agit d'éviter les déformations significatives lorsqu’il y aura transfert de carburant. Nul doute que les enseignements du S25 lorsqu’il a lentement libéré de l’oxygène liquide (et a explosé suite à un incendie) ont été retenus. On verra lorsqu’on en sera à envoyer le S26 - a priori pour IFT-4 ? - en orbite, et si le Starship suivant bénéficiera de mêmes renforts. Bref, rien de folichon actuellement : on suit aussi la construction de la (pseudo-) restroom, et ça n’apporte rien non plus. Quand les travaux commenceront pour la seconde Tour de Lancement, et notamment les fondations qui devraient dès le départ intégrer un système de déluge d’eau similaire à celui en place sous le pad orbital A, là on pourra s’y ré-intéresser un peu, puisque la fin de construction de cette seconde tour signifiera le début des tests de récupération effective des Booster et Starship. Mais ils vont devoir étendre la ferme à carburant, installer des dérivations pour le déluge d’eau, refaire toutes les canalisations pour le Firex… on en rediscute en juin, on verra où ils en sont.
  14. La Nasa commence à poster d’autres photos de "sa" bête, le X-59 queSST, et le moins que l’on puisse dire, c’est que quel que soit l’angle, l’engin est particulier :
  15. Pendant que les rumeurs - ou plutôt des indiscrétions - indiquent que la FAA pourrait au mieux attribuer la licence de vol de l’ IFT-3 à partir de mi-février, mais plus probablement à fin du mois, SpaceX communique sur sa préparation, en montrant une photo des 3 prochains boosters assemblés. le quatrième est lui prêt à être assemblé. On voit ici les Boosters 10, 11 et 12. « La FAA est sur le point de délivrer une licence de lancement de Starship entre la mi et la fin février […]» Lisa Watson-Morgan, responsable du programme Human Landing System de la NASA, a de son côté publié sur LinkedIn les « progrès remarquables » ces 6 derniers mois de SpaceX par rapport au HLS, notamment la présentation d'une « maquette du module support vie fonctionnelle » pour les futures missions. (je ne parlerai pas du remplacement d’un Raptor Vc sur le S28, de la nouvelle porte coulissante sur la high bay, des 2 nouvelles sections de la seconde tour qui s’apprêtent à être chargées sur base pour être amenées à Starbase)
  16. « BREAKING : L'administrateur de la NASA annonce une nouvelle mission d'hélicoptère sur Mars, nommée "Vengeance", et prévue pour 2028 pour mener une opération ciblée de frappe au sol sur le rocher qui a endommagé Ingenuity.» ‘MURICA ! F*CKYEAH !
  17. Et c’est maintenant au tour de CASIC de tester son propre hopper : il s’appelle ExPace, son saut de puce a duré 22 secondes et il est équipé d’un propulseur au méthane. Le 4 novembre, ce propulseur avait réalisé son 200ième essai d’allumage. En 2025, on pourrait dont avoir au moins 4 sociétés chinoises avec un 1er étage propulsé au méthane pouvant opérationnellement revenir se poser sur terre.
  18. Cette photo est un crève-coeur. Il s’agit de l’ombre d’une des pales d’Ingenuity, qui confirme que le 72ième vol de celui-ci aura aussi été son dernier. Le JPL lui rend bien évidemment hommage en vidéo, et c’est très largement compréhensible. Et une infographie très explicite :
  19. Le point qui faire rire jaune, c:est que Cameron County vient d’assurer qu’elle avait aussi des vues sur ces terrains. Forcément, depuis que SpaceX s’est installé, ces bouts de terre ont pris un peu de valeur… Du coup, pour éviter que la commune n’en fasse un élément de spéculation, SpaceX a proposé à Cameron County d’échanger 42 hectares de terrains qui lui appartiennent tout autour et sont classés comme zone à protéger contre ces 17 hectares attenants à ses propres installations et constructibles. Sinon, petit retour sur le pad orbital A (l’Orbital Launch Mount) et le système de déluge d’eau, parce que cela pourrait très bientôt être vu comme la nouvelle norme en lieu et place des traditionnels pas de tirs avec carneaux. - Considérons d’abord que si l’on en parle, c'est parce que l’ensemble a parfaitement fonctionné lors du second tir de test du Starship, et c’est déjà un point essentiel. - Ensuite, ce type de pas de tir offre un accès direct aux moteurs, qu’il s’agisse de les mettre en place, faire une visite d’entretien ou pour réaliser un échange standard directement sur le pas de tir. - De par sa structure, il se construit plus rapidement qu’un pas de tir normal. C’est d’autant plus flagrant lorsque l’on prend en considération qu’aucune tranchée ou carneau n’est nécessaire. - L’ensemble est d’ailleurs bien plus compact, et donc prend une surface au sol significativement moindre qu’un pas de tir actuel. - Enfin, le système actuel de déluge d’eau nécessite 378 000 litres de moins que ce que consomme le lancement du SLS, pour une poussée du Starship 2 fois supérieure. Bien évidemment, ce type de pad ne fonctionne que si l’on ne redresse pas la fusée sur son pas de tir pour la mettre à la verticale. SpaceX a privilégié la verticalité, la fusée étant fabriquée debout, déplacée ainsi et juchée sur son pas de tir. Un tout cohérent.
  20. Petit point de détail concernant ce petit robot qui a été fabriqué par une société de jouets : il s’agit du 1er robot au monde à mener une exploration entièrement autonome de la surface lunaire. Un détail.
  21. Cette hypothèse était la bonne : Voici la photo de SLIM prise par LEV-2, avec LEV-1 ayant réalisé le relais de transmission, validant au passage le bon fonctionnement de ces derniers. Cette position acrobatique, avec le fait qu’un des thrusters a été apparemment arraché, permet 3 hypothèses : - le rover avait encore une vitesse de déplacement latéral lorsqu’il a essayé de se poser ; - le rover a rebondi à l’atterrissage après sa manoeuvre de bascule, et a roulé-boulé ; - les 2 combinés. EDIT - on a l’explication : - la sonde a perdu un de ses 2 moteurs alors qu’elle était au moins encore à 50 m d’altitude, en vol stationnaire à prendre des photos de navigation (quelle idée de jouer les touristes dans un moment pareil !) - de là, elle part de travers et se vautre en douceur sur le plancher des vaches (ce qui permet une note technique correcte au final) - petit roulé-boulé pour parfaire la manoeuvre (ça augmente significativement la note artistique, et ça aussi c’est important). Bref, les panneaux solaires ne voient plus qu’à l´ouest, mais les 2 LEV ont été proprement largués.
  22. La guerre est sur le point d’éclater entre les UK et les USA !! Il s’agit d’un communiqué officiel de l’ambassade US à Londres, et elle ne laisse pas de place au doute avec cette dernière provocation, sous couvert d’apparente volonté d’apaisement :
  23. SpaceX vient de soumettre à la Nasa ses conclusions définitives et les mesures correctives prises faisant suite à IFT-2. Il en a profité pour faire la demande de licence de vol pour l’IFT-3, au profil de vol forcément modifié par rapport à IFT-2, puisqu’il y aura mise en orbite, largage de satellite et redémarrage de Raptor pour effectuer la desorbitation du Starship.
  24. Sierra Space, qui conçoit le Dream Chaser, se place également en concurrent de Bigelow Aerospace en développant ses propres modules gonflables pour l’espace. Ainsi, la société a décidé de nous régaler avec la vidéo d’un test jusqu’à rupture d’un de ses modules. Censé pouvoir être opéré à 15,2 psi de pression maximum, la Nasa impose que la structure soit en capacité de résister à 4 fois celle-ci, soit 60,8 psi. Au final, le module aura résisté jusqu’à 77 psi, +27% par rapport à la pression de sécurité exigée par la Nasa. (soit respectivement 1,05 bar, 4,19 bar et 5,31 bar approx.) Et la vidéo longue : Prochaines étapes : mener à plus grande échelle les tests sur tout 2024, et commencer le développement préliminaire des couches primaires servant de barrière atmosphérique et de protection contre les débris orbitaux et les micrométéorites (MMOD).
  25. All is NOT lost (yet). La communication avec l’hélicoptère a été rétablie, après une longue session d’écoute par Perseverance d’un éventuel signal émis par l’hélicoptère. Pour le moment, le JPL analyse les données récupérées afin de mieux comprendre pourquoi le signal a été coupé avant l’atterrissage d’Ingenuity, et quelle est réellement sa situation actuelle.
×
×
  • Créer...