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FATac

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Tout ce qui a été posté par FATac

  1. FATac

    La Composante Air belge

    Oui, mais non. Il n'y a pas que le F-35 dans la composante Air, et tout le reste y a sa place sans être puni par les débordements du sujet F-35. D'ici là, moi, je n'ai rien contre les récits de leurs exercices ou opérations extérieures, leurs collaborations avec (tous) leurs voisins, les aventures de leurs F-16, les affres de la refonte de la formation, l'usage de leurs A400M, les retours sur les NH90, etc. Et le F-35 fait partie de ces aventures, le tout c'est qu'on soit assez disciplinés pour ne pas voir que lui...
  2. Et par ailleurs, ne pourrait-il pas avoir été acheté et livré antérieurement au conflit ?
  3. Mais, moi aussi, si je pouvais annuler mes erreurs, récupérer mes pertes, mais conserver mes gains, je repartirais aussi en arrière. Après, que les choses soient claires : Puisque le gambit tenté par Moscou en février 2022 n'a pas fonctionné, la possibilité qu'il y ait un gagnant à ce conflit a été anéantie. Pour gagner, il fallait gagner tout de suite. Les pertes d'un camp comme de l'autre ne peuvent aller qu'en augmentant, alors qu'aucun des deux camps ne semble pouvoir gagner directement sur le terrain, à présent. Cependant, la profondeur du banc ukrainien ne permet pas d'envisager une durée importante et l'équilibre des forces est quand même en faveur de la Russie. Il y a des chances non nulles pour que, à la fin, l'Ukraine perde, que ce soit le conflit ou simplement des territoires. La Russie n'est pas directement menacée dans son existence par l'Ukraine. De ce point de vue là, elle ne peut pas "perdre". Mais elle peut ne pas remplir ses objectifs d'OMS, et ça, ça reste une défaite. La Russie a, déjà, perdu une large partie de sa crédibilité diplomatique, et tente de la regagner par des jeux d'influence. La garantie du territoire ukrainien en échange du démantèlement nucléaire ? Aux orties. Minsk dans n'importe laquelle de ses versions ? Pas franchement défendu une fois bousculé. La prédation des ressources africaines en échange de la protection des SMP illégales en Russie ? Acceptée par ceux entre le marteau et l'enclume. La diplomatie du passeport ? Bien comprise comme dangereuse par tous les voisins dont l'arsenal juridique tente d'y faire obstacle. Pas besoin d'être grand clerc pour voir à quel point il n'y a que des perdants, au premier rang desquels tous ceux qui reçoivent quotidiennement des kilos de tolite sur la tête. Mais au bout du compte, chacun comparera ses pertes avec ses seuils d'acceptation des pertes. Et celui qui perdra le moins (qui sera le plus loin de son seuil) sera le "gagnant". Et c'est là-dessus que ça se joue, entre Vladimir et Volodymyr : c'est un sinistre marché qui consiste à minimiser ses propres pertes en maximisant les pertes de l'adversaire. Pour cela, chacun est prêt à mobiliser toutes les ressources qu'il peut recevoir, au meilleur "coût" de celles-ci (qu'il s'agisse de l'aide occidentale d'un côté, ou de celle de républiques-soeurs de l'autre). Je ne suis pas certain qu'il faille y voir une volonté de poursuite de la part des soutiens non-belligérants. Il y a une volonté d'aider à ne pas céder, à ne pas perdre, parce que oui, la perte dépasse le simple cadre du territoire ukrainien puisque c'est devenu une question de principe. Mais je n'ai pas de doute sur la symétrie du mécanisme : si l'Ukraine s'était lancée dans une agression de la Russie, pour annexer Belgorod ou Koursk, s'y trouvait toujours en situation d'occupation, alors je suis certain que Minsk, Pékin, Piong Yang, et même Delhi soutiendraient très activement Moscou pour éviter son effondrement et que les chancelleries occidentales pointeraient leur volonté de faire durer les choses, de ne pas abréger les souffrances du peuple russe. Par conséquent, souligner la volonté de durée du conflit de la part de parties non-belligérantes, mais impliquée en soutien, est, au mieux, un procès d'intention, mais bien plus probablement une posture intellectuelle potentiellement (auto-)toxique, car elle ne tient plus si l'on inverse les fronts.
  4. Le voilà, le next-step. Si ça a marché une fois, pourquoi ça ne marcherait pas une autre...
  5. À ce stade du conflit, je pense qu'en cédant la Crimée et les zones acquises "séparatiste ou russe", celui qui prendra cette option pourrait permettre à Vladimir Poutine de valider la quasi-totalité de ses buts de guerre d'opération militaire spéciale. Next step ?? Une ex-steppe ?
  6. Pourquoi pas, ça peut correspondre à une perception de la situation. Mais il y a d'autres perceptions (autant que d'acteurs, en fait), et par conséquent, ce qui me gêne, c'est l'intentionnalité que cela suppose. Soit l'intentionnalité est un biais cognitif, soit elle est contre-productive, suicidaire à un terme qui n'est pas toujours lointain et donc aberrante.
  7. Que l'objectif d'un état soit de contrôler sa société, pourquoi pas (mais c'est un sujet glissant). Qu'il soit de miner la société, ce n'est clairement pas dans son intérêt. Franchement, aucun état qui ne soit pas suicidaire n'a le moindre intérêt à miner sa société.
  8. <ma vie> Je ne sais pas, je ne me suis jamais, mais vraiment jamais, fait contrôler mon identité (ni mon alcoolémie, ni mes papiers de voiture) en plus de 50 ans. Que ce soit en province, à Paris, ou à l'étranger - hors des passages de frontières. J'ai pourtant un morphotype suffisamment méditerranéen pour qu'on me parle en arabe sur les souks du Maghreb, en turc, en grec, en italien ou en espagnol sur les marchés de ces pays, en créole aux Antilles (où j'ai des origines) et dans des dialectes que je n'ai pas identifiés dans les Balkans et les Carpates. Soit, je suis une anomalie statistique qui n'est pas prise en compte par le défenseur des droits, soit il y a d'autres critères que le morphotype qui entrent en ligne de compte et qui, dans mon cas, m'ont fait passer à côté des contrôles avec un grand sourire des FdO qui m'incitaient à circuler. </ma vie> Pour autant, bien davantage que le contrôle, c'est probablement la manière dont il se déroule et le côté intrusif perçu, voire abusif, qui est à l'origine des réclamations. Une de mes cousines, en balade à Ploumachin dans le Finistère pour la journée, s'est fait sévèrement cartonner sa voiture, pourtant bien rangée en stationnement. L'auteur s'étant enfui sans laisser de trace autre que celle de sa propre carrosserie sur la Clio blanche, aucun témoin ne se manifestant, elle est allée porter plainte à la gendarmerie du coin. Elle y a très mal vécu l'interrogatoire poussé qu'elle y a subi, la vérification approfondie de son identité, de sa situation, de ses antécédents (inexistants), de la régularité de son véhicule et surtout les deux questions sur "mais comment avez-vous payé cette voiture quand vous l'avez achetée ?" et "Mais que faisiez-vous à Ploumachin ? Pourquoi êtes-vous venue aujourd'hui ?". Si ces questions peuvent avoir une légitimité côté FdO, il serait bon de s'en expliquer, car elles sont, véritablement, perçues comme intrusives et abusives, surtout quand l'absence de réponse ou le refus de répondre à ce qui parait "déplacé" ne fait qu'envenimer les choses (menaces de mise en cause pour "outrage" lorsque la réponse a été "je ne vois pas en quoi cela concerne mon dépôt de plainte"). Il y a peut-être un peu de progrès à faire dans le "contact", même si je comprends un peu l'usure des FdO face à cette corvée des contrôles répétés. Il faut cependant admettre ce que signalait Coluche (il me semble) à l'époque du début de sa célébrité : tu dois accueillir tous ceux qui te demandent un autographe avec la même politesse. Peu importe si c'est le centième que tu fais aujourd'hui. Pour celui qui te le demande, ça reste toujours le premier.
  9. FATac

    La Composante Air belge

    Non, non, l'argument tient. C'est juste la capacité d'un constructeur ou d'un autre pour y répondre qui diffère.
  10. Désolé de revenir là-dessus... Pour ma part, en calculs géométriques, dynamique de mouvement et asservissement, j'avais l'habitude de considérer 6 axes : 3 de rotation, et 3 de translation. Roulis, Tangage, Lacet, Cavalement, Embardée et Pilonnement. Qui plus est, lorsque les mobiles étaient articulés, je considérais les 6 axes du corps principal du mobile, combinés aux x axes de la partie mobile (x dépendant de la nature de l'articulation et donc du nombre d'axes propres différents des axes principaux. Et cette combinaison reprise autant de fois qu'il y a d'articulations. Des alignements intelligents de pivots ou d'axes de translation peuvent simplifier les calculs, mais pour autant, le maintien d'une visée (sur but fixe) dans un mobile en mouvement simple impose déjà de connaître et maitriser les mouvements sur les axes principaux (allez, simplifions : 5 axes pour un tank, la chenille se prêtant peu à l'embardée). La rotation de la tourelle permet de découpler le lacet tourelle du lacet caisse. Cela transforme les lacet, roulis et tangage de la caisse en composantes de lacet, roulis et tangage (les trois simultanément) au niveau de la tourelle. Et l'élévation du canon va aussi transformer (projeter) ces trois composantes sur trois composantes locales. Ainsi (pour simplifier), tourelle à 90°, élévation nulle, pour des articulations placées intelligemment, le tangage de la caisse va donner du roulis au canon, ce qui ne change rien à sa visée. Par contre, du roulis de la caisse va donner du tangage au canon et du lacet de la caisse va juste changer le lacet du canon. Mais pour les positions intermédiaires, et à élévation non nulle, les mouvements de caisse sur les trois axes de rotation vont bien être projetés sur les trois axes de rotation du canon, dans des proportions dépendant des angles de braquage. Il est bien nécessaire d'avoir une stabilisation 3 axes pour les rotations. La prise en compte des translations, elle, est davantage considérée comme un problème de visée (et de conduite de tir) que comme un problème de stabilisation. Pour autant, elle ne doit pas être écartée de l'équation non plus...
  11. En fait, si j'ai bien compris, ce que le défenseur des droits souhaiterait, c'est qu'il y ait une justification préalable (écrite) pour ces contrôles "sur critères discriminants". L'exemple donné plus haut par @christophe 38 sur les contrôles en Pays Basque peu servir de base la réflexion : zone frontalière, mouvements de populations pas forcément maîtrisés, disparition des contrôles systématiques aux frontières dans l'espace Schnegen, ... tout ça légitime le contrôle de personnes n'ayant pas le morphotype local afin de tenter de saisir "au vol" un éventuel étranger en situation irrégulière. Et je crois que cela ne poserait pas de problème au défenseur des droits s'il y avait, au préalable, un ordre de mission écrit indiquant "opération de contrôle en zone frontalière de la régularité du séjour sur le territoire national". L'ordre de mission, valable pour une période donnée serait produit aux contrôlés à l'issue du contrôle (ou au début) pour justifier de la réalité du motif du contrôle, et il n'y aurait plus de sujet. Même chose à proximité des grandes gares ou dans les zones de rassemblements de migrants par exemple. Après, reste le contrôle ponctuel, de voie publique pour lesquels le "flair" (l'appréciation si vous voulez) pourra toujours faire l'objet de contestation, les motifs du choix de la personne à contrôler (lorsque l'on est en recherche d'une activité en particulier) ne sont généralement pas agréables à entendre pour celui qui n'a rien à voir avec ces activités : "bah t'es habillé comme un dealer" ou "Ta casquette/ton tatouage est le même que telle bande de quartier".
  12. Oui, mais de quelle Chine ? (cette question n'est ni trollesque, ni rhétorique)
  13. FATac

    [Rafale]

    Je me suis peut-être mal exprimé sur ce que je trouve gênant. Ce que je trouve gênant, ce n'est pas l'utilisation de GPU dans un autre contexte que le traitement graphique. C'est plutôt l'idée qui s'insinue, petit à petit, dans les esprits pour finir par considérer que si c'est un GPU, c'est nécessairement plus puissant (en puissance de calcul) qu'un CPU.
  14. Sinon, sur un sujet un peu annexe : a-t-on une idée, même vague, de l'impact du conflit sur les réseaux russes et ukrainiens de criminalité organisée ? Il y a, d'une part, l'impact du conflit sur leurs ressources humaines respectives : mobilisation d'un côté, élargissement de condamnés à l'issue de leur service wagnerite de l'autre. Mais aussi l'impact sur leurs marchés et leurs ressources : trafic de stupéfiants (notamment la Pervitine en République Tchèque), d'armes, proxénétisme, prostitution et pornographie, trafic d'êtres humains (migrants et ou clandestins), cyber-délinquance, etc. Le conflit actuel permet-il à ces organisations de continuer à prospérer, voire à se développer, ou bien conduit-il à un ralentissement marqué de leurs activités, avec un fort risque de rebond à l'issue du conflit et à la libération des ressources (humaines et matérielles) qu'il mobilise actuellement ? A votre avis ?
  15. FATac

    [Rafale]

    [Parenthèse HS] Ça me gêne un peu de voir le GPU devenir l'alpha et l'oméga de la capacité de calcul. C'est né d'un glissement d'usage, mais on s'oriente vers un glissement de sens qui tourne au contresens. Un GPU n'est jamais qu'un CPU qui a perdu son rôle central et qui s'oriente (et s'optimise) vers une fonction périphérique, initialement de gestion de l'affichage (ou de l'environnement géométrique/graphique). Alors, certes, son parallélisme le rend apte à des performances calculatoires importantes, mais pour autant, quand on l'utilise pour un autre rôle que la gestion de l'affichage, ce n'est plus à proprement parler un GPU. Et pour rappel, et je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, mais lorsque les CPU Pentium se sont vus dotés du jeu d'instruction MMX, ont acquis des capacités de calcul au niveau central, qu'on ne voyait à l'époque qu'intégrées dans les cartes graphiques. De même, la PS/2 de chez Sony intégrait, à l'époque, 3 CPU 128 bits identiques et relativement parallèles et les guidelines de développement recommandaient d'en utiliser un comme CPU réel, pour gérer la mécanique des jeux et l'interaction utilisateur, le second comme GPU, et le troisième pour les besoins supplémentaires de calcul (environnement notamment). La dualité CPU/GPU n'est qu'apparente et la porosité entre les deux est extrême puisqu'un GPU est un PU (Process Unit) dédié et optimisé pour un rôle particulier. Sorti de son rôle, il peut devenir n'importe quoi d'autre selon son nouveau rôle : CPU en processeur central, SPU s'il traite des signaux, etc. [/Parenthèse HS]
  16. C'est pas un détecteur d'alerte radar, pour pouvoir plonger en urgence en cas de balayage par un MPA lors d'une navigation proche surface ?
  17. Si, initialement, l'AUKUS semblait faire dériver le retrait des Collins vers le milieu des années 2030, on en arrive maintenant à préparer un programme de refonte pour un retrait du service du dernier exemplaire en 2048.
  18. En fait, le bruit propre, c'est une saleté... ---> []
  19. Sinon, je veux juste une confirmation. @g4lly, quand tu as écrit ça : C'est vraiment ce que tu voulais écrire ? Ou tu voulais plutôt écrire : Parce que ce n'est vraiment pas la même chose, et que des incompréhensions ont pu en naître...
  20. Pour ma part, ce n'est pas du tout la perception que j'ai de la détention préventive. Certes, je n'ai jamais été personnellement concerné par celle-ci, mais j'ai vécu d'assez près celle d'un de mes oncles, dans un contexte très délicat, transformant cette détention en pur enfer. À mes yeux - c'est bien une perception personnelle - la détention provisoire n'a absolument pas pour but de faire craquer l'accusé. Ça, c'est le rôle de la Garde à Vue. Il se trouve que, si la détention provisoire est un outil judiciaire, la garde à vue est un outil policier. Les deux sont bien souvent excessifs, et il est ironique de voir les promoteurs de l'un critiquer l'autre et vice-versa. La détention préventive n'est pas un outil de coercition, non plus. Il ne s'agit pas d'une "contrainte par corps" valant pour exécution de peine. C'est, à la base, un outil judiciaire destiné à geler les éléments de preuve, le temps de les saisir, les faire s'exprimer, et ce, de manière irréfutable. C'est une mesure conservatoire. La détention provisoire permet d'éviter que des suspects, certes, innocents à ce stade, mais néanmoins mis en cause, ne puissent altérer des preuves, des témoignages, ou synchroniser leurs versions. Écarter la détention provisoire peut s'envisager si tous les témoignages et les éléments de preuves ont été recueillis et si toutes les versions sont validées et contresignées de ceux qui les expriment, sans possibilité de revenir en arrière après entente. Sinon, si l'on veut laisser une part de liberté, c'est bracelet électronique, suspension conservatoire (avec maintien du traitement), interdiction de contact, coupure (voire brouillage) des communications téléphoniques et électroniques. C'est à peine mieux : une forme d'assignation à résidence avec visites interdites hors de l'avocat et du médecin (légiste). Sinon, je rappelle que la détention provisoire n'est pas prononcée à la légère. Elle l'est quand il est estimé que des risques pèsent sur le déroulement de l'enquête, de l'instruction, et par suite du procès si l'on va jusque-là. Le juge des détentions et des libertés la prononce pour une durée maximale en rapport avec la gravité des faits (et la difficulté supposée de l'enquête et de l'instruction), tout en laissant des possibilités d'appels -> une autre cour peut alors rendre une décision contraire, après examen du contradictoire et exposition des arguments des parties. Il y a eu d'autres affaires mettant en cause des policiers qui n'ont pas débouché sur une détention provisoire, même à l'issue d'une garde à vue. Là, le prononcé de la DP doit quand même interroger au moins autant sur la gravité des faits que sur l'autorité des juges. Que la Police dispose de l'usage légitime de la violence au nom de l'état ne devrait pas poser de problème particulier, à condition que cette violence "par personne dépositaire de l'autorité publique" soit mise en œuvre dans des conditions exemplaires. Ces conditions exemplaires doivent permettre à la justice de disposer de tous les éléments pour mettre en cause aussi bien les auteurs de violence ne disposant pas de l'autorité publique, que ceux qui abuseraient de cette autorité. Et comment faire le distingo si l'on ne remet pas une forme d'égalité devant la loi (égalité qui est déjà rompue par le statut particulier des fonctionnaires de police qui exige d'eux davantage de responsabilités - c'est une question de confiance vis-à-vis du peuple dépositaire de cette autorité et qui la délègue à cette institution, n'oublions pas ce principe fondateur). Cette affaire vient planter un double coin, tant dans l'autorité de la Police que dans celle de la Justice, ce qu'aucune des deux n'a besoin de subir en ce moment.
  21. Lanveoc, Landi et Lann Bihoué sont indiqués comme des sites de l'AIA (Atelier Industriel Aéronautique). Pas spécialement comme des endroits où déployer des avions - tiens, d'ailleurs, essayez de déployer des avions sur la BA 204 ou à Cinq-Mars-La-Pile, ça va être drôle.
  22. FATac

    [Rafale]

    Si, si, tu cherches bien un motif pour te pendre. On peut aussi t'en donner d'autres : Sur la flotte de 200 avions de combat, tu en as une bonne trentaine qui sont dotés de vieux radars à balayage mécanique qui ont pourtant une portée supérieure à celle des RBE2 PESA Et puis tu en as aussi plein qui sont équipés d'un radar, certes performant en suivi de terrain, mais dont la portée en Air-Air est inférieure à la capacité visuelle du pilote. Voila la moitié de l'AAE. Moi, je vois que sur l'autre moitié, on est sur un "ramp up" capacitaire, qui a été un peu brisé par la cession d'appareils d'occasion à la Grèce. Mais pour le moment, le nombre a été jugé suffisant pour les missions du moment - essentiellement définir les doctrines d'emploi pour les 25 prochaines années - sinon le volume cédé à la Grèce aurait été réduit.
  23. FATac

    [Rafale]

    La Marine a combien d'AESA ? Parce que la RAF ayant repris le rôle de la FAA, il faut cumuler les deux forces pour comparer. On ne va pas aller se pendre tout de suite, quand même.
  24. Je ne suis pas certain qu'elle soit plus secrète que ce qu'il peut y avoir dans les caméras Catherine FC que Thales avait livrées pour équiper les tanks russes, finalement.
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