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:-X En voulant critiquer les Etats-Unis, les médias chinois se ridiculisent...

 

Des médias d'Etat chinois souhaitant décrire les exécutions capitales pratiquées aux Etats-Unis ont diffusé des images montrant une femme attachée par des lanières sur un lit, une scène en fait tirée d'une vidéo pornographique intitulée "Injection létale".

Mercredi matin, les captures d'écran de cette vidéo étaient encore visibles sur le site de la très institutionnelle agence Chine nouvelle. Les images ont également été utilisées par le site du journal Global Times, directement contrôlé par le Parti communiste au pouvoir.

On y voit une femme simplement habillée d'une culotte et d'une blouse ouverte, semblant résister alors qu'une "gardienne" de prison la force à s'allonger sur un brancard, sous les yeux d'un "médecin" qui attend de lui donner la mort.

Ces images illustrent le "côté sombre du monde", affirme Chine nouvelle....  

 

http://fr.news.yahoo.com/m%C3%A9dias-chinois-confondent-vid%C3%A9o-porno-ex%C3%A9cution-capitale-085330693.html

 

La Chine est le pays du monde qui pratique le plus d'exécutions capitales, tout en refusant d'en préciser leur nombre exact.

 

L'an dernier le Quotidien du Peuple avait publié sur son site internet un article vantant le charme physique du leader nord-coréen Kim Jong-Un, après avoir pris pour argent comptant une information d'un journal satirique américain.

Et en 2011 la télévision publique chinoise avait diffusé un reportage sur des manoeuvres de l'armée de l'air chinoise qui contenait des extraits de "Top Gun", un film de 1986 à la gloire de l'armée américaine.

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En fait de "média chinois", L'AFP diffusée par Yahoo cite "Chine Nouvelle" qui est la version en français de Xinhua et "Global Times" qui est un magazine en anglais. Si ce n'est que cela, ce sont des médias à destination de l'étranger et non des médias à destination du peuple chinois.

Modifié par Wallaby
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Les nouvelles inquiétantes se succèdent en provenance de Chine. Au rang desquelles, le ralentissement constant des exportations depuis plusieurs mois. On peut l'expliquer en partie par la conjoncture mondiale. Mais entre perte de compétitivité et absence de montée en gamme de la production, les exportations chinoises souffrent aussi d'un mal structurel.

 

Depuis plusieurs mois, l'économie chinoise inquiète. Ralentissement de l'activité industrielle, endettement des gouvernements locaux, finance de l'ombre et financement de l'économie déséquilibré posent question. En juillet, le chiffre des exportations, inférieur de 3,1% par rapport à l'année précédente à la même époque, est venu doucher les espoirs des plus optimistes. En avril déjà, en excluant Hong-Kong, elles s'étaient contractées de 4,8%. C'est un fait, en grande difficulté pour rééquilibrer son modèle économique, la Chine dépend pourtant encore largement de ses exportations.

 

La conjoncture mondiale reste peu propice...

Depuis 2009, ces dernières souffrent d'une conjoncture mondiale dégradée. L'Europe et les Etats-Unis, ses premier et deuxième clients à l'export ont en effet subi les affres d'une crise financière sans précédent qui a stoppé net leurs croissances respectives. Leurs richesses se contractant, les deux grandes puissances économiques occidentales ont moins consommé et donc moins importé en provenance de la deuxième économie mondiale.

Ce net ralentissement a chamboulé les esprits des dirigeants chinois, forcés de mettre en place d'importantes mesures de soutien à l'économie pour maintenir les créations d'emplois à un rythme suffisant pour préserver une paix sociale qui repose essentiellement sur le progrès ressenti par les populations. Depuis, les Etats-Unis sont revenus timidement dans la course, et l'Union européenne, en proie à des politiques de réajustement budgétaire qui minent sa demande intérieure, peine à se remettre de la déconfiture.

 

... mais le déséquilibre est aussi structurel

Mais quand bien même une croissance saine et stable ferait-elle son grand retour en Europe et aux Etats-Unis, pas sûr que cela suffira à faire repartir les exportations chinoises comme avant la crise de 2008. Car comme le souligne une note prospective de Natixis datée d'avril 2013, le mal qui frappe les exportations chinoises est plus profond.

Longtemps championne du monde des produits low-cost produits en masse, la Chine souffre de s'être complu dans son rôle d'atelier du monde en oubliant que son modèle du tout export sans valeur ajoutée ne tenait que grâce à des prix défiant toute concurrence. Or aujourd'hui, il existe désormais en Asie du Sud-est des concurrents plus compétitifs sur ce créneau. La raison est simple. En vue de développer son marché intérieur, la Chine a laissé filer les salaires et permis au yuan de gagner en valeur face aux principales monnaies d'échanges internationaux.

Pour l'heure, c'est un échec. Car si les exportations ralentissent bien, la consommation, elle, ne décolle pas. Voire même elle ralentit. Car augmenter les salaires ne suffit pas. Le ralentissement de l'économie chinoise, sous-estimé selon certains économistes, pèse pour une part sur la consommation. Mais c'est surtout la faiblesse de la couverture sociale et la hausse constante des prix dans l'immobilier qui pousse les Chinois à l'épargne. Le gouvernement a annoncé des réformes sociales afin de lutter contre cette épargne contrainte. Mais ses leurs effets ne se feront pas ressentir dans l'immédiat.

 

Le seul choix est désormais de monter en gamme

En attendant, Pékin n'a pas d'autre choix que d'abreuver son système bancaire de liquidités pour maintenir l'investissement. Le problème, c'est qu'en raison de déséquilibres liés à un système financier très peu ouvert et très peu transparent, ces liquidités sont largement draînés par les entreprises publiques qui s'en servent pour mener à bien des grands projets. Alors que les entreprises du secteur privé ont le plus grand mal à se financer.

Ce déséquilibre dans le système financier chinois a eu pour effet d'assécher les crédits à destination d'investissements productifs. Si bien que la hausse des salaires n'a jamais été compensée par une montée en gamme des produits destinés à l'exportation. Consciente de ces problèmes, Pékin tente depuis le mois de juin de réformer le système financier du pays afin de garantir une meilleure transmission de la politique monétaire de la banque centrale chinoise vers l'investissement productif. En vain... pour l'heure.

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Résurgence de témoignages sur la "Révolution culturelle" : une poignée de confessions d'acteurs de la Révolution culturelle ont récemment brisé le relatif silence qui entoure en Chine les atrocités de cette décennie de chaos (1966-1976) de l'histoire nationale.

 

http://fr.news.yahoo.com/chine-r%C3%A9surgence-t%C3%A9moignages-r%C3%A9volution-culturelle-072826296.html

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Historique : La Chine va devenir le premier importateur de pétrole au monde.

La Chine, dont les besoins en énergie augmentent sans cesse, va cette année doubler les Etats-Unis pour devenir le premier importateur net de pétrole du monde, selon une projection de l'Agence américaine d'information sur l'Energie (EIA).

Les importations nettes de pétrole de Pékin devraient dépasser celles de Washington d'ici octobre 2013, précise l'EIA, qui dépend du ministère américain de l'Energie (DoE). Ce résultat s'explique par "une hausse continue de la demande chinoise, une hausse de la production aux Etats-Unis et un niveau stationnaire de la demande en pétrole sur le marché américain".

http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2013/08/13/la-chine-en-passe-de-devenir-le-premier-importateur-de-petrole_3460671_3216.html

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Pour la production chinoise la montée des salaires se fait sentir au niveau des prix. Les biens fabriqués en Chine coûtent forcément de plus en plus cher et sont donc peut-être moins compétitif à l'export.

 

Pour l'importation de pétrole ça devrait aussi peser sur ses finances.

Modifié par Kiriyama
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Ce que dit Olivier Delamarche depuis longtemps se confirme, les chiffres du PIB chinois sont bidonnés:

Source La Tribune:

Pour de nombreux experts, une perplexité croissante entoure l'annonce d'indicateurs chinois aussi importants que le produit intérieur brut (PIB), alors que se multiplient les écarts entre certaines mesures officielles (les données du commerce extérieur, notamment) et les estimations des experts. En juillet, l'indice PMI (mesurant l'activité manufacturière) publié par le gouvernement chinois montrait même une évolution diamétralement contraire au même indicateur calculé par la banque HSBC. "S'il y avait un indice de suspicion sur les statistiques officielles chinoises, il atteindrait des niveaux records", ironise dans une note Stephen Green, économiste chez Standard Chartered, qui qualifie ses propres calculs de « jeu de devinettes ». Selon son étude, il indique que la croissance économique chinoise était en 2011 et 2012, non pas de +9,3% et +7,8% comme l'indiquaient les chiffres officiels, mais de 7,2% et de 5,5%.

Wikileaks

Le Premier ministre chinois Li Keqiang avait lui-même reconnu il y a quelques années prendre avec des pincettes certains indicateurs officiels. A l'époque à la tête de la province du Liaoning (nord-est), il avait confié en 2007 à l'ambassadeur américain en poste à Pékin que certains chiffres chinois étaient "fabriqués artisanalement" et donc peu dignes de confiance, selon un câble diplomatique publié par Wikileaks. Li avait précisé que lui-même, pour évaluer la véritable santé économique de sa province, se concentrait sur seulement trois chiffres: la consommation d'électricité, le niveau du fret ferroviaire et le volume de crédits émis. "Tous les autres chiffres, en particulier les statistiques sur le PIB, peuvent être seulement consultés à titre informatif", avait-il conclu avec un sourire, selon le mémo diplomatique américain.

Comment fait la Chine pour donner des chiffres avant la France?

"Un des nombreux problèmes en Chine est que les statistiques sont perçues comme recelant en elles-mêmes des connotations politiques", observe Michael Pettis, professeur de finances à l'Université de Pékin. La Chine calcule et publie ses chiffres mensuels et annuels bien plus rapidement que la France, qui est pourtant une économie bien plus petite et dont les statistiques sont réputées de meilleure qualité, a-t-il dit à l'AFP. "Cela amène à se demander comment les Chinois arrivent à être plus rapides que les Français. Cela pose question", note-t-il.

La structure politique en cause

Les experts doutent depuis longtemps de la vraisemblance des chiffres fournis par les cadres locaux, dont la carrière dépend principalement des performances économiques de leur région -ce qui peut les encourager à "embellir" la réalité. Pour Toshiya Tsugami, directeur d'un cabinet de conseil et ancien conseiller économique à l'ambassade japonaise à Pékin, la faute en revient à la structure politique chinoise, qui accorde de larges pouvoirs administratifs à l'échelon local tandis que nominations et promotions dépendent des autorités centrales. "Les dirigeants locaux sont engagés dans une concurrence acérée pour afficher la plus forte croissance du PIB de leur région afin de s'assurer une promotion. Comme ils sont aussi responsables de la publication des statistiques, la tentation est forte de redresser les données", a expliqué Toshiya Tsugami. De fait, la moyenne des taux de croissance publiés par l'ensemble des provinces chinoises est bien supérieure au chiffre national, "ce qui est bien entendu logiquement impossible", souligne Michael Pettis. "On peut donc se dire que le Bureau national des statistiques (BNS) fait un travail plutôt raisonnable dans un environnement très difficile, et que les autorités des statistiques aux niveaux provincial et local font beaucoup moins d'efforts", poursuit-il.

L'économie chinoise suréavaluée?

Dans une étude parue la semaine dernière, Christopher Balding, professeur à la HSBC Business School de l'Université de Pékin, avance que des chiffres biaisés de l'inflation, notamment les prix immobiliers, tendent à surévaluer fortement la taille de l'économie chinoise, devenue la deuxième du monde après les Etats-Unis. "Si l'on réajuste de façon plus conservatrice les prix de l'immobilier (officiels), cela grossit d'environ un point de pourcentage le niveau d'inflation sur un an des prix à la consommation en Chine -ce qui amène à réduire le PIB réel du pays de plus de 1.000 milliards de dollars" (environ 12%), a-t-il détaillé dans un mémoire communiqué à l'AFP.

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Dominique Wolton l'a écrit depuis 2003: le bidonnage complet des chiffres chinois qui sont, dans la grande tradition du stalinisme, en grande partie assignés à l'avance pour la consommation publique comme un plan quinquennal. D'ailleurs l'organisme de "statistiques" qui se charge de les communiquer est le même (chargé entre autre de la propagande économique). Comme l'Inquisition qui s'est perpétuée aujourd'hui dans un autre organisme (Congrégation pour la doctrine de la foi), on peut trouver une certaine logique à la chose, en terme de continuité administrative et bureaucratique; mais vu que le mode de gouvernance a peu changé et le fait d'avoir des comptes à rendre (ou d'être confronté par une information contradictoire, publique et privée) n'est pas devenu une norme, la confiance à accorder à de tels organismes est au mieux minime.

 

On se demandera pourquoi il est courant de dire que si la Chine ne croît pas de 10%, elle décroît (et ne crée pas de jobs): inflation réelle et trucage des chiffres y sont pour beaucoup.

 

En parlant d'information contradictoire, certains ici connaissent-ils l'histoire du cabinet de conseil et stratégie (j'ai un trou, mais je suis relativement sûr que c'était PWC) qui avait, déjà aussi vers 2003-2004, essayé de publier des analyses sur l'économie chinoise et ses perspectives réelles, et s'était trouvé sommé par les autorités chinoises de la fermer et de confirmer les chiffres et estimations bidonnés sous peine de se voir interdire d'accès au marché chinois? Le dit cabinet a évidemment obtempéré, et cet "exemple" a servi, si bien que chez les consultants en stratégie, on mentionne encore le fait de se faire "faire un PWC".  

C'est comme le coup de l'état réel des réserves de pétrole saoudienne: tout le monde a son chiffre, le vrai est caché, et quiconque s'avance à en parler en prend pour son grade.

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Franchement, le Japon patine encore bien plus que la Chine et il suffit de voir que le nombre de produits made in China dans nos supermarchés ne baisse aucunement pour se rassurer sur la santé de ce pays. Il y aura sans doute des crises mais nous, cela fait 40 ans, que l'on connait cela....

On te parle tendance, tu réponds par un cliché instantané. On n'est pas sur la meme longueur d'onde. ^-^

Ps: Cela ne fait pas 40 ans que nous sommes en crise.

 

Modifié par Jojo67
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 On part en HS mais non, crise économique  titre déja les journaux à l'époque mais on part d'un taux de chomage en 1975 à 3,4% qui monte à 5,3 % en 1980, ce qui à permit à Mitterand de remporté l'Elysée avec déja son programme de lutte contre le chomage qui n'a guére eu de succés... :

 

La Ve République face à la crise (1974-1995)

 

http://www.philisto.fr/cours-116-la-ve-republique-face-a-la-crise-1974-1995.html

 

Taux de chomage annuel depuis 1975 :

 

http://www.insee.fr/fr/themes/tableau.asp?reg_id=0&ref_id=NATnon03337

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Hong-Kong patine pas mal depuis son retour à la Chine en 1997. Ce serait intéressant de connaître l'état réel de son économie.

 

Mais pour l'avenir économique de la Chine, qu'est-ce que va se passer ? Le pays ne va pas s'effondrer ?

 

J'y suis en ce moment, les gens consomment encore plus qu'avant, c'est fou... Quand je passe dans les rues je n'ai pas vu un seul vendeur chômé, les supermarchés comme Wellcome ou Park ouvrent de 7:00 à 00:00 non stop 7j/7, des centres de shopping gigantesques sont partout.

 

J'ai causé avec les chauffeurs de taxi, les barmans et autres, ils disent que la vie n'a pas bien changé, par contre il y a des plus en plus des Chinois de la Chine qui viennent dépenser du pognons. Hong Kong avec sa politique des impôts bas (une 10aine de % selon les gens locaux pour les impôts de revenu, faible TVA...etc), un salaire comparable à Paris, et des prix de consommables très bas (je vois dans le transport, la bouffe, les divertissements comme musée et attraction...etc), ça pousse les gens à consommer et de manière durable, alors qu'ils ont quant même la sécurité/protection sociale et la retraite... La seule chose qui pêche c'est le prix d'immobilier, j'ai vu vite fait dans la vitrine d'une agence immobilier, un appartement de 40 ans vers Causeway bay et Wan Chai et d'une superficie de 60m² coûte dans les 600k€. Le chauffeur de taxi qui m'a conduit de l'aéroport à l'hôtel me disait qu'il a acheté son appartement en 1986 pour 400k HKD (40k€), aujourd'hui il vaut plus de 3M HKD (300k€).

 

J'ai comparé à la louche les prix de produits avec ceux de la France, il y a bien un facteur 2 plus bas si ce n'est pas plus, sauf pour les produits importés - J'ai acheté une bouteille d'1,5L d'Evian au supermarché, ça m'a coûté HKD 16 (1,6€ environ).

 

Quand vous y êtes, vous n'avez pas envie de revenir. La ville bouge et se renouvelle sans arrêt, les travaux d'agrandissement et d'amélioration sont partout, les gens dynamiques et souriants. Franchement, pour un adorateur de vie citadine comme moi, il n'y a rien à dire...

 

Henri K.

Modifié par Henri K.
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Et comment ça se passe  au niveau de la frontière et de la police ? Elle est toujours active ? Les barrière le long de la rivière des perle sont toujours la ?

 

Je n'ai pas prévu d'entrer en Chine cette fois-ci, et de toute façon quand je vais en Chine en passant par Hong Kong j'y vais en avion, pas par train ou car, donc je ne sais pas.

 

Mais apparemment les Chinois ont beaucoup plus de faciliter pour venir à Hong Kong, mais ils ne peuvent pas rester longtemps.

 

Henri K.

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Le pouvoir chinois lance une offensive idéologique dans ses rangs. Le New York Times nous apprend qu’en avril dernier, les leaders du Parti ont diffusé un mémo secret, surnommé le «Document numéro 9», qui n’a pas été rendu public, mais dont le quotidien américain a pu voir une copie et la faire authentifier par plusieurs sources. Et voilà ce qu’il dit: pour se maintenir au pouvoir, le Parti doit éradiquer sept courants subversifs, susceptibles de mettre en danger le régime. Entre autres, «la démocratie constitutionnelle occidentale», les «valeurs universelles» des droits de l’homme ou encore «les notions occidentales de liberté de la presse et de participation civique».... Suite : http://www.slate.fr/monde/76624/chine-pc-memo-xi-jinping

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Il y a un point que je comprend mal, c'est l'opposition au constitutionnalisme. Pour quelle raison idéologique le PC Chinois verrait cela comme un danger alors qu'il lui suffit de rédiger une constitution à sa convenance ?

Modifié par Dino
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Il y a un point que je comprend mal, c'est l'opposition au constitutionnalisme. Pour quelle raison idéologique le PC Chinois verrait cela comme un danger alors qu'il lui suffit de rédiger une constitution à sa convenance ?

La réponse est peut-être plus culturelle que politique. A tort ou a raison, une constitution peut être perçue comme trop rigide, indépassable. 

Or, l'adaptabilité est une vertu trés recherchée dans cette culture.

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Bon je vais avoir une réponse sans doute stereotypée mais les chinois ne recherchent ils pas au contraire la stabilité? Notamment après les événements des années 30 et 40(guerre civile) et le désordre engendré par la révolution culturelle. Je crois que ce que les responsables politiques vénèrent le plus est la prospérité ET la stabilité... (Et puis historiquement la Chine Impériale a toujours recherchée la stabilité par exemple en brûlant les jonques géantes pour ne plus être tenter d'organiser des expéditions pouvant ramener des nouveaux courants dans la société)

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