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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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Un peu facile l'excuse, la dette c'est de la ..dette. pas besoin de faire HEC pour comprendre les conséquences du sur endettement même à l'échelle d'un pays.

Le bon sens n'est pas mort.

On se foutait de la gueule de Bayrou quand il parlait de dette en 2007, on se fout de sa gueule aujourd'hui parce qu'il parle de produire en france...de quoi on parlera en 2017..enfin d'ici là.

Il ne faudrait pas confondre les causes et les conséquences sinon on risque de se retrouver à pomper comme les Shadoks.  Donc il faut savoir d’où vient la dette pour pouvoir la réduire. Et ca c'est moins évident que tu sembles le penser car il y'a plusieurs versions selon le type d’intérêt défendu et tous ont des arguments.

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Amusez-vous  :happy:

http://www.ft.com/cms/s/0/3872fd76-8d39-11e1-8b49-00144feab49a.html

Backlash against eurozone austerity

A political backlash against fiscal austerity left mainstream French and Dutch politicians struggling on Monday to shore up support as a key economic indicator highlighted the eurozone’s slide into deeper recession.

François Hollande’s first round victory in the French presidential elections – which raised fears of renewed wrangling over the eurozone’s economic strategy – and the collapse of the Dutch government, after a clash over fiscal policy, hit financial markets.

The heightened political uncertainty sent European stock markets tumbling and put pressure on French and Dutch sovereign debt, while Germany’s government bonds benefited from inflows from spooked investors.

Economic fundamentals also appeared to deteriorate as purchasing managers’ indices for the 17-country eurozone showed private sector economic activity had contracted unexpectedly sharply this month, dashing official hopes of an early return to growth.

The composite index covering manufacturing and services fell for a third consecutive month to 47.4 points in April, the lowest reading for five months. A figure below 50 indicates a contraction in activity. That pointed to an intensification of a recession which started in the final three months of last year, when the eurozone debt crisis was at its most intense. Economists had expected a modest improvement.

In the Netherlands, one of the eurozone’s most fiscally disciplinarian governments collapsed as Mark Rutte, prime minister, tendered his government’s resignation at a meeting with Queen Beatrix, clearing the way for elections. That sent the euro down to $1.3105 against the dollar, a session low. In France, the Socialist Mr Hollande’s first-round victory was accompanied by a surge in support for the far-right National Front.

Events in France and the Netherlands were “reactions against incumbents’ handling of the crisis plus the poor economic outlook and prospects,” said Erik Nielsen, chief economist at UniCredit. “It takes time to restore growth after these kinds of crises but people are impatient.”

In both countries, smaller parties hostile to deficit-cutting targets agreed by European leaders have gained in the polls. Mr Hollande’s threat to renegotiate the eurozone fiscal compact championed by Germany has also unsettled markets.

In a speech in New York, Jens Weidmann, Bundesbank president, argued that eurozone leaders should stay the course.

“We can only win back confidence if we bring down excessive deficits and boost competitiveness,” he said. “In a such a situation, consolidation might inspire confidence and actually help the economy to grow.”

The Eurofirst 300 index had dropped 2.4 per cent by late afternoon in London, and has lost almost all of the gains seen in the first three months of the year. The spread between the Dutch and German 10-year bond yields spiked to 77 basis points, the highest in three years.

The PMI data indicated conditions in manufacturing were the worst for almost three years, with even German industry faring badly, hit by declining demand from European neighbours. The deterioration will disappoint the European Central Bank, which has forecast a gradual economic recovery this year and shunned calls from the International Monetary Fund for further action to stimulate economic growth. The ECB is instead awaiting the economic effects of more than €1tn in three-year loans injected into the eurozone financial system.

Fiscal austerity measures would reduce eurozone economic growth by one percentage point this year, according to Gilles Moec, European economist at Deutsche Bank. “That alone would not drive the eurozone into economic contraction, but we have a combination of fiscal austerity and a credit crunch. It is a self-inflicted recession – you don’t get the same combination of shocks elsewhere in the world.”

German 10-year Bund yields – which move inversely to prices – plunged to a record low of 1.63 per cent, and widened the difference to France’s comparable borrowing costs to a three-month high of 145 basis points.

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La droite classique disparaîtrait alors ? Resterait la gauche classique mais qui devrait s'allier avec une gauche plus... à gauche (NPA par exemple) ?  

La polarisation droite-gauche n'a plus beaucoup de sens dans notre période. Le distinguo ne se fait pas seulement sur l'économie. Il faut pondérer tout cela par la position vis à vis de la mondialisation (qui n'est pas que économique). De plus, la droite est contaminée par le progressisme.

Actuellement, l'UMP est une nébuleuse castratrice des idées: En son sein, il y a plusieurs courants mais ceux-ci ne peuvent s'exprimer pleinement de par la logique de partie qui doit présenter un message unique sur chaque événement. Tant que l'UMP existe, nous sommes mal partis.

La droite française compte des libéraux et des conservateurs mais en sous nombre au regard des autres pays européens. Le courant dominant est le gaullisme. Même si c'est une forme de sociale-démocratie, personne ne peut en expliquer les fondements.

La vrai polarisation se fera au regard de la notion de Nation française pour les prochaines décennies.

Les deux questions connexes sont donc:

- la France doit-elle être dissoute dans un ensemble plus grand? Perdre ses prérogatives régaliennes? Pour assurer le bonheur de ses concitoyens.

- la construction européenne n'est-elle pas un mal entendu idéologique pour une puissante Nation qui a 1500 ans d'histoire? Toujours plus gros est-il toujours meilleur ou n'est-ce pas le contraire? Doit-on se fondre dans une union alors que les coopérations internationales que nous menons ne sont pas une issue d'une volonté européenne. Ces dernières sont juste une manifestation des relations naturelles qui se nouent entre partenaires internationaux.

Et encore je reste en surface.

Edit: je rajoute ceci.

Je n'ai pas l'auteur de cette définition mais "la frontière est le point d'équilibre des forces." cela me semble assez pertinent plutôt que ces phantasmes pour ados de mur.

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Pour Evans-Pritchard de The telegraphe, la solution à la crise est la sortie de l'Allemagne de l'Union Monétaire.

L'article:

http://blogs.telegraph.co.uk/finance/ambroseevans-pritchard/100016038/german-ideology-emu-and-the-wolfson-break-up-prize/

Ca fait bien 3 ou 4 ans que l'eurosceptique AEP répète la même chose. Ceci dit, il n'a pas tort en ce sens que son discours s'écarte de la propagande "nordiste" qui laisse penser que les problèmes de l'Europe se résument à la gabegie des pays du sud.

Le ré-equilibrage nécessaire signifie que l'Allemagne doit prendre ses responsabilités et passer à la caisse, ou remballer ses remèdes moyennageux (stupide austérité).

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Oui.

Il va y avoir du règlement de compte.

Il faut attendre le second tour mais aussi celui des législatives. Là on en sera plus.

Ainsi, si Sarkozy arrive à passer, il y aura aussi dislocation à gauche et cela sera plus doux à droite.

Mais c'est trop tôt. Surtout pour savoir les propositions économiques à venir.

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Le PS connaît des courants depuis Epinay, si Hollande perd un autre prendra la main; au sein du parti

En revanche l'UMP souvenons-nous que c'est avant tout une OPA du RPR sur la droite pour porter JC et le soutenir grâce à une Union Pour la Majorité Présidentielle ... C'est çà l'UMP au départ une associaition de ce que René Raymond appelait "les droites en France". S'il n'y a plus de majorité présidentielle il y a des gens qui vont faire valoir leur droit d'inventaire les Copé, Fillon and Co sont positionnés pour 2017, çà va saigner pour savoir qui va prendre la main.

En cas d'éclatement MLP a déjà ouvertement fait savoir qu'elle comptait bien ramasser les morceaux car en cas de disparition de la holding UMP le FN se retrouvera mécaniquement première force d'opposition constituée: centre de gravité populaire ancré à droite.

Le président s'en fout, même non réélu un bel avenir professionnel s'ouvre à lui et comme lui disait son vrai mentor Antoine Bernheim en 2007 "vous êtes jeune vous avez tout le temps de devenir riche" ... (et dans ce milieu être riche çà veut dire TRÈS riche)

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Tu sais je n'ai pas la téloche et je ne la regarde JAMAIS

Pas besoin de Tévé... Le stream gratos est là et en plus il n'y a pas de pub. Oh ! Joie !

http://www.france5.fr/c-dans-l-air/index.php

Sinon, Marine Le Pen va nous faire un relooking du parti. Les prochaines allocutions se feront sous le nom RBM (Rassemblement Bleu Marine). Donc, en effet, des conséquences "cosmétiques" corrélées à la crises vont apparaître. Les scores aux législatives seront ils impactés par une aggravation de la crise financière ? Plus que probablement.

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Tu sais je n'ai pas la téloche et je ne la regarde JAMAIS

on peu revoir les émissions sur le net de C dans l'air  =)

sans forcément regardé toute les chaînes qui ont des sites sur le net  ;)

chacun à ses sentiments et s'est respectable mais sur le forum la passion peut prendre vite le pas  :lol:

la passion ,s'est le point commun de tout les Français malgré leur divergence  ;)

ici je trouve des gens qui aime la défense et je me moque de savoir de quel bord ils sont ,car j'apprend pas mal de choses et espère apporté aussi des choses aux autres  ;)

enfin voilà  =)

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Le PS connaît des courants depuis Epinay, si Hollande perd un autre prendra la main; au sein du parti

En revanche l'UMP souvenons-nous que c'est avant tout une OPA du RPR sur la droite pour porter JC et le soutenir grâce à une Union Pour la Majorité Présidentielle ... C'est çà l'UMP au départ une associaition de ce que René Raymond appelait "les droites en France". S'il n'y a plus de majorité présidentielle il y a des gens qui vont faire valoir leur droit d'inventaire les Copé, Fillon and Co sont positionnés pour 2017, çà va saigner pour savoir qui va prendre la main.

En cas d'éclatement MLP a déjà ouvertement fait savoir qu'elle comptait bien ramasser les morceaux car en cas de disparition de la holding UMP le FN se retrouvera mécaniquement première force d'opposition constituée: centre de gravité populaire ancré à droite.

Le président s'en fout, même non réélu un bel avenir professionnel s'ouvre à lui et comme lui disait son vrai mentor Antoine Bernheim en 2007 "vous êtes jeune vous avez tout le temps de devenir riche" ... (et dans ce milieu être riche çà veut dire TRÈS riche)

Winter is coming http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2012/04/24/64-des-electeurs-de-sarkozy-souhaitent-une-alliance-avec-le-fn-pour-les-legislatives_1690635_1471069.html

Sinon pour comprendre l'articulation politique des droites en France effectivement Rémond est LA référence http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Droites_en_France meme si la droite natio, née sur les cendre des contre-révolutionnaire, trouble depuis - le bouquin date des année 50 - un "peu" le jeu.

Ce qui est cocasse dans le meme temps c'est le point du vu du FMI ... qui prone toujours plus d'intégration européenne, budgétaire

"il faut dépasser l'interet national"

http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/interview/0202028566061-christine-lagarde-la-zone-euro-doit-aller-plus-loin-dans-l-integration-316102.php

Pour la directrice générale du FMI, les pays européens n'ont pas d'autre choix que la consolidation budgétaire. Elle plaide pour une intégration budgétaire et financière plus poussée.

Pour la directrice générale du FMI, les pays européens n'ont pas d'autre choix que la consolidation budgétaire. Elle plaide pour une intégration budgétaire et financière plus poussée.

A l'issue des réunions du week-end dernier, les ministres des Finances du G20 et le FMI ont indiqué que «beaucoup reste à faire» pour assurer une croissance mondiale stable, équilibrée et durable. Quels sont les travaux à réaliser ?

Aux Etats-Unis, fin décembre, l'administration se trouvera face à un «mur budgétaire» potentiel puisque le régime des baisses d'impôts arrive à son terme. Des coupes budgétaires interviendront automatiquement si aucun accord politique n'est trouvé d'ici là. Le déficit public américain diminuerait de 3 points de PIB. C'est brutal pour l'économie, qui serait alors en péril. Il faut espérer que, malgré la campagne électorale, es responsables politiques s'entendent sur ce sujet.

En Europe, les nombreuses décisions qui ont été prises en matière de consolidation budgétaire, de réformes structurelles, doivent être absolument tenues. Pas seulement à court terme, mais également sur le long et moyen terme. Le travail en cours de recapitalisation des banques doit être, lui aussi, complètement effectué. Et ce, de manière résolue. Il faut aussi que la Banque centrale européenne poursuive sa mission de pourvoyeuse de liquidités qu'elle a jouée jusqu'à maintenant.

Les grands pays émergents, eux, doivent être attentifs au risque de surchauffe de leur économie, aux risques d'inflation et de formation de bulles, y compris d'une bulle de crédit.

De manière plus générale, même si l'on en parle moins aujourd'hui, il faut arriver à un rééquilibrage entre les zones économiques dégageant un excédent de leur balance des paiements et les zones économiques souffrant d'un déficit. Je pense plus particulièrement à la Chine pour le premier ensemble de pays et aux Etats-Unis pour le second. Certes, le rééquilibrage est en cours. La balance des paiements courants de la Chine s'est fortement réduite, passant de plus de 10% du PIB à moins de 3% aujourd'hui. Le déficit de la balance extérieure américaine s'est, lui aussi, réduit. Mais ce n'est pas forcément pour les bonnes raisons. Il n'est que partiellement dû à des restructurations de fond de l'économie. Côté chinois, le recul des excédents est aussi lié à une moindre demande externe consécutive au ralentissement de l'économie européenne, par exemple.

Justement, au plan européen, plusieurs pays font face à des échéances électorales dans les prochaines semaines. Que ce soit en France, en Grèce et probablement aux Pays-Bas. Quel est le message du FMI aux futurs responsables politiques ?

Indépendamment de toute considération politique, nous sommes en face d'une zone liée par une monnaie unique. Et il nous semble très important que cette zone monétaire poursuive son intégration sur le plan budgétaire, sur le plan financier et qu'elle aille plus loin dans le partage des responsabilités. Tout ce qui peut remettre en cause l'Europe et plus particulièrement la zone euro sur le plan économique, monétaire et financier constitue un risque d'aggravation de la situation. Il faut aller plus loin que la seule zone monétaire.

Estimez-vous que la population européenne n'a pas d'autres choix que des sacrifices, notamment en termes de salaire, pour redresser la situation. Est-ce la fin du modèle social européen ?

Une des conditions du progrès économique et de l'amélioration de la croissance passe par ce que nous appelons, ici, «plus et mieux d'Europe». Il faut dépasser l'échelle de l'intérêt national de chacun. L'idée n'est pas non plus d'organiser une Europe des transferts. Mais, pour améliorer la productivité, l'efficacité économique, les infrastructures, il faut une relance de l'activité par des prêts, des investissements productifs dans un certain nombre de pays où la demande est faible. Cependant, si un pays est sous l'emprise d'un déficit et d'une dette publique très élevés, je ne vois pas d'autres solutions que la consolidation budgétaire. Il est impératif de diminuer les dépenses de l'Etat et d'augmenter les revenus pour revenir à une trajectoire plus saine.

L'Allemagne dispose d'une marge de manoeuvre plus importante sur le plan budgétaire, selon les différents rapports publiés par votre institution. Ce pays doit-il faire plus pour une meilleure intégration de la zone euro ?

Pas seulement l'Allemagne. Tous les pays de la zone euro. C'est le sens de l'histoire de l'Europe. La difficulté, aujourd'hui, c'est qu'un certain nombre de pays de la zone euro doivent donner des gages à l'Allemagne, aux Pays-Bas, à la Finlande, quant à leur détermination à améliorer leurs facteurs de productivité, l'efficacité de l'ensemble de leur économie. Sur le plan financier, par exemple, il faut aussi une vraie supervision européenne et la mise en place de véritables mécanismes de résolution et de liquidation des établissements financiers.

Il existe en Europe un débat sur la politique que doit conduire la Banque centrale européenne. Certains s'inquiètent du gonflement excessif de son bilan, à l'instar de la Fed aux Etats-Unis ou de la Banque d'Angleterre. Il pourrait être générateur d'inflation. Que préconisez-vous ? Voyez-vous un danger ?

Pour l'heure, les politiques non conventionnelles doivent être poursuivies pour les pays qui doivent passer par le frein budgétaire. Quant au risque inflationniste, il ne se matérialise pas. Sauf, peut-être, dans certaines économies qui fonctionnent à plein régime. Mais, à ce stade, il n'y a pas d'inflation sous-jacente qui pourrait mettre la zone euro en péril par rapport aux objectifs de stabilité recherchés.

Le week-end dernier, vous avez obtenu l'engagement de bon nombre de pays membres du FMI d'une augmentation de plus de 430 milliards de dollars de ressources. Etes-vous satisfaite de ce montant ? Estimez-vous que le FMI est paré pour affronter toute crise qui pourrait se présenter ?

Je suis satisfaite du résultat par rapport aux objectifs que nous nous étions fixés. Nous avions prévu d'atteindre 400 et, sur la base des chiffres que je connais aujourd'hui, nous sommes au-delà. Certains des pays émergents n'ont pas encore calibré le montant de leur participation et ne sont donc pas comptabilisés dans les chiffres. De ce fait, nous allons dépasser 430 milliards de dollars.

L'objectif a été établi sur la base d'une appréciation du risque, réalisée fin mars par les services du Fonds. Nous l'avons revu à la baisse par rapport à nos précédentes estimations qui dataient du mois de décembre. D'où le montant réajusté à 400 milliards et non plus 600. Je pense que l'on dispose quand même d'une force de frappe totale, engagée et engageable, qui excède les 1.000 milliards de dollars. La boite à outils anti-crise est donc bien remplie.

PROPOS RECUEILLIS PAR RICHARD HIAULT

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La nationalisation partiel majoritaire de Repsol argentine ... pourrait aboutir a un baisse de la note souveraine de l'Argentine

http://www.lesechos.fr/economie-politique/monde/actu/0202028073054-s-p-songe-a-degrader-l-argentine-apres-l-affaire-repsol-315970.php

S&P songe à dégrader l'Argentine après l'affaire Repsol

L'agence de notation a déprécié la perspective de l'Argentine de « stable » à « négative ». Un mouvement qui pourrait conduire vers une dégradation. En cause : la politique du gouvernement, et notamment l'expropriation partielle d'YPF.

L'agence américaine d'évaluation financière Standard and Poor's a annoncé mardi qu'elle envisageait d'abaisser la note de l'Argentine, en dépréciant sa perspective de stable à négative, après l'annonce d'une expropriation partielle de la compagnie pétrolière argentine YPF.

« La récente politique du gouvernement pourrait augmenter les risques macroéconomiques pour l'Argentine », explique dans un communiqué l'agence, qui confirme la note de la dette argentine à « B ».

Cet abaissement de perspective par SP signifie que l'agence pourrait abaisser la note dans un délai de 6 à 24 mois.

Les politiques mises en place par le gouvernement argentin depuis l'élection présidentielle d'octobre 2011 pourraient « augmenter le risque d'une détérioration du cadre macroéconomique du pays, faire pression sur sa liquidité extérieure, et affaiblir ses perspectives de croissance à moyen terme », juge SP.

Parmi ces politiques, SP cite l'expropriation partielle d'YPFet l'augmentation des restrictions aux échanges commerciaux internationaux.

Ces politiques pourraient aggraver les fragilités du pays, dont une forte inflation et des dépenses gouvernementales de plus en plus strictes, susceptibles de détériorer le climat des investissements, estime SP.

Dans le secteur très régulé de l'énergie, la politique du gouverment a augmenté fortement la demande et découragé l'exploration-production, fragilisant ainsi les comptes du pays avec une hausse des importations et des subventions, précise l'agence.

La présidente argentine, Cristina Kirchner, au grand dam de l'Espagne, a décidé le 16 avril d'exproprier partiellement la compagnie pétrolière YPF, contrôlée par la compagnie espagnole Repsol à 57,4%. L'Etat argentin et les provinces doivent en prendre le contrôle à 51%.

Cette décision, prise « brutalement et unilatéralement, avec peu de négociations avec les actionnaires, met en lumière le système fragile d'équilibre des pouvoirs en Argentine », et « contribue à détériorer les liens économiques et politiques (de ce pays) avec la communauté internationale », estime SP.

Le gouvernement espagnol a proposé lundi que l'Union européenne poursuive ses négociations commerciales avec le bloc du Mercosur sans l'Argentine, en raison du différend né de cette expropriation.

LES ECHOS AVEC AGENCES

Pour comprendre pourquoi l'Argentine a récupérer la production de pétrole, il faut savoir que de nombreux pays subventionne l'énergie en fixant les prix de vente des carburant ... quand le pétrole s'enchérit - et de maniere mécanique l'énergie en général - ces politique de subvention coutent de plus en plus cheres. Le souci c'est que le développement des pays qui pratique ces subvention ... est justement basé sur cette énergie bon marché et dont le cout est lisible dans le temps puisque régulé. La chine entre autre a le meme souci.

En gros l'Argnetine a le choix ... saboter sa croissance en laissant l'énergie s'enchérir ... ou saboter sa croissance - difficilement retrouvée après une terrible crise monétaire - en s'attirant les foudre des investisseurs étrangers.

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Eurostat nous sort les couts du travail France Allemagne sur les 10 dernière année.

A ce propos le débat des expert de ce matin sur BFM business est interessant sur l'analyse des chiffres.

Le cout du travail a pris 39% en 10 ans pendant que le cout allemand prenait 19%, résultat le cout du travail en France a tout betement rattrapé le cout du travail allemand. C'est un peu plus compliqué par secteur avec les grosses différences "bas salaire dans les services" allemands, contre haut salaires dans l'industrie ...

http://www.latribune.fr/actualites/economie/union-europeenne/20120424trib000695236/en-10-ans-le-cout-du-travail-en-allemagne-a-grimpe-deux-fois-moins-qu-en-france.html

Une heure de travail coûte en moyenne 23,1 euros au sein de l'Union européenne, selon Eurostat qui publiait ces chiffres ce mardi. En Allemagne, il a grimpé de 19,4% en dix ans, moins que chez ses voisins.

L'Allemagne a connu en dix ans la plus faible progression du coût du travail en Europe. Outre-Rhin, cet indice a progressé de 19,4% depuis 2001, selon l'institut de statistiques européen Eurostat. Une heure travaillée coûte 30,1 euros aux employeurs. Un niveau resté plus faible en l'absence de salaire minimum généralisé à tous les secteurs et en partie en raison du recours au travail temporaire. Ces conditions sont régulièrement mises en causes par les syndicats outre-Rhin.

A titre de comparaison, celui-ci a crû de 39,2%, entre 2001 et 2011 en France où il s'établit à 34,2 euros par heure travaillée. Ce niveau est moins élevé que dans d'autres pays européens.

11 fois plus élevé en Belgique qu'en Bulgarie

Et s'il augmente partout, le coût du travail reste le plus élevé en Belgique : 39,3 euros de l'heure en moyenne. C'est 11 fois plus qu'en Bulgarie, pays pour lequel Eurostat a repris des chiffres divulgués par le pays.

La Roumanie ainsi que les pays Baltes, font également partie des pays à faible coût de main d'œuvre et cela s'explique notamment par des salaires bien plus faibles et des cotisations beaucoup moins élevés que dans l'Europe du Nord. En Suède ou au Danemark, par exemple, une heure de travail coûte plus de 38 euros.

Parmi les 27 pays de l'Union européenne, une heure de travail coûte en moyenne 23,1 euros dans le secteur privé, selon des chiffres publiés ce mardi par Eurostat. Cet indice du coût de la main d'œuvre, comprenant salaires, traitements, et cotisations sociales à la charge des employeurs, monte à 27,6 euros en moyenne dans les 17 pays de la zone euro. En 2010, chacun s'établissaient respectivement à 22,5 euros et 26,9 euros.

Toute l'étude Eurostat http://epp.eurostat.ec.europa.eu/cache/ITY_PUBLIC/3-24042012-AP/EN/3-24042012-AP-EN.PDF

Y a pas mal de chose interessante comme le cout du travail belges tres élevé.

Autre chose l'écart entre le couts bulgare 3€ plus de dix fois moins cher que dans la pluparts des "anciens européens".


Pendant ce temps le WSJ nous explique le "pacte d'austérité" est mort et enterré ...

http://online.wsj.com/article/SB10001424052702303978104577363990386619350.html?mod=WSJEurope_hpp_LEFTTopStories

BRUSSELS—A pledge by European Union governments to bring their swollen budget deficits back in line with EU rules by the end of 2013 is causing economic pain and political discontent across Europe, prompting officials to begin a politically sensitive discussion on how the goal could be changed to avoid driving the Continent further into turmoil.

The target, set in 2009, is still seen as an important signal that the budget rules won't be flouted as they were in the past. But meeting the 2013 goal, which for most countries was a deficit of 3% of gross domestic product, will entail more spending cuts or tax increases by governments across the EU.

These further measures will come with the European economy already reeling from earlier rounds of austerity and the fallout from the sovereign-debt crisis. The euro zone is teetering on the brink of recession, and unemployment in the currency area is at a record high.

The political consequences of austerity are becoming apparent. The Dutch government, one of the EU's main enforcers of fiscal orthodoxy, collapsed this week over disagreements about spending cuts and taxes that will be needed to bring the deficit under 3% of GDP next year. François Hollande, the French Socialist candidate who is favored to defeat incumbent President Nicolas Sarkozy in next month's election, has made a pledge to soften Europe's austerity policies a central plank of his campaign.

Even the relatively new center-right government of Spanish Prime Minister Mariano Rajoy, which already got into a fight with EU bureaucrats in Brussels over its plans to soften scheduled budget cuts, faced unexpected weakness in regional elections last month, a sign the Spanish public is becoming increasingly weary of recession.

The hope in 2009 was that Europe would have firmly emerged from the crisis by at least 2011, the deadline the bloc set for all EU nations to start cutting their deficits. But the sovereign-debt crisis, weighty private-sector debts and the surprisingly large impact of austerity have combined to drag Europe back toward recession.

"Achieving deficits of no more than 3% of GDP by next year is not achievable for a large number of euro-zone countries," said Marie Diron, director of macroeconomic forecasting at the consulting firm Oxford Economics. "In many cases, this crisis is the opportunity to implement structural changes to public finances that would have not been possible otherwise. But pursuing fiscal objectives at all costs is extremely damaging to growth."

Some of the EU's policy makers acknowledge the problem, yet they fear that changing the 2013 target will shake the confidence of financial markets in their dedication to deficit-cutting. Some governments, led by Germany, are likely to oppose any adjustment.

"The debate is not to be excluded," said one EU official, "but it could give a signal that we are easing up at a time when we are struggling to show that we can keep the system."

An official from a euro-zone national government said that "We will have to, one way or another, adjust the trajectory of the budget-cutting path."

Officials say the discussion, in its early stages, is likely to heat up in coming weeks, when governments are supposed to submit their budget plans to the European Commission, the EU's executive arm, and other governments for review.

The gravity of the situation confronting a number of governments is starting to change the debate. Spain will be forced to cut its deficit by 5.5 percentage points over the next two years, a Herculean task given that the unemployment rate is around 23% and the economy is likely in recession.

The Netherlands is facing a deficit of 4.6% of GDP next year without further cuts, the government's economic analysis agency said last month. These cuts will be coming in the face of strong headwinds: The economy is expected to contract this year. Consumer confidence is weak, weighed down by falling real-estate prices and the large mortgage debts of Dutch households.

France, too, will have to cut its deficit to 3% of GDP from around 5.2% by the end of 2013 with its economy barely growing. The IMF last week projected that the French deficit would be 3.9% without further cuts. The rules apply even to countries outside the euro zone. The U.K., with one of the EU's highest deficits at the start of the crisis, was given an extra year to cut its deficit to 3%, but it too is in danger of missing the target.

One option floated by some officials involved in the debate would place the actual budget deficit on an "equal footing" with the "structural" deficit, which is what the deficit would be if the economy were operating at full capacity. That isn't an easy figure to calculate, but it is meant to account for the fact that a recession depresses government tax revenue and increases spending on things like unemployment benefits. Once the economy recovers, a country with a small structural deficit should see its actual deficit contract sharply.

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Pas besoin de Tévé... Le stream gratos est là et en plus il n'y a pas de pub. Oh ! Joie !

http://www.france5.fr/c-dans-l-air/index.php

Sinon, Marine Le Pen va nous faire un relooking du parti. Les prochaines allocutions se feront sous le nom SRBM (Rassemblement Bleu Marine). Donc, en effet, des conséquences "cosmétiques" corrélées à la crises vont apparaître. Les scores aux législatives seront ils impactés par une aggravation de la crise financière ? Plus que probablement.

Quoi  :O! La Marine va lancer des SRBM  :rolleyes:! Quand, comment, ou  :'(?!

Pas la peine de faire décoller les intercepteurs, j’ai déjà mis en marche la post-combustion plein pot O0…

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UE: Draghi (BCE) veut un pacte de croissance et des réformes structurelles

BRUXELLES - Le président de la Banque centrale européenne Mario Draghi a réclamé mercredi un pacte de croissance européen, plaidant pour des réformes structurelles sans modérer son exigence d'une stricte discipline budgétaire, devant des députés européens.

Nous avons un pacte budgétaire (...) nous devons revenir en arrière et en faire un pacte de croissance, a dit M. Draghi, sans détailler ce qu'il entendait par ce vocabulaire, employé en général par les tenants d'une relance par la dépense publique, à laquelle il s'oppose fermement.

Actuellement ce que j'ai le plus à l'esprit, c'est (la nécessité) d'avoir un pacte de croissance, a-t-il insisté. Même si les réformes structurelles heurtent de larges intérêts et font mal, elles doivent être poursuivies pour l'avenir.

M. Draghi, qui s'oppose à un soutien plus direct de la BCE à la croissance, estime que les mesures déjà prises dans certains pays doivent être complétées par des réformes structurelles permettant la croissance pour faciliter l'entreprenariat, l'établissement de nouvelles entreprises et la création d'emploi. Là, les gouvernements devraient être plus ambitieux, selon lui.

Les politiques économiques comme budgétaires devraient aussi être soumises à surveillance mutuelle et corrigées si nécessaire dans l'intérêt collectif de la zone euro.

Les Etats devraient enfin améliorer leur coopération dans la recherche, le développement, l'éducation et les infrastructures.

M. Draghi a justifié la stratégie européenne d'austérité, concédant qu'elle pouvait plonger à court terme des pays dans la récession, mais devrait porter ensuite ses fruits. Nous sommes au milieu du gué et devons persévérer, a-t-il toutefois ajouté.

Les valeurs d'intégration sociale et de solidarité appartiennent toujours à ma culture (et) je ne suis pas du tout contre le modèle social européen, a-t-il ajouté.

Mais tout modèle social doit être soutenable, et ne peut pas être fondé sur l'endettement, selon lui.

(©AFP / 25 avril 2012 13h49)

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Cameron fragilisé par le retour de la récession.

Le Royaume-uni entre en récession comme l'Espagne ou l'Italie.

La livre sterling est repartie à la baisse face à l'euro et au dollar.

Par ailleurs, les finances publiques se sont à nouveau dégradées en mars, obligeant le gouvernement Cameron à un emprunt record de 18,2 milliards de livres (22,3 milliards d'euros). 

http://www.leparisien.fr/economie/royaume-uni-en-pleine-cure-d-austerite-la-recession-revient-25-04-2012-1971229.php

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Pendant ce temps le WSJ nous explique le "pacte d'austérité" est mort et enterré ...

http://online.wsj.com/article/SB10001424052702303978104577363990386619350.html?mod=WSJEurope_hpp_LEFTTopStories

Merci pour les liens (celui çi et l'autre avec les déclarations de Super Mario)

Ca bouge enfin !!!! Heureusement que les européens commencent à reprendre leurs esprits. Ce pacte de stabilité etait un pacte de suicide économique pur et simple. Je ne comprends pas comment les allemands (et cie) ont pu serieusement penser que les coupes drastiques pouvaient redresser des pays étranglés. On a vu le résultat en Grèce et en Irlande.

Le pire dans toute cette histoire c'est qu'on a vendu aux populations européennes la theorie selon laquelle cette austérité etait une condition sine qua non imposée par les marchés, ce qui est absolument faux !

Les analystes financiers ne faisaient que prendre leur calculettes et verifier l'impact négatif sur la croissance et les revenus de l'état des diverses coupes budgetaires et invalidaient donc les scenarii optimistes de remboursement de la dette. Si au lieu de saigner nos economies on avait toute de suite lancé de grandes dépenses pour relancer les economies européennes, peu importe un deficit exceptionnel a 10 ou 15% le temps que la crise dure, les marchés auraient salué ce volontarisme, comme ils ont salué toutes les mesures de l'état fédéral US et de la FED.

C'est pas compliqué à comprendre, on réduit les déficits (augmentation des impots, baisse des dépenses) quand la croissance est là mais les états ne doivent pas lésiner lorsque ca part une sucette.

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La croissance ne se décrète pas, un pacte de croissance en période de restriction budgétaire (baisse des dépenses publique, augmentation des impôts, limitation du crédit bancaire) cela semble assez antinomique.

Les mesures structurelles c'est bien et souhaitable mais pour avoir de la croissance il faut encourager la consommation interne ou externe pour pouvoir exporter.

faciliter l'entreprenariat, l'établissement de nouvelles entreprises et la création d'emploi

oui mais pour çà il faut vendre et pour vendre il faut susciter la demande.

Comment encourager cette consommation en période de restriction budgétaire et de limitation des dépenses.

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La croissance ne se décrète pas,

Si si, Obama l'a bien fait aux US juste apres la crise avec ses 700 milliards de $.

Si les européens decident demain de depenser 1000 milliards d'euros dans divers projets, la croissance va booster, c'est mathematique.

un pacte de croissance en période de restriction budgétaire (baisse des dépenses publique, augmentation des impôts, limitation du crédit bancaire) cela semble assez antinomique.

Les mesures structurelles c'est bien et souhaitable mais pour avoir de la croissance il faut encourager la consommation interne ou externe pour pouvoir exporter.

oui mais pour çà il faut vendre et pour vendre il faut susciter la demande.

Comment encourager cette consommation en période de restriction budgétaire et de limitation des dépenses.

Ben l'erreur c'est la restriction budgetaire et la limitation des depenses. Elle aussi a été décrétée.

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Si si, Obama l'a bien fait aux US juste apres la crise avec ses 700 milliards de $.

Si les européens decident demain de depenser 1000 milliards d'euros dans divers projets, la croissance va booster, c'est mathematique.

Ben l'erreur c'est la restriction budgetaire et la limitation des depenses. Elle aussi a été décrétée.

Plus les économies sont ouvertes et plus la relance keynésienne est peu efficace pour chaque euro injecté. Et je verrais venir les Madelin and co claironner que le keynésianisme ce ne marche pas que ca ne fait qu'endetter etc.... En fait le probleme c'est surtout son cher (très cher) libre échange. On en revient encore à la mondialisation... Pour une relance en libre echange il faudrait que le monde entier fasse la même politique en même temps puisque le monde est une économie fermée.

Combien de crises ou de décennies de chômage de masse nous faudra t'il pour comprendre que s'accrocher au libre échange et à la libre circulation des capitaux rend l’équation de la croissance trop complexe à résoudre.

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Si cela peut marcher, le tout étant de reproduire une politique de "grands projets" qui permet de faire tourner artificiellement, pendant un temps, énormément d'entreprises.

C'est une redistribution par les entreprises et non par l'état, comme pendant les 30 glorieuses ou la France marchait au "grands projets" et ce systéme a très bien fonctionné.

Seulement aujourd'hui la finance et la grande porosités des frontières extra européennes gène passablement ce genre d'initiatives.

La finance risque de pomper une partie de l'argent "distribué" (alloué aux divers projets en fait) à cause des dividendes et autres montages financiers, de plus l'argent gagné par les ménages risque de partir dans l'achat de produits extra européen (donc aucun effet dans notre pays ou nos partenaire économique les plus proches).

C'est compliqué mais avec la bonne politique ça a déjà marché  ;)

Edit : en partie grillé par MontGros

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