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Tout ce qui a été posté par Ciders

  1. Négatif, j'ai le même souci, y compris en passant sans connexion, en visiteur simple.
  2. Ciders

    [Rafale]

    C'est pas du jeu, c'est le système d'aération du Rafale F2. Plus sérieusement, ça ne serait pas une première, un Rafale au-dessus de l'Irak ?
  3. Deux obstacles majeurs sur la route de la re-nucléarisation de l'Ukraine : - premier obstacle : le gouvernement ukrainien n'a pas les fonds requis pour lancer un programme, sauf éventuellement à aller collaborer avec les Pakistanais et/ou les Nord-Coréens - deuxième obstacle : personne n'a intérêt à ce que l'Ukraine récupère un armement nucléaire, pas même les Baltes ou les Polonais. Et pour les Russes, ce serait l'argument rêvé pour lancer une intervention massive, publique et sans retour Sinon, j'ai lu quelque part que le PIB ukrainien pourrait se contracter de près de 10 % cette année.
  4. Ciders

    Armée de l'air Russe

    Selon le dernier DSI, les ultimes frégates américaines encore en service (classe Oliver Hazard Perry) vont être retirées du service d'ici au 21 septembre 2015. Les dix dernières unités vont être proposées à la vente, et trouveront certainement des acheteurs parmi les pays alliés des États-Unis. Les LCS sont justement prévus pour les remplacer, mais ils n'ont ni l'armement ni l'équipage requis pour cela, à mon avis.
  5. Ciders

    Armée de l'air Russe

    L'AEGIS n'est pas le problème majeur des Américains dans le domaine naval. Ils ont mieux à faire avec le retrait de leur flotte de frégates et l'entrée en service d'unités qui ne sont clairement pas adaptées pour mener des missions de guerre (LCS et autres bizarreries flottantes). Un LCS isolé et sans couverture aérienne aurait souffert d'une attaque en provenance d'un Su-24, pas un AEGIS. Pour le reste, les Russes disposent de suffisamment de missiles air-surface à longue portée pour éviter de trop se rapprocher d'un navire de ce type. Ce qui, dans tous les cas de figure, reste risqué.
  6. 239 020 000 pour ma part. Aussitôt réinvestis dans quatre lignes supplémentaires depuis Addis-Abeba. ^^
  7. Tu en tireras bien 200 millions, dans la mesure où ces appareils acquis avec les Travelcards sont revendus entre 70 et 80 % du prix d'achat standard.
  8. Ils ont essayé de mener plusieurs opérations sur site, mais ça n'a jamais vraiment fonctionné. Peut-être en raison de la configuration des lieux, ou des forts courants dans le détroit. En tout cas, les Italiens n'ont pas eu le même succès à Gibraltar qu'à Alexandrie, succès qu'ils n'avaient d'ailleurs pas exploité faute d'avoir saisi à temps (faute de reconnaissance aérienne efficace) que les deux navires qu'ils avaient saboté n'étaient pas intacts dans leur bassin mais enfoncés dans les eaux du port et reposant sur leur quille. Et quand bien même les Italiens avaient pu endommager ou couler un ou deux bâtiments de ligne, la Home Fleet disposait d'assez de réserves pour remplacer ces navires, quitte à gratter un vieux cuirassé non (ou mal) modernisé de la Première Guerre Mondiale. Barrer le T à la flotte italienne au large de Gibraltar avec un Warspite ou un Resolution, quelques copains et sous la couverture d'une nuée de croiseurs lourds, de Fairey Fulmar et de quelques batteries terrestres, il y avait de quoi faire fantasmer quelques vieux loups de mer.
  9. Au sujet de la flotte espagnole, j'ai peut-être trouvé un ordre de bataille acceptable pour 1940, en recherchant dans mes vieux liens (http://www.navypedia.org/retro_view/1940/spain_1940.htm). On aurait donc en ligne au 1er janvier 1940 (sous réserve que ces navires soient en état de prendre la mer) : - un croiseur lourd : le Canarias, (13 000 tonnes, huit pièces de calibre 203 mm, huit pièces de calibre 120 mm) - trois croiseurs légers de la classe Principe Alfonso, achevés entre 1925 et 1930 (9 300 tonnes, armement différent selon le navire mais essentiellement des pièces d'un calibre compris entre 76 et 152 mm + douze tubes lance-torpilles calibre 533 mm) - un croiseur léger de la classe Navarra, achevé en 1923 (6 450 tonnes, six pièces de calibre 152 mm, quatre pièces de calibre 88 mm) - un croiseur léger de la classe Méndez Núñes, achevé en 1924 (6 045 t, six pièces de calibre 152 mm, une pièce de calibre 76 mm + douze tubes lance-torpilles calibre 533 mm) A côté de ces six croiseurs, l'Espagne disposait également de vingt destroyers, dont sept unités récentes (1936-1937) de la classe Almirante Antequera (2 175 tonnes, avec six tubes lance-torpilles de calibre 533 mm, une capacité ASM, cinq d'entre eux disposant en outre de quatre pièces de calibre 120 mm et les autres de pièces de calibre 102 mm) et de six vieux torpilleurs datant de la Première Guerre Mondiale. Ajoutons à cela neuf sous-marins: - quatre vieux B-1, lancés entre 1922 et 1923, déplaçant 740 tonnes et armés de quatre tubes lance-torpilles de calibre 450 mm - trois C-1, lancés entre 1928 et 1929, déplaçant 1 143 tonnes et armés de six tubes lance-torpilles de calibre 533 mm - deux General Mola de 1934, déplaçant 1 239 tonnes et armés de huit tubes lance-torpilles de calibre 533 mm Côté amphibie, les Espagnols possédaient quinze barges K-1 de 160 tonnes, chacune pouvant porter 300 soldats ou 150 tonnes de charge. Elles auraient pu s'avérer utiles une fois les défenses de Gibraltar éliminées. Et quatre unités pour la guerre des mines de classe Júpiter, chacune pouvant également embarquer 264 mines. Le reste de la flotte comprenait diverses unités légères ou spécialisées, dont deux croiseurs auxiliaires et plusieurs canonnières. A noter que trois sous-marins de 1 400 tonnes étaient en construction (classe D-1), ainsi que deux unités supplémentaires pour le dragage et la pose de mines.
  10. Si on parle de la destruction du vol Iran Air, le radar avait correctement identifié l'Airbus iranien comme un appareil civil. Ce sont les opérateurs qui ont commis une erreur d'appréciation, en signalant que l'appareil accélérait (ce qui était juste) tout en diminuant son altitude (alors qu'en réalité, il montait). Les deux frégates d'escorte du croiseur USS Vincennes avaient elle aussi identifié l'avion comme un transport civil, mais leurs commandants n'ont pas été consultés une seule fois par le commandant du croiseur qui porte une grande partie de la responsabilité de cette catastrophe aérienne. Fin du HS.
  11. Ciders

    L'Hermione

    D'un autre côté, si on compte uniquement en termes de nombre de pièces d'artillerie embarquée, il doit y avoir autant d'affuts à bord de l'Hermione que sur une bonne partie de toute la flotte de surface européenne (en ne comptant que les pièces d'un calibre supérieur à 76 mm).
  12. Si vous subissez un incendie dans votre immeuble, ne fuyez pas, les pyromanes sont passibles de la cour d'assises. Idem pour les volés, restez bien tranquille le temps de l'"opération". Il ne faudrait pas que l'on vous arrête pour recel.
  13. Ciders

    L'Hermione

    Ils ont donné le chiffre de 78 personnes pour le voyage de ce matin. Pour la traversée, oui sans problème. Ce type de navire était le meilleur de son époque, et il a fait merveille.
  14. Colonel ? Il a pris très vite du galon alors. ^^
  15. J'ai cité l'Italie, mais la situation y est plus complexe qu'en Catalogne. Plusieurs mouvements cohabitent, entre les vieux de la Ligue du Nord, les partisans de la Vénétie, ceux de la Transpadanie et les autres. Chacun défend son pré carré et il y a finalement assez peu de relations entre ces différents mouvements. La Catalogne et la Flandre sont clairement en avance sur le chemin de l'indépendance, et pourraient trouver dans l'indépendance de l’Écosse un exemple à reprendre. Le processus qui est en train de mener à cette indépendance est également intéressant, on parle d'un referendum pacifique et pas d'une guerre civile.
  16. L'Irlande du Nord est trop divisée politiquement et présente trop de risques d'instabilité pour que ça bouge dans le territoire, à mon avis. Les Nord-Irlandais ne semblent pas pressés de revivre les évènements des années 1970-1980, et pour l'instant les politiques locaux semblent de cet avis. Là où ça risque de bouger par contre, ce sera, comme d'habitude, en Catalogne, en Flandre et éventuellement en Italie. Sachant que la Catalogne est la plus proche de l'indépendance et sans doute la plus mûre pour cela. Ça pourrait aussi redonner un coup de fouet aux différents régionalismes et nationalismes européens.
  17. Premier sondage donnant le "oui" légèrement en tête. Mais en tête quand même. http://www.lefigaro.fr/international/2014/09/07/01003-20140907ARTFIG00021-independance-de-l-ecosse-un-sondage-donne-pour-la-premiere-fois-le-oui-en-tete.php
  18. A supposer que la République l'emporte, il n'était pas du tout certain que le conflit se termine à l'horizon 1937, voire 1938. Le nord de l'Espagne aurait sans doute été relativement épargné, mais il y aurait eu de rudes combats à mesure que l'on se serait approché des régions contrôlées dès le départ par les nationalistes. Nationalistes qui auraient vendu chèrement leur peau, puisqu'ils savaient qu'ils n'avaient pas grand chose à perdre. Il ne faut pas oublier aussi que le camp républicain n'est pas un bloc monolithique. Entre les staliniens, les trotskystes, les anarchistes, les régionalistes basques ou catalans ou autres, les pro-Français, les soutiens d'Alphonse XIII, les carlistes et le reste, il y avait largement de quoi alimenter huit guerres civiles simultanément. Bon j'exagère un peu, mais quand on regarde un peu quelle était la situation politique de l'Espagne depuis les années 1920, il y a de quo se faire du souci pour une République postérieure à la défaite des nationalistes... qu'on ne pouvait pas se permettre de massacrer après la victoire. Il aurait fallu recaser du monde et ce ne serait pas fait sans mal. Pour le reste, je ne sais pas vraiment si une Espagne républicaine aurait pu aider la France en mai 1940. On y aurait peut-être gagné quelques volontaires, mais ça n'aurait pas équilibré le fossé tactique entre les armées allemande et française.
  19. Je pense que les Soviétiques auraient fourni du matériel et quelques conseillers militaires, mais pas à toute la République. Staline se serait sans doute appuyé sur certaines factions acquises à son influence, tout en sabotant consciencieusement l'effort de guerre des autres. En ce sens, il n'est pas exclu qu'il y ait eu des coups en douce de la part du NKVD vis-à-vis des intérêts défendus par la France en Espagne. L'attitude du PCF aurait été intéressante à plus d'un titre dans cette affaire : ses membres auraient-ils soutenu la position française ou se seraient-ils ralliés sans réserve aux instructions du Komintern, si instructions il y avait eu ? Difficile à dire pour ma part. Concernant l'assistance française proprement dit, la simple possibilité de franchissement des Pyrénées aurait grandement soulagé la République. Les volontaires auraient pu arriver plus facilement et l'armement également. Sans menace potentielle à gérer du côté français, et en admettant que les nationalistes aient été contenus voire obligés de quitter les parties septentrionales de l'Espagne, la République pouvait concentrer davantage de forces plus au sud, notamment dans la région de Madrid. De la même manière, avec un minimum de couverture navale française en Méditerranée et un peu de soutien logistique, la marine républicaine aurait pu plus facilement contrer son homologue nationaliste et affecter les livraisons d'armes allemandes et italiennes. Par contre, je ne suis pas certain que les Britanniques aient accepté une présence républicaine massive du côté du détroit de Gibraltar. Une assistance française officielle, c'était aussi une forte probabilité de livraison de matériels modernes, au moins pour l'aviation. Ca nous aurait permis en passant de tester en conditions réelles tous les prototypes sortis dans les années 1930, et de séparer le bon grain de l'ivraie. En revanche, pour la tactique et les nouvelles méthodes de combat (avec blindés et en milieu urbain), je pense que l'incurie théorique des officiers les plus gradés aurait sérieusement atténué leur transfert au sein du haut-commandement, mais peut-être pas chez tous les officiers subalternes.
  20. Visiblement, ils ne craignent pas les tirs de contre-batterie. Ou alors, ils sont suicidaires. Un barrage de Grad là-dessus ferait pas mal de dégâts.
  21. Ah que c'est bon d'être riche : ce matin, j'ai commandé quatre A-380 d'un coup, pour les affecter à trois nouvelles lignes vers la Chine (Jakarta-Chongqing, Jakarta-Hangzhou et Jakarta-Wuhan) et une vers la Corée du Sud (Jakarta-Séoul, mais en 13 h 45, ça me fait deux jours mal fichus dans la semaine). Il est loin le temps des ATR-42 ! =D
  22. Les Ukrainiens manquent sans doute de moyens de ciblage des positions séparatistes, d'autant que ceux-ci semblent assez mobiles. La logistique ne suit pas non plus et il y a de fortes chances pour que les réserves d'obus "bons de guerre" soient limitées et arrivent mal aux unités engagées en première ligne. Il y a aussi visiblement un manque de capacités de renseignement de la part des loyalistes, et un moral assez faible qui les pousse à battre en retraite en abandonnant leur matériel lourd dès que l'occasion s'en fait sentir. Ce qui explique sans doute partiellement l'abandon de véhicules blindés (BMP-2, BRDM-2...) ou de pièces d'artillerie sur le terrain. Et comme l'aviation ukrainienne n'assure plus guère de missions au-dessus du champ de bataille, les troupes au sol n'ont aucun appui depuis le ciel, en termes de puissance de feu comme de renseignement aéroporté.
  23. Ciders

    Le F-35

    Encore un programme à la c*n qui coûtera des milliards et qui fournira un modèle tellement complexe et tellement ajusté au F-35 qu'il en sera inutilisable dès qu'on sortira des opérations spécifiées en simulateur, c'est ça ? Alors qu'il y avait un programme de rechange géré par Rolls-Royce... Gâchis, gâchis, gâchis. J'oserais même dire GABEGIE ORGANISEE (en gros, pour que tout le monde comprenne ce que je pense). Parce qu'il faut le dire, le programme F-35 apparaît de plus en plus comme ce qu'il est, à savoir une usine à gaz qui ferait presque passer un plan quinquennal des années 1930 pour un concentré de logique industrielle. On parle des Européens ? Un minimum de volonté politique et on pourrait avoir un ou deux bons prototypes dans deux ou trois ans. Ils ne seraient pas de la "dernière génération" comme le F-35 ou le F-22 (la reine des hangars climatisés et des housses de protection) et ils n'auraient pas toutes les options, mais ils pourraient voler (chose que le F-35 semble bien incapable de faire sereinement), larguer des bombes, lancer des missiles et éventuellement pour pas trop cher. La seule chose qui manque, c'est le courage politique et un minimum de financement pérenne.
  24. Ciders

    Le F-35

    On n'est plus à ça prêt, hein ? Mais ils devraient faire attention, à ce rythme même les pigeons politiques britanniques vont commencer à avoir des doutes sur la viabilité de cette chose qu'on appelle un avion de chasse furtif dernière génération.
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