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azaazel
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Les derniers prix annoncés(sans que l'on sache exactement pour quoi?) n'avaient plus rien à voir avec les anciens plutot compétitifs et a meme de mettre hors jeu toute concurrence.

Quand je parle de bon deal c'est au dela du prix et en rapport avec la souveraineté.

Si on obtient le meme niveau sur le Reaper qu'avec l'hypothétique Mantis l'option serait intérressante.

Reste à savoir pour quel volume d'achat plancher?

Et si se serait possible

_d'ntégrer de l'A2SM (avec le droit de démarcher d'autres utilisateurs sur cette capacité.)

_prise de controle depuis un Rafale.

En gros préparer le futur.

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Le soft qui effectue le ralliement des Predator sur leur cible "relevée GPS" pourrait dévier d'une quinzaine de mètre, amenant a tirer sur la mauvaise maison ...

Coder for CIA: Drone Targeting Software ‘Far From Ready’

Still wondering if Facebook is a ripoff  of ConnectU? That’s nothing. Software firms that developed the targeting systems of the CIA’s terrorist-killing Predator drones are locked in their own intellectual property battle. Their court case has at least an outside chance of halting a program the agency, the White House, and the Pentagon considers vital. And it suggests that the unmanned planes’ weapons aren’t as accurate as the agency claims.

According to emails acquired by Fast Company from the CEO of one of those firms, the agency set too tight a deadline for coders to finish a next-gen Predator targeting program. The code was “far from production ready,” wrote Rich Zimmerman, CEO of Intelligent Integration Systems, known as IISi. In September 2009, Zimmerman noted “problems with some very intricate floating point calculations that are causing me to fail a lot of my regression tests.” Court records aren’t the same thing as proof, but IISi says the targeting system is inaccurate by as much as 40 feet.

To boil down a complex drama, the Predators allegedly find their prey through a version of targeting protocols called Geospatial Toolkit and Extended SQL Toolkit. Those toolkits were developed by IISi back when it used to partner with another Massachusetts software company called Netezza. The partnership’s contract with the CIA became a matter of court record after IISi and Netezza started suing each other — lawsuits that erupted after IISi walked off the contract, citing the allegedly unrealistic deadlines. CIA isn’t a party to the lawsuit.

IISi claims that Netezza wanted to keep the contract, so it created a Geospatial knockoff to hand in. The month after Zimmerman’s email, Netezza president Jim Baum said in an email that an unnamed customer, presumably from the spy agency, “is prepared to deal with early release software. He has a previous generation system so he is able to compare results himself. It is obviously in our mutual best interest to meet this client’s needs quickly.”

Now, that doesn’t indicate that the CIA knew the targeting software was faulty, though a British report charges exactly that. But it does suggest that the agency was willing to take some risk to get it into production. And in total fairness, if it didn’t and there was another terrorist attack, we’d all probably be reading stories about how the “risk-averse” CIA’s fear of mistargeting cost Americans their lives. After all, these emails were sent months after Director Leon Panetta called the drones the “only game in town” for attacking al-Qaeda’s leadership.

A CIA representative told me that the agency declined comment, since it’s not a party to the lawsuit.

If IISi is correct, the drones could be off by as much as 40 feet, meaning they could miss houses and compounds containing terrorists. Now consider that there have been at least 87 drone strikes since the targeting problem was known, and that’s on a conservative estimation. That’s sure to reduce the proportion of Pakistanis living in the areas targeted by the drones who believe they largely target the bad guys. And only 16 percent believe that right now.

It could get worse for the agency. IISi is seeking a court-ordered injunction from Netezza’s use of the software. If that happens, writes Fast Company, “this would either force the CIA to ground Predator drones or to break the law in their use… It is unknown if the CIA has a third option in case of a ban on the use of IISI’s toolkit.” Massachusetts Superior Court Judge Margaret Hinkle is expected to settle the case by December 7 (ironically, the Pearl Harbor anniversary). The magazine expects that there’ll be some face-saving compromise by then. If not, the CIA needs to find a new game to play against terrorists.

Read More http://www.wired.com/dangerroom/2010/10/coder-for-cia-drone-targeting-software-far-from-ready/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+WiredDangerRoom+%28Blog+-+Danger+Room%29#ixzz12ZpqGs1c

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En effet, http://www.assemblee-nationale.fr/13/cr-cdef/10-11/c1011002.asp#P3_69 Hervé Morin l'a dit lors de son audition.

L'option du patroller n'est meme pas considérée

Pourtant :

Bonne souveraineté

Faible cout

Disponibilité la plus courte

Bon les député ont réussi à faire évoquer l'option Harfang mais le Morin a l'air d'y tenir à son option US...

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Bon les député ont réussi à faire évoquer l'option Harfang mais le Morin a l'air d'y tenir à son option US...

Chat échaudé craint l'eau froide  :lol:

Dans le domaine des drones, la France a pris du retard, manquant cette évolution technologique. Nous estimions probablement qu’entre l’aviation de combat, les avions de reconnaissance et les satellites, nous étions suffisamment parés. L’armée de l’air a peut-être été également circonspecte sur la perspective d’avions sans pilote. Nous avons néanmoins développé un système de drones intérimaires, avec des réussites variées ; je rappelle que, cet été, nous avons été sur le point de renvoyer la totalité des DRAC car ils ne fonctionnaient pas.

Le SDTI fonctionne tout comme le drone MALE intérimaire, le SIDM Harfang, qui est aujourd’hui déployé en Afghanistan. Nous avons encore du retard par rapport aux drones existants, que ce soit par rapport aux drones américains comme le Predator ou aux drones israéliens, qui constituent la base du SIDM. Nous rencontrons d’ailleurs quelques problèmes de réparation sur ce matériel, les Israéliens n’étant pas toujours très coopératifs en la matière. J’ajoute que le SIDM ne résout pas durablement notre problème puisqu’il est prévu qu’il s’arrête en 2014. Nous avons pourtant besoin de ces appareils : dans l’affaire des otages, ils auraient été précieux.

Je souhaite, bien évidemment, faire travailler l’industrie française. Pour autant, je m’étonne qu’un éventuel achat sur étagère suscite autant de réactions ; nous avons déjà acquis du matériel américain, y compris pour des matériels stratégiques comme les avions AWACS et HAWKEYE ainsi que pour des ravitailleurs contribuant à la dissuasion.

Sur la base des analyses de la direction générale de l’armement et de l’état-major des armées, un comité ministériel d’investissement a examiné les différentes propositions des industriels. Je vous en résume les principales conclusions. Le projet Advanced-UAV obtient un bon résultat pour la souveraineté, avec un délai de réalisation de 8 à 10 ans, un coût très élevé estimé pour la France avec un risque industriel fort.

Le projet SDM, conçu par Dassault et Thalès, n’obtient qu’une note moyenne pour la souveraineté, sa plateforme étant israélienne. Son coût est moins élevé, quoique très supérieur à l’enveloppe LPM, avec une coopération envisageable. Le risque industriel est moyen et le délai de réalisation est de 4 à 5 ans.

Le Predator pose des problèmes de souveraineté ; son délai de réalisation est de 3 ans pour un coût proche de l’enveloppe prévue par la loi de programmation. Aucune coopération n’est envisageable. Le risque industriel est limité voire nul mais aucun retour industriel n’est possible.

Le projet Heron TP a un délai de réalisation de 4 ans pour un coût très supérieur à l’enveloppe LPM. Le retour industriel est nul, sans possibilité de coopération. Le risque industriel est moyen.

Enfin, le projet Mantis de BAE Systems et Dassault a de bons résultats pour la souveraineté avec un délai de réalisation d’au moins 7 ans pour un coût qui reste à expertiser. Il permettrait une coopération entre la France et le Royaume-Uni mais avec un risque industriel fort.

Au vu de ces éléments et sachant que les soldats déployés en OPEX ont un besoin indispensable de drones pour l’observation, il m’est impossible de choisir un système qui ne sera pas opérationnel en temps voulu, pour lequel la coopération n’est pas garantie et pour lequel existe un risque industriel. Il me semble préférable de retenir un système intermédiaire avec en effet un achat sur étagère, tout en cherchant une solution européenne pérenne à moyen terme, permettant à la France et au Royaume-Uni de se situer au meilleur niveau.

Concernant les drones, nous attendons les analyses et les estimations relatives au Harfang, sachant que la DGA nous a déjà alertés sur certaines obsolescences du système. Je ne serai pas le ministre de la défense à l’origine d’une rupture capacitaire, ni celui qui signera des chèques que nous ne pourrons ensuite payer.

Dans cette affaire, il ne faut pas exagérer les problèmes de stratégie et de souveraineté. Les SIDM comportent bien une plateforme israélienne. Les AWACS et les HAWKEYE ne sont pas davantage fabriqués par des entreprises françaises, alors qu’ils constituent l’élément central du contrôle de notre espace aérien puisque toute la stratégie de l’armée de l’air repose sur la complémentarité des moyens de combat avec un système de surveillance aérienne assuré par les AWACS. En outre, dans les discussions que nous menons avec les Américains, la souveraineté est prise en compte comme clé du dispositif. Je n’ai donc aucun souci là-dessus et rien à cacher : je suis prêt à vous montrer le dossier. Mais on ne peut pas dire qu’il existe des solutions françaises au même prix que l’achat sur étagère.

l’acquisition de matériel militaire devait d’abord satisfaire les besoins des armées avant de satisfaire ceux des industriels. On ne peut également que partager votre souci de disposer du meilleur équipement possible au meilleur coût. Les prix que vous nous avez annoncés sont-ils des prix d’acquisition ou bien des coûts de possession ? S’agissant en particulier des drones Predator, allez-vous en acheter une version améliorée, comprenant le décollage et l’atterrissage automatiques et une nouvelle station à ergonomie améliorée, ou bien envisagez-vous d’acheter le système actuel qui présente de graves défauts notamment une forte attrition ?

La fiabilité des matériels est par ailleurs fondamentale. Nous disposons sur le Harfang d’une liaison par satellite d’excellente qualité, alors que les Américains eux-mêmes avouent rencontrer des problèmes fréquents de rupture de liaison satellite avec le Predator, sans oublier le fait que leurs liaisons sont plus coûteuses.

M. le ministre. Je propose d’organiser, pour les membres de la commission qui le souhaitent, une réunion de travail consacrée aux drones et au cours de laquelle je vous ouvrirai les dossiers.

J’ai déjà indiqué aux industriels que l’essentiel était de procurer aux armées les capacités dont elles ont besoin. Je souhaite aussi que ce soit au meilleur coût et compatible avec nos moyens budgétaires. Je n’ai pas encore choisi d’acheter des Predator. Le délégué général pour l’armement a réalisé un premier audit sur ce programme. Pour avancer dans les discussions, il nous faudra envoyer un courrier officiel aux Américains car l’achat de drones par un pays étranger est soumis à l’autorisation du Congrès. Nous avons enfin toute une série de questions à résoudre, notamment sur la souveraineté et l’acquisition des images.

Je suis prêt à vous communiquer tous les éléments de ce dossier, car il faut aussi que vous sachiez ce que disent les industriels français sur leurs concurrents, étrangers ou compatriotes.

M. le président Guy Teissier. Ne pourrait-on imaginer un marché consistant à acheter des Predator contre la vente d’Airbus A330 ?

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Les derniers prix annoncés(sans que l'on sache exactement pour quoi?) n'avaient plus rien à voir avec les anciens plutot compétitifs et a meme de mettre hors jeu toute concurrence.

Quand je parle de bon deal c'est au dela du prix et en rapport avec la souveraineté.

Si on obtient le meme niveau sur le Reaper qu'avec l'hypothétique Mantis l'option serait intérressante.

Reste à savoir pour quel volume d'achat plancher?

Et si se serait possible

_d'ntégrer de l'A2SM (avec le droit de démarcher d'autres utilisateurs sur cette capacité.)

_prise de controle depuis un Rafale.

En gros préparer le futur.

Le Predator pose des problèmes de souveraineté ; son délai de réalisation est de 3 ans pour un coût proche de l’enveloppe prévue par la loi de programmation. Aucune coopération n’est envisageable. Le risque industriel est limité voire nul mais aucun retour industriel n’est possible.

Bon, j'oublie pour l'intégration de l'A2SM et la prise de controle depuis un Rafy.

A ce compte cet achat sera encore de l'intérimaire.

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  • 3 weeks later...

UCAV Could Cut UK JSF Buy

Posted by Bill Sweetman at 11/3/2010 6:39 AM CDT

On the UK's JSF buy, but indicated that the aircraft will be acquired in two tranches (batches), one to equip the carrier and the second to replace Tornado in land-based operations. "We know the numbers that we need for carrier operations but we have not fully identified the number we need for ground-based capabilities."

Factors in sizing the second batch include "the lifetime of Tornado [most recently planned to fly until 2025] and the arrival of unmanned combat air vehicles."

http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckBlogPage=BlogViewPost&newspaperUserId=27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7&plckPostId=Blog%3a27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post%3a479cde3a-bbca-4f08-b438-bf1e945b8c0d&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest
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  • 3 months later...
Procédure rapide et expéditive à distance grâce en particulier aux perf du Predator B de GA ; où quand la "war on terror" devient pour les américains comme un jeu vidéo ... 
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Personnellement, je pense que le recours à la robotique de combat va augmenter le recours à la force pour la résolution de conflits car on retire une partie des barrières émotionnelles et politiques à l'affrontement et à l'élimination d'un homme.

On réduit aussi les risques du coté de l'attaquant et l'effet psychologique sur l'opinion publique car l'impact du témoignage d'un combattant assis dans un fauteuil dans un local climatisé est bien moindre que de voir des compatriotes dans la poussière, le sang , le stress, la peur ou le danger.

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Personnellement, je pense que le recours à la robotique de combat va augmenter le recours à la force pour la résolution de conflits car on retire une partie des barrières émotionnelles et politiques à l'affrontement et à l'élimination d'un homme.

On réduit aussi les risques du coté de l'attaquant et l'effet psychologique sur l'opinion publique car l'impact du témoignage d'un combattant assis dans un fauteuil dans un local climatisé est bien moindre que de voir des compatriotes dans la poussière, le sang , le stress, la peur ou le danger.

Oui je suis 100% d'accord avec cette analyse, et en Europe surtout où les opinions publiques sont bien plus réticentes à l'usage de la force qu'aux Etats-Unis, en Russie (ou même on peut le supposer en Chine) l'incorporation de drones de combat MALE dans les forces permettraient de lever certains blocages à ce niveau

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Pour l'instant, rien n'est débloqué  :lol: http://bourse.challenges.fr/news.hts?urlAction=news.hts&idnews=RTR110215_0071E06S&numligne=7&date=110215

PARIS (Reuters) - Le syndrome Rafale va-t-il toucher les drones ? Au moment où l'avion de combat de Dassault Aviation mène une guerre fratricide avec deux concurrents européens à l'export, plusieurs programmes de drones sont en préparation en Europe, en pleine période de réduction budgétaire.

L'accord anglo-français de novembre 2010, inédit par son ampleur, a apporté une lueur d'espoir : que les deux poids lourds européens de la défense unissent leurs efforts dans les drones, quitte à entraîner d'autres pays dans leur sillage.

Mais l'hypothèse d'achats "sur l'étagère" de drones américains Predator, évoquée par le ministre de la Défense Alain Juppé pour les besoins spécifiques de la France, attise les craintes sur le sort d'un programme onéreux de drone de nouvelle génération pouvant être opérationnel à la fin de la décennie.

EADS a proposé au premier s emestre 2009 le Talarion, drone de moyenne altitude longue endurance (MALE) destiné à succéder à l'actuel Harfang utilisé notamment en Afghanistan. Le programme destiné à la France, l'Allemagne et l'Espagne, d'un coût total estimé à près de trois milliards d'euros, attend toujours le feu vert des Etats concernés.

Nicolas Chamussy, responsable des drones chez Cassidian, filiale d'EADS, explique notamment le coût du Talarion par sa capacité à s'intégrer dans le système aérien.

"Il n'y aurait rien de pire qu'un alignement de tous les pays (...) sur le besoin de systèmes à peu près équivalents, mais qu'on n'arrive pas à sortir des chausse-trappes dans lesquelles on est dans le domaine de l'aviation militaire en Europe", souligne-t-il, faisant référence à la concurrence du Rafale français avec l'Eurofighter et le Gripen suédois.

CACOPHONIE

La toute nouvelle collaboration anglo-française a ouvert un boulevard au Système de drone MALE (SDM) du tandem Dassault Aviation/Thales allié au britannique BAE Systems, mais sans EADS.

"De manière pragmatique, on fait de l'européen à deux", résume Eric Trappier, directeur général chargé de l'export chez Dassault Aviation. "La non-décision sur un certain nombre de choses sur les drones fait qu'aujourd'hui il n'y a pas de drone fabriqué ou complètement développé en Europe disponible."

Cette cacophonie intra-européenne illustre les difficultés du Vieux Continent à unir ses efforts alors qu'il accuse déjà du retard sur les mastodontes américains comme Northrop Grumman, Boeing, Lockheed Martin et General Avionics, ou sur des groupes israéliens tel IAI.

Selon les nouvelles prévisions de l'institut américain Teal Group communiquées à Reuters, les dépenses mondiales en drones devraient atteindre 103,5 milliards de dollars sur la période 2011-2020, dont les trois quarts effectuées par les Etats-Unis et 10% par l'Europe.

Les futurs avions de combat furtifs pourraient être des drones, au prix d'un coûteux saut technologique, et les choix stratégiques actuels auront des répercussions à très long terme.

"Si on achète des Predator aujourd'hui, cela voudrait-il dire qu'on ne développerait pas de drones de combat en France ?", s'interroge Guillaume Rochard, associé spécialiste de l'aéronautique et la défense chez PriceWaterhouseCoopers.

"Si on décidait de ne pas investir en recherche et développement sur le drone de combat, comment pourrions-nous maintenir notre savoir-faire en matière d'aviation de combat ?"

Les tensions budgétaires actuelles et la logique économique nécessiteraient une rationalisation des efforts dans la recherche technologique en amont qui coûte cher, souligne Guillaume Rochard.

"Mais jusqu'où les différents industriels, souvent en concurrence, sont-ils prêts à mettre en commun leurs connaissances respectives ? Il s'agit de technologies extrêmement novatrices et, potentiellement, les uns et les autres n'ont pas envie de dévoiler leur jeu", poursuit-il.

Jean-Noël Stock, vice-président du pôle englobant les drones chez Thales Systèmes Aéroportés, voit d'un oeil positif l'émulation entre plusieurs bureaux d'étude en Europe, soulignant au passage qu'un drone acheté hors d'Europe limite à terme son usage.

"Avec un drone qui ne serait pas d'origine européenne, on n'aurait jamais la garantie totale qu'on maîtrise totalement les informations montantes et descendantes", prévient-il.

La guerre en Afghanistan, avec ses combattants isolés et embusqués plutôt qu'une armée traditionnelle, a mis en lumière l'utilité des drones , capables de mener des missions de reconnaissance cruciales mais dangereuses en toute discrétion et à un coût moindre.

"C'est vrai que les drones ont été extrêmement actifs en Afghanistan, mais cela ne veut pas dire pour autant que toutes ces conditions seraient valables sur un autre théâtre", souligne Mark Daly, de l'institut IHS Jane's, soulignant que la location de drones pour des besoins spécifiques pourrait devenir une tendance dominante.

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Le Neuron a l'air d'avancer son bonhomme de chemin, c'est bizarre qu'il ne soit pas evoque dans l'article puisque ce drone est bel et bien une cooperation europeenne, non?

En plus la plateforme semble etre a la pointe de la technologie, precisement la ou il faudrait concentrer les efforts pour aboutir sans tarder, au lieu de les divertir sur 36 projets differents qui ne sont principalement que des ressucees d'engins americains ou israeliens et qui necessitent moults adaptations couteuses...

On aura le temps d'acheter des engins peu couteux sur etagere plus tard, pour la surveillance et le renseignement, pour l'instant il faut se debrouiller avec les Harfang qu'on a, quant au DRAC... on a pas de nouvelles depuis un bout de temps ou bien ? ils marchent ou pas?

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  • 1 month later...

PARIS, 8 avril (Reuters) - La Direction générale de l'armement a commandé cette semaine des mini-drones de renseignement au contact (Drac) destinés à l'armée de Terre, a annoncé vendredi le ministère de la Défense.

Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé, pas plus que le nombre de drones achetés, qui sont "en quantité importante", a déclaré une source proche du dossier.

"La Direction générale de l'armement (DGA) a notifié le 5 avril 2011 à la société Cassidian (groupe EADS (EAD.PA: Cotation)) une commande de mini-drones Drac destinés à compléter la dotation en service dans l'armée de Terre", écrit le ministère dans un communiqué.

"Cette commande, passée dans le cadre du marché notifié en décembre 2004, se compose de stations sol et de véhicules aériens ; les livraisons s'échelonneront entre l'été 2011 et le début 2013", ajoute-t-on.

Lancés le plus souvent à la main, les drones Drac peuvent voler jusqu'à 90 minutes et 10 kilomètres, de jour comme de nuit, et transmettent en temps réel les images et informations.

Avant cette dernière commande, 60 systèmes de ce type avaient été livrés à l'armée de Terre.

http://fr.reuters.com/article/frEuroRpt/idFRLDE7370QI20110408

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  • 3 weeks later...

C'est la nouvelle mode les UAV "low cost" basés sur des plateformes civiles éprouvée...

D'abord SAGEM avec son Patroller

Maintenant celui ci:

http://www.armyrecognition.com/israel_israeli_army_military_equipment_uk/diamond_sensing_dominator_uav_technical_data_sheet_information_specification_description_pictures_uk.html

Y a t il un réel interet? Peut etre pour une utilisation "civile" police/maintien de l'ordre/catastrophes naturelles (on a vu recement au Japon) plus que militaire...

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C'est la nouvelle mode les UAV "low cost" basés sur des plateformes civiles éprouvée...

D'abord SAGEM avec son Patroller

Maintenant celui ci:

http://www.armyrecognition.com/israel_israeli_army_military_equipment_uk/diamond_sensing_dominator_uav_technical_data_sheet_information_specification_description_pictures_uk.html

Y a t il un réel interet? Peut etre pour une utilisation "civile" police/maintien de l'ordre/catastrophes naturelles (on a vu recement au Japon) plus que militaire...

Marché dual et civil/intérieur en fort potentiel.

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  • 2 weeks later...

Image IPB

Ouf, j'ai enfin remis la main sur ce projet anglo-italien ( une filiale anglaise de finninmeca) postulant de construire un UAV VTOL basé sur une techno Harrier Like !

http://www.aviationweek.com/aw/blogs/defense/index.jsp?plckController=Blog&plckScript=blogScript&plckElementId=blogDest&plckBlogPage=BlogViewPost&plckPostId=Blog:27ec4a53-dcc8-42d0-bd3a-01329aef79a7Post:c744cd37-461b-4287-af2d-2e5b32d4db84

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  • 2 weeks later...

Les essais en vol du Predator C Avenger :

Je salive devant l'autonomie annoncée de 50 h de cet appareil de surcroit furtif...

On aura l'air fin avec notre Mantis... 

<iframe src='http://video.aviationweek.com/linking/index.jsp?skin=oneclip&ehv=http://www.aviationweek.com/aw/video/&fr_story=2c3c9835269c3f5f8706ab8cd993cec7ea0941cf&rf=ev&hl=true' width=482 height=307 scrolling='no' frameborder=0 marginwidth=0 marginheight=0></iframe>

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  • 2 weeks later...

L'AWACS comme Mothership pour drones ...

Boeing propose également d'utiliser le système de mission du 737 Awacs pour contrôler des drones à distance. En 2009, une démonstration technologique autofinancée par l'avionneur avait permis de contrôler deux drones Scan Eagle depuis un Boeing 737 Wedgetail australien.

http://www.air-cosmos.com/defense/201106090154227/boeing-prepare-lavenir-de-ses-awacs.html

En attendant d'en faire un UAV aircraf Carrier....

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L'AWACS comme Mothership pour drones ...

http://www.air-cosmos.com/defense/201106090154227/boeing-prepare-lavenir-de-ses-awacs.html

En attendant d'en faire un UAV aircraf Carrier....

L’intérêt de l'Awacs c'est juste de servir de relai radio au drone et d'éviter les hop satellitaire.

Dans un avenir proche les awacs pourrait voir débarquer leurs contrôleurs et laisser a bord que les pilotes et les maintenancier, pour utiliser le volume dégager a améliorer les performances du systeme de détection certes mais aussi pour se servir de la plateforme comme puissant relai de communication. Les opérateurs étant alors déporté au sol a portée de communication.

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