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Drone aérien


azaazel
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Aug 5/11: The US Missile Defense Agency (MDA) announces a maximum $48.4 million indefinite-delivery/ indefinite-quantity, cost-plus-fixed-fee contract to General Atomics Aeronautical in Poway, CA to develop and demonstrate “precision three-dimensional tracking of ballistic missiles from a long endurance, high-altitude unmanned air system.” This contract was competitively procured via a broad agency announcement, with “multiple white papers received in response,” and work will be performed in Poway, CA from August 2011 through August 2016. $11.8 million in FY 2011 research, development, test and evaluation funds will be used to incrementally fund the 1st task order (HQ0147-11-D-0013).

DAS tracks Falcon-9

(click to view full)

General Atomics has confirmed the identity of the HALE system as the MQ-9 Reaper UAV, whose technical maturity and 3,000 pound payload capacity make it a good test platform. This R&D effort is a logical follow-on to revelations that a June 2010 test flight of the F-35 fighter’s AN/AAQ-37 DAS 360-degree sensors successfully tracked a Falcon-9 heavy rocket launch that took place at the same time. The challenge will be turning that kind of capability into “precise 3-dimensional” coordinates, in a package that may be tested on the MQ-9, but could easily find itself loaded onto other long-endurance surveillance platforms: airships like LEMV or HAA; or high-end UAVs like Global Hawk, GA’s own jet-powered Avenger, or the X-47 UCAS-D. That could make the results of this research effort a key part of a networked surveillance system, or even part of the answer to a very difficult problem. Boost-phase acquisition and targeting is a defender’s most challenging task, especially when missiles are launched from defended airspace. On the other hand, a long-endurance UAV with this capability, that could survive in defended airspace, carrying a missile-killer like Raytheon’s NCADE, might offer a relatively low-cost solution. The MQ-9 Reaper isn’t that vehicle – but its successors might be.

http://www.defenseindustrydaily.com/

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  • 2 weeks later...

If an F-16 always needs a pilot over its expected service life, you have to budget for training and feeding and caring for a human pilot over all those years. But if you figure an “optionally manned” bomber will only fly 1/3rd of the hours of X service life with a human crew, you can also calculate that you may need fewer humans over that time, which, as we know, could add up to big potential personnel cost “savings” for the Air Force.

http://www.dodbuzz.com/2011/08/18/uavs-next-challenge-bad-guys-shooting-back/
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  • 1 month later...
  • 3 weeks later...

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/10/08/97001-20111008FILWWW00429-armee-us-un-virus-infecte-les-drones.php

Un virus informatique a infecté les postes de commande à distance des drones américains qui effectuent des missions en Afghanistan ou dans d'autres zones de conflits sur la base de Creech (Nevada, Ouest), rapporte le magazine Wired citant trois sources anonymes.

"Un virus informatique a infecté les cockpits des drones américains Predator et Reaper, enregistrant toutes les commandes des pilotes quand ils effectuent à distance des missions en Afghanistan et sur d'autres zones de conflits", écrit le magazine sur son site internet.

Selon Wired, il n'y a eu officiellement aucune diffusion d'informations confidentielles à l'extérieur de la base à cause de ce virus, qui n'a pas non plus empêché les pilotes d'effectuer leurs missions. "Les spécialistes militaires ne savent pas si le virus (...) a été introduit volontairement ou accidentellement", ajoute-t-il, rappelant que la majorité des missions effectuées par des drones étaient menées par des pilotes de la base de Creech.

Le virus aurait vraisemblablement été introduit dans les ordinateurs de la base via des disques durs externes, que les pilotes utilisent pour transférer des informations d'un poste à un autre, d'après Wired. Les techniciens de Creech auraient le plus grand mal à se débarrasser du virus, détecté pour la première fois il y a deux semaines, selon Wired. "Nous l'éliminons, mais il revient à chaque fois. Nous pensons qu'il n'est pas très dangereux, mais en fait nous n'en savons rien", déclare un des interlocuteurs anonymes de Wired.

Les drones sont régulièrement utilisés par l'armée américaine ou la CIA pour des opérations militaires de surveillance ou de bombardement - officielles ou secrètes -, rappelle Wired. Aulaqi a été tué par une frappe d'un drone de la CIA, ont rapporté CNN et le Washington Post, des informations non démenties par des responsables américains sollicités par l'AFP

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  • 2 weeks later...

Vu à Milipol

Le Fulmar d'aerovision, racheté et commercialisé par Thales depuis peut, qui est en train de d'améliorer l'optronique.

La Malaisie en a acheté. Ils ont dit que des marines ont montré un interet, sutout que si le pont du navire est assé grand, on peut facilement récupérer le drone avec le filet (ce qui est plus simple que d'aller le chercher dans l'eau) mais ils ne pouvaient pas dire de quelle navire il s'agissait.

Sur un BPC ou BPE ça serait parfait non ?

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Vu à Milipol

Le Fulmar d'aerovision, racheté et commercialisé par Thales depuis peut, qui est en train de d'améliorer l'optronique.

La Malaisie en a acheté. Ils ont dit que des marines ont montré un interet, sutout que si le pont du navire est !@#$%^&*é grand, on peut facilement récupérer le drone avec le filet (ce qui est plus simple que d'aller le chercher dans l'eau) mais ils ne pouvaient pas dire de quelle navire il s'agissait.

http-~~-//www.youtube.com/watch?v=bnFJDUgfsPE

Sur un BPC ou BPE ça serait parfait non ?

plutot sur une plateforme plus petite :

Mon rêve pour diriger le tir d'un 127 mm Vulcano à longue distance ou sur un A69 qui n'a définitivement pas la place pour un drone ...

Par contre il faudrait bien viser au milieur du filet (qui sera moins large)...

La petite taille du drone doit impliquer une très faible SER...

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Vu à Milipol

Le Fulmar d'aerovision, racheté et commercialisé par Thales depuis peut, qui est en train de d'améliorer l'optronique.

La Malaisie en a acheté. Ils ont dit que des marines ont montré un interet, sutout que si le pont du navire est assé grand, on peut facilement récupérer le drone avec le filet (ce qui est plus simple que d'aller le chercher dans l'eau) mais ils ne pouvaient pas dire de quelle navire il s'agissait.

Sur un BPC ou BPE ça serait parfait non ?

Trop petit pour un BPC.

Pour des marines, l'intérêt me semble limité. Des gardes-côtes pourraient être plus intéressés.

Vu les surfaces/distances à couvrir et les capacités limitées de ce drone, des drones VTOL - classe 500 kg à 1T semble plus adaptés opérationnellement.

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[...]

Des gardes-côtes pourraient être plus intéressés.

Vu les surfaces/distances à couvrir et les capacités limitées de ce drone, des drones VTOL - classe 500 kg à 1T semble plus adaptés opérationnellement.

sur la video de démonstration sur le stand, il était utilisé par des gardes cotes pour identifier des navires...

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  • 2 weeks later...

L'US Navy armé les drones hélicoptères MQ-8 Fire Scout avec des roquettes :

What’s the latest U.S. drone to be armed? The Navy’s MQ-8 Fire Scout helicopter. Northrop Grumman has begun helping the Navy arm the little robo-choppers with the Advanced Precision Kill Weapons System — basically, laser-guided 70-mm rockets, according to a company announcement.

The newly armed Fire Scouts will give ships — especially smaller ones that can’t house MH-60 Sea Hawks — the ability to hunt down and kill targets from the sky.

“By arming Fire Scout, the Navy will have a system that can locate and prosecute targets of interest,” said George Vardoulakis, Northrop Grumman’s vice president for tactical unmanned systems in a Nov. 8 company announcement. “This capability shortens the kill chain and lessens the need to put our soldiers in harm’s way.”

Northrop’s announcement also points out that the MQ-9’s small size and ability to hover makes it perfect for ISR and now hunter-killer missions in coastal regions. Remember when a Fire Scout went down in Libya a few months ago? You know this thing is going to be used to hunt Somali pirates and terrorists all over the Horn of Africa and southern Arabian Peninsula.

http://defensetech.org/2011/11/08/navy-arming-fire-scout-drone-helos/

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  • 2 weeks later...

Le 1er drone est .... étonnant !

En fait j'ai apposé plusieurs photographies et ils n'en sortent que 2.Donc, là tu vois le drone et son missile.

Yabhon-Namrod UAV Warhead

Displayed alongside the United 40 is a new weapon intended for use with the UAV. The Yabhon-Namrod has been designed by Adcom to be carried internally on an eight-round rotary launcher. It has a straight wing that swivels into position on launch, and a small jet engine that can power the weapon to around 620 mph over a range of around 37 miles.

Yabhon-Namrod weighs about 66 pounds. The warhead is based on that of a standard 100mm artillery round. A range of guidance methods could be employed, including infrared and laser, as well as GPS/inertial

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L’armée US veut des drones qui se confondent avec les insectes

Les drones ont beaucoup évolué dernièrement. Plus compacts et plus performants, ils peuvent satisfaire les particuliers et les entreprises lors des missions de télésurveillance. Néanmoins, l’armée est loin d’être satisfaite et investit beaucoup pour créer des drones encore plus performants.

Pour les militaires, un drone doit être impossible à reconnaître pour un individu lambda. Il doit se fondre dans la masse et copier un insecte non seulement par sa forme mais également par sa manière de se déplacer. Actuellement, la plupart des drones ressemblent à des jouets téléguidés, facilement reconnaissables. L’US Air Force développe en ce moment ces drones plus vrais que nature. Le plus grand défi dans ce projet n’est autre que la miniaturisation des technologies de pointe. Circuit électrique, ailes, batterie, capteurs et caméras doivent être intégrés dans un corps d’insecte. Non seulement pratique pour les missions, les drones insectes sont également plus discrets, il sera extrêmement difficile d’attraper ou abattre un insecte robotisé.

http://www.tomsguide.fr/actualite/drones-armee,1657.html

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  • 2 weeks later...

Offensive américaine dans les drones

Pour favoriser la vente de leurs drones, particulièrement vers les marchés prometteurs d’Asie et du Moyen-Orient, les grands producteurs nord-américains de ces systèmes aériens ont une méthode simple : ils adaptent maintenant leurs plates-formes pour les rendre davantage “exportables”. Il s’agit notamment de les faire rentrer dans la catégorie 2 du Régime de contrôle des technologies de missiles (MTCR) et non plus dans la catégorie 1, qui est particulièrement contraignante pour les Etats signataires de ce traité.

Pour l’industrie américaine, les enjeux financiers sont de taille. A l’échelle nationale, il faut à tout prix contrebalancer les effets de la baisse des budgets de la Défense pour les années à venir. La Maison-Blanche évoque ainsi une coupe de 600 milliards de dollars à partir de 2013 sur le budget du DoD.

A l’échelle internationale, il s’agit aussi de répondre rapidement à la concurrence israélienne, sud-africaine ou encore singapourienne sur ce type de systèmes. Aux yeux des groupes américains, ces rivaux ont largement profité des restrictions qui leur ont été imposées par le MTCR.

Très prochainement, General Atomics devrait donc se lancer dans une nouvelle phase d’actions commerciales avec son drone Predator XP. Version dégradée du Predator B, désarmée (suppression des points d’emport), avec un rayon d’action de moins de 300 km (nécessaire pour rentrer dans la catégorie 2 du MTCR), une capacité d’emport de 204 kg et des optiques dégradées. General Atomics a déjà signé un MoU avec l’International Golden Group (EAU), pour proposer le Predator XP dans le Golfe (EAU, Arabie Saoudite). L’Inde et la Turquie représenteraient de nouveaux marchés pour ce drone MALE. L’industriel poursuivra aussi la promotion de son Predator B vers les pays signataires du MTCR, incluant l’Australie, le Japon, la Corée du Sud ou encore les Etats européens n’ayant pas encore fait le choix de la famille Predator. C’est le cas de la France et de l’Allemagne, deux pays qui se singularisent aussi pour n’avoir pas retenu l’option du Joint Strike Fighter dans le domaine des avions de combat.

Il faut s’attendre à des temps très difficiles pour l’industrie de défense française et européenne.

L’agressivité commerciale des groupes nord-américains va redoubler dans tous les domaines et ils bénéficieront certainement du soutien total de l’administration Obama, soucieuse de la préservation des emplois nationaux et du résultat des élections prési­dentielles à venir (2012). Le package JSF/Pedator pourrait bien s’imposer comme le binôme de référence, faute de concurrence. En ces temps de trouble mais aussi de rassemblement des énergies, les groupes américains peuvent, par ailleurs, se réjouir de pouvoir s’appuyer – eux – très largement sur des médias qui préfèrent communiquer sur leurs succès plutôt que de fournir des arguments à la concurrence.

http://www.ttu.fr/offensive-americaine-dans-les-drones

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Offensive américaine dans les drones

Pour favoriser la vente de leurs drones, particulièrement vers les marchés prometteurs d’Asie et du Moyen-Orient, les grands producteurs nord-américains de ces systèmes aériens ont une méthode simple : ils adaptent maintenant leurs plates-formes pour les rendre davantage “exportables”. Il s’agit notamment de les faire rentrer dans la catégorie 2 du Régime de contrôle des technologies de missiles (MTCR) et non plus dans la catégorie 1, qui est particulièrement contraignante pour les Etats signataires de ce traité.

Pour l’industrie américaine, les enjeux financiers sont de taille. A l’échelle nationale, il faut à tout prix contrebalancer les effets de la baisse des budgets de la Défense pour les années à venir. La Maison-Blanche évoque ainsi une coupe de 600 milliards de dollars à partir de 2013 sur le budget du DoD.

A l’échelle internationale, il s’agit aussi de répondre rapidement à la concurrence israélienne, sud-africaine ou encore singapourienne sur ce type de systèmes. Aux yeux des groupes américains, ces rivaux ont largement profité des restrictions qui leur ont été imposées par le MTCR.

Très prochainement, General Atomics devrait donc se lancer dans une nouvelle phase d’actions commerciales avec son drone Predator XP. Version dégradée du Predator B, désarmée (suppression des points d’emport), avec un rayon d’action de moins de 300 km (nécessaire pour rentrer dans la catégorie 2 du MTCR), une capacité d’emport de 204 kg et des optiques dégradées. General Atomics a déjà signé un MoU avec l’International Golden Group (EAU), pour proposer le Predator XP dans le Golfe (EAU, Arabie Saoudite). L’Inde et la Turquie représenteraient de nouveaux marchés pour ce drone MALE. L’industriel poursuivra aussi la promotion de son Predator B vers les pays signataires du MTCR, incluant l’Australie, le Japon, la Corée du Sud ou encore les Etats européens n’ayant pas encore fait le choix de la famille Predator. C’est le cas de la France et de l’Allemagne, deux pays qui se singularisent aussi pour n’avoir pas retenu l’option du Joint Strike Fighter dans le domaine des avions de combat.

Il faut s’attendre à des temps très difficiles pour l’industrie de défense française et européenne.

L’agressivité commerciale des groupes nord-américains va redoubler dans tous les domaines et ils bénéficieront certainement du soutien total de l’administration Obama, soucieuse de la préservation des emplois nationaux et du résultat des élections prési­dentielles à venir (2012). Le package JSF/Pedator pourrait bien s’imposer comme le binôme de référence, faute de concurrence. En ces temps de trouble mais aussi de rassemblement des énergies, les groupes américains peuvent, par ailleurs, se réjouir de pouvoir s’appuyer – eux – très largement sur des médias qui préfèrent communiquer sur leurs succès plutôt que de fournir des arguments à la concurrence.

http://www.ttu.fr/offensive-americaine-dans-les-drones

Les politiques américains ont toujours eu une vraie conscience de la nécessité de maintenir et développé les compétences et les emplois industriels, comme quoi ils ont beau ne pas sortir de l'ENA, et être bardés de diplômes comme notre pseudo-élite bouffie d'arrogance, eux au moins vivent dans le monde réel ...

Le Predator est un produit 100% opérationnel et d'une fiabilité en hausse à force de petites améliorations, après 8 ans de RETEX ; il a pas fini d'avoir du succès

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