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[Belgique]


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Le service de promotion touristique de la Flandre provoque la colère wallone: sur son site Internet, une carte de Flandre indépendante annexe la région bruxelloise.

L'administration flamande assume la carte de la discorde. "Toerisme Vlaanderen", l'office du tourisme flamand n'entend pas retirer l'illustration du site et assure que la carte est "claire et fonctionnelle". Le journal francophone Le Vif L'Express conclut, cinglant: "Voilà la hache de guerre déterrée". 

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/et-la-flandre-independante-annexa-bruxelles_913433.html#xtor=AL-447

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Bof, de toute façon, elle était déterrée depuis longtemps: quand le grand argument des administrations en Flandres qui contraignent à l'emploi absolument unique du flamand se résume à "on doit parler la langue du pays dans lequel on est" (en "oubliant" que le dit pays, c'est la Belgique), faut pas s'attendre à grand chose de plus d'une telle bande de connards trop hypocrites pour mettre franco le sujet sur la table.

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  • 3 weeks later...

La Belgique et les Pays-Bas malades du populisme.

Deux démocraties européennes traversent une crise sans précédent : trois mois après avoir voté, les Pays-Bas et la Belgique sont toujours dans l'attente. Ils attendent le programme et la constitution d'un gouvernement, quitte à recourir à d'improbables coalitions.

A Bruxelles, les tourments ont commencé dès 2007. Le chrétien-démocrate flamand Yves Leterme a légitimé le message des indépendantistes flamands, auxquels il s'était associé. Mais, comme son parti, il a été dévoré par cette Nouvelle Alliance flamande, qui, grâce à lui, a pu faire prospérer l'idée d'une Flandre autonome, délivrée du "boulet" wallon et susceptible d'accaparer Bruxelles. La confusion est telle, aujourd'hui, en Belgique que le scénario de la partition n'est plus irréaliste.

http://www.lemonde.fr/europe/article/2010/09/04/la-belgique-et-les-pays-bas-malades-du-populisme_1406652_3214.html#xtor=AL-32280184

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Le roi des Belges consulte les dirigeants politiques.

Depuis 83 jours que les Belges ont voté, la Belgique n'a toujours pas de gouvernement.

Vendredi, Elio di Rupo, chef des socialistes francophones et nommé préformateur par le roi, avait jeté l'éponge, entérinant un nouvel échec des négociations en remettant sa démission au souverain, lequel ne l'a pas acceptée pour l'instant.

http://fr.news.yahoo.com/3/20100904/twl-belgique-gouvernement-negociations-0ef7422.html

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Tous les journaux belges d'aujourd'hui (samedi) posent la même question : "Et maintenant que fait-on?"

Le quotidien francophone Le Soir voit le pays "à genoux" du fait de l'intransigeance des indépendantistes flamands de la N-VA.

Si au bout du compte un gouvernement ne peut être formé, la Belgique devra retourner aux urnes, comme en juin où déjà le scrutin avait été convoqué face à l'incapacité des deux communautés à s'entendre.

Un haut responsable du parti socialiste francophone, Philippe Moureaux, a brisé un tabou cette semaine en évoquant la scission du pays. "On est jusqu'à présent dans un processus de délitement de l'Etat. On va peut-être entrer dans l'organisation progressive de la séparation", a-t-il dit.

http://qc.news.yahoo.com/s/afp/100904/monde/belgique_politique_gouvernement_6

finalement, la séparation n'est peut-être qu'une question de mois et non d'années....

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Le roi des Belges Albert II a accepté la démission d'Elio di Rupo, chef de file des socialistes wallons, qui avait été chargé de former un gouvernement et a confié aux présidents de la chambre des Représentants et du Sénat une nouvelle mission de médiation.

http://fr.news.yahoo.com/4/20100904/twl-belgique-gouvernement-mo-bd5ae06.html

bon, c'est reparti pour un tour....

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Allez, encore quelques années et la séparation sera effective. On voit mal comment cette fracture qui s'élargit chaque jour pourrait se résorber.

Le timing a son importance.

A chaque fois que les francophones font des concessions ça se tasse quelque temps puis les Flamands refonts monter les enchères, les francophones refont des concessions, ça se retasse, puis les Flamands refonts monter les enchères, et ça recommence. Les francophones se font mener par le bout du nez.

Est ce que les Flamands serons assez malin et patients pour que les francophones se fassent entuber sans s'en rendre compte ? les francophones craquerons ils avant ou après avoir livrés Bruxelles ? c'est toute la question.

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Les wallons commencent à comprendre : http://www.lemonde.fr/europe/article/2010/09/05/oui-il-faut-se-preparer-a-la-fin-de-la-belgique_1407084_3214.html#xtor=AL-32280184

Le roi Albert II a accepté samedi soir la démission du socialiste wallon, qui n'a pu combler le fossé entre néerlandophones et franchophones paralysant la vie politique belge depuis plus de trois ans.

Conséquence de ce blocage, le tabou de la scission de la Belgique commence à tomber dans le monde politique francophone, dont plusieurs représentants de premier plan ont ouvertement évoqué cette éventualité, dimanche 5 septembre, en raison des difficultés à s'entendre sur l'avenir du pays avec les Flamands.

Les déclarations sont toutes venues du Parti socialiste : "D'un autre côté, on ne peut plus ignorer que parmi une grande partie de la population flamande, c'est un vœu", poursuit Mme Onkelinx, également vice-première ministre, "donc, oui, il faut se préparer à la fin de la Belgique. Sans quoi on risque d'être les dindons de la farce" côté francophone.

le ministre-président de Wallonie, Rudy Demotte, a appelé sa communauté à envisager désormais "toutes les hypothèses", dont celle de se prendre en mains toute seule sans la Flandre. "Il est certain que nous devons nous prendre en mains nous-mêmes", a-t-il dit à la radio RTBF.

Philippe Moureaux a été le premier à briser le tabou en évoquant dans une interview, vendredi, la scission du pays. "On est jusqu'à présent dans un processus de délitement de l'Etat. On va peut-être entrer dans l'organisation progressive de la séparation".

Dimanche, plusieurs dizaines de milliers de Flamands ont participé à une manifestation annuelle consistant à faire le tour de Bruxelles à vélo ou à pied pour rappeler aux francophones qui résident dans la capitale et sa banlieue qu'ils vivent entourés de la Flandre, et pour bien marquer le caractère néerlandophone de leur territoire.

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Le cas de Bruxelles va être vraiment épineux, surtout pour les Flamands, si un scénario de séparation devait se jouer dans les prochaines années et pas dans un lointain futur indéterminé: la population est et reste TRES majoritairement francophone, n'est pas appelée à changer de langue principale, et s'il y a bien un endroit en Belgique où le sentiment national belge l'emporte devant l'esprit de clocher ethnico-culturel, c'est bien là. En cas de scission, les Flamands pourraient-ils décréter qu'ils gardent Bruxelles et fondre un referendum flamand avec Bruxelles? Ou seraient-ils contraints de laisser les Bruxellois s'exprimer dans un referendum propre, quels qu'en soient les alternatives? Parce que si c'était le cas, et selon les choix proposés, il est douteux que les Bruxellois choisiraient la Flandre. Et de ce fait, la question des banlieues francophones et de la définition précise de ce qui deviendrait des frontières, seraient des problèmes d'une autre ampleur mais appelant un règlement rapide obligatoire.

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Le cas de Bruxelles va être vraiment épineux, surtout pour les Flamands, si un scénario de séparation devait se jouer dans les prochaines années et pas dans un lointain futur indéterminé: la population est et reste TRES majoritairement francophone, n'est pas appelée à changer de langue principale, et s'il y a bien un endroit en Belgique où le sentiment national belge l'emporte devant l'esprit de clocher ethnico-culturel, c'est bien là. En cas de scission, les Flamands pourraient-ils décréter qu'ils gardent Bruxelles et fondre un referendum flamand avec Bruxelles? Ou seraient-ils contraints de laisser les Bruxellois s'exprimer dans un referendum propre, quels qu'en soient les alternatives? Parce que si c'était le cas, et selon les choix proposés, il est douteux que les Bruxellois choisiraient la Flandre. Et de ce fait, la question des banlieues francophones et de la définition précise de ce qui deviendrait des frontières, seraient des problèmes d'une autre ampleur mais appelant un règlement rapide obligatoire.

Me semble que le meilleur moyen de regler ce probleme c'est un rattachement assez rapide à la France par referendum de la Wallonnie, Bruxelles et communes à facilité autour de Bruxelles (notament un corridor entre la Wallonie et Bruxelles). Les Flamands rouscaillerons comme pas possible mais avec la France derriere ils bougerons pas.

Après il y aura des problemes juridiques qui viendrons s'ajouter aux problemes juridiques de l'éclatement de la Belgique et là les Flamands sont les premiers responsables, les francophones et la France y sont pour rien. Bref ça sera un tel merdier que plus personne y comprendra rien, ça durera des années et a la fin, le bon sens (et le fait accomplit) l'emportera.

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Me semble que le meilleur moyen de regler ce probleme c'est un rattachement assez rapide à la France par referendum de la Wallonnie, Bruxelles et communes à facilité autour de Bruxelles (notament un corridor entre la Wallonie et Bruxelles). Les Flamands rouscaillerons comme pas possible mais avec la France derriere ils bougerons pas.

Je suis tout à fait d'accord avec toi.

En même temps, si on prend un peu de recul, il est assez stupéfiant en plein coeur de l'Europe occidentale pacifiée d'être obligé d'évoquer un facteur de force, c'est-à-dire l'ombre de la violence d'Etat. Car c'est bien le sens de la phrase que j'ai mise en gras.

Si la Belgique prend la direction de l'éclatement, on peut s'attendre à moult manifestations et autres sit-ins autour de ces fameuses "communes à facilités" pour organiser / pour interdire d'organiser un référendum local à ces communes seulement. Le bon sens pourrait l'emporter en effet, mais ça n'est pas certain car les dirigeants flamands ont bien compris l'enjeu et dans le cadre d'une séparation ils auraient formellement le droit pour eux (même si personne n'est dupe)... Si un gouvernement flamand envoie la police empêcher un référendum local, tout peut se résoudre après un très long (et triste) bordel désordre. Il est aussi possible, dans un scénario-catastrophe, que le sang coule.

Ne pas oublier non plus que Bruxelles est un enjeu pour l'UE ainsi que pour l'OTAN, c'est-à-dire pour les Etats-Unis. Les autres pays européens, et même Washington, pourraient choisir de s'impliquer pour "aider à résoudre le conflit"... Si l'Amérique bouge, je crains que ce ne soit pas pour aider la France !

Il reste possible que la Belgique n'éclate pas. Les discours des politiciens francophones ressemblent pour l'instant à "retenez-moi ou je fais un malheur". Ces discours peuvent encore donner à réfléchir aux Flamands qui ne souhaitent pas la séparation... et qui restent majoritaires rappelons-le !

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Il faut bien comprendre la stratégie de Bart De Wever et de la NVA, ce parti est depuis sa fondation (début des années 2000) ouvertement séparatiste et le prone à toutes les pages de son programme. Voila-t-y pas qu'il gagne haut la main les dernières élections, c'est donc une chance à ne pas laisser passer, donc tout en montrant une sois-disante "responsabilité", en sous-main ce parti sabote clairement les négociations pour aller au chaos et permettre ainsi l'indépendance en faisant porter la responsabilité sur d'autres :

Les francophones (PS - CdH & Ecolos) ont fait énormément de concessions durant les dernières négociations, la plupart des commentateurs politiques flamands et des hommes politiques du nord "raisonnables", le reconnaissent, jamais jusqu'à aujourd'hui la Flandre n'a avait vu autant de ses demandes acceptées, mais voila, accepter autant veut sans dire reculer de plus longtemps le rêve de grand soir de la NVA, repousser cette scission à 15 ou 20 ans ... donc on refuse pour des questions de détails en reniant sa parole ... et l'on essaye de faire revenir les libéraux dans la négociation, car on sait très bien que ceux-ci (avec le FDF) n'accepteront jamais autant de concessions, mais au moins on aura ainsi trouvé un bouc émissaire et l'on pourra convaincre la majorité flamande qu'avec de tels francophones la vie n'est plus possible ...

C'est cette stratégie qu'a découvert le PS d'Elio di Rupo, et c'est pourquoi ils annoncent maintenant que la fin de la Belgique se profile.

Clairon

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Toutes ces grimaces de politicards ont connaît. Ils finiront pas s'entendre.

Pas nécessairement, surtout quand les radicaux mènent le plus la danse, que l'idéologie est un facteur réel, et que la question ne porte pas sur n'importe quel sujet, mais bien sur la question même de l'existence du terrain sur lequel il convient ou non de s'entendre.

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  • 2 weeks later...

Belgique: un responsable politique flamand agressé en Wallonie

BRUXELLES - Un responsable politique flamand de premier plan, Jan Peumans, président du parlement de Flandre et membre d'un parti indépendantiste, a affirmé jeudi avoir été frappé en Wallonie par un francophone, une agression qu'ont condamnée des responsables francophones.

"Etre agressé pour mes idées politiques, je ne l'aurais jamais cru", a déclaré Jan Peumans, militant du mouvement Nouvelle Alliance Flamande (N-VA), principal parti de Flandre, dans des interviews publiées jeudi.

Les faits remontent à dimanche. Le responsable politique se trouvait dans la commune de Visé (sud-est), qu'il visitait avec son épouse.

Il dit avoir été pris à partie par un francophone d'une trentaine d'années qui l'a poursuivi, insulté et frappé parce qu'il estimait que l'élu n'avait rien à faire en Wallonie, la région francophone du sud de la Belgique.

Jan Peumans affirme avoir souffert de saignements à la tempe et d'une mâchoire décrochée. Un plainte a été déposée auprès de la police locale.

Jeudi, le chef du gouvernement régional wallon, le socialiste Rudy Demotte, a "condamné le plus fermement" l'agression dont a été victime M. Peumans.

"Les désaccords politiques ne peuvent évidemment en aucune façon se traduire par un recours à la violence", a déclaré M. Demotte.

"Même si de tels faits restent tout à fait exceptionnels, ils doivent être dénoncés avec la plus grande fermeté. Il n'est pas acceptable qu'une femme ou un homme, qu'il/elle soit politique ou non, soit intimidé-e ou victime de violences en raison de ses opinions", a de son côté déclaré le président du Parti socialiste francophone, Elio Di Rupo, candidat au poste de Premier ministre.

La Belgique est depuis 2007 plongée dans une crise politique quasi ininterrompue en raison de profondes divergences entre partis néerlandophones (représentant 60% des 10,5 millions de Belges) et francophones (40%).

Trois mois après les dernières élections législatives du 13 juin, le pays semble dans l'impasse, puisque les deux communautés n'ont toujours pas réussi à s'entendre sur la constitution d'un nouveau gouvernement fédéral.

Les discussions buttent notamment sur la question des droits politiques des francophones vivant en Flandre, dans la périphérie de Bruxelles, que les partis néerlandophones souhaitent supprimer.

Les divergences de vue entre Flamands et francophones remontent en fait à plusieurs dizaine d'années et n'ont fait que s'accroître. Au point que des responsables francophones historiquement attachés à l'unité de la Belgique mais lassés par les demandes d'autonomie de la Flandre, évoquent à présent ouvertement la possibilité d'une scission du pays.

Les responsables belges, tant flamands que francophones, soulignent régulièrement que ces désaccords, contrairement à ce qu'il s'est passé dans d'autres pays, se règlent en Belgique par la discussion et qu'ils n'ont pratiquement jamais débouché sur des actes de violence.

(©AFP / 16 septembre 2010 13h15)

http://www.romandie.com/ats/news/100916111559.wy5rlqxw.asp

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  • 2 weeks later...

Qu'est ce que la France a bien put faire aux Belges pour que la France soit aussi impopulaire là bas ? ça me dépasse  :-[ Si quelques Belges voulaient bien éclairer ma lanterne ou au moins donner quelques éléments de réponse je les en remercie platement d'avance..

- Le côté assez condescendant de biens de français vis à vis des belges, on a souvent l'impression d'un marquis qui parlerait à ses valets

- Sous prétexte que la langue soit la même, bien des français imaginent que la Belgique n'est qu'une France du Nord qui s'ignore

- Le fait que les français donnent souvent l'impression de tout savoir et seuls eux détiennent la vérité complète, et que sortis de la France il n'y a rien qui existe de valable. les Belges ont une ouverture d'esprit plus grande et moins hexagonale.

C'est surtout ce côté "je suis de tout façon supérieur à vous", ou bien "quoi, cela ne fonctionne pas comme en France ? et ça existe ?" ....

C'est parfois très difficile à comprendre, mais même comme français vivant depuis très longtemps en Belgique, l'on m'a souvent reproché cela. Mon expression sans accent, l'utilisation d'un vocabulaire moins anglophone, .... tout ça fait "français et snob" pour beaucoup de belges. Mais attention aussi à quels Belges, et quels Français. Ici à Bruxelles on voit beaucoup de parisiens (institutions européennes) et ils sont souvent assez horripilants, sans oublier les réfugiés de l'ISF ou là il y a plus une réaction sociale face à des gens très riches.

Les habitants belges plus proches de la frontière (Tournai, Ardennes, Philippeville) sont souvent plus proches et amicaux avec les français du nord surtout, car des liens existent depuis très longtemps.

Clairon

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- Le côté assez condescendant de biens de français vis à vis des belges, on a souvent l'impression d'un marquis qui parlerait à ses valets

- Sous prétexte que la langue soit la même, bien des français imaginent que la Belgique n'est qu'une France du Nord qui s'ignore

- Le fait que les français donnent souvent l'impression de tout savoir et seuls eux détiennent la vérité complète, et que sortis de la France il n'y a rien qui existe de valable. les Belges ont une ouverture d'esprit plus grande et moins hexagonale.

C'est surtout ce côté "je suis de tout façon supérieur à vous", ou bien "quoi, cela ne fonctionne pas comme en France ? et ça existe ?" ....

C'est parfois très difficile à comprendre, mais même comme français vivant depuis très longtemps en Belgique, l'on m'a souvent reproché cela. Mon expression sans accent, l'utilisation d'un vocabulaire moins anglophone, .... tout ça fait "français et snob" pour beaucoup de belges. Mais attention aussi à quels Belges, et quels Français. Ici à Bruxelles on voit beaucoup de parisiens (institutions européennes) et ils sont souvent assez horripilants, sans oublier les réfugiés de l'ISF ou là il y a plus une réaction sociale face à des gens très riches.

Les habitants belges plus proches de la frontière (Tournai, Ardennes, Philippeville) sont souvent plus proches et amicaux avec les français du nord surtout, car des liens existent depuis très longtemps.

Clairon

Merci de partager tes impressions. C'est vrai que l'impopularité de la France que laisse penser les sondages je ne l'ai absolument pas ressentie ni vers Charleroi, Namur ou Bruxelles.

Au contraire, de ce que j'ai vu, je trouve les Belges amicaux, toujours pret à rendre service, rigolards et il conservaient cette attitude malgré que je soit français (mais pas parisien)

Bon ce que pensent les Belges des français a certainement quelques fondements, mais il me semble que c'est quand meme pas très grave en comparaisons de la déliquescence actuelle de ce "pays" et des risques que courent les Wallons, Bruxellois et communes a facilité dans la situation actuelle.

Il doit y avoir quelque chose de plus profond non ?

Ah et les Belges sont des français du nord, c'est pas une opinion c'est un fait.

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Ah et les Belges sont des français du nord, c'est pas une opinion c'est un fait.

:P :P :P

tu m'etonnes que les Belges ne supportent pas certains français après ca quand il est expliqué un truc et que ca refuse de rentrer

les Belges ne sont plus français depuis 1815

200 ans ca suffit pour donner une conscience nationale différente. point. final.

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