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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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Et on se demande pourquoi l'Italie est en crise :  

Un employé sicilien travaillant à Palerme, a réclamé, et obtenu, le paiement d'heures supplémentaires pour avoir déblayé la neige de mars à août dernier...

De mars à aout ? à Palerme, Sicile !  Température minimale enregistrée : 10°, max : 30°, du soleil, mais point de neige !

Le journal La Répubblica s'interroge : "comment se fait-il que la Sicile dépense huit fois plus que la Lombardie, la région la plus développée de l'Italie située au nord du pays pour les salaires de ses 17 000 employés ? "

Et bien voilà la réponse : payer un employé pour déblayer la neige en août !

Salvatore Di Grazia, l'employé de la protection civile provinciale de Palerme, a été au bluff et n'a donc pas hésité a demander 17 heures supplémentaires en avril,  50 heures en mai, 38 heures en juin, 44 heures en juillet et 200 heures en août alors que la température dépassait les 30°C à l'ombre, pour le déblaiement de la neige... si, si !

Bon, le stratagème n'a pas totalement marché car il n'a obtenu "que" 45 heures supplémentaires payés... Eh oui, quand même !

Attention, le travail, c'est sacré en Sicile !

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« Le PIB de la France compte dans son bilan le traitement des fonctionnaires. ( !!!)

Quand on augmente les fonctionnaires, cela fait un taux de croissance… »

J’entends ça ce matin chez Nicolas Doze dans BFMbusiness.

http://www.bfmbusiness.com/programmes-replay/emission/les-experts

Complètement débiles. Ubu Roi dirige ce pays.

EDIT/ : 6% du PIB - selon le PISA de l'OCDE.

Oui c'est normal. Même les incendies volontaires font augmenter le PIB. Si tu demolis un immeuble pour le reconstruire identique au même emplacement tu crée plus de PIB que si tu construit un nouvel immeuble ailleurs malgré que le nombre de logements a augmenté. Le PIB a toujours été un indicateur très imparfait.

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Suis-je le seul a être effrayé après le passage de Juppé sur France 2 et de voir à quel point il pataugeait lamentablement (j'ose pas imaginer que ca soit juste un déni de réalité) devant des questions même pas trop piégeuses d'Eric Zemmour ?

EDIT: Et je ne parle meme pas du nouveau troll (niveau europeen le troll) du "Si tu veux pas de l'Euro, tu ne veux pas de l'Europe" suivit de "Si tu veux pas d'Europe, il y auras la guerre".

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http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/09/30/rester-pauvre-ou-partir-le-dilemme-des-jeunes-grecs_1580004_3234.html

Surtout, continuer de se lever tôt. Depuis un an et demi, Dimitra Mareta est au chômage et s'impose le même rituel : réveil à 8 heures avant de consulter sa boîte e-mail en buvant son café, à l'affût du courrier d'un éventuel employeur. Mais depuis quelques mois, cette Athénienne de 30 ans n'espère plus aucune réponse, elle envoie d'ailleurs deux fois moins de CV : il n'y a pas de travail. Cette habitude matinale sert uniquement à la maintenir "éveillée", explique la diplômée en communication et sciences politiques. "Je suis extrêmement déçue, j'essaie de penser que mon chômage n'est pas de ma faute, commente Dimitra, avant de reprendre : "Je me sens en colère. Mais je ne me sens pas seule."

Dimitra est en effet loin d'être seule. En Grèce, les premières victimes de la crise économique sont les jeunes. Alors que les bailleurs de fonds internationaux sont de nouveau à Athènes jeudi 29 septembre pour boucler le projet de budget 2012 et surveiller le programme d'austérité mis en œuvre par le gouvernement, alors que le pays est marqué par des grèves des transports publics, des chauffeurs de taxis ou des employés du ministère de la finance, les plus jeunes payent en silence le plus lourd tribut au chômage. Selon les statistiques officielles (PDF), 32,9 % des 15-29 ans sont demandeurs d'emploi. Un taux qui atteint 43 % chez les 15-24 ans, selon Savas Robolis, professeur d'économie à l'université Panteion d'Athènes. En comparaison, le taux de chômage des Français de moins de 24 ans s'élève à 22,1 % au premier trimestre 2011.

En Grèce, le taux de chômage réel est de 22 %, selon Savas Robolis. Et un chômeur sur deux a moins de 29 ans. Les jeunes femmes sont particulièrement touchées : 38,3 % d'entre elles sont sans emploi. "Les vingt dernières années, 80 000 personnes arrivaient sur le marché du travail, l'économie en absorbait 40 000. (...) Depuis 2008, seulement 20 000 personnes parmi ces nouveaux arrivés trouvent du travail chaque année, et tous les postes créés après 2006 ont été détruits depuis la crise", explique le professeur, qui prévoit une aggravation du chômage des jeunes en 2012.

50 000 PERSONNES ONT QUITTÉ LE PAYS DEPUIS 2008

Pour beaucoup de ces jeunes, la solution est évidente : partir. Mihail Papadogonas a un diplôme d'avocat. A 27 ans, après cinq ans et demi d'études et de multiples expériences à l'étranger, il a bien trouvé quelques offres d'emplois depuis sa sortie de l'université il y a six mois, mais il a jugé leur rémunération insuffisante : 800 euros mensuels. En attendant, il travaille comme vendeur dans une boutique d'Athènes pour 700 euros par mois. "De quoi payer les factures", explique le jeune homme, qui partage un appartement à Athènes avec sa sœur grâce à l'aide financière de ses parents. C'est donc la solidarité familiale qui permet à Mihail de joindre les deux bouts, ce qui est devenu courant dans le pays. De même que ces mots, repris par toute une génération : "colère", "pessimisme", "insécurité". "La majorité de mes amis pense à partir à l'étranger, dans des pays européens, parce que c'est plus près, mais aussi en Australie," explique le jeune homme. Mihail a choisi la France. Il s'apprête à chercher un emploi qui ne correspond pas à ses qualifications, comme serveur ou barman, en espérant trouver mieux, plus tard.

Depuis le début de la crise économique, en 2008, environ 50 000 Grecs ont migré, confirme Savas Robolis, également expert en migration. Le professeur estime à environ 80 % la part des jeunes dans ces départs. Une dynamique qui se serait accélérée ces derniers mois. "Les ingénieurs, les informaticiens, les architectes partent surtout en Grande-Bretagne, où il existe des opportunités avec la préparation des Jeux olympiques", note le chercheur. Si les flux sont difficiles à mesurer, il estime à environ 10 000 personnes les départs vers le Royaume-Uni. "Les autres partent en Allemagne, environ 8 000, dans les pays européens et enfin en Australie, avec environ 4 500 départs".

Un attrait pour l'étranger confirmé par les statistiques du site Europass qui doit faciliter la mobilité des Européens : sur la même période entre 2008 et 2011, le nombre de Grecs ayant utilisé ce service a quasiment doublé (pdf 2008). Plus de 60 % des personnes ayant publié leur CV sur le site ont moins de 30 ans (pdf 2011).

LA FUITE DES CERVEAUX

La sœur de Dimitra envisage ainsi un départ en Australie avec deux amies. L'importante communauté grecque présente dans ce pays des antipodes pousse les migrants à tenter leur chance. "Moi, je serai peut-être obligée de partir, mais je ne le souhaite pas : toute ma vie est ici", affirme vivement Dimitra. Un rire gêné pointe lorsqu'elle expose les projets de sa sœur et de ses amis. Une gêne que Dimitra met un temps à expliquer. "Encore ! soupire la jeune femme après une pause. Quelle ironie, il y a un demi-siècle nous immigrions, et maintenant nous pensons de nouveau à devenir des immigrés. C'est l'Histoire qui tourne en rond", regrette Dimitra.

Pas tout à fait, rectifie Savas Robolis. Contrairement aux années 1960 où des milliers de Grecs quittaient leurs pays vers l'Europe du Nord pour occuper des emplois peu qualifiés, il s'agit cette fois une poignée de jeunes gens hautement diplômés. L'Australie vient ainsi de lancer, en Grèce, le programme intitulé "Les personnes qualifiées dont l'Australie a besoin". Le secrétariat de l'immigration organise ainsi des journées d'information le mois prochain pour les citoyens intéressés par l'émigration, rapporte le quotidien grec I Kathimerini. Le département de l'immigration de Canberra a déjà posté en ligne les secteurs dans lesquels la demande est forte, notamment l'ingénierie et la santé. "C'est plus compliqué pour les diplômés en sciences humaines", commente Savas Robolis, qui rapporte ces scènes récentes : des étudiants "pessimistes" et "nerveux" s'enquérant de contacts pour un travail, quelque part en Europe.

"Il s'agit d'un véritable 'brain drain'" commente le chercheur, qui anticipe des conséquences très négatives sur l'économie : "d'après nos estimations, à partir de 2013, on notera une légére reprise de la croissance. C'est à ce moment là qu'on aura besoin de personnes qualifiées. Mais elles seront déjà parties."

"POUR CEUX QUI RESTENT, C'EST LA PRÉCARITÉ"

Les autres, ceux qui restent, devront donc affronter une économie en récession . "Et il n'y a pas d'Etat providence en Grèce", renchérit Savas Robolis. Dans le pays, les indemnisations chômage durent douze mois et s'élèvent à environ 400 euros mensuels. La demande des syndicats de prolonger cette période ou d'augmenter les allocations est oubliée depuis la crise. Cela fait donc six mois que Dimitra vit sur ses économies et grâce au soutien de sa famille. Elle pense peut-être retourner au village de ses parents, comme certains de ses amis. Des "migrants de l'intérieur", qui travaillent dans l'élevage ou l'agriculture, en rupture totale avec leur vie urbaine et leur formation. D'autres acceptent le travail qu'ils trouvent, moins qualifié et sans rapport avec leurs études. "On voit dans les îles, pendant les trois mois d'été, des jeunes travailler dans le secteur du tourisme pour gagner un peu d'argent", note Savas Robolis.

Pour eux, c'est donc le chômage ou la précarité, résume le chercheur, qui relève une précarisation qui s'étend aux autres classes d'âge. Evgenia Grmatikopoulou, 36 ans et professeure de littérature française à l'université, affirme ainsi ne pas avoir reçu de salaire pendant tout un semestre l'année dernière. Comme 800 autres professeurs, l'affectation à son poste est suspendue. Elle se compare à des collègues, recontrés en France lors de colloques, qui à son âge "ont déjà deux ou trois enfants". "C'est inimaginable pour moi, financièrement", s'indigne la professeure, exprimant sa "peur" devant ces personnes de son âge contraintes de retourner vivre chez leurs parents. "Cette crise nous maintient dans un état inférieur à notre âge", résume-t-elle.

Comme Dimitra, elle envisage de manifester lors des prochaines journées de mobilisation, prévues les 5 et 19 octobre. Mais les jeunes femmes ne se reconnaissent plus dans leurs responsables politiques. Elles les accusent d'avoir mal géré la crise. Et la conviction qui a habité Dimitra lors des manifestations précédentes, sur la place Syntagma, l'a désormais quittée. "La violence de la police est telle lors de ces mouvements de protestation... A quoi ça sert ?" Mihail, lui, pense également au mois d'octobre, mais à une autre date. Le 9, celle de son aller simple pour Paris.

Flora Genoux

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Tournez vous vers nos gouvernements si vous cherchez des responsables, c'est eux qui ont inféodé la politique budgétaire des états aux marchés financiers, en ne gérant pas, en faisant des cadeaux, du clientélisme..etc. Ya pas de complot des financiers contre le reste du monde.

Le reste c'est de la pleurnicherie.

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Tournez vous vers nos gouvernements si vous cherchez des responsables, c'est eux qui ont inféodé la politique budgétaire des états aux marchés financiers, en ne gérant pas, en faisant des cadeaux, du clientélisme..etc. Ya pas de complot des financiers contre le reste du monde.

Le reste c'est de la pleurnicherie.

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L'état a toujours le choix car il légifère. Sans lois permettant la financiarisation de l'économie, pas de financiarisation possible. Le jour où le décloisonement des banques fut autorisé, les banques ont decloisoné. Et ainsi de suite.

Trois choses ici neutralisent la capacité d'analyse d'un état:

- incompétence,

- le lobby,

- l'impregnation mafieuse.

Maintenant, il y a des niveaux où il n'y a plus le choix et l'on se voit imposer le choix de l'extérieur:

- alliances comme l'UE où nous sommes imposé de transcrire dans le droit français des décisions communautaires. C'est une position choisie.

- faillite comme la Grèce. M Papandréou n'est pas venu s'assurer du soutien de la France. Il est venu prendre ses ordres.

Dans le dernier cas, il y a deux possibilités:

- rompre avec l'Euro ce qui créerait un choc immédiat, certes, mais une mise en cohérence de leur économie donc une solution.

- obéir aux directives étrangères et préparer l'avenir. Personne n'empêche la Grèce d'opérer des mutations internes pour améliorer son administration. A court terme, c'est neutre. A long terme, cela crée des effets de levier pour le retour à la croissance.

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Le 9 octobre sera le premier tour des primaires socialistes.

Si vous êtes pour ériger de nouveaux plus de barrières économiques aux portes de l'europe il me semble qu'il faut aller voter Montebourg, le seul à présenter cette orientation dans ce parti et un des rares sur tout l'échiquier. Bien que n'étant pas de gauche je pense aller voter, ca ne me paraît pas moralement répréhensible (Si ?, en fin bon j 'ai rien contre les grandes idées de gauche du style faut se faire des bisous partout )

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- l'impregnation mafieuse.

On peut voir la défense d'un clan, mais au vu de l'efficacité de la promotion sociale à la française (Ironie x1000, je précise ...), c'est la défense d'une caste entière.

On est donc bien au-delà d'une mafia, c'est un système d'ampleur avec un parti central, parisien et des barons qui tiennent les régions/localités. Aucun parti n'échappe à ce système, ce n'est pas un problème gauche/droite mais ça créé un fonctionnement qui mène à l'immobilisme et à la dépense publique accrue, donc à des déficits et des dettes qui font une perte de confiance, puis in fine une crise. (Bien sur d'autres éléments s'ajoutent comme la non existence d'un contrôle de la monnaie ou la désindustrialisation et le chômage de masse).

Le 9 octobre sera le premier tour des primaires socialistes.

et donc ? le 10 la crise est finie ? ou bien elle redouble d'intensité ?

C'est primaire, mais quel rapport avec la crise ?

Si vous êtes pour ériger de nouveaux plus de barrières économiques aux portes de l'europe il me semble qu'il faut aller voter Montebourg

:P  :P

La seule chose à laquelle "Mr je joue au chevalier blanc" peut s'intéresser, c'est lui-même ...

Ces "barrières économiques" sont aussi efficaces que pour ceux qui construisent des murs là où il faudrait des ponts.

Jouer sur la peur et penser que ces barrières nous protègeraient a pour seul efficacité de faire monter Mr Montebourg dans les sondages, de la même manière que le classiquement fait l'extrême droite.

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Si vous êtes pour ériger de nouveaux plus de barrières économiques aux portes de l'europe il me semble qu'il faut aller voter Montebourg...

Montebourg est un con. Il est à la gauche ce que Galouzeau de Villepin est à la droite. Un avocaillon narcissique qui ne fait de plaidoirie que pour lui-même et son ego.

Ah, et il est aussi à ses heures perdues le clone vocal de Jospin...  :lol:

Pas franchement la solution qu'on attend.

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sa a toujours été ,mais franchement là on devrait tous boycotter les élections en 2012 ... avec toute leurs putain d'affaire qui sorte ,que se soit gauche ,droite et tous les autres (il y en a un paquet de squelettes dans le placard ) ...

on peu se marrer des pays Africain ,mais ils ont eu de bon profs ...

il y a une crise ,mais j'y comprend plus rien ...

putain ,on est une putain de montgolfière qui arrive sur une montagne ,mais on refuse de balancer du lest (la Grèce et autres pays qui nous apporte rien )  pour éviter de se fracasser sur cette montagne ...

on dirait qu'ils sont comme le directeur de Tchernobyl ,qui se retrouve dépassé parce qu'il ne contrôle plus rien face à la bête ,se réacteur qui n'est plus une simple machine et qui se met à vivre ...

faudrait que tous ceux qui ont de bonnes idées (et qui sont mis sur le côté dans leurs parti ) et venant de tous les partis se réunissent et fondent un nouveau parti .

je suis .... désappointé ...

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faudrait que tous ceux qui ont de bonnes idées (et qui sont mis sur le côté dans leurs parti ) et venant de tous les partis se réunissent et fondent un nouveau parti .

Sauf... qu'ils seront pas d'accord  :lol:

Au fait le Modem il existe encore ce parti ?

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Montebourg est un con. Il est à la gauche ce que Galouzeau de Villepin est à la droite. Un avocaillon narcissique qui ne fait de plaidoirie que pour lui-même et son ego.

Ah, et il est aussi à ses heures perdues le clone vocal de Jospin...  :lol:

Pas franchement la solution qu'on attend.

Peut être est il idiot, mais ce n'est pas mon propos. Je répête l'idée, c'est qu'il est semble t-il un moyen de faire passer un peu les idées protectionnistes à gauche, pour ceux qui le souhaitent.

L'idée que Montebourg puisse représenter le PS est assez saugrenue à vrai dire : il n'a que 10% des intentions de votes (en hausse mais tout de même), le fait qu'il soit donc capable ou non d'être président m'importe peu personnellement.

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185% – L’énorme dette cachée de l’Allemagne… une bombe

2 octobre 2011

Tout n’est qu’apparence, tout n’est que mensonge! Cela résume plutôt bien la situation économique réelle et explique un peu à quel point nous en sommes en Europe. Les deux dernières puissances économiques seraient donc la France et l’Allemagne? Mais la France magouille pour garder son triple A et l’Allemagne est dans une situation plus qu’inconfortable, le niveau d’endettement étant abyssal (et bien caché au public). Maintenant, combien de temps vont tenir les mensonges à votre avis? Le passage à la réalité va être très dur pour certains…

«La vérité», titre le Handelsblatt qui coupe court à la présumée parcimonie de l’Etat allemand, des chiffres faramineux à l’appui. Officiellement, la dette allemande en 2011 est de 2 000 milliards d’euros. Mais ce n’est qu’une demi-vérité, car la majeur partie des dépenses prévues pour les retraités, les malades et les personnes dépendantes ne sont pas inclues dans le calcul. D’après des nouveaux chiffres, la véritable dette se chiffre en 5 000 milliards d’euros supplémentaires. L’Allemagne serait donc endettée à hauteur de 185 % de son produit intérieur brut et non pas 83 % comme officiellement annoncé. Par comparaison, la dette grecque devrait être de 186% du PIB en 2012, et la dette italienne est actuellement de 120%. Le seuil critique au-delà duquel la dette écrase la croissance est de 90%.

Depuis son arrivée au pouvoir en 2005, Angela Merkel, «a créé autant de nouvelles dettes que tous les chanceliers des quatre dernières décennies réunis», remarque l’économiste en chef du quotidien économique. «Ces 7 000 milliards d’euros sont un chèque sans provision que nous avons signé et que nos enfants et petits enfant devront payer.»

(SOURCE : « Handelsblatt », 23/09/2011 – Polemia)

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ouh ! si c'est vrai, le miracle allemand n'est pas si miraculeux, ils seraient aussi roublards que les grecs, ca leur correspond pas. :rolleyes:

les malades et les personnes dépendantes ne sont pas inclues dans le calcul.

la France ne le fait pas aussi ?

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et bien ,va falloir qu'ils bossent encore plus les Allemands ,et le départ à la retraite sa sera 80 ans ,juste le temps de finaliser les frais d'obsèques  ...

je me demande si les Allemands de la rue vont resté aussi discipliné face à se genre d'annonce ...

certes on est pas en bonne posture ... mais la dette Allemande que nous présente Perry ,sa casse la bonne image de comparaison qu'on arrête pas de nous citer en exemple ...

vont peut-être prendre leur distance les pays Nordique ...

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et bien ,va falloir qu'ils bossent encore plus les Allemands ,et le départ à la retraite sa sera 80 ans ,juste le temps de finaliser les frais d'obsèques  ...

À l'époque où la retraite fut fixée à 60-65 ans c'était justement le cas pour beaucoup de monde. Pourtant les gens cotisaient... pour leurs veuves.

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et bien ,va falloir qu'ils bossent encore plus les Allemands ,et le départ à la retraite sa sera 80 ans ,juste le temps de finaliser les frais d'obsèques ... je me demande si les Allemands de la rue vont resté aussi discipliné face à se genre d'annonce ... certes on est pas en bonne posture ... mais la dette Allemande que nous présente Perry ,sa casse la bonne image de comparaison qu'on arrête pas de nous citer en exemple ... vont peut-être prendre leur distance les pays Nordique ...

Faut pas se trompé malgré la propagande Sarkozyenne, l'age moyen de départ a la retraite en allemagne est de 62.5 ans, et avec seulement 35 ans de cotisation pour le taux plein ;) Les ages annoncés par Angela de 67 ans, le sont ceux nécessaire pour un départ a taux plein avec une carriere incomplete et ne seront mise en oeuvre que dans loooonnnnngtemps. Sont pas plus cons que les autres les allemands, ils essayent aussi de partir a la retraite avant d'etre mort ;)

À l'époque où la retraite fut fixée à 60-65 ans c'était justement le cas pour beaucoup de monde. Pourtant les gens cotisaient... pour leurs veuves.

Euh la reversion du régime général est tres encadré ... faut etre pas bien riche pour y avoir le droit, c'est plafonné pas beaucoup au dessus du smic et le patrimoine entre dans le calcul, c'est pareil en Allemagne... Il n'y a qu'avec l'apparition de retraite complémentaire par capitalisation qu'une reversion viagere s'est généralisé.

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T'as pas compris mon propos. Quand on instaura l'âge de la retraite à 60-65 les gens mourraient à quel âge ? Ils profitaient de leur retraite combien d'années ?

en principe et en moyenne : 1 an

Age moyen de la retraite mise en place par Bismarck : 60 ans

durée de vie moyenne : 61 ans

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