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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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Je prends un exemple : il n'y a pas (ou peu) de liaisons ferroviaires entre les pays africains car chaque pays à développé (ou hérité de la colonisation) un réseau ferroviaire exclusivement interne : les chinois sont très intéressé à étendre les réseaux férrés, à les relier entre eux et les rendre compatible afin d'éviter d'utiliser les routes....

Dans le même ordre d'idée : l'article d'aujourd'hui de meretmarine.com (http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=118571)

"Avec moins de 2% des manutentions conteneurisées planétaires, l'espace portuaire subsaharien reste encore à conquérir. Les connections maritimes avec l'Asie mettent en avant de nouvelles dynamiques portuaires avec des investisseurs prêts à moderniser les équipements pour soutenir l'intégration des économies subsahariennes dans les réseaux logistiques et productifs mondiaux."

Mais pour ça, il faut que les pays coopérent entre eux sur le plan de la logistique,  des infrastructures, de la douane, etc... 

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Je suis d'accord, je voulais juste dire qu’ils ont déjà du mal a "intra" coopérer.

Aussi les chinois, ou autres, ne le font pas par bonté d'ame et font même venir leur propre main d'œuvre.

Ce n’est pas ce qu'on fait de mieux pour le développement de ces pays.

Apres, il y a des années qu'on dit que le potentiel est énorme, mais ce sont ceux venu le chercher de l'extérieur du continent qui en profite.

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Le chomage est à 22,85 % en Espagne. Il n'y a quasiment plus de travail pour les jeunes. Vraiment inquiétant.

Pourtant ca fait des années qu'ils appliquent les solutions dites "vertueuses" et "realistes". Les salaires y sont parmis les plus bas de l'U.E. Si ca peut faire réfléchir les monomaniaques de la compétitivité par les salaires.  :P

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Mais est-ce qu'un pays saurait tourner avec un chômage à 20% voire plus (car à mon avis le pire est clairement à venir) ? Si on réforme le fonctionnement du pays (fiscalité, etc.) est-ce qu'on sait avoir un pays efficient avec seulement une part de la population au travail et subvenir aux besoins de ceux qui n'ont pas de travail ?

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Oui principalement grâce aux aides ou la famille, c'est elle qui dans la majorité des cas vient en aide pour les pays méditerranéens, la situation de l’Espagne est spécifique car le niveau de vie des travailleurs est faible du coup c'est plus dure pour les chômeurs de vivre de l'aide de leur famille, on  ne retrouve pas cette situation en Italie ou l'aide de la famille plus le travaille au noir permet au chômeurs de mieux vivre.

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Faut que j’arrête de regarder la T.V.

Mes oreilles saignent à chaque fois que j'entends N Doze ou J.M Sylvestre. Ils presentent leurs opinions personnelles, car c'est de cela qu'il s'agit, comme une verité scientifique comme si les alternatives n'existent pas. Plus les chiffres en Europe leur donnent tort et plus ils continuent.

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Mouais... C'est un système "gris" (travail au noir qui est justement combattu très fortement en France et en Belgique... même si ça reste un sport national) qui n'offre pas vraiment de perspectives. 

Oui tout à fait, cela devient souvent le seul moyen de subsistance en cas de chômage très élevé, aide de la famille plus travail au noir, d'ailleurs ce dernier est souvent une conséquence du chômage, ou plus rarement une cause, comme en Italie ou beaucoup de chômeurs ont en fait un travail mais dans l'économie parallèle en bossant pour la mafia.

C'est combattu, seulement l'état sait aussi que c'est la manière qu'ont une partie des gens pour (sur)vivre, du coup ce n'est pas tellement combattu ou cela dépend des secteurs, par exemple dans le BTP il y a un certain laissé faire, sinon il n'y aurait pas de main d’œuvre sur les chantiers et les gens qui travaillent dessus seraient à la rue, puis rien n’empêche les gens de vivre de petits boulots (tondre les pelouses, faire de la peinture ou des petites réparations etc.), sinon les gens au chômage ne pourraient vraiment pas vivre, du coup il y a une sorte d'accord tacite.

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J'ai envoyé un mail à ITélé pour leur reclamer de l'impartialité. Sans trop me faire d'illusion.

J'ai été poli et je me suis retenu de proposer a Jean Marc Sylvestre de commencer par baisser son salaire a lui. Qu'il le baisse à son niveau de production c'est à dire pas grand chose. Et après qu'il n'oublies pas de se soigner sans rien demander à la secu. Logique vu que ces institutions tellement "populistes et demagos", comme la couverture sociale, c'est le mal. Mais je me suis retenu. Calme, caaalme.. O0

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La TVA va donc passer de 19,6 à 21,2%. Selon le blog du journaliste du Monde Arnaud Leparmentier, "Elysée côté jardin", Nicolas Sarkozy a prévu d'annoncer lors de sa prestation télévisuelle de dimanche soir une hausse de la TVA de 1,6 point.

http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20120128trib000680978/dimanche-soir-sarkozy-compte-battre-le-record-francais-du-taux-de-tva.html

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Comment le président français peut décider de dévaluer l'Euro ? De toute façon d'autres mesures vont devoir être prises, comme un retour à un certain protectionnisme, fin des cadeaux fiscaux, mise au pas de sociétés voyoux (Total & Consort), etc.

Kiri, lis l'article en entier, http://strategies.blogs.challenges.fr/archive/2012/01/23/bosser-ou-devaluer.html

mais je crois que dévaluer veut dire quitter l'€.  ;)

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Pour ce qui s'est passé à Davos c'est finalement ce que la France a refusé de voir : elle n'est plus une puissance dimensionnante mondiale. Tout est à reconstruire.

D'autres construisent plus vite que nous ...

Nous, on surnage en espérant ne pas couler, c'est tout.  :-[

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Ou que tout est à construire, contrairement à nous.

Il faut voir ça aussi, il ont une économie à monter de toute pièces chez eux, donc forcément un jour il se mettront à stagner comme nous, notre principale probléme est que notre économie est une des plus avancée au monde avec l’Angleterre et les USA, on aura du mal à aller plus loin, même l’Allemagne n'est pas aussi mature que nous, un jour eux aussi leur économie stagnera comme chez nous.

Du coup il est intéressant de voir ce qu'il se passe au USA, car notre économie d'ici quelques temps suivra le même chemin, c'est pour cela que regarder des économies comme celle de l’Allemagne n'est pas forcément utile car c'est regarder vers un passé que nous ne pouvons retrouver.

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Ou que tout est à construire, contrairement à nous.

Il faut voir ça aussi, il ont une économie à monter de toute pièces chez eux, donc forcément un jour il se mettront à stagner comme nous, notre principale probléme est que notre économie est une des plus avancée au monde avec l’Angleterre et les USA, on aura du mal à aller plus loin, même l’Allemagne n'est pas aussi mature que nous, un jour eux aussi leur économie stagnera comme chez nous.

Du coup il est intéressant de voir ce qu'il se passe au USA, car notre économie d'ici quelques temps suivra le même chemin, c'est pour cela que regarder des économies comme celle de l’Allemagne n'est pas forcément utile car c'est regarder vers un passé que nous ne pouvons retrouver.

Drakene, sort de ton centre-ville bordelais pour aller constater que la ruralité française est délaissée d'infrastructures (sauf autoroutes et lignes TGV  :lol:).

Avec une croissance démographique accrue et une meilleure occupation du territoire, on aurait une croissance à deux chiffres.

Les USA (y as-tu mis les pieds ?), c'est pire. D'ailleurs, dans leurs métropoles, les infrastructures sont vétustes donc à reconstruire.

Cela nécessite des investissements et une présence de l'état, le problème actuel c'est que l'état US est en faillite et que la mentalité US implique moins d'état.

Avec tout cela, les US ont eu constamment plus de croissance que nous (sauf au premier semestre 2009).

Dans une économie, la croissance ne vient pas que des infrastructures mais c'est un élément clef. D'ailleurs la Chine construit plus d'autoroutes qu'elle n'en a besoin.

L'autre élément clef est l'innovation (autant technologique que marketing d'ailleurs).

Comment peut-on prétendre ou laisser à penser que l'on soit arrivé au bout en la matière et donc que l'on va stagno-regresser ?

Juste un élément, façon "road map" électronique : compares la largeur des pistes électroniques actuelles dans l'électronique grand publique (smartphones, tablettes, PC, ... ) à celle mis en œuvre dans les labo de recherche, tu comprendras que l'on a encore pas mal d'années (voire de décennies) d'innovations à venir. Le marketing trouvera une utilité à la vertigineuse puissance de calcul que cela impliquera  :oops:

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http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/01/29/l-austerite-est-suicidaire_1635166_3232.html

Philippe Askenazy est directeur de recherche au CNRS, professeur à l'Ecole d'économie de Paris et chroniqueur au Monde. Il a notamment publié Les Décennies aveugles (Seuil, 2011), analyse décapante sur l'emploi et la croissance en France entre 1970 et 2010. Entretien, alors que la France compte depuis novembre 2011 plus de 3 millions de chômeurs sans aucune activité.

Existerait-il une malédiction française qui nous condamnerait au chômage de masse ? Dans les situations de crise, il n'y a pas de malédiction française. Le chômage est bien plus bas en France qu'en Espagne ou en Irlande. En 2011, il a été comparable à celui des Etats-Unis ou du Royaume-Uni. Dans les moments difficiles, la France est dans la moyenne. Là où le bât blesse, c'est qu'en phase de reprise économique, elle ne sait pas créer assez d'emplois - ou réduire suffisamment le chômage - pour offrir un temps de respiration à la société, c'est-à-dire un niveau de chômage socialement acceptable. C'est en cela que la France se distingue de la plupart des pays européens. Le chômage reste donc tout en haut de l'agenda politique et des préoccupations des Français.

Comment expliquez-vous cette incapacité à créer de l'emploi ? Le point de vue que je soutiens dans Les Décennies aveugles, c'est que nous n'avons pas eu la chance d'élire ou pas su élire des dirigeants avec une vision de long terme. Une telle vision n'aboutit pas à une absence permanente de chômage ou à une croissance économique continue, mais elle permet à la société de respirer. Ainsi, aux Etats-Unis, la nouvelle économie de Bill Clinton procédait d'une vision. C'était vrai aussi de l'ultralibéralisme de Margaret Thatcher, tout orienté vers la mise en place d'une industrie financière à la City.

Les dirigeants politiques français ont été enfermés dans des visions à court terme. Nombre d'entrepreneurs et experts dominants sont prisonniers de leurs a priori, ou ne parviennent pas à faire passer les messages au niveau supérieur de la décision publique. Le modèle français de planification, adapté à un monde prévisible, n'a pas de successeur dans un environnement économique mondialisé en recomposition permanente.

Que pensez-vous du modèle allemand, qui privilégie la précarité et la compression des salaires, notamment dans les services ? L'Allemagne a un modèle industriel et un modèle d'économie de service. C'est un pays exportateur et son mercantilisme a toujours été présent. Mais le choix de le développer sur des niches technologiques s'est renforcé après la réunification. La réussite de l'industrie manufacturière allemande est le fruit d'une construction stratégique mise en oeuvre dans les années 1990, à partir de deux éléments : l'innovation, et l'usage de l'Europe de l'Est comme moyen de segmenter la chaîne productive. La Finlande a fait de même avec les pays baltes.

Mais ne nous méprenons pas ! Ce modèle industriel et son efficacité ne sont pas le résultat de la politique de Schröder, qui est venue après-coup. Schröder I (1998-2002) a réduit la précarité. Schröder II (2002-2005), face à un chômage endémique, a tenté ce que ses économistes préconisaient : flexibiliser. Le nombre d'heures travaillées en Allemagne n'a pas augmenté. Mais au lieu d'avoir une employée à temps plein, on en a eu trois à temps très partiel, pauvres. C'est un choix de société. Cette politique n'explique pas les performances de l'Allemagne exportatrice, mais elle explique un taux de chômage plus bas.

Le coût du travail est-il trop élevé en France face à l'Allemagne ? Le décrochage français par rapport à l'Allemagne dans l'industrie manufacturière ne s'explique pas par le coût du travail. La TVA sociale ne cible pas les bonnes questions. De même, on se trompe de débat sur le temps de travail. On ne se concentre pas sur des questions plus essentielles pour créer des emplois.

Réindustrialiser la France en est-elle une ? Il y a une valeur politique, sociale, quasi psychologique à produire en France. Le monde ouvrier est idéalisé. De plus, les industries les plus touchées sont localisées sur l'arc est français. Il y a donc là aussi un problème territorial. Chaque année depuis trente ans, la France perd 70 000 emplois industriels. On ne pourrait en sauver qu'environ 15 000 qui soient compétitifs. Construire ou reconstruire une politique manufacturière est légitime en France, mais cela ne réglera pas la question du chômage de masse.

Quel bilan faites-vous, dans le domaine de l'emploi, du mandat de Nicolas Sarkozy ? Nous venions de loin, d'une situation de décomposition de la politique de l'emploi sous le gouvernement Villepin avec des choix honteux : il a créé le contrat nouvelle embauche (CNE), manifestement contraire aux conventions internationales du Bureau international du travail, et trafiqué les statistiques du chômage en bloquant les chiffres de l'Insee, qui montraient une détérioration, ne gardant que les chiffres avantageux de l'ANPE dus à des radiations massives.

Sarkozy a d'abord joué de malchance. Avec la crise, la loi TEPA (travail, emploi et pouvoir d'achat, le "paquet fiscal" adopté en août 2007) s'est transformée en absurdité. A un moment où la durée du travail baissait partout, elle a stimulé les heures supplémentaires. Malgré la crise, Sarkozy s'est obstiné. Il n'a pas eu suffisamment de réactivité.

En outre, ses grandes réformes (les retraites et la loi TEPA) ont été machistes. Dans l'entreprise, par exemple, il est moins coûteux de donner des heures supplémentaires aux hommes que de proposer des temps pleins à des femmes en temps partiel contraint qui, elles, ont vraiment besoin de travailler plus. Au sein des ménages, les heures supplémentaires TEPA sont défiscalisées pour monsieur. Si madame passe à temps plein, ses heures sont fiscalisées. Cette politique, qui n'a pas été pensée, a accru les inégalités hommes-femmes.

Quelles doivent être les priorités du prochain gouvernement ? La situation s'est clairement dégradée. On a déjà un million de chômeurs de plus et de nombreux chômeurs en fin de droits. Les dispositifs pour l'emploi ne peuvent qu'aider à lisser la hausse du chômage, à en limiter les conséquences sociales. L'urgence est macroéconomique. Il faut en finir avec la politique européenne suicidaire de l'austérité. Quand on s'apercevra que les Etats-Unis sortent lentement mais sûrement de la crise et que, en revanche, les perspectives de croissance en Allemagne s'écroulent (dès l'automne, le chômage risque d'y augmenter), quand toute l'Europe sera en récession hormis peut-être la Grande-Bretagne, on comprendra qu'il faut avoir une politique alternative. Cela ne veut pas dire faire du déficit pour faire du déficit, mais soutenir les consommateurs modestes, les classes moyennes, embaucher dans les services publics où, avec une population française sans cesse croissante, il y a des besoins considérables dans la santé, la justice, etc. Avec ses 60 000 créations de postes dans l'éducation, François Hollande est bien timide !

Le gouvernement Fillon a supprimé près de 150 000 emplois publics. Qu'est-ce que cela a fait pour dynamiser l'économie française ou réduire le déficit ? Rien. L'emploi public coûte souvent moins cher que l'accumulation de dispositifs pour l'emploi, en particulier tous ceux qui ont cherché, depuis la généralisation des allégements de cotisations patronales en 2003, à réduire le coût du travail. Ce sont ces coups d'épée dans l'eau à 10 milliards d'euros par an ou la chute de l'imposition sur les hauts patrimoines qui plombent les finances publiques.

Que faire pour les seniors ? Du fait d'une démocratisation scolaire tardive, la France est dans une phase transitoire. Le problème des seniors, c'est leur (dé) qualification et leur usure. Il faut faire en sorte que les quadras d'aujourd'hui ne se déqualifient pas. Et que les plus âgés aient des postes de travail adaptés, faute de quoi l'explosion actuelle de l'inaptitude professionnelle se poursuivra. La "rigidité" du marché du travail n'explique pas le comportement des employeurs. J'en veux pour preuve les CDD seniors créés en 2006, censés l'atténuer : les entreprises ne les utilisent pas.

Que vous inspire le contrat de génération de François Hollande pour aider l'emploi des jeunes et des seniors ? Partons du principe qu'il suscite une certaine attente. Et évitons les écueils passés, comme le zéro charge pour l'embauche de jeunes, avec ses effets d'aubaine massifs sans stimuler l'emploi. Faisons un contrat de génération qui soit un progrès pour les salariés. Donc qui offre un emploi de qualité avec une rémunération décente, des conditions de travail soutenables et, éventuellement, cette protection partielle que peut représenter un CDI. Idem pour les seniors. Pourquoi ne pas donner aux partenaires sociaux la charge d'essayer d'en définir les critères ?

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Arrettez d'essayer de foutre encore plus de platre sur la jambe de bois et de croire qu'avec ça on va courir.

Faut tailler dans les dépenses non régaliennes, toujours plus optimiser le fonctionnement de l'adminiseration et des sociaux, limiter les prélèvements obligatoires et donner une partie du fric aux gens en salaire net, le reste allant au remboursement des crédits, limiter la paperasse, simplifier, supprimer 90% règlements et contraintes, etc...

Question d'éfficacité et de Liberté.

Il y a PAS de martingales, c'est inévitable si on veux rester dans la course.

Il y a suffisament a discuter sur comment faire ça bien, mais avant faudrait se mettre d'accord sur ce programme et arretter de se chercher des excuses pour rien faire ou des stats bidon qui nous expliquent que tout va bien en dépit du bon sens le plus élémentaire.

Bien sur que l'austérité fait baisser la croissance, et bien sur qu'une baisse de la croissance fait baisser les rentrées fiscales. Le tout c'est que les frais fixes baissent plus vite que la baisse des rentrées fiscales.

Quand on vit au dessus de ses moyens il faut soit augmenter ses moyens, soit baisser son niveau de vie correct ?

Alors bien sur il y a des surdoués qui vont nous dire qu'il vaut mieux augmenter ses moyens...  :rolleyes:  Bravo, génial, pourquoi on y avait pas pensé avant! et maintenant comment on fait ? ça se décrète PAS et augmenter les taxes si ça enrichit temporairement et a court terme l'état, ça apauvrit la nation.

Par contre tailler dans le niveau de vie, on sait a peut pret comment faire.

Donc entre une incantation fumeuse et incantatoire du genre "faut augmenter ses moyens" et une option douloureuse mais réaliste: "faut baisser son train de vie", vous choisissez quoi pour qu'on arrette de vivre au dessus de nos moyen ? vous attendez que le banquier nous coupe les vivres pour décider dans la panique pour la deuxieme solution sans avoir la moindre marge de manoeuvre ? bon ben alors le plus tot sera le mieux: vivement la banqueroute de l'état et des sociaux.

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Arrettez d'essayer de foutre encore plus de platre sur la jambe de bois et de croire qu'avec ça on va courir.

Faut tailler dans les dépenses non régaliennes, toujours plus optimiser le fonctionnement de l'adminiseration et des sociaux, limiter les prélèvements obligatoires et donner une partie du fric aux gens en salaire net, le reste allant au remboursement des crédits, limiter la paperasse, simplifier, supprimer 90% règlements et contraintes, etc...

Question d'éfficacité et de Liberté.

Il y a PAS de martingales, c'est inévitable si on veux rester dans la course.

Il y a suffisament a discuter sur comment faire ça bien, mais avant faudrait se mettre d'accord sur ce programme et arretter de se chercher des excuses pour rien faire ou des stats bidon qui nous expliquent que tout va bien en dépit du bon sens le plus élémentaire.

Bien sur que l'austérité fait baisser la croissance, et bien sur qu'une baisse de la croissance fait baisser les rentrées fiscales. Le tout c'est que les frais fixes baissent plus vite que la baisse des rentrées fiscales.

Quand on vit au dessus de ses moyens il faut soit augmenter ses moyens, soit baisser son niveau de vie correct ?

Alors bien sur il y a des surdoués qui vont nous dire qu'il vaut mieux augmenter ses moyens...  :rolleyes:  Bravo, génial, pourquoi on y avait pas pensé avant! et maintenant comment on fait ? ça se décrète PAS et augmenter les taxes si ça enrichit temporairement et a court terme l'état, ça apauvrit la nation.

Par contre tailler dans le niveau de vie, on sait a peut pret comment faire.

Donc entre une incantation fumeuse et incantatoire du genre "faut augmenter ses moyens" et une option douloureuse mais réaliste: "faut baisser son train de vie", vous choisissez quoi pour qu'on arrette de vivre au dessus de nos moyen ? vous attendez que le banquier nous coupe les vivres pour décider dans la panique pour la deuxieme solution sans avoir la moindre marge de manoeuvre ? bon ben alors le plus tot sera le mieux: vivement la banqueroute de l'état et des sociaux.

J'ai une simple question. D'ou viendra l'augmentation des ventes si tout le monde se serre sa ceinture ?

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Drakene, sort de ton centre-ville bordelais pour aller constater que la ruralité française est délaissée d'infrastructures (sauf autoroutes et lignes TGV  :lol:).

Avec une croissance démographique accrue et une meilleure occupation du territoire, on aurait une croissance à deux chiffres.

Les USA (y as-tu mis les pieds ?), c'est pire. D'ailleurs, dans leurs métropoles, les infrastructures sont vétustes donc à reconstruire.

Cela nécessite des investissements et une présence de l'état, le problème actuel c'est que l'état US est en faillite et que la mentalité US implique moins d'état.

Avec tout cela, les US ont eu constamment plus de croissance que nous (sauf au premier semestre 2009).

Dans une économie, la croissance ne vient pas que des infrastructures mais c'est un élément clef. D'ailleurs la Chine construit plus d'autoroutes qu'elle n'en a besoin.

L'autre élément clef est l'innovation (autant technologique que marketing d'ailleurs).

Comment peut-on prétendre ou laisser à penser que l'on soit arrivé au bout en la matière et donc que l'on va stagno-regresser ?

Juste un élément, façon "road map" électronique : compares la largeur des pistes électroniques actuelles dans l'électronique grand publique (smartphones, tablettes, PC, ... ) à celle mis en œuvre dans les labo de recherche, tu comprendras que l'on a encore pas mal d'années (voire de décennies) d'innovations à venir. Le marketing trouvera une utilité à la vertigineuse puissance de calcul que cela impliquera  :oops:

Qu'est ce que je dis, on suit l'évolution USA à fond les ballons, plus ça vas moins nos routes seront bien entretenues, comme au USA avec des nids de poules et des routes craquelées etc.

Les priorités de l'aménagement ont changées et le manque de fonds fait que l'on se concentre sur certain projet et plus sur une ville ou une région entière.

Chez nous très peu de choses restent à faire, à tel point que l'on abandonne carrément certaines infrastructures qui ont été construites dans un moment d'abondance et sans réel utilité.

La Chine fera comme nous un jour en délaissant certaine de ces dernières car construites à la vas vite.

Les infrastructures représentent un moyen de booster sa croissance pour tout pays qui en sont faiblement pourvus, forcément pendant plusieurs années cela donnera du travail à beaucoup de monde et permettra à des régions de se développer, cela déclenche un effet dominos.

Seulement une fois que toutes les régions sont pourvues et se sont développées on en arrive au stade ou nous en sommes, ou l'on ne peut plus se reposer seulement sur la construction d'un pays et d'une économie moderne, la seule chose qu'il nous reste c'est utiliser à bon escient ce dont on dispose déjà et innover.

Nous on est bon pour utiliser ce dont on dispose déjà à travers le tourisme, les USA eux sont meilleurs dans l'innovation temps mieux pour eux, nous on est un peu faible de ce coté là, en optimisant l'innovation on pourrait largement s'en sortir.

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