rodac

Ou une plus grosse turbine, ou encore une encore encore plus grosse turbine pour fournir suffisamment d’électricité, notamment pour la mobilité.

Je ne vois que la capacité à fabriquer et à vendre (ce qui est beaucoup) ainsi que la motorisation (par forfait de la partie française sans rupture technologique) où l’Allemagne pourrait prétendre à être chef de file.

Que ce soit Indra ou Airbus SP, le montant de la participation espagnole (effective) s’élevant à un tiers, relève autant du vœu pieux que de la haute prospective.

Airbus Défense c’est donc Airbus Allemagne ? c’est donc Airbus. On peut penser qu’ Airbus veillera au grain et que la partie dont Airbus Espagne pourrait se délester, sera partagée équitablement entre Airbus Allemagne et Airbus France. Il n’y a pas de raison.

Of course. Pour le travail. Mais pour les annonces officielles il aurait été séant quelles fussent dans les langues de chaque pays concerné.

Je ne suis pas sûr que les allemands et les espagnols aient ou auraient fait preuve d’une telle élégance mais je peux me tromper. A vérifier.

Ce n’est pas sur qu’il n’est pas convaincu pour des raisons techniques.

Je crois que SOFRAME était chargé de l’intégration mécanique du système sur un camion et l’aménagement de la cabine, la pièce, le système de pointage et la bêche c’est GIAT-NEXTER.

Trouver un nom pour un chasseur c’est pas de la tarte surtout s’il est bon. le Bouchonois ça sonne bien. Je sais je regarde trop la télé.

Dans un documentaire d’origine anglo-saxonne, il est évoqué la possibilité pour les porte-avions nucléaires américains d’utiliser la génération électrique pour la fabrication de carburant synthétique pour les aéronefs accroissant ainsi leur autonomie. Est-ce une voie envisageable ?

Soit un fort courant anti-français, ne nous faisons pas d’illusion.

C’est à dire de bloquer un peu plus, des fois qu’on aurait pas compris.

Il est bon de rappeler le contexte qui explique entre autre pourquoi l’industriel ne peut répondre aussi vite aux demandes des politiques et des militaires et qui est de surcroît emblématique car pouvant s’appliquer à d’autres secteurs.

Si je peux me permettre encore, voilà deux réponses qui résument bien la situation. Je crois savoir que certaines écoles et non des moindres possèdent des ateliers d’usinage avec bien entendu des machines traditionnelles (manuelles ?).

Si je peux me permettre, je souscris à cela.

Si un canon de qualité ou moderne fait le boulot de plusieurs canons de moindre qualité alors l’impact sur la logistique ne fait-il pas pencher en faveur du premier, sans parler du personnel pour sa mise en œuvre ? N’est-ce pas le nombre produit qui fait qu’il est industrialisé ou qu’au moins on s’y attelle ? Je ne pense pas que l’utilisation de machines à commande numérique suffise à résoudre le problème de qualification des opérateurs. Cela se saurait.

Et en plus on reconnaît bien la tour de contrôle. Il paraît qu’elle penche.

C’est vrai il fait un peu peur. Peut-être à ses occupants aussi. Le côté brut peut être sympa si c’est harmonieux et bien proportionné. Ce qui me gêne c’est le porte à faux avant. Mais il a certainement son utilité.

Si effectivement ces deux entreprises trouvaient un accord, ce qui ne serait qu’un début, il ne faut pas oublier que le SCAF n’est qu’un programme de coopération parmi d’autres même si extrêmement symbolique et pourrait faire croire que l’Allemagne fait des concessions, ce qui est tout le contraire et ce pour faire passer la pilule sur tout le reste. Il ne faut rien lâcher sinon on va se retrouver avec des programmes qui n’auront d’européen que leur partie allemande comme on peut s’en rendre compte avec l’EURODRONE.

L’architecture doit être aussi dictée par la volonté de garder le puit de tourelle de la caisse.

Rien sur la caisse ? Il aurait gagné à être plus court.

On est bien d’accord.

Non pas tous azimuts justement. Et il est vrai que la France focalise certains ressentiments notamment une prétention à être le chef de file de l’Europe moins en rapport avec sa puissance économique et industrielle que peut l’être celle de l’Allemagne.

On a là l’illustration de la conception allemande de La Défense Européenne. L’Allemagne et quelques autres et les E.U. bien sur. Point de participation française susceptible de la contrarier ou de la contrecarrer. Les précédents dans le désordre : l’Eurodrone, le MAWS, le Tigre, le MGCS, le SCAF etc… Qu’attend-t-on pour arrêter les frais pour les programmes en gestation ? Il se dit que l’Allemagne tient là sa revanche. De quoi ? Le sujet est vaste et multiple. Dont acte.