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Rivelo

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Tout ce qui a été posté par Rivelo

  1. Rivelo

    Marine Grecque

    C'était effectivement encore le cas cette année sur la maquette de FTI exposée sur le stand Naval Group. C'était d'ailleurs la seule différence avec la maquette de "notre" FTI exposée elle sur le stand du ministère de la Défense. Pas de brouilleur en diagonal pas d'artillerie secondaire sur l'arrière, pas de version allongée non plus... Comparé au show d'il y a deux ans pour le lancement, c'était service minimum. Visiblement, les vrais discussions avaient lieu dans les espaces VIP gardés par les vigiles
  2. Tu as raison Je reformule : la différence, c'est que la perche est représentée de manière axiale, sur le nez, pas décalée sur la droite. Pour la motorisation, c'est dit et répété que ce serait la même que la version civile (pour simplifier le MCO etc...) Pour le poids à vide, cela dépendra du blindage et des équipements additionnels. Il n'y avait pas de chiffre indiqué. Mon interlocuteur n'avait pas l'info non plus.
  3. Je n'ai pas la réponse non plus. Sur le stand, il y avait des infographies avec différents scénarios d'utilisation de cette fenêtre latérale : fenêtre ouverte avec 12,7mm ou fusil, "porte" ouverte (démontée ?) avec canon 20mm. Je n'ai pas fait attention si dans certains cas la fenêtre était à moitié ouverte (ce qui pourrait expliquer la présence d'un montant ?). D'autres petites infos glanées : - sur une base commune, il y aura plusieurs variantes (marine, armée de terre, armée de l'air). Cela jouera sur le niveau de blindage (AdT), les équipements additionnels (treuil, perche de ravitaillement, missile ANL ou pod canon, optronique...). - le délai suite à la LPM (2028 au lieu de 2025) est mis à profit pour étudier soigneusement les modification à apporter au modèle civil : modifications cellule (le moins possible, mais on voit que la portière a déjà été modifiée), étude problèmes corrosion (retour expérience NH 90) ou usure prématurée moteur (retour expérience Sahel)... - la perche de ravitaillement des modèles de l'armée de l'air serait fixée "sur le nez", dans l'axe (et pas au dessus de la cabine comme sur les Caracals)
  4. Je me demande comment les canadiens vont boucler leur financement. Leur budget était assez contraint, c'est un peu étonnant qu'ils partent sur un navire aussi gros / cher. A moins que, comme les British (et comme aujourd'hui en fait) ils différencient leur flotte de rang 1 ?
  5. Modeste contribution à ce (très) intéressant débat, d'un point de vue extérieur. Sur l'eau, et dans l'air cette révolution en cours du missile, des moyens aéronautiques et de détection à distance a eu lieu plus tôt, du fait que les bâtiments ou les avions sont dans un espace "à découvert". Cela arrive aujourd'hui dans l'armée de terre car la techno (drones, moyens de détection courte portée...) permettent / vont permettre de s'affranchir des différents obstacles résiduels (couvert végétal, collines, camouflages...) grâce aux systèmes de drones à très basse altitude, les capteurs optiques/IR champ large exploités par IA etc... d'une part et la létalité des missiles d'autre part, qui rend secondaire le canon. Sans faire de futurologie à deux balles, on peut penser que le combat sur terre va suivre le même genre d'évolution : développement du combat beyond visual range, prédominance des vecteurs de combat lance-missile (capables de détruire la force ennemie avant même qu'elle soit en position de tir canon), rôle critique de la guerre électronique face à un adversaire "symétrique" pour tromper ou neutraliser ses systèmes de détection pour "entrer en premier" et détecter les l'activité des vecteurs ennemis. Cela laisserait penser que à moyen terme, il ne faudrait pas avoir un 140mm en priorité, mais avoir une force capable de détecter le T14 et ses VCI d'accompagnement hors de portée de vue et les détruire avec des MMP ou une de ses variantes, façon Rafale/Mica/Météor (dans l'air) ou Fremm/Exocet (sur l'eau). Sans doute dans un combat réseau-centré à la Scorpion, ce qui veut dire que les capteurs et les effecteurs ne sont pas forcément sur le même véhicule. Le char de bataille devrait dans ce cas pouvoir emporter un grand nombre de missiles (une douzaine au moins ?) et un canon pour l'auto-défense et comme dernier recours. Blindé comme c'était dit plus haut pour être protégé contre une mauvaise rencontre contre une automitrailleuse improvisée ou pas mais pas plus. Architecturé pour laisser une chance à son équipage en cas de mine/IED/impact missile (là aussi on peut faire le parallèle avec l'architecture navale qui ne cherche plus à "cuirasser" les navires mais à protéger les centres vitaux et redonder le reste). Gardant comme de coutume dans la cavalerie une très bonne mobilité. Et pour le combat urbain (potentiellement au contact), on pourrait imaginer un véhicule différent optimisé pour cet usage spécifiquement, façon "Terminator", très lourdement protégé, équipé pour percer son chemin dans des ruines, avec des armes à fort débattement et des protections ad-hoc. La mobilité étant dans ce cas assez secondaire.
  6. +1 Ce serait la solution la plus évidente. Dissuasive (c'est le but sur un patrouilleur hauturier), polyvalente, simple en termes de gestion de munition (on s'éviterait de s'imposer un nouveau calibre), peu ou pas de risque projet... Dans les zones où le POM évoluera, un canon de ce genre assimilerait le bâtiment à une petite frégate genre Aviso. Avec des 20mm manuels ou un Narwhal en complément, potentiellement quelques missiles amovibles et autres armements portatifs apportés par les commandos lorsqu'ils sont embarqués (prévoir cette fois une soute à munitions ad-hoc), un jet d'eau dans la catégorie non létal, ce serait top. Le seul potentiel obstacle (outre les qq millions de budget), ce serait si l'équipage est trop réduit pour avoir un artilleur qualifié sur 76mm. Là, ce serait la tuile. Je crains que la distinction entre POM et PHM se joue aussi sur ce genre de "détail". Let's see...
  7. Rivelo

    L'Inde

    Il ne cherche pas à protéger sa compagne, il cherche à éviter de se retrouver engluer dans un scandale mediatico-politique à la sauce Mediapart alors qu'il tente un come back politique. Julie Gayet ne risque rien du tout (comme tu l'as bien décrit, il n'y a rien d'illégal à ce que une boite de production de cinéma finance un film). Pour ce qui aurait un doute sur les motivations de l'ex-président, voir par exemple l'article du Monde ce matin (https://www.lemonde.fr/politique/article/2018/09/23/francois-hollande-critique-emmanuel-macron-et-ses-comportements-excessifs_5359092_823448.html) qui rapporte ses propos devant des militants socialistes (il s'interroge à voix haute pour savoir "Qui peut prendre la place ?" de Macron...).
  8. Evolution sans doute persistante, d'autant plus que c'est un retour aux sources pour les Etats-Unis, qui traditionnellement ont eu une approche isolationniste et protectionniste dans leur histoire (doctrine Monroe, ...). C'est pour cela que Trump sur ce plan est entendu par l'Amérique profonde. On oublie vite mais les US, au début de la première guerre mondiale et même au début de la deuxième guerre mondiale, ont beaucoup hésité à s'impliquer dans ce rôle de gendarme du monde. Ce sont des événements extérieurs (pertes collatérales civiles, attaque surprise des japonais, attaque terroriste de 2001...) qui ont à chaque fois fait basculer une opinion publique incertaine. La période récente de guerre froide est une exception historique et, dans le Midwest, on applaudit à deux mains Trump lorsqu'il clame que les US ne peuvent pas / doivent pas continuer à défendre "gratuitement" l'Europe, la Corée du Sud ou le Japon. Pareil sur le plan économique, les US depuis la guerre de sécession avait tranché en faveur d'une politique protégeant le marché intérieur et favorisant le développement industriel local. On vit une époque charnière intéressante d'un point de vue historique ! L'Amérique retourne dans son lit historique.
  9. Depuis, l'EMA a démenti et Sputnik a mis de l'eau dans son vin (https://fr.sputniknews.com/france/201809181038130671-france-dement-implication-avion-russe-disparu/) La piste d'un tir fratricide d'un S200 Syrien (alors qu'ils étaient en train de subir un raid aérien israélien) semble s'imposer.
  10. Tout n'a pas commencé avec l'ISS. Coté occidental (NASA + ESA + partenaires), il y a eu dans les 80 le couple Navette Spatiale / Spacelab. Ci-dessous un lien sur une étude historique de la NASA sur ce qui ce qui a été fait dans ce laboratoire spatial à temps partiel. On retrouve tous les sujets étudiés ensuite plus à fond dans l'ISS : https://www.nasa.gov/centers/johnson/pdf/584741main_Wings-ch5f-pgs420-443.pdf Petit extrait sur la coopération avec l'industrie (p23), 30 ans déjà et on pourrait faire un copy/paste sans que cela choque : Ne penses-tu pas que c'est la recherche de prestige qui motive Chinois et Indiens pour entrer dans le club et qui pousse les USA à augmenter la mise avec un objectif plus difficile à atteindre ? Depuis la course à la Lune, on a rien inventé. Désolé d'être un peu cynique. Je serai très heureux de renvoyer un géologue sur la Lune ou d'avoir un pilote de talent capable d'atterrir et prendre des échantillons sur un astéroïde. Mais dépenser des milliards pour faire tourner autour de la Terre des astronautes blogueurs (même talentueux), c'est cher payé.
  11. Cela fait 30 ans que l'on rabâche le fait que l'on est au début de trouver des usages industriels... et on est toujours à l'étape des balbutiements. Pour moi, c'est du flanc, la micro-gravité en station spatiale. C'est soit trop cher, soit d'une qualité insuffisante (dans la station, il y a plein de micro-accélération parasites). La vraie justification de l'être humain dans l'espace, c'est de faire des choses qu'une machine ne peut pas faire (ex : pilotage en boucle courte, prises d'initiatives, ajustement mission en fonction du contexte). Par définition, en orbite basse, rien à faire de spécial sauf se préparer à aller plus loin. L'ISS a permis de conserver des savoirs-faire pointus (ex : sorties extra-véhiculaires, médecine spatiale) et de mettre en scène une réconciliation Occident/Russie symboliquement très forte à la fin de la Guerre Froide. Mais, à ma connaissance, elle n'a rien apporté sur le plan scientifique ou industriel de significatif (si tu as des contre-exemple, je suis preneur). A titre de comparaison, je pense que le bilan de station Concordia sur le pôle Sud est plus étoffé grâces aux observatoires astronomiques spéciaux installés là-bas par exemple.
  12. Tu devrais, non seulement il est très bien mais en plus il traite exactement du sujet que vous débattez en ce moment sur le forum
  13. Rivelo

    [VBMR light] 4x4

    Le Serval n'a pas vocation à remplacer les VBL des cavaliers, qui vont être modernisés pour attendre le VBAE . Par contre, il est dit officiellement maintenant qu'ils vont remplacer une partie des VAB et aussi des VBL (au sens usage jeep blindé). Serval ne remet pas en cause la recherche d'un nouveau véhicule léger de cavalerie, par contre il tue dans l’œuf à mon avis toute velléité de faire un JLTP à la française pour les unités d'infanterie. Serval permet de garder tout le groupe dans un même véhicule, c'est la doctrine actuelle, et cela permet une opérabilité totale avec les autres véhicules blindés d'infanterie (Griffon, VBCI dans une certaine mesure). Un groupe d'infanterie pourra au choix être déployé sur Griffon (contexte Afghan, protection Stanag 4+) ou Serval (contexte Sangaris, Stanag 2+ suffisant) en utilisant les mêmes équipements Scorpion (ex : tourelle télé-opérées) et les mêmes procédures. C'est l'ADN de polyvalence des unités de l'armée de Terre, la pratique actuelle (VAB à toutes les sauces, surblindé ou pas selon le contexte) et cela donnera une vraie souplesse pour les déploiements. Pour le VBAE, on sera sans doute sur un équipage de cavalerie "type" (3 personnes, comme Jaguar et Leclerc), donc une approche très différente que Serval. Mais c'est une autre histoire... et un autre fil
  14. Le site Opex360 en parle : http://www.opex360.com/2018/09/10/lappui-de-coalition-forces-democratiques-syriennes-se-lancent-a-lassaut-dun-derniers-fiefs-de-lei-syrie/ Pas d'info sur la localisation des batterie (normal) mais les canons sont donc portée de tir et en action
  15. Rivelo

    [Rafale]

    Merci pour la vidéo ! Désolé, j'aurais du dire que j'étais étonné que l'on faisait ENCORE des frappes en Irak. L'actualité avait été concentrée en Syrie ces derniers temps (du moins dans la communication). Et depuis 2014 les forces aériennes irakiennes sont remontées en puissance.
  16. Quelques détail de la "bio" du cadre de l'EIGS tué : Mohamed Ag Almouner est considéré comme un responsable actif de l’embuscade du 4 octobre 2017 à Tongo Tongo au Niger au cours de laquelle 5 militaires nigériens et 4 militaires américains avaient trouvé la mort. Il est également responsable de l’exécution de 30 civils à Wakazé le 27 avril 2018. Sa perte est un coup dur pour l’EIGS qui fait suite à la reddition cet été, aux autorités algériennes, de Sultan Ould Bali, un autre haut dirigeant de l’organisation. Le groupe terroriste EIGS est désormais affaibli. Déstructuré par la perte de certains cadres de haut niveau, il est désorganisé avec la perte de capacités de ravitaillement dont le groupe de Mohamed Ag Almouner était responsable. (source EMA)
  17. Rivelo

    [Rafale]

    Je n'avais pas en tête que les Rafales faisaient aussi des frappes en Irak. Peut-être les Irakiens avaient-ils besoin d'un SCALP ou d'un AASM pour taper l'entrée des grottes sans laisser d'échappatoire aux deux High Value Target ?
  18. Décollage réussi et satellite Aeolus en orbite ! Mission réussie pour VEGA !
  19. Crise au sein même de l'état italien sur le dossier des migrants... Avec 177 migrants à son bord, des garde-côtes italiens bloqués en mer par le gouvernement de leur propre pays !! https://www.lejdd.fr/international/europe/avec-177-migrants-a-son-bord-des-garde-cotes-italiens-bloques-en-mer-par-le-gouvernement-de-leur-pays-3735908 C'est vraiment n'importe quoi
  20. Oui, mais changer le plan d'aménagement d'un véhicule neuf, cela ne fait pas sérieux. On serait les premiers sur le forum à trouver que cela fait amateur... <mode optimiste on> Standardiser les véhicules de transport de troupe blindés en 8+2 n'empêche pas de faire certains des ajustements sur l'organisation de la section d'infanterie discutés dans ce blog. Je suis la discussion d'un peu plus loin car ce n'est pas mon arme et je connais moins bien le contexte, mais il resterait possible d'avoir certains groupes à 8 pax (ex : ajout tireurs de précision sur certains groupes), il reste possible d'ajuster les missions des groupes entre eux (ex : courte distance / longue distance tel que décrit par M. Goya). A la limite, rien n'interdit non plus de se raviser et de décider qu'une section "lourde" doit se déplacer sur 5 Griffon/Serval au lieu 4. Comme tu le dis, le vrai dogme à casser est de dire que toutes les sections d'infanterie doivent être organisées de la même façon. L'infanterie légère (qui à vocation à plus combattre à pied) à peut-être des priorités différentes que les mecas qui combattent en conjonction avec leur véhicule (et qui donc sont déjà de facto dans une logique de groupe à 7+2 = 9 en situation de combat). Bon, j'espère ne pas avoir trop de bêtise <mode optimiste off>
  21. D'un autre coté, j'espère que l'AdT a bien réfléchi à ses besoins avant de planifier la commande de ~4000 VTT Griffon et Serval en 8+2... Là, c'est un choix structurant pour les 30 prochaines années !
  22. Cela paraîtrait assez logique et pragmatique que le Camcopter soit testé aussi sur les POM. On pourrait aussi avoir des campagnes de tests avec les prototypes de VSR700 (le concept étant assez nouveau, à mon avis tout le monde sera intéressé pour expérimenter intensivement avant de lancer la production en série). Les bâtiments étant là pour 35 ou 40 ans, ce n'est pas rédhibitoire. La Marine à l'habitude du temps long. Dans l'intervalle, le hangar sera sans doute très vite utilement utilisé comme espace de stockage additionnel. Rien ne se perd quand on doit naviguer sur des missions jusqu'à 30 jours de mer
  23. Désolé, mais j'ai vécu des expériences un peu similaire sur des quarts de nuit (genre 4h - 8h) pendant des phases super-calme (ex : transit simple, patrouille de routine) où j'avais des veilleurs de quart à l'extérieur "distraits" auxquels je devais "sonner les cloches" parce qu'il se passait quelque-chose et que j'avais besoin d'eux... Fatigue + inaction + froid + nuit = perte de vigilance, voir somnolence... Une fois, c'était parce que un destroyer US cherchait à faire de l'optique avec nous, un cas un peu semblable à celui décrit ci-dessus. Le problème, c'est quand il ne se passe rien du tout. Aux machines, la personne de quart à toujours quelques indicateurs à surveiller et à quelques actions périodiques à faire. Le barreur à son cap à tenir, cela occupe. Le timonier marque la position sur la carte, écrit quelques lignes dans le journal. Mais à la veille, quand il n'y a rien à regarder... c'est long. Pour ça, c'est mieux d'avoir tout le monde dans le même local genre passerelle à 360°. Fin du HS
  24. Ce n'est pas le cas. La Chine n'arrive pas à imposer le Yuan convertible dans ses échanges en Asie car ses voisins sont EXTREMEMENT réticents face à aux ambitions du géant chinois. Donc dollars en priorité et, de plus en plus, Euro en alternative pour contourner l'obligation de passer par une banque US pour des paiements internationaux en Dollars. L'ordre de grandeur, c'est ~80% des échanges régionaux en Asie en Dollars US, ~10% en Euros et le reste (Yuan compris) les 10% restant. Hors d'Asie, le Yuan n'est quasiment pas utilisé, sauf pas les touristes chinois en voyage. Les réserves de change de la Chine sont en légère baisse depuis quelques années (si on additionne Chine et Hong-Kong) à cause d'importantes sorties de capitaux (ex : oligarques chinois qui vont placer leurs économies dans le vignobles bordelais ou des banques offshore à Singapour) et de l'essor de la consommation (achat de biens et services, y compris voyages à l'étranger). Ceci étant dit, il leur reste de quoi voir venir et c'est pour ça que l'on continue à entendre parler d'important investissements chinois en Afrique ou dans le Sud de l'Europe.
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