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FATac

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Tout ce qui a été posté par FATac

  1. FATac

    [Rafale]

    L'allumage du RBE2 peut paraître suicidaire, mais à bien y réfléchir, il y a pas mal de motifs qui poussent à le tenter, surtout dans une situation d'exercice où le kill n'est que virtuel (et la tournée au bar réelle). Choper de l'info sur le F-22 est déjà une raison. L'enregistrement brut des signaux reste possible (mais pas établi). Valider le niveau de performance du PESA face à un fantôme, pour pouvoir comparer ensuite celles du AESA face au même étalon. Valider si la fonction de "mémoire, suivi et calcul de trajectoire" du RBE2 est pertinente face à cette "menace fantôme". En effet, on sait déjà qu'elle fonctionne très bien face aux appareils qui tentent une évasive dans l'entaille Doppler, alors pourquoi pas essayer avec un appareil qu'on ne peut accrocher que sous certains aspects ... Nos alliés nous l'avaient demandé. Ou si ce n'est pas eux, cela peut être nos futurs clients ... Enfin, tout est possible, sur des bribes d'informations, on peut construire un roman ... surtout une population comme la nôtre, qui récuse l'appellation de fanboys mais qui s'enflamme au moindre fait nouveau concernant notre joujou. ;)
  2. FATac

    Appel d'offre brésilien

    La corruption n'existe pas dans le monde des médias et du journalisme, pas plus que l'indépendance. Un journaliste, comme n'importe qui d'autre, n'a pas vraiment d'intérêt à mordre la main qui le nourrit (à moins d'avoir d'autres ambitions auprès d'une autre main). On a souvent l'illusion d'une liberté d'opinion et d'expression, dans la presse, et on souhaiterait que ce soit le cas puisque c'est un moyen d'altérer les opinions et les jugements dans la population. Mais pour cela, il faudrait que les journalistes n'aient pas de vie ni d'aspiration au bonheur et au confort ... Pour la compétence, c'est un autre débat ...
  3. Elle vont devoir s'habituer au fait que le centre de gravité du monde moderne tourne autour de la Mer de Chine et des ses zones périphériques ... La Corée postule au titre de RFA/RDA locale, l'Australie va vouloir prendre une place d'acteur majeur dans le quartier, le Viet-Nam se voit bien dans en ami proche, mais pas trop, façon Yougoslavie, etc. Si la zone chaude, c'est là bas ... on peut peut être profiter d'un calme relatif pour relancer notre économie/industrie de notre côté, à la manière des Quatre Dragons, ou des Tigres Asiatiques lorsque le monde occidental était principalement occupé à organiser son apocalypse.
  4. FATac

    Marine chinoise en 2020

    Ben non, ça ferait trop large. :-D Je sais bien que ce sont des vues d'artiste, mais à la louche, on peut estimer la largeur du pont dans les 75/80m, et il a l'air long comme un jour sans pain ... Ca sent la course à la grosse b..e avec le USS Gerald R. Ford
  5. Chaque bâtiment d'une série a des spécificités qui altèrent sa signature accoustique. La forme de la coque, les pales de l'hélices, etc. sont les mêmes, mais un coefficient de berniques différent, ou bien un usinage (manuel) différent lors du polissage de l'hélice donne à chacun sa "marque" qui lui est propre. Je présume que PD7 fait référence au Triomphant, suite à sa collision avec le Vanguard. Il est vrai que si les données des flutes acoustiques sont enregistrées, il a dû y avoir un gros dépouillement a posteriori des minutes précédant le "BOUM Scrchchchchch" qui a rendu sourdes leurs oreilles d'or. Et si l'amirauté britannique dispose d'éléments de signature d'un de nos SNLE-NG, il est probable que leurs grands amis d'Amérique les aient obtenues depuis.
  6. Pour autant que je sache, il est plutôt dans une sorte d'émulsion instable, un gros mélange d'eau de mer et de bulles ... ce qui ne simplifie pas les calculs "statiques". S'il est mis en mouvement au sein d'une grosse bulle, je ne donne pas 2 m d'ascension à celle-ci avant qu'elle ne se fragmente en bulles plus petites sous la pression hydrostatique, la poussée d'archimède et la résistance à l'avancement.
  7. Non, ce n'est pas vraiment dû à l'avancée du sous-marin. Il y a bien un effet, mais il est marginal. L'essentiel de l'instabilité du début de trajectoire vient de l'hétérogénéité de la densité du missile, ainsi que du changement de milieu. Le centre de gravité du missile n'est pas le même que le centre de flottaison - un peu plus haut ou un peu plus bas ... et cela peut le faire basculer lors de son mouvement vertical à l'éjection, notamment lorque la vitesse du projectile diminue (et son inertie aussi). Cette bascule doit être maitrisée autant que possible, c'est tout le challenge des tirs sous-marin (en plus de l'équilibrage de la plate-forme de tir). En outre, lors du changement de milieu, on se retrouve avec un centre de flottaison pour la partie aérienne, à composer avec celui de la partie immergée, et toujours le même centre de gravité (ou presque, en fonction du carburant déjà brulé). Le tout à mettre en relation avec le point auquel s'applique la poussée du moteur fusée ...
  8. Accessoirement, un collègue en poste à Levis ("banlieue" de Quebec, sur la Rive droite du St Laurent) depuis 5 ans a pris progressivement un accent similaire à ce que nous, métropolitains, désignons uniformément comme "accent Québecois". Son accent est beaucoup plus épais l'hiver que l'été. Il en plaisante en disant que c'est à cause du froid, et que par -20°C, avec le nez un peu pris mais pas bouché, et les lèvres bien raides, un peu crispées en sourire figé, t'es obligé de parler "Québecois". Je me demande quand même s'il n'a pas quelques éléments de vérité dans la plaisanterie.
  9. En résumé (en italique les infos prises dans l'analyse) : - "centroplane" massif, comme toute la famille flanker, qui se prolonge au delà des tuyères, en "queue de castor" et qui loge une soute similaire à celle du Su-47 - Surface mobile au dessus des entrées d'air (bien vu, G4lly). C'est une alternative au canard. Des "movable LEX section" ou "Povorotnaya Chast Naplyva (PChN)" - Poussée vectorielle, sur des moteurs largement espacés, facilitant le contrôle en roulis. - Confiance importante dans la TVC, au point de réduire les surfaces de contrôle, au bénéfice de la trainée, du poids et de la signature. - 4 soutes : deux larges entre les moteurs, deux petites à l'extérieur, sous les ailes. Les petites sont destinées aux missiles d'autodéfense à courte portée. Ces nouveaux missiles ont des ailettes repliables, ce qui en explique la petite taille. - La canopée et certains panneaux mal ajustés sont propres au prototype et pas représentatifs du futur appareil. D'autres détails sont préoccupants pour la furtivité : l'écart "autour" des entrées d'air, les tuyères rondes, l'IRST, ... La furtivité absolue n'a probablement pas été recherchée : les adversaires potentiels ne disposant pas des S-300 et S-400. - Supercroisière quasi certaine. Après, reste la question de la durée de développement et de l'échéance de l'entrée en service ... Relisez nos posts depuis les premières photos : globalement, nous avions tout bon !! :oops:
  10. FATac

    [Rafale]

    En fait, tout est possible, et l'entrefilet d'A&C ne nous informe pas beaucoup. - Nous avons pu allumer le RBE2-AESA pour valider sa performance face au F-22, ce qui permettra de mesurer le progrès, plus tard, avec le RBE2-AESA - Nous avons pu allumer le radar pour mesurer la qualité de la réduction de SER du F-22 - Si l'exercice opposait des formations, et pas seulement des avions isolés, nous avons été vraiment couillons en ayant allumé le radar sans avoir préalablement scindé la formation avec un étagement suffisant pour ne pas se faire tout bouziller en une salve. - Les F-22 ont peut-être quand même allumé leur radar, et il est réellement LPI. Spectra n'a rien vu et ils disent qu'ils ne l'ont pas allumé afin d'éviter que nous ne fouillons trop dans les banques de signaux qui ont pû être enregistrés. - Les F-22 ont peut être allumé leur radar, comptant sur ses capacités LPI, et ont peut-être été détectés quand même par Spectra. Hors de portée de nos MICA, ça ne nous a servi a rien avant que les AIM-120D virtuels ne nous tombent dessus, mais on a quand même mémorisé leur signature et on ne le dit pas pour ne pas les vexer et pour éviter qu'ils ne changent leurs modes LPI. - Ces exercices ne valent rien sur le plan opérationnel, mais seulement sur le plan tactique. En terme opérationnel, la LAM de rafraichissement de situation de l'AMRAAM, à mi-parcours, devrait pouvoir être détectée par Spectra, ainsi que l'activation de l'autodirecteur actif, sans parler d'éventuels DAM. Il est donc probable qu'un (que des) Rafale aurai(en)t survécu. De là à réussir à engager les Raptor en retour, c'est pas gagné, mais bon ... Et il y a bien d'autres possibilités. La réalité n'est certainement pas conforme à ce qui est public/publié. C'est quand même une grosse partie de poker menteur et aveugle. (Méthode Coué Inside)
  11. FATac

    Air quiz

    AV-8 chez les Américains (et j'aurais parié sur B, plutôt que A), et Harrier Gr.X chez les Anglais. ;) Pour le modèle, j'hésitais entre Gr.7 et Gr.9, mais j'y suis allé au flan car j'avais la flemme de vérifier les différences. :-X
  12. FATac

    Air quiz

    Harrier GR.9 Atlas Cheetah-D (je ne sais plus quel est son radar, mais c'est celui-ci qu'on aurait dû appeler Cyrano :lol:) Nord 1500 Griffon II
  13. C'est bien la configuration qui était attendue : deux grandes soutes, l'une derrière l'autre, dans la section centrale du fuselage. Au passage, vu l'échancrure des entrées d'air, les moteurs resteront bien alimentés aux grandes incidences ou au grands angles de dérapage. Est-ce un indicateur sur la poussée vectorielle, ou seulement sur le fait que ça risque d'être un bon client en mélée ?
  14. L'article est clairement anti-américain, bien qu'il s'en défende. La partie finale est un pur tear-jerker destiné à soutenir l'émotion générée par l'information initiale. Rien ne nous empêche, cependant, de tenter d'analyser cette information. Il faut quand même savoir que les modes de fonctionnement des équipes médicales sont très différents entre Europe et Amérique, tant dans le civil que chez les militaires ou bien dans la gestion de crise. Les Américains font un usage immodéré du domaine dans lequel ils excellent : la logistique. C'est grâce à cela qu'ils peuvent "mettre le paquet" sur une situation comme celle-ci. Leur mode de traitement des victimes est, le plus souvent, le "scoop and run" : le "ramasser et évacuer". C'est pour cela que des ambulances patrouillent les grandes villes des USA. En cas d'accident, elles sont pré-positionnées, ramassent les victimes et les évacuent au plus vite sur une structure hospitalière capable de tous les traitements lourds pour récupérer une situation initiale compromise. A contratio, les Européens, et pas seulement les Français, travaillent d'avantage sur le mode de prise en charge de la victime. Celle-ci n'est pas évacuée tant qu'elle n'est pas stabilisée. Ce sont des médecins (urgentistes) qui sont au plus près du terrain, pas seulement des infirmiers/ambulanciers. La structure d'accueil, ensuite, est allégée et permet, le plus souvent, un suivi efficace du patient car elle n'a plus vraiment d'urgence vitale à gérer en masse. Les deux approches sont valables. L'une est consommatrice de ressources techniques, l'autre de ressources humaines et de compétences. Le "point" de l'article est essentiellement de questionner si, dans une situation de crise où les infrastructures lourdes et les ressources techniques sont réduites, l'approche américaine est toujours pertinente face à notre approche plus "humaine" - je mets des guillemets à "humaine" pour souligner que je ne porte pas encore un jugement de valeur sur notre différence d'approche, mais que j'en souligne l'aspect "personnel". Par manque de leur troisième échelon, privés de leur structure d'appui, les médecins du second niveau de traitement en sont réduit à traiter "brutalement", et donc par l'amputation quasi systématique, les victimes amenées par le premier niveau de secours. Pour les médecins européens, il y a probablement une nuance supplémentaire à prendre. Certains interviennent davantage sur le terrain, permettant ainsi la "sortie" de victimes en évitant ces recours radicaux. D'autres, cependant, travaillent sur le modèle "dispensaire" et accueillent des blessés amenés par ambulance ou qui se présentent spontanément. La vrai question est alors "Peuvent-ils traiter d'une manière différente de celle des Américains ?" Et si oui, sur le court et le moyen terme, cela apporte-t'il un mieux à la population ? Personnellement, sur le long terme, je trouve cela préoccupant. Si la population d'amputés est multipliée (et survit à la mutilation), cela va durablement déséquilibrer un équilibre social qui était déjà engagé dans la chute. La société haïtienne n'a probablement pas les moyens d'assumer une large population handicapée. Ceci dit, je trouve l'article intéressant par la confrontation qu'il souligne entre les cultures médicales et l'approche qui en découle en gestion de crise.
  15. HS, mais bon ... La formule du F-18 A/B/C/D était excellente. C'est sur les F-18 E/F que ça s'est gâté !
  16. FATac

    Eurofighter

    Ouaouh ... ils ont l'intention d'aller faire la chasse à la vedette de Pasdaran jusqu'au fin fond du Golfe, aux portes de l'Irak ? Parce que vu la proximité des lignes de front éventuelles avec leur bouillant voisin, je les aurait plutôt imaginé avec des config 5 exocet + MICA et pas plus de gazole que ça ... ou alors en CFT à la limite.
  17. C'est ce que j'indiquais dans mon précédent post : les servo-commandes des volets (que j'avais qualifié de flaperons, probablement à tort puisqu'il y a des tailerons derrière).
  18. Apparemment, certaines équipes médicales "n'ont pas pris de gants" dans leur traitement des victimes. La "médecine de guerre" n'est pas nécéssairement une "médecine de crise". http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2010/01/29/a-port-au-prince-le-ravage-des-amputations_1298384_3222.html#ens_id=1290927
  19. Enfin !!! Le PAK-FA n'est plus du vaporware, mais bel et bien un prototype. Quelques remarques : - Le radôme me rappelle d'avantage celui du F-35, par la forme et les dimensions, que celui du F-22. - Je suis persuadé que le radar n'est pas en place : c'est superflu pour des premiers vols, il n'est probablement pas encore au point, et puis la perche anémométrique en pointe avant en dégraderait la sensibilité, donc c'est pas la peine de le mettre sur les vols d'essai (qui justifient la perche qui disparaîtra ensuite) - Côté IR/Propulsion, il a l'air aussi discret qu'un esquimau dans un camp de nudiste. Les tuyères n'ont pas l'air d'offrir une quelconque dilution autre que celle du corps de GTR double/triple flux. Ca a l'air de pousser beaucoup, et ça doit pousser chaud. Au fait, c'est qui le motoriste ? NPO-Saturn ? - Les pitots sur le côté du nez, c'est furtif ??? - C'est bizarre, la canopée avec un montant central. Ca va faire mal au crane en cas d'éjection à travers la verrière. :lol: - Je n'ai pas vu l'articulation des drapeaux de dérives. Elles sont monobloc ? Comme les tailerons ... - J'ai pas trop fait gaffe aux pièges à couche-limite des entrées d'air des F-22/F-35. L'ouverture en biseau, entre le fuselage et le coté de la nacelle moteur me parait un risque en terme de SER. La dimension entre les parois variant du bas au haut, il reste possible qu'une longueur d'onde résonne en un point. - Les servo-commantes des flaperons sont magnifiquement intégrées dans le profil de l'aile. - C'est bizarre, l'espèce de congé, sous l'intrados, à la naissance de l'aile. C'est une mini-soute ? Une case à équipement pour un radar conforme complémentaire (un SAR ou bien pour le SdT) ? Un cache furtif pour renfort de structure ? Un masquage pour l'emplacement de pylones d'emports externes ? Enfin, c'est un joli coucou quand même, même s'il a un peu l'allure d'un Su-27/35 piétiné par une charge de cosaques. :lol:
  20. FATac

    M51

    Tout à fait ... c'est dans le domaine de la psychose suite au précédent tir qui avait eu lieu dans la direction de Terre-Neuve et qui avait déclenché une vive polémique entre la France et le Canada. Le missile est passé, approximativement, à 1200 ou 1500 km de St-Pierre/Terre-Neuve. Il n'était alors probablement plus en phase propulsée, mais déjà en amorce de descente, donc probablement sans panache de fumée. En outre, il était probablement exo-atmosphérique à ce point de sa trajectoire (à plusieurs dizaines, voire centaine de kilomètres d'altitude), et ne constituait donc pas un météore (phénomène atmosphérique lumineux). Il y a donc peu de chances pour que les témoignages soient crédibles. Il faudrait aussi en valider la date et l'heure - je ne serai d'ailleurs pas surpris que l'horaire annoncé publiquement soit, en fait, décalé de quelques minutes par rapport à l'horaire réel, afin de distinguer les vrai témoins des faux.
  21. FATac

    [Rafale]

    Si, c'est même le B-A-BA, la première fonctionnalité, implémentée avant même l'upload "en-vol" qui est bien plus problématique, mais bien plus efficace (évite la déception à base de camouflage).
  22. FATac

    M51

    Non. Regarde le globe posté par G4lly : de "Brest" jusqu'à l'amerrissage, le point le plus proche de la terre survolé par le missile est au large de Terre-Neuve et de St Pierre/Miquelon. Il est donc passé "à proximité", sans survol. C'est la magie de l'orthodromie. C'est un missile ballistique, pas une voiture de rallye. ;-) Le virages, c'est juste sur les manoeuvres évasives et les corrections de trajectoire en rentrée, mais dès le décollage, sauf grosse déconnade dans la poussée, on sait approximativement où ça va tomber, et plus le vol dure, et plus l'incertitude sur la zone de retombée se réduit.
  23. Au temps pour moi ! Je croyais que ce n'était que la compensation du tir et du remplissage du silo, pas le contrôle de position/assiette à vitesse nulle.
  24. L'importance opérationnelle du "lancement immobile" n'est pas clairement démontrée en dehors du lancement "à quai". Par contre, ce qu'il faut bien comprendre, c'est que pour obtenir cette capacité, les Russes ont certainement développé des capacités de stabilisation de plate-forme innovantes. En effet, l'essentiel de la stabilité des plates-formes sous-marines est une stabilité dynamique, liée à la propulsion et à la portance des barres de plongées. Si la profondeur d'immersion est ajustée par le ballastage et si un équilibre d'assiette est possible en jouant sur ce même ballastage, il reste que c'est un système dont la réponse n'est pas immédiate, dont le contrôle fin est délicat et dont la discrétion n'est pas assurée (chasse ou ballastage, ça fait du bruit d'écoulement). Arriver à contrôler et stabiliser un engin immobile entre deux eaux, en lui évitant de dériver, en assurant son assiette et son roulis, en évitant que le moindre courant parasite ne vienne donner intempestivement de la portance aux surfaces de contrôle, etc. c'est quand même une sacrée gageure.
  25. FATac

    Eurofighter

    Il me semble que le Brimstone a été développé initialement pour le Typhoon, et que son emport sur Tornado n'était qu'un pis-aller en attendant la disponibilité du Typhoon pour des missions Air-Sol (la priorité ayant été donnée à la Défense Aérienne, qu'ils disent ... ne souhaitant plus ne compter que sur les Tornados .F3).
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