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Guerre civile en Syrie


Messages recommandés

Je les vois mal prendre parti en engageant leurs troupes.

Sanctuariser Tartous, probablement.

Amener des armes, des munitions, ou du renseignement, possible aussi.

Intimider les FSA possible également, mais c'est un jeu dangereux, parce que moults djihadistes seront tentés de faire un coup spectaculaire...envenimant de fait la situation.

Pour celà, il faudra d'abord que l'info se confirme, et que ces bâtiments accostent en Syrie.

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Y'a pres de 30 000 russes en Syrie dont des familles avec femmes et enfants

On ferait pareil dans leur cas (comme on a deja fait en Afrique)

Donc rien d'etonnant et je ne pense pas qu'il faille y voir un "prochain assaut amphibie des marines soviétiques pour la gloire de la mère patrie et l'estomac de l'ogre soviétique  :lol: "

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Une statistique non-officielle des pertes d'aéronefs de l'armée syrienne:

"According to the Syrian Revolution General Commission (SRGC) since the conflict began the Syrian Military have lost 37 helicopters, and 24 Mig, Sukhoi fighter and training jets.

40 aircraft were shot down, and 21 were destroyed in FSA attacks on military airport bases."

http://www.ejection-history.org.uk/CONFLICTS/SYRIA_2011_2012/Syrian_Conflict.htm

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Les 48 Pasdaran/pèlerins chiites iraniens ont été libérés  contre plus de 2000 prisonniers ASL. Ca doit leur faire drôle du côté de Téhéran de gouter à leur propre recette de libération d'otage contre 50 ou 100 fois plus de prisonniers  :P

http://fr.news.yahoo.com/syrie-régime-libère-2-130-prisonniers-contre-48-102200757.html

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Les 48 Pasdaran/pèlerins chiites iraniens ont été libérés  contre plus de 2000 prisonniers ASL. Ca doit leur faire drôle du côté de Téhéran de gouter à leur propre recette de libération d'otage contre 50 ou 100 fois plus de prisonniers  :P

http://fr.news.yahoo.com/syrie-régime-libère-2-130-prisonniers-contre-48-102200757.html

Dans l'article, on parle de "civils", pas d'ASL.

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Dans l'article, on parle de "civils", pas d'ASL.

oui désolé, j'ai fait un amalgame. J'ai postulé que les prisonniers libérés étaient en lien avec l'ASL/l'opposition.

Ma première impressionne était bonne finalement. Il y a des figures importantes de l'ASL qui ont été  dont Ahmed al-Khatib, chef du Conseil militaire  de l'ASL.

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Un article qui, me semble t'il sort du lot en France.

A votre avis, est-ce un reflet objectif de la situation ou de la pure méthode Coué ?

http://www.atlantico.fr/decryptage/et-assad-etait-en-fait-en-train-gagner-en-syrie-fabrice-balanche-601019.html

[box title=TitleBox]

Et si Assad était en fait en train de gagner en Syrie ?

Contrairement à ce que laisse penser une partie de la presse occidentale, le régime de Bachar Al Assad est loin d'être au bord du gouffre, tant sur le plan politique que militaire. Malgré de réelles difficultés, le pouvoir en place réussit peu à peu à se poser dans l'opinion comme le seul rempart crédible contre l'ingérence étrangère et l'instauration d'un état islamique.

Atlantico : Dans son discours dimanche dernier, Bachar el Assad s'est dit ouvert sous certaines conditions à l'organisation d'élections dans son pays. Certains voient cette ouverture comme la dernière tentative de survie d'un régime au bord de l'agonie politiquement. Qu'en est-il en réalité ?:

Fabrice Balanche : Le discours de Bachar al-Assad, dimanche 6 janvier 2013, était tout d’abord destiné à montrer qu’il demeure le Président de la Syrie et qu’il entend le rester. Il oppose un démenti cinglant à l’opposition qui répète depuis près de deux ans que le régime n’en a plus que pour quelques semaines, aux chancelleries occidentales qui évoquent son prochain exil à Cuba, en Russie ou au Vénézuela. Le contexte militaire se prête à cette prestation, puisque les forces du régime ont repoussé les rebelles des périphéries de Damas ; la ville de Homs, "capitale de la révolution" est presque de nouveau sous le contrôle de l’armée régulière, quant à Alep, les rebelles ne sont pas parvenus à la prendre, malgré leur "offensive décisive"[1] de septembre dernier. Certes, les rebelles ont gagné du terrain dans l’Est et le Nord, mais ils n’ont pas réussi à s’emparer des grandes villes, fermement tenues par les forces du régime.

Bachar al-Assad s’adresse avant tout à ses partisans, à qui il veut donner confiance dans la victoire prochaine. Vu d’Occident et à travers la médiation de l’opposition syrienne, cela peut paraître complètement irréaliste[2]. Son but n’est pas de convaincre l’opinion publique occidentale, ni d’amener vers lui la Coalition Nationale Syrienne du cheikh Moaz al Khatib. Au contraire, il a traité cette dernière de "marionnettes de l’Occident" et "d'esclaves", refusant toutes négociations avec eux. Bachar el Assad annonce un processus de dialogue national, suivi d’élections législatives puis des présidentielles en 2014, conformément au calendrier habituel. Aucun changement par rapport à la ligne adoptée au début de la crise, et on ne peut être que dubitatif quant à la sincérité de son plan de paix.

Ce n’est pas la dernière tentative de survie d’un régime à l’agonie. Il s’est affaibli, mais il ne montre pas de signe d’écroulement ou d’être engagé irrémédiablement sur la fin. Tous les espoirs luis sont encore permis de se redresser, si les paramètres locaux et internationaux ne sont pas modifiés. Car, dans la situation actuelle, l’opposition ne peut pas l’emporter.

Comment se partage aujourd'hui l'opinion publique ? Peut-on parler d'un réel consensus anti-Assad au sein de la population ?

En choisissant l’Opera de Damas, qui est une des plus grande salle de la capitale, et non le parlement ou un amphithéâtre de l’Université, Bachar el Assad a voulu donner l’impression qu’il dispose d’un large soutien populaire. Il s’est risqué à un bain de foule à l’intérieur de l’opéra, mais nous n’avons pas vu de manifestation de ses partisans à l’extérieur, comme c’était le cas en 2011, au début de la crise. Une minorité, notamment parmi les minorités confessionnelles, la bourgeoisie et l’appareil bureaucratique, soutient fermement Bachar al-Assad, une autre minorité, dans les classes populaires arabes sunnites et les cercles intellectuels, le déteste franchement et exige son départ. Mais pour la majorité des Syriens, c’est le retour à la paix qui est primordial, même si le maintien de Bachar al-Assad à la tête de l’Etat est le prix à payer. Plus que l’adhésion de la population, c’est l’apathie de la population que le régime recherche.

Il veut montrer, par sa ténacité, qu’il se battra jusqu’au bout et que sa fin signifiera le chaos[3]. Cela incite les Syriens à abdiquer leurs revendications politiques pour un retour à la sécurité. L’objectif de Bachar al-Assad est de prouver que son régime est davantage capable que l’opposition d’assurer cette sécurité, dans le but de priver les rebelles du soutien de la population. Il s’agit d’une technique classique de contre-insurrection qui s’appuie sur un principe simple : la population suit toujours celui qui inspire le plus de crainte et qui est susceptible d’assurer la sécurité, indépendamment de la justesse de sa cause. Les bombardements de l’aviation syrienne sur les zones tenues par les rebelles, n’ont d’autre objectif que de plonger les civils dans l’insécurité.

Les rebelles sont ils en situation dominante sur le plan militaire ? N'allons-nous pas au contraire vers un statu-quo qui risque d'enliser un peu plus le conflit ?

Le régime contrôle aujourd’hui un tiers du territoire : un axe reliant la région côtière à Damas, et les grandes villes du pays en totalité ou en partie, comme à Alep et Deir Ez Zor. Mais en termes de population, il s’agit de plus de 50% de la population. Les rebelles contrôlent seulement 15 à 20% de la population, dont une partie croissante fuit dans les pays voisins, 10% de la population réside dans les zones tenues par les milices kurdes (les quartiers nord d’Alep et les territoires kurdes du Nord), alliés stratégiques du régime, et enfin, nous avons 20 à 25% des Syriens qui sont dans des zones disputées. Globalement le régime est puissant dans le Sud et l’Ouest de la Syrie, tandis que les rebelles dominent le Nord et l’Est. Les territoires peuplés par les minorités confessionnelles (20% de la population) demeurent acquis au régime ; les territoires ruraux à forte identité arabe sunnite penchent davantage du côté des rebelles, si localement les tribus n’ont pas fait allégeance au régime, comme à Raqqa et Hassakeh. En fait la situation sur le terrain est extrêmement complexe et exige une analyse détaillée de la répartition communautaire, des clans et des antagonismes sociaux.

Les rebelles sont divisés et donc incapable de lancer des offensives durables de grande ampleur. Les combattants islamistes, armés et financés par les pétromonarchies du Golfe s’imposent au sein de l’opposition armée, marginalisant les éléments laïcs  de l’Armée Syrienne Libre. Mais ce n’est pas seulement une question de financement, car l’argent a plutôt un pouvoir démobilisateur sur les combattants de l’ASL qui voient les responsables s’enrichir. De nombreux groupes de l’ASL se livraient au pillage pour financer leur combat, mais aujourd’hui, c’est devenu une habitude, voir la seule raison de combattre : inutile de se lancer dans une offensive risquée contre un quartier repris par l’armée à Alep, puisqu’il n’y a plus rien à piller. Une série de reportages publiés dans le Guardian fin décembre 2012[4] sont très éclairants sur le comportement de nombreux groupes rebelles à Alep. Tout cela entraine un rejet des rebelles par la population, qui en appelle aux combattants islamistes, mais jusqu’à quand ? Désormais, dans certains quartiers d’Alep, les islamistes interdisent aux femmes de conduire une voiture et le hijab est de rigueur. Les arrestations et exécutions arbitraires[5] par les rebelles achèvent de les faire ressembler aux shabiha (para-militaires) du régime.

En conséquence quelles perspectives se dessinent aujourd'hui pour la Syrie au vu de la situation actuelle ?

Tout d’abord, la perspective d’une intervention étrangère s’est éloignée. Le déploiement des missiles patriotes en Turquie, pour prévenir ce membre de l’OTAN d’être frappé par l’armée syrienne, n’est qu’une réponse symbolique. Ni les Etats Unis, ni les pays de l’Union Européenne ne souhaitent s’engager dans un conflit qui est qualifié ouvertement de guerre civile communautaire par l’ONU. La montée en puissance des islamistes, notamment des groupes tels que le Front al Nosra, émanation d’Al Qaïda, empêche toute intervention directe de l’OTAN. En France, comment le Quai d’Orsay pourrait-il justifier une intervention militaire pour éradiquer les islamistes du Nord Mali, alors qu’il contribuerait à les installer au pouvoir en Syrie ? Israël commence à s’inquiéter d’un changement de régime en Syrie, l’Etat hébreux renforce sa frontière sur le Golan, car l’armée syrienne aurait abandonné le terrain aux islamistes[6].

En Syrie, Bachar el Assad mène une stratégie de contre-insurrection contre les rebelles qui commence à porter ses fruits. Au début de la crise, il avait du mal à mobiliser la population et ses forces de répression pour la défense d’un régime corrompu et dictatorial, désormais il possède une idéologie plus mobilisatrice : la défense de la Syrie face à l’ingérence étrangère et l’islamisme. L’économie formelle est au point mort, mais il dispose d’un fort soutien financier et militaire de la part de l’Iran et de la Russie, ce qui lui permet de financer l’appareil d’Etat et d’entretenir l’armée. Les rebelles sont dans une situation plus délicate, les aides extérieures se réduisent faute de succès tangibles, le matériel sophistiqué tant attendu n’arrive pas, les oppositions armées et les oppositions politiques n’ont toujours pas réussi à s’entendre pour créer une véritable organisation structurée qui leur permette de passer de la guérilla à la prise du pouvoir.

L’année 2013 sera encore sanglante, nous devrions dépasser les 100,000 morts et le million de réfugiés dès l’été. Aucune négociation sérieuse n’est possible, car l’opposition est trop divisée pour que tout accord soit respecté sur le terrain. La Russie et l’Iran ayant beaucoup plus à perdre que l’Occident et les pétromonarchie du Golfe, il est impossible que les alliés de Bachar al-Assad lui retire leur soutien. L’issue de la crise syrienne se jouera sur le terrain militaire, pendant encore plusieurs mois ou plusieurs années. La population syrienne est devenue irréconciliable, ce qui signifie à terme une partition du pays. Bachar al-Assad peut gagner la guerre mais il ne gagnera pas la paix.[/box]

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En Syrie, Bachar el Assad mène une stratégie de contre-insurrection contre les rebelles qui commence à porter ses fruits.

Ça mériterait une démonstration par des faits, parce que on constate plutôt sur le terrain que les insurgés progressent.

Progressent-ils parce qu'ils ont le dessus militairement? ou parce que Assad abandonnent des positions qu'ils ne jugent pas stratégiques? that is the question!

Sinon oui : que Assad chute ou pas, ça se tassera par une partition du pays.

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Ça mériterait une démonstration par des faits

Pour l'instant les faits sont:

- Assad controle toutes les grandes villes au minimum en partie (y compris dans le nord et l'est). Homs est entièrement reprise.

- La zone alaouite est entièrement sure pour assad, l'essentiel de la région de damas lui est acquis (avec des zones insurgés principalement au sud et à l'est de damas) ainsi que le corridor entre les deux (sauf quelques passages à la frontière avec le liban).

- Les insurgés n'ont aucun territoire sanctuarisé, il s'agit plutot de poches mobiles de taille variable (principalement près de la frontière turque et dans la région d'alep) qui sont très imbriquées avec les zones pro-assad.

- Assad garde le monopole des moyens lourds et une armée avec des effectifs conséquents.

- L'insurrection est très divisée, infiltrée par les anciens d'al qaida en irak (al nosra), avec des mouvements concurrents qui ne peuvent pas monter d'opération de grande ampleur ni s'accorder sur un autre but que la chute d'assad.

- Assad bénéficie du soutien des minorités (40% de la population) ainsi que de l'apathie de l'essentiel des sunnites (qui sans l'aimer aspirent à la paix) ce qui peut lui suffit pour être majoritaire.

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L'économie syrienne au bord du gouffre :

http://www.france24.com/fr/20130104-syrie-eclatement-economie-menace-damas-alep

Et la famine menace :

http://www.franceinfo.fr/monde/syrie-un-million-de-personnes-au-bord-de-la-famine-855223-2013-01-09

L'aviation syrienne a mené plusieurs raids jeudi matin contre une base aérienne dans le nord-ouest du pays pour tenter d'endiguer l'avance des rebelles, qui se sont emparés de plus de la moitié du site, a rapporté l'Observation syrien des droits de l'Homme (OSDH).

Ces bombardements aériens contre l'aéroport militaire de Taftanaz surviennent après l'offensive lancée par les islamistes radicaux d'Ahrar al-Cham et du Front al-Nosra, a précisé l'OSDH, une organisation basée au Royaume-Uni s'appuyant sur un vaste réseau de militants et de sources médicales civiles et militaires.

"Les combats se poursuivaient jeudi près des principaux bâtiments alors que les avions de guerre et les hélicoptères bombardaient l'aéroport et ses environs", a précisé cette organisation.

Selon elle, les rebelles se sont emparés d'un dépôt d'armes et ont capturé 13 militaires, dont un officier. Des informations font également état de l'arrestations de onze miliciens pro-régime.

En outre, les assaillants se sont emparés de 16 à 20 avions, inutilisables car endommagés durant les combats ou sabotés par les soldats.

Selon la Commission générale de la révolution syrienne, qui regroupe des militants hostiles au régime, des hélicoptères ont lancé des barils d'explosifs sur la ville de Taftanaz.

Près de Damas, les forces régulières ont également mené des raids aériens sur la Ghouta orientale, une région de vergers, et Maliha, une localité de la banlieue est de la capitale, alors que des combats avaient lieu plus au sud, à Sayeda Zaineb, un lieu de pèlerinage chiite.

L'armée cherche à contrôler entièrement Damas et ses environs et les combats y font rage depuis des mois, car les rebelles y sont bien implantés.

Jeudi, le quotidien Al Watan, proche du régime, a affirmé que l'armée "poursuivait sa progression sur tous les axes dans la région de Damas, menant des opérations militaires intensives sur tous les fronts en dépit du mauvais temps".

"La colonne vertébrale des terroristes a été brisée depuis longtemps et leurs attaques engagent beaucoup moins d'assaillants", a assuré le journal, citant une source militaire.

Mercredi, une source militaire syrienne avait affirmé à l'AFP qu'il y avait encore 4.500 rebelles dans la région de Damas, dont 150 combattants du Front al Nosra à Daraya, au sud-ouest de la capitale, où des renforts militaires sont régulièrement annoncé pour s'emparer de la totalité de cette ville quasiment désertée par ses habitants. Mercredi, les violences avaient fait au moins 57 morts -- 25 civils 13 rebelles et 19 soldats -- , selon le dernier bilan de l'OSDH.

http://www.lorientlejour.com/category/Derni%C3%A8res+Infos/article/795574/Laviation_syrienne_bombarde_une_base_aerienne_pour_stopper_lavance_rebelle.html

Un responsable de l’Otan a affirmé ce jeudi que de nouveaux tirs de missiles balistiques avaient été détectés en Syrie. Des missiles qui ont touché le nord du pays. “Cela met en évidence la nécessité d’une protection efficace de la Turquie”.

L’Otan a approuvé le déploiement de missiles sol-air Patriot en Turquie. Six batteries sont en cours d’installation.

Dans le nord-ouest de la Syrie, les rebelles étaient la cible ce jeudi de plusieurs raids de l’aviation, d’après l’Observatoire syrien des droits de l’homme. Les avions du régime de Bachar al-Assad auraient visé l’aéroport de Taftanaz dont les insurgés auraient pris en partie le contrôle.

http://fr.euronews.com/2013/01/10/nouveaux-tirs-de-missiles-balistiques-en-syrie/

Le bombardement et les combats le 23 décembre près de la base aérienne militaire Nayrab et de l'aéroport international d'Alep, ont gravement endommagé l'hôpital Psychiatrique Ibn Khaldoun, situé dans l'est de la ville. Échappés de leur asile gravement endommagé par les obus, des handicapés mentaux errent ces dernières semaines dans les rues d'Alep, la métropole du Nord syrien, à la merci des tireurs embusqués. L'autre hôpital psychiatrique, Dar al-Ajaza, dans la vieille ville, est également la cible de bombardements et manque de nourriture depuis le début des combats en juillet, mais continue à fonctionner grâce au dévouement de plusieurs infirmiers et d'une position plus protégée.

http://www.lepoint.fr/monde/syrie-evades-de-leur-asile-des-handicapes-sont-la-cible-de-snipers-10-01-2013-1611887_24.php

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La Syrie a dénoncé jeudi la partialité flagrante de l’émissaire international Lakhdar Brahimi, qui avait critiqué mercredi le récent discours du président Bachar al-Assad.

Les déclarations de Lakhdar Brahimi montrent sa partialité flagrante en faveur des cercles connus pour leur conspiration contre la Syrie et le peuple syrien, affirme un responsable au sein du ministère des Affaires étrangères cité par la télévision officielle.(Afp)

Il semble que du point de vu Assad ,Mr.Brahimi a grillé le Joker lui permettant de voyager dans la region ?

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Les 48 Pasdaran/pèlerins chiites iraniens ont été libérés  contre plus de 2000 prisonniers ASL. Ca doit leur faire drôle du côté de Téhéran de gouter à leur propre recette de libération d'otage contre 50 ou 100 fois plus de prisonniers  :P

http://fr.news.yahoo.com/syrie-régime-libère-2-130-prisonniers-contre-48-102200757.html

Eh ben si Bechar a accède à libre 2000 syriens pro ASL contre 48 iraniens, ils doivent  le tenir par les c…. une preuve sur l’importance de l’Iran dans le conflit syrien.faut pas etre plus royaliste que le rois. ^-^

- Assad controle toutes les grandes villes au minimum en partie (y compris dans le nord et l'est). Homs est entièrement reprise.

Appart Damas  (et encore) aucune  des grandes villes est sou contrôle qui que ce soit,  alors là pour Homs ....

On peut même voir des chars de rebelles qui circule au environ de Damas.... le régime syrien a un sacre contrôle de la situation

- La zone alaouite est entièrement sure pour assad, l'essentiel de la région de damas lui est acquis (avec des zones insurgés principalement au sud et à l'est de damas) ainsi que le corridor entre les deux (sauf quelques passages à la frontière avec le liban).

donc pas  entièrement  ;)

- Les insurgés n'ont aucun territoire sanctuarisé, il s'agit plutot de poches mobiles de taille variable (principalement près de la frontière turque et dans la région d'alep) qui sont très imbriquées avec les zones pro-assad.

C’est plutôt l’armée du régime qui se cache dans des bases, poste de police et osent plus sortir autant que avant.... ils donnent plus l’impression de vouloir survivre plus que de vouloir récupère du terrain.

- Assad garde le monopole des moyens lourds et une armée avec des effectifs conséquents

.

bof , moi je vois une armée qui perd des effectifs et du matériels lourds chaque jours , ils arrivent même plus a encercle des villes , ils se cache dans leurs bases et envoi l'aviation bombarder à tort et à travers, j’ai plus l’impression qu’il évite de perdre leur effectifs plus vite , car le rapport de force a bien changer , les rebelles sont aussi nombreux que l’armée de Bechar

- L'insurrection est très divisée, infiltrée par les anciens d'al qaida en irak (al nosra), avec des mouvements concurrents qui ne peuvent pas monter d'opération de grande ampleur ni s'accorder sur un autre but que la chute d'assad.

Ils arrivent à isoles  des bases entier ! Plus les troupes de Bechar se trouves loin de Damas plus on note qu’ils sont à la dérive et a la défensif.

- Assad bénéficie du soutien des minorités (40% de la population) ainsi que de l'apathie de l'essentiel des sunnites (qui sans l'aimer aspirent à la paix) ce qui peut lui suffit pour être majoritaire.

D’où tu tien ce pourcentage?lol
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Il semble que du point de vu Assad ,Mr.Brahimi a grillé le Joker lui permettant de voyager dans la region ?

Mr brahmi a cru bon remettre Assad a sa place, c’est devenus pathétiques de voir un dictateur faire un discourt en différé et avoir  quasiment plus le contrôle sur aucune ville continue à parler comme au début de la révolte…. Tout comme Kadhafi, alors que même les russes commence à lui demander de regarder les choses en face , Bechar continue de faire comme si tout aller bien….

Donc brahmi qui est loin d’être un novice a cru bon envoyer un message claire a Bechar… il est temps d’assume que t plus en position de force ni en condition de exiger quoi que ce soit…

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Les rebelles syriens ont remporté vendredi une importante victoire en s'emparant du plus grand aéroport militaire du nord du pays au moment où Russes, Américains et le médiateur international Lakhdar Brahimi se réunissaient à Genève pour chercher une solution au conflit.

"Les combats dans l'aéroport militaire de Taftanaz ont cessé vers 11H00 (09H00) et cette base est totalement aux mains des insurgés. Il y a beaucoup de morts parmi les forces du régime. Une grande partie des soldats et des officiers ont fui à l'aube", a déclaré à l'AFP le directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), Rami Abdel Rahmane.

"Il s'agit de la prise de la plus importante base aérienne depuis de début de la révolte il y a 22 mois. Elle a été conquise par le Front al-Nosra, Ahrar al-Cham et Taliaa al-Islamiya", trois groupes radicaux islamistes, a-t-il précisé. Dans le passé, les rebelles avaient conquis deux aéroports de moindre importance, près de Bou Kamal (est) et dans la région de Damas.

Selon M. Abdel Rahmane, "le régime a toutefois réussi à déplacer vers la ville d'Idleb (à 20 km au sud-ouest de Taftanaz) un grand nombre de véhicules militaires mais une partie est tombée aux mains des rebelles".

Tenue par les forces du régime, la ville d'Idleb compte deux aéroports militaires dans sa périphérie, Taftanaz et Abou al-Zouhour, toujours aux mains de l'armée.

Taftanaz peut accueillir en temps normal 60 hélicoptères mais le régime les a tous retirés à l'exception d'une vingtaine inutilisables, selon l'OSDH, une ONG qui s'appuie sur un large réseau de militants et de médecins en Syrie.

Peu après la capture de la base, l'aviation du régime bombardait les pistes et les bâtiments pour les rendre inutilisables, selon l'OSDH.

http://fr.news.yahoo.com/syrie-aéroport-militaire-nord-quasiment-mains-rebelles-095552311.html

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Plus de 50 Etats vont, lundi 14 janvier, réclamer que le Conseil de sécurité des Nations unies saisisse la Cour pénale internationale (CPI) sur le dossier syrien, rapporte "le Monde" dans son édition datée du 12 janvier. Sur une initiative de la diplomatie helvétique, 53 pays (à ce stade), en majorité des Européens, remettront une lettre au secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, appelant à cette saisine.

Plus de 60.000 personnes sont mortes depuis le début du conflit syrien, selon l'ONU. Les crimes commis par le régime de Bachar al-Assad apparaît comme l'objet évident d'investigations de la CPI. Seulement, la Russie, alliée de Damas, pourrait bloquer l'initiative avec son droit de veto au Conseil de sécurité.

Les Etats-Unis, qui ne sont pas membre de la CPI, s'opposent également à cette saisine, précise "le Monde". Cette procédure bloquerait un éventuel départ de Bachar al-Assad vers l'étranger, selon eux.

http://fr.news.yahoo.com/syrie-enquête-cour-pénale-internationale-120309381.html

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Appart Damas  (et encore) aucune  des grandes villes est sou contrôle qui que ce soit,  alors là pour Homs ....

On peut même voir des chars de rebelles qui circule au environ de Damas.... le régime syrien a un sacre contrôle de la situation

donc pas  entièrement  ;)

C’est plutôt l’armée du régime qui se cache dans des bases, poste de police et osent plus sortir autant que avant.... ils donnent plus l’impression de vouloir survivre plus que de vouloir récupère du terrain. .

+1

@aqva : je suis un peu réservé sur la situation de l'armée syrienne qui m'a bien l'air bien défensive.

Par exemple : Taftanaz est sur le point de tomber, une base de plus, et pour la prendre les FSA ont utilisé de l'artillerie et un char.

Edit : Taftanaz est bien tombé :

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l'armée syrienne a pourtant mené des contre-offensives sévères sur plusieurs positions rebelles : les 2 batailles de Damas ont été favorables au régime jusqu'à maintenant ( pour mémoire on citait en novembre 40 000 rebelles aux portes de Damas )

A part Alep où la situation est figée ( les rebelles sont censés y encercler l'armée régulière depuis des mois ), aucune des grandes villes syriennes n'a été capturé par la rebellion et la plupart sont même complétement contrôlées par le régime soit disant à bout de souffle ( dont les rebelles annoncent la fin imminente depuis des mois )

Les vidéos de propagande ne montrent de la réalité que ceux que chaque camp veut bien montrer et sont donc à utiliser avec prudence

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l'armée syrienne a pourtant mené des contre-offensives sévères sur plusieurs positions rebelles : les 2 batailles de Damas ont été favorables au régime jusqu'à maintenant ( pour mémoire on citait en novembre 40 000 rebelles aux portes de Damas )

...

Sans parler de Homs, pourtant première ville "rebellée", qui a complètement disparue des radars, même sa reconquête est passée en catimini par les media.

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La Marine russe mènera des manœuvres militaires au large des côtes syriennes dans le cadre de la préparation aux exercices inter-flottes prévus fin janvier en mers Noire et Méditerranée, rapporte vendredi le ministère russe de la Défense.

http://fr.rian.ru/defense/20130111/197188667.html

En 2012, les Etats-Unis ont fourni pour 210 millions de dollars d'aide humanitaire aux Syriens touchés par le conflit armé dans leur pays, rapporte vendredi le département d'Etat américain.

http://fr.rian.ru/world/20130111/197187520.html

La Coalition de l'opposition syrienne exige de retirer au régime du président Bachar el-Assad le droit de représenter la Syrie à l'Onu et à la Ligue arabe, réclame les sièges du pays dans ces organisations, ainsi que les avoirs gelés de Damas, rapportent vendredi des médias internationaux.

http://fr.rian.ru/world/20130111/197195463.html

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Butin de Guerre récupéré par les rebelles avec la conquête de la base aérienne de Taftanaz, selon ces mêmes rebelles (donc à prendre avec des pincettes, même si des videos circulent sur internet montrant ce "butin", dont le deuxième que Debonneguerre a posté et que j'allais mettre pour illustré mon propos).

- 14 Hélicos (dumoins ce qui l'en reste  :P)

- 22 chars

- 6 transports de troupes blindés

- 4 "fuels tanks", que je laisse à chacun de traduire

- et des dépots de munitions

Dans un autre ordre, que penser de l'attaque revendiquée par les rebelles contre un convoi transportant l'embassadeur iranien, deux generaux russes, des officiers du Hezbollah (tien, ils ont des officiers au sens strict du terme?), accompagnés par des officiels syrien sur la route la mieux controlé par les forces syriennes? Confirmation en attente par videos en appuit...

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