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Guerre civile en Syrie


Messages recommandés

Sous Assad au moins, la frontière était calme. D'un coté, la menace conventionnelle syrienne n'existe plus (elle était minime sous Assad) mais d'un autre coté, des jihadistes s'installent à quelques  metres de la frontière, le jour ou une de nos patrouille essuiera un IED (j'espère que ça n'arrivera jamais), on risque de regretter le calme.

D'ailleurs il n'y a guère que Shimon Peres qui souhaite vraiment le départ de Bachar

Le président n'a aucun pouvoir en Israel et par ailleurs vu son age et son etat de santé, je doute qu'il soit réellement conscient de ce qui est en train de se passer.
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Donc en gros on a décidé de lever l'embargo sur les blindés, effectivement.

Quels sont les types de blindés autorisés ?

Que veut dire "non destinés au combat" ?

Pas grand chose.

C'est du travail de bureaucrate, sur commande de policitiens.

Portée mineure, pure intimidation destinée à Assad.

Comme le gusse est pas si bête il va lire entre les lignes et noté que ce texte, c'est du flanc.

Parce que quand bien même, on livrerait des blindés :

Le véritable besoin des insurgés se situerait plutôt au niveau de matériel lourd, alors quel char avec au moins du 90 pourrait-on livrer? :rolleyes:

Le temps de former les équipages. :rolleyes:

Répartir le matériel entre des groupes rebelles hétérogènes :rolleyes:

Ces groupes ont des gens susceptibles de les servir :rolleyes:

A moins de monter des colonnes en Turquie, je ne vois pas le sens que ça a aujourd'hui.

X Bertrand, sur BFM évoque plutôt la livraison de Missiles anti aériens.

Bon les insurgés en ont déjà, et ont déjà fait des cartons on se souvient des FN6 chinois.

Même si on généralise la dotation aux groupes rebelles, ca n'affectera pas la vraie résilience des troupes de assad, l'infanterie! Et sa cohésion, je ne suis pas un spécialiste de la société syrienne, mais je suis surpris depuis le début de cette histoire, des cartons que prend l'armée régulière et de sa capacité à se réorganiser et se redéployer, ca durera peut être pas éternellement mais bon, tant que Assad recoit du ravitaillement des russes et des iraniens il peut tenir encore un moment à ce rythme.

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Peut être que l'armée régulière n'a pas pris tant de "cartons" que ça.............

En 2 ans, ils ont perdu quoi ? une demi-douzaine ( une dizaine au max ) de casernes et bases

De plus beaucoup de villes prises ou quasiment prises par les insurgés ont été reprises par les forces régulières ( Hama, Homs notamment )

Ce qui serait bien, ça serait de savoir si l'armée de Assad s'est modifiée dans sa composition "communautaire" avec une plus forte proportion d'alaouites, de chrétiens et de druzes qu'avant ( ce qui serait une explication possible à sa combativité )

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Les choses tournent de quel côté? On le sait? Perso je ne suis pas ce conflit du tout, alors je m'interroge. Et comme nos médias font dans l'émotionnel et la pleurnicherie de bas étage, pour vendre leurs foutus papiers, on n'a pas d'infos fiables sur ce qu'il se passe militairement sur le terrain. Les Anglo-saxons qu'en disent-ils?

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Les choses ne tournent pour le moment pour personne :

L'insurrection n'arrive pas à vaincre le pouvoir en place ( il suffit de voir la situation bloquée à Alep depuis des mois alors que les insurgés sont censés contrôler les accès à la ville depuis l'automne ) qui lui même n'arrive pas à éteindre la guerrilla

Même le scénario d'une défaite du régime dans les zones sunnites et du repli de celui-ci en zone alaouite n'est plus d'actualité pour le moment.

Les combats se sont étendus aux zones frontalières notamment sur le Golan, à la frontière libanaise ( entre insurgés et hezbollah ) et par moment à la frontière turque dont le pays sert de base arrière ( camps d'entrainements, transferts d'armes etc ) à la rébellion 

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Sous Assad au moins, la frontière était calme. D'un coté, la menace conventionnelle syrienne n'existe plus (elle était minime sous Assad) mais d'un autre coté, des jihadistes s'installent à quelques  metres de la frontière, le jour ou une de nos patrouille essuiera un IED (j'espère que ça n'arrivera jamais), on risque de regretter le calme.

Le chaos engendré par cette guerre va certainement augmenter le sentiment d'insécurité des israeliens, mais tu conviendras que les IED aux frontieres ce n'est pas le meme niveau de menace strategique que l'était -sur le papier du moins- l'état syrien.

Et meme si les djihadistes et FM syriens se sont beaucoup aguerris, ils sont encore en dessous du "professionnalisme militaire" du Hezbollah.

Pour dire le fond de ma pensée, j'ai l'impression que les israeliens pensant qu'il n'y aura jamais de paix réelle avec les arabes en termes favorables, préfèrent du coup avoir affaire a des voisins hostiles mais qui soient pris dans un tel chaos interne qu'ils en deviennent inoffensifs.

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Sur l'embargo :

« L’embargo européen permet déjà un certain nombre de choses : livrer du matériel « non-létal », des véhicules blindés dits non-destinés au combat, et de former des troupes. Par ailleurs, l’embargo est assez surprenant à cet égard : il est permis à un Etat européen d’opérer des activités de courtage et de faciliter des transactions entre un Etat non-européen et la Syrie », explique Cédric Poitevin

http://www.lesoir.be/208798/article/actualite/monde/2013-03-15/l-europe-doit-elle-armer-l-opposition-syrienne

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Le chaos engendré par cette guerre va certainement augmenter le sentiment d'insécurité des israeliens, mais tu conviendras que les IED aux frontieres ce n'est pas le meme niveau de menace strategique que l'était -sur le papier du moins- l'état syrien.

Et meme si les djihadistes et FM syriens se sont beaucoup aguerris, ils sont encore en dessous du "professionnalisme militaire" du Hezbollah.

Pour dire le fond de ma pensée, j'ai l'impression que les israeliens pensant qu'il n'y aura jamais de paix réelle avec les arabes en termes favorables, préfèrent du coup avoir affaire a des voisins hostiles mais qui soient pris dans un tel chaos interne qu'ils en deviennent inoffensifs.

être confronté à l’état syrien était bien plus intéressant pour Israël dans la mesure où sa dissuasion tant conventionnelle que nucléaire sont opérante face à un acteur sensible à la rationalité des conflits qui règle les rapport entre états. un rapport symétrique avec un état capable de respecter et faire respecter un accord et préférable à une lutte asymétrique avec des groupuscules innombrables et incontrôlables de fait, par aucune autorité central. donc, voir la Somalie s’installer juste a coté ne doit pas les réjouir.

 

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Bonjour

Vraiment intéressant cette carte, même si je ne trouve pas quelle ressemble à la situation décrite . Les rebelles semblent plutôt fort  si on regarde les petits point rouge alors que je pensais que le régime était le plus fort. Si non les Kurdes sont toujours neutres ? Je trouve vraiment intéressant la position qu'ils ont pris, qui sait s'il ne pourrait pas devenir totalement indépendant à la fin? Ça pourrait peut-être refroidir un peu la région sur le long terme, surtout que j'ai l’impression, qu'ils sont les plus aptes a établir une démocratie laïc ^-^

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J'ai l'habitude de suivre l'évolution de la situation avec cette carte interactive qui est actualisée très souvent: http://en.wikipedia.org/wiki/Cities_and_towns_during_the_Syrian_civil_war.

Récemment un autre site a attiré mon attention: http://img.ly/images/Karybdamoid, dans lequel je détacherais la derniére carte actualisée de la situation générale datée du 12 Mars:

Image IPB

et celle à Alep datée de ce Dimanche:

Image IPB

On remarquera que l'armée syrienne a récemment rétablit une route de communication avec le reste de la Syrie au SudEst de l'aéroport, alors que celui-ci était coupé du reste du pays depuis l'automne comme l'a dit Loki.

Néanmoins, dans le même temps, les rebelles ont gagné du terrain au centre de la ville elle-même et au Sud Ouest.

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Une autre piste de compréhension qui s'articule sur les points précédemment cités :

Syrie : Le trajet des gazoducs qataris décide des zones de combat !

Selon toute vraisemblance, le dossier du gaz est « l’arrière plan » essentiel de la guerre contre la Syrie et plus particulièrement de la guerre qui frappe la région de Homs. Le quotidien Al-Akhbar a obtenu des informations en provenance de sources sûres qui se résument à dire qu’il existe un plan qatari, approuvé par l’administration US, dont l’objectif est la mise en place d’un nouveau gazoduc destiné au transport du gaz qatari vers l’Europe ; la Turquie et Israël étant parties prenantes.

De plus en plus, tout porte à croire que le gaz est le vrai fond du problème de la guerre contre la Syrie. C’est à partir de fuites émanant d’un géant pétrolier occidental que le quotidien Al-Akhbar a obtenu des informations, fiables, donnant les détails d’un projet qatari, soutenu par les États-Unis, et concernant la construction d’un nouveau gazoduc qui transporterait le gaz du Qatar vers l’Europe via la région syrienne de Homs. Cette ville et sa région sont donc le « nœud » ou le « cœur géographique » de ce projet qui, du même coup, offrirait des avantages stratégiques à la Turquie et à Israël dans l’équation du commerce gazier mondial.

Ce nouveau gazoduc devrait emprunter une « voie terrestre » qui démarre du Qatar, traverse le territoire saoudien, puis le territoire jordanien évitant ainsi le territoire irakien, pour arriver en territoire syrien et plus précisément à Homs. À partir de Homs le gazoduc devrait bifurquer dans trois directions : Lattaquié sur la côte syrienne, Tripoli au nord du Liban, Turquie.

Le but principal de ce projet est d’acheminer le gaz qatari et israélien vers le continent européen pour le distribuer à toute l’Europe, avec un triple objectif. Le premier : casser le monopole gazier russe en Europe. Le second : libérer la Turquie de sa dépendance du gaz iranien. Le troisième : donner à Israël une chance d’exporter son gaz vers l’Europe par voie terrestre et au moindre coût.

Pourquoi Homs ?

Globalement, les objectifs cités plus haut ne pourraient être atteints si l’itinéraire du gazoduc rêvé ne passait pas par la région de Homs destinée à être « le carrefour principal du projet », parce que le gaz qatari ne dispose pas d’alternative pour rejoindre l’Europe, sinon que de recourir à de gros porteurs par voie maritime ; ce qui serait plus long, d’un coût plus élevé, et non sans danger pour certaines zones du parcours. 

Selon les informations issues de cette même compagnie pétrolière occidentale, le Qatar envisage aussi d’acheter mille cargos pour développer sa flotte maritime de transport du gaz avec l’ambition de s’impliquer dans un projet américain beaucoup plus vaste destiné à revoir l’équation du commerce gazier mondial. À la clé, deux modifications significatives. La première est fonction des découvertes de gaz en mer Méditerranée par Israël. La seconde est fonction de l’éventuelle exploitation des événements en Syrie, après création d’une situation politique qui permettrait de faire de Homs le carrefour principal de l’exportation du gaz qatari et israélien vers l’Europe.

Toujours selon ces mêmes sources, les zones du territoire syrien où les bandes armées de la dite « opposition syrienne » bénéficient du soutien US, qatari et turc – c’est-à-dire, le nord, Homs, et les envions de Damas – se superposent à celles du trajet que devrait suivre le gazoduc dans sa route vers la Turquie et Tripoli, si jamais elles finissaient par tomber sous le contrôle des forces de l’opposition inféodée aux trois parties. En effet, la comparaison de la carte des zones de combat avec celle du tracé du gazoduc qatari démontre bien la relation entre l’activisme armé et l’objectif de contrôler, coûte que coûte, ces zones syriennes.

Une fois arrivé en Syrie, le gazoduc devrait suivre deux lignes. La première irait des environs de Damas pour arriver à une trentaine de Kms de deux carrefours qui seraient An-Nabk et Al-Kussayr, puis de Homs il se dirigerait vers Tripoli et Lattaquié via Talbisseh et Al-Rastan. La deuxième ligne devrait parcourir le nord de la Syrie en allant de Homs vers Maarat al-Nu’man puis Idlib, avant de rejoindre la Turquie. Autant de villes syriennes que l’opposition armée cherche effectivement  à contrôler.

Les mêmes sources affirment que de leur point de vue, Robert Ford [Ambassadeur des USA en congé de la Syrie, NdT] et Frederick Hoff [Le chargé du dossier gaz au Levant] sont tous deux membres de la « Cellule de crise syrienne aux USA » et se partagent les rôles. Le premier organise les activités de l’opposition armée anti-syrienne sur le terrain, de manière à ce qu’elles répondent aux exigences de la mise en place du gazoduc qatari, dont le tracé a été préalablement concocté par le second. De plus, Robert Ford a reçu une nouvelle charge consistant à mettre en place un mini-gouvernement syrien, à l’étranger, ayant des ramifications au sein des groupes et organisations armées sévissant dans le nord de la Syrie, à Damas et à Homs dans le but de réussir la partition de la Syrie selon une carte superposable à celle des deux lignes du gazoduc, celle allant vers la Turquie, et celle allant vers Tripoli au Liban ; tout en ménageant d’autres régions pour le « régime » [!?; NdT]

Avantages pour la Turquie

Ce projet de gazoduc procure à la Turquie de multiples avantages stratégiques et économiques. Un : elle deviendrait un passage vital pour l’Europe qui pourrait ainsi diversifier ses sources de gaz pour ne plus dépendre que du gaz russe ; ce que les USA encouragent vivement. Deux : elle pourrait réaliser son vœu d’entrer dans le club européen. Trois : elle serait soulagée de ne plus dépendre quasi-totalement du gaz iranien ; ce qui ajouterait à sa valeur géostratégique. Quatre : elle réduirait sa facture énergétique exorbitante et toucherait, en plus de tout le reste, les dividendes payés par le Qatar et Israël pour le droit de passage de leur gazoduc à destination de l’Europe.

Avantages pour Israël

Du même coup, Israël serait candidate à devenir à son tour un « Émirat gazier majeur » en l’espace de cinq ans environ, du fait  de son exploitation du gaz  des deux champs « Leviathan » et « Tamar » partagés avec le Liban. Selon des études françaises, les capacités de ces gisements dépassent celles de « North Dome-South Pars » commun au Qatar et à l’Iran, et considéré comme le plus grand champ gazier du monde… Israël et le Qatar ont donc besoin d’emprunter la route de Homs vers l’Europe, parce que les alternatives sont très coûteuses, d’autant plus que le « Canal de Suez » n’est pas adapté à recevoir les gros cargos de pétrole et de gaz prévus à cet effet.

Avantages pour le Liban ?

Il n’est pas inintéressant de noter la remarquable transformation positive de l’attitude de Doha à l’égard du Premier ministre libanais Najib Mikati, lors de sa dernière visite au Qatar. Non seulement le boycott diplomatique et économique est levé, mais l’ouverture est totale. On ne menace plus d’expulser les libanais travaillant sur le territoire qatari. On propose la mise en place de projets de développement pour soutenir et renforcer la stabilité économique du pays. Encore mieux, on se propose d’offrir une assistance financière au port de Tripoli, lequel est destiné à suppléer au port syrien de Lattaquié en cas de nécessité. Il n’est pas inintéressant, non plus, de noter que la raffinerie de Tripoli ne fonctionne plus depuis des années, mais qu’existent toujours des réservoirs de stockage de pétrole, non de gaz. Mais il est parfaitement possible de réhabiliter le port et d’y amener les installations nécessaires à la liquéfaction et au stockage du gaz. En même temps, ce serait l’une des options d’expédition du gaz qatari vers l’Europe !

Et la Russie dans tout ça ?

Toujours selon les mêmes sources, la Russie aurait informé le Liban qu’elle ne sera pas d’accord avec ce dernier projet d’exploitation du gaz méditerranéen avant d’obtenir des garanties de l’Occident lui attestant qu’il ne chercherait pas à changer le « régime » en Syrie ; exigence qui ne serait nullement incompatible avec la poursuite des travaux de prospection gazière par des sociétés russes dans le secteur. Ceci, parce que ces sociétés ne doivent pas s’absenter au moment du boom gazier méditerranéen ; sans oublier que l’Iran, l’Irak, et la Syrie ont un projet commun partant de leurs propres territoires. Il consiste tout simplement à ce qu’un gazoduc iranien, traverse l’Irak pour arriver à Homs, avant de bifurquer vers Lattaquié et Tripoli…

Depuis le quotidien Libanais :

http://www.al-akhbar.com/node/171421

Article traduit de l’arabe par Mouna Alno-Nakhal pour Mondialisation.ca

Lire aussi :

Syrie : La guerre pour le gaz !

Un conflit international à manifestation régionale

http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=30652

Liban : La ligne bleue maritime au service de l’ambition israélienne !

La guerre pour le gaz ne concerne pas que la Syrie…

http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=30841

Cartes :

Russes contre Américains (pour faire court) :

Image IPB

Projet "Nabucco" :

Image IPB

Projet concurrent Russe "North Stream" :

Image IPB

Projets d'exploitations marines régionaux :

Image IPB

A lire sur le projet Nabucco. Il est important de noter que Nabucco devait être relié aux gisements Iraniens (...) et ne pas passer par la Syrie.

Sauf bien sûr, si le Qatar et d'autres émirats (Barhein, Arabie Saoudite) pensent à connecter leurs champs gaziers à l'Europe. L'article date de 2010.

http://www.nouvelle-europe.eu/node/780

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Pas grand chose.

C'est du travail de bureaucrate, sur commande de policitiens.

Portée mineure, pure intimidation destinée à Assad.

Comme le gusse est pas si bête il va lire entre les lignes et noté que ce texte, c'est du flanc.

Parce que quand bien même, on livrerait des blindés :

Le véritable besoin des insurgés se situerait plutôt au niveau de matériel lourd, alors quel char avec au moins du 90 pourrait-on livrer? :rolleyes:

Le temps de former les équipages. :rolleyes:

Répartir le matériel entre des groupes rebelles hétérogènes :rolleyes:

Ces groupes ont des gens susceptibles de les servir :rolleyes:

A moins de monter des colonnes en Turquie, je ne vois pas le sens que ça a aujourd'hui.

X Bertrand, sur BFM évoque plutôt la livraison de Missiles anti aériens.

Bon les insurgés en ont déjà, et ont déjà fait des cartons on se souvient des FN6 chinois.

Même si on généralise la dotation aux groupes rebelles, ca n'affectera pas la vraie résilience des troupes de assad, l'infanterie! Et sa cohésion, je ne suis pas un spécialiste de la société syrienne, mais je suis surpris depuis le début de cette histoire, des cartons que prend l'armée régulière et de sa capacité à se réorganiser et se redéployer, ca durera peut être pas éternellement mais bon, tant que Assad recoit du ravitaillement des russes et des iraniens il peut tenir encore un moment à ce rythme.

Samir Nashar, un homme d'affaires d'Alep membre fondateur de la « Coalition nationale des forces de l'opposition et de la révolution » dit :

“How will armored cars protect us from SCUD missiles and barrel bombs?”

Comment des automobiles blindées pourront-elles nous protéger des missiles SCUD et des bombes du type "barrel bomb" (comment traduit-on "barrel bomb" en français ?)

http://www.mcclatchydc.com/2013/02/28/184515/us-vow-of-non-lethal-aid-for-syrian.html#storylink=cpy

Vraiment intéressant cette carte, même si je ne trouve pas quelle ressemble à la situation décrite . Les rebelles semblent plutôt fort  si on regarde les petits point rouge alors que je pensais que le régime était le plus fort.

Avec les avions et les missiles, il y a une supériorité aérienne gouvernementale semble-t-il. Si je ne m'abuse, les rebelles peuvent prendre des villes uniquement à condition de rester bien cachés, enterrés, de façon à ne pas offrir de cibles faciles à l'aviation. Donc ce contrôle des villes par les rebelles reste assez précaire, semble-t-il.

J'ai l'habitude de suivre l'évolution de la situation avec cette carte interactive qui est actualisée très souvent: http://en.wikipedia.org/wiki/Cities_and_towns_during_the_Syrian_civil_war.

Récemment un autre site a attiré mon attention: http://img.ly/images/Karybdamoid, dans lequel je détacherais la derniére carte actualisée de la situation générale datée du 12 Mars:

http://img.ly/system/uploads/006/996/040/large_SyriaMapMar12.jpg

et celle à Alep datée de ce Dimanche:

http://img.ly/system/uploads/007/024/296/original_AleppoBases2.jpg

On remarquera que l'armée syrienne a récemment rétablit une route de communication avec le reste de la Syrie au SudEst de l'aéroport, alors que celui-ci était coupé du reste du pays depuis l'automne comme l'a dit Loki.

Néanmoins, dans le même temps, les rebelles ont gagné du terrain au centre de la ville elle-même et au Sud Ouest.

Ces cartes sont très intéressantes. Cependant je me demande s'il ne faudrait pas insérer dans la légende une nouvelle couleur pour distinguer les forces salafisto-djihadistes ne reconnaissant pas la Coalition d'opposion :

The rebels, from Ahrar al Sham, one of the largest anti-Assad armed groups, and Jabhat al Nusra, a faction that the United States claims is part of the terrorist group al Qaida in Iraq, took over the capital of Raqqa province last week and now also are in control of major parts of Hasaka and Deir al Zour provinces.

Les rebelles d'Ahrar al Sham, l'un des plus importants groupes armés anti-Assad, et de Jabhat al Nusra, une faction considérée par les Etats-Unis comme faisant partie d'Al Qaida, ont pris la capitale de la province de Raqqa la semaine dernière et contrôlent maintenant la majeure partie des provinces de Hasaka et Deir al Zour.

http://www.mcclatchydc.com/2013/03/15/186043/islamist-rebels-consolidating.html#storylink=misearch#storylink=cpy

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Article paru en décembre 2012 explicitant quelque peu un certain état d'esprit allemand : parvenir à tout prix à une solution négociée - s'inquiéter de toute situation donnant à penser à une partie du conflit qu'elle peut gagner :

Muriel Asseburg, Heiko Wimmen

Civil War in Syria

External Actors and Interests as Drivers of Conflict

SWP Comments 2012/C 43, December 2012, 7 Pages

The armed conflict in Syria has accelerated in recent months. Both regime and rebels see themselves in a fight for survival that leaves no room for compromise. External supporters of both sides treat the conflict as a zero-sum game with far-reaching and, for some actors existential, consequences for their own strategic positions, and are therefore determined to prevent any outcome they would regard as disadvantageous. Their diplomatic, financial and in some cases military support fans the flames of conflict and strengthens the hand of hardliners on both sides. For the foreseeable future, there is good reason to expect that the conflict will be neither resolved politically nor won militarily. The priority for Europeans should be to stem the violence and support inclusive civilian structures; the latter could contribute to improving living conditions at the local level and counteracting radical and centrifugal tendencies.

http://www.swp-berlin.org/fileadmin/contents/products/comments/2012C43_ass_wmm.pdf (7 pages en anglais)

Ahrar al Sham et Jabhat al Nusra sont les principaux groupes incorporant des combattants saoudiens (par centaines) selon http://www.globalpost.com/dispatch/news/regions/middle-east/saudi-arabia/130312/saudi-youth-fighting-assad-regime-syria . Ce que souligne cet article est que la guerre de Syrie actuelle, par certains aspects, rejoue la guerre d'Afghanistan des années 1980 où Américains et Saoudiens sont alliés contre le régime pro-Russe (soviétique) d'Afghanistan.

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Cette histoire de gazoduc est très dur a  avaler ... On fait pas une guerre-civil de plusieurs années juste pour installer un gros tuyau alors qu'on pourrait simplement discuter et trouver un accord  :-[

Quand on sait que la CIA a destabilise le Guatemala avec une guerre civile qui a dure pres de 36 ans, en faisant tache d'huile partout autour (Nicaragua, Honduras, Salvador, Equateur) pour qu'une compagnie americaine d'importation fruitiere  (unitied fruit company) puisse garder son monopole:

http://en.wikipedia.org/wiki/1954_Guatemalan_coup_d%27%C3%A9tat

Non, cela me parait loin d'etre impensable, bien au contraire, ce sont exactement ces raisons la qui poussent des interets (US/monarchies sunnites) a faire s'entendre ou se dechirer des populations civiles, via des effecteurs comme des services secrets ou des groupes terroristes/rebelles quand ces interets veulent agir sur un terrain qui n'est pas le leur, qui plus est, qui depend d'un gouvernement qui leur est peu receptif, voire hostile/dependant d'autres interets qui ont une autre partition a jouer (Russie/Iran).

Lecture interessante s'il en est, je pense qu'on peut facilement croiser les infos pour se convaincre de la veracite de ce qui est raconte:

http://www.informationclearinghouse.info/article4068.htm

J'imagine que le deuxieme bureau a eut aussi son lot d'action du meme genre, en Afrique notamment, mais le "palmares" de la CIA (estime a 6 millions de morts en 1987 d'apres cette lecture) est proprement terrifiant.

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Quand on sait que la CIA a destabilise le Guatemala avec une guerre civile qui a dure pres de 36 ans, en faisant tache d'huile partout autour (Nicaragua, Honduras, Salvador, Equateur) pour qu'une compagnie americaine d'importation fruitiere  (unitied fruit company) puisse garder son monopole:

http://en.wikipedia.org/wiki/1954_Guatemalan_coup_d%27%C3%A9tat

C'était pas plutôt dans le cadre de la guerre froide ?

L'opération PBSUCCESS (début 1953 – fin 1954) est une opération secrète organisée par la Central Intelligence Agency pour renverser le président du Guatemala Jacobo Arbenz Guzmán, démocratiquement élu. Le gouvernement d’Arbenz projetait des nouvelles réformes que les services de renseignement des États-Unis jugeaient de nature communiste.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_PBSUCCESS

Parce que si c'est juste pour ça c'est simplement ridicule et d'ailleurs il est pas prêt d'être construire ce gazoduc avec la situation actuelle. C'est comme dire que les américains sont allés en Irak pour le pétrole alors que cette même guerre à coutée  6 000 000 000 000$...  Je suis septique  :-\

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On parle des ressorts qui ont impulses ces actions, pas d'une explication rationnelle  ;)

Tu trouve que c'est une explication plus rationnelle de dire que les US sont aller declencher une guerre qui a dure 36 ans et fait entre 140000 et 200000 victimes, parce qu'un directeur d'agence de renseignement, au nom de la guerre froide et en pleine periode de paranoia ambiante, a juge un projet de loi d'etre de "nature communiste, pret a etre vote dans un petit pays rural situe a plus de 1000km de ses frontieres?

Si United Fruit Company n'avait pas eut d'interets dans cette partie du monde et de puissant lien avec l'administration Truman puis Eisenhower, crois tu que la CIA y serait aller mettre son nez? ben oui, juste "pour ca"

Bizarrement cette compagnie a change de nom pour devenir United Brands en 1970 puis Chiquita en 1984...

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L'OTAN a déployé des missiles Patriot au sud de la Turquie pour protéger ce pays dans le contexte de la guerre en Syrie. La vidéo officielle de l'OTAN, postée sur youtube le 28 janvier 2013 montre des militaires allemands et danois, et la réaction de la population civile turque :

Les Allemands se sont plaint de ne pas être très bien accueillis (un gradé turc qui en serait venu aux mains durant une engueulade, des sanitaires insuffisants, et l'impression générale que les Turcs sont fuyants, refusant le contact...), mais on a promis que tout allait s'améliorer : http://www.spiegel.de/politik/ausland/patriot-einsatz-tuerkei-weist-vorwuerfe-von-bundeswehrsoldaten-zurueck-a-886699.html (4 mars 2013).

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L'aviation syrienne a bombardé lundi 18 mars, pour la première fois, la frontière libanaise, dans l'est du pays, a affirmé une source militaire libanaise, une information peu après confirmée par les Etats-Unis.

Le département d'Etat américain a souligné que ces bombardements représentaient "une escalade significative" dans le conflit. "Des avions et des hélicoptères du régime syrien ont tiré des roquettes sur le nord du Liban, touchant Wadi Khail, près de la ville frontalière d'Arsal. Cela représente une escalade significative dans les violations de la souveraineté territoriale libanaise dont la Syrie se rend coupable", a déclaré la porte-parole du département d'Etat, Victoria Nuland.

Arsal est une localité sunnite située sur la frontière avec la Syrie. Les habitants soutiennent la rébellion contre Bachar Al-Assad. Son relief montagneux et désertique est propice au passage des armes et des combattants.

Jeudi, le ministère syrien des affaires étrangères a menacé de frapper en territoire libanais les "bandes armées" passant clandestinement en Syrie. Après cette mise en garde, le président libanais avait affirmé que la stabilité du pays est l'affaire "de nous tous... Il ne faut pas envoyer des militants en Syrie et ne pas en recevoir (...) Nous devons maintenir notre neutralité", dans le conflit syrien.

Dans une déclaration adoptée jeudi, les membres du Conseil de sécurité de l'Organisation des nations unies se sont dits "très inquiets" des "incidents frontaliers répétés" entre les deux pays. Dans une rare unité sur ce sujet sensible, les quinze membres du Conseil ont également dit redouter "l'impact de la crise syrienne sur la stabilité du Liban", dans un communiqué publié à l'issue du vote.

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2013/03/18/l-armee-syrienne-bombarde-la-frontiere-libanaise-pour-la-premiere-fois_1850087_3218.html

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Le département d'Etat américain a souligné que ces bombardements représentaient "une escalade significative" dans le conflit. "Des avions et des hélicoptères du régime syrien ont tiré des roquettes sur le nord du Liban, touchant Wadi Khail, près de la ville frontalière d'Arsal. Cela représente une escalade significative dans les violations de la souveraineté territoriale libanaise dont la Syrie se rend coupable", a déclaré la porte-parole du département d'Etat, Victoria Nuland.

Arsal est une localité sunnite située sur la frontière avec la Syrie. Les habitants soutiennent la rébellion contre Bachar Al-Assad. Son relief montagneux et désertique est propice au passage des armes et des combattants.

Je trouve cette vive critique un peu de mauvaise fois puisqu'au final c'est de bonne guerre dans cette sale guerre, surtout que les Américains font exactement la même chose au Pakistan dans le cadre de leur guerre en Afghanistan.  Le Liban ne peu  pas à se plaindre de l’intrusion sur son territoire si elle n'est pas capable d’empêcher les rebelles d'utiliser son territoire pour leur guerre...

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Les Américains viennent de nous sortir un nouveau Lapin du chapeau, il s'appelle Ghassan Hitto. Américain d'origine Syrienne, l'ex-directeur d'une entreprise Texane de télécommunications vient d'être élu "Premier Ministre de l'opposition" à Istanbul en Turquie.

La Coalition nationale de l'opposition syrienne a désigné lundi 18 mars à Istanbul Ghassan Hitto, un cadre dirigeant d'entreprise de haute technologie qui a longtemps vécu aux Etats-Unis, premier ministre intérimaire des territoires syriens aux mains de la rébellion. Le nouvel élu l'a emporté "avec 35 voix sur 49", a annoncé Hicham Marwa, membre de la Coalition, après le dépouillement des bulletins de vote.

Le scrutin s'est tenu après 14 heures de consultations entre les quelque 70 membres de la Coalition. Plusieurs ont refusé de participer au vote, témoignant de la persistance de divisions au sein de l'opposition, mais Ghassan Hitto était présenté comme un candidat de consensus satisfaisant à la fois les courants islamistes et libéraux de l'opposition

Jusqu'à l'an dernier, le nouveau premier ministre était cadre supérieur dans une compagnie de télécommunications au Texas. Après avoir mis sur pied en 2011 la Shaam Relief Foundation afin de lever des fonds et venir en aide à la population syrienne, il a quitté son poste en novembre 2012 pour "rejoindre les rangs de la révolution". Devenu directeur de la branche chargée de l'assistance humanitaire de la Coalition nationale syrienne, le plus important regroupement de l'opposition reconnu par des dizaines de pays et organisations, il a pressé la communauté internationale d'agir plus pour aider les personnes déplacées par le conflit.

"L'ESPOIR VIENT DE DIEU"

Massif, cheveux noirs et petite moustache grise, grosses lunettes, souvent vêtu d'un T-shirt et d'un jeans, il emploie dans ses discours un vocabulaire religieux et une intonation très américaine. "L'espoir vient de Dieu. Nos frères et sœurs à l'intérieur de la Syrie l'ont compris depuis longtemps. (...) Il nous aime et prendra soin de nous (...) Il apportera les secours, Il prendra soin du peuple de Syrie, Il nourrira et défendra le peuple syrien. Lui seul peut le faire mais nous devons agir aujourd'hui", avait-il ainsi martelé l'an dernier lors d'une réunion aux Etats-Unis en faveur de la Syrie.

Je ne peux m'empêcher de penser à Ahmid Karzaï, un autre "Lapin" sorti d'un autre chapeau dans un autre pays en conflit :

Hamid Karzai est repéré dans les années 1990 par Zalmay Khalilzad, un Afghan naturalisé citoyen américain en 1984 faisant partie de la RAND Corporation, un think tank proche de l'administration américaine, qui sera ambassadeur des États-Unis en Afghanistan. Sur ses conseils, le département d'État décide de promouvoir sa candidature comme futur président ; pour lui donner une légitimité, il est envoyé en Afghanistan en octobre 2001 pour rassembler quelques tribus pachtounes contre les talibans, les actes de guerre étant en fait largement effectués par les forces spéciales américaines et britanniques.

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c'est très moche et très bète, les bras m'en tombe.  Je connai pas le mec mais effectivement

1 ça pue l'envoyé de Washington

2 il n'est ni militaire ni paramilitaire ni mème pompier volontaire.

et putain c'est la guerre. il leur faudrait un de Gaulle ou un arafat, pas un cadre sup d'une entreprise du texas.

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Arsal est une localité sunnite située sur la frontière avec la Syrie. Les habitants soutiennent la rébellion contre Bachar Al-Assad. Son relief montagneux et désertique est propice au passage des armes et des combattants.

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2013/03/18/l-armee-syrienne-bombarde-la-frontiere-libanaise-pour-la-premiere-fois_1850087_3218.html

Cela montre que pour l'instant ces forces anti-Assad qui utilisent le Liban ne sont pas sous le commandement militaire de la "Coalition anti-Assad" reconnue par les Occidentaux. Parce que si c'était le cas, on pourrait faire pression diplomatiquement sur ces groupes pour leur interdire d'utiliser le Liban comme base arrière, c'est à dire que si dans un cas de force majeure, ils sont obligés de se replier sur le Liban, alors qu'ils rendent leurs armes et se constituent prisonniers du gouvernement libanais comme l'armée de Bourbaki en Suisse en 1871.

Omar Hossino, Américain d'origine syrienne, s'est rendu dans les régions du nord de la Syrie sous contrôle des forces rebelles. Malgré la montée en puissance des islamistes et du sectarisme, l'esprit laïque qui prévalait au début de la révolution est toujours là, témoigne-t-il.

Traduit par Sarah Asmeta

Cet article a auparavant été publié dans la revue américaine Foreign Policy,

Omar Hossino est un chercheur en sciences politiques américain d'origine syrienne, rentré récemment d'un séjour dans les zones libérées de Syrie.

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-orient/syrie-la-revolution-laique-en-resistance_1231087.html

Deux ans après le début du soulèvement contre le régime de Bachar el-Assad, le politologue Ziad Majed a répondu aux questions des internautes de L'Express sur les implications de cette guerre dévastatrice et les perspectives de sortie de crise.

http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-orient/syrie-seule-la-chute-du-regime-source-de-la-violence-peut-mettre-fin-au-desastre_1232612.html

les engins explosifs improvisés comptent parmi les armes les plus efficaces. Détruisant les véhicules du régime, arrêtant des convois de ravitaillement et infligeant des pertes lourdes aux troupes du gouvernement dans les zones où la résistance armée est forte, ils ont permis l’apparition de vastes zones tampon virtuellement libérées de la présence ennemie.

http://www.lalibre.be/actu/international/article/803807/le-regime-syrien-va-vers-une-mort-lente-et-douloureuse.html

« Nous n’avons pas eu de problème avec eux [Al-Nosra] jusque-là », indique le père de famille, tout en ajoutant « nous avons peur d’eux - et nous ne sommes pas les seuls, les soldats de l’ASL aussi. À Deir Ezzor, tout le monde a peur d’eux  : ils sont très forts et mieux armés que les autres rebelles ».

http://www.armenews.com/article.php3?id_article=87895

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