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Crise financière mondiale [info only]


debonneguerre
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Très original ce Draghui dans sa façon de faire  :P, même la bourse semble s'en tamponner du taux à 0.5%.

Le taux de la BCE au plus bas, le CAC 40 réagit timidement

Le marché parisien évolue pratiquement à l’équilibre ce jeudi après la décision de la Banque centrale européenne d’abaisser son principal taux directeur à 0,5 %, un nouveau plus bas historique.

La Bourse de Paris reste sur la défensive après la décision de la Banque centrale européenne, d’abaisser son principal taux directeur d’un quart de point à 0,5 %, un nouveau plus bas historique. Peu après cette annonce, le CAC 40 avance symboliquement de 0,03 % à 3857,83 points.

La suite :

http://bourse.lefigaro.fr/indices-actions/actu-conseils/le-taux-de-la-bce-au-plus-bas-le-cac-40-reagit-timidement-414106

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Très original ce Draghui dans sa façon de faire  :P, même la bourse semble s'en tamponner du taux à 0.5%.

Le taux de la BCE au plus bas, le CAC 40 réagit timidementLa suite :

http://bourse.lefigaro.fr/indices-actions/actu-conseils/le-taux-de-la-bce-au-plus-bas-le-cac-40-reagit-timidement-414106

C'est quoi le risque principal d'une baisse du taux directeur? l'Inflation?

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C'est quoi le risque principal d'une baisse du taux directeur? l'Inflation?

Le risque? deux choses :

_à l'instant T passer le taux à 0.5 ne va pas changer grand chose, c'est pas cette baisse de taux qui va pousser les banques à réinjecter du cash dans l'économie réelle. Ce que je voulai dire, c'est que c'est une mesure qui donne l'illusion de, mais ne sert à rien...allez un peu plus de cash pas cher pour les banques histoire de faire du trading court terme à moindre cout, plus de marge pour les départements BFI des banques...c'est tout. Les problèmes sont ailleurs et Draghui n'a rien de mieux à proposer que Bernanke.

_Sur le moyen/long terme, ca aggrave la qualité du bilan de la BCE, et indirectement la qualité de l'EURO, donc oui le risque d'inflation sur la zone EUR existe, mais il existe aussi au japon, sur la zone dollar, tout le monde se tient par la barbichette...certains parlent de guerre froide des changes, chaque monnaie étant soumise à ses propres contingences politique et économique.

C'est une non nouvelle cette baisse de taux ca confirme juste l'impuissance des politiques ou leur incurie, et que l'ère des branleurs des BFI n'est pas encore terminée.

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N'est ce pas une preuve que ce n'est pas l'offre de capitaux qui détermine l'investissement productif ?

Néanmoins l'inflation pourrait arriver si des signaux positifs venant de l’économie réelle se multiplient. Finalement cette situation ou on se gave sur les marchés tout en ayant un chômage qui explose (ce qui protège de l'inflation) arrange bien une certaine frange de la population non ?

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/04/26/20002-20130426ARTFIG00449-des-etats-unis-a-la-france-les-riches-sont-plus-riches-et-les-pauvres-plus-pauvres.php

http://bourse.lefigaro.fr/indices-actions/actu-conseils/des-bonus-en-hausse-de-14-pour-les-traders-de-bnp-paribas-409818

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@Montgros : il n'y a pas d'axiome sur la relation offre de capitaux et investissement productif, mais oui aujourd'hui dans le contexte qui est le nôtre ca n'a pas d'influences.

Et oui, le statu quo actuel profite aux plus riches, enfin aux riches du monde qui n'est plus, parce que finalement on n'accepte pas que tout a changé, que le mythe du village global des bisounours est une arnaque.......ce qui ruine le "peuple" on l’appellera comme ca, c'est ce refus des politiques de prendre en compte la nouvelle donne : lâches, traitres, corrompus..les3? appelez les comme vous voulez.

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Le problème c'est que les entreprises ne demande pas de cash en ce moment, on est en surproduction partout ou presque, et il n'y a pas beaucoup de secteur sous financé avec un sérieux espoir de retour.

Il y a bien une défaut de demande par rapport a la capacité de production.

Le souci c'est que le défaut de demande et le défaut d'investissement est lié au moral des clients et des producteurs ... pas tant au manque d'argent frais. Tout le monde se voit en phase de déflation de longue durée ... d'un coté on épargne de l'autre on se contente de baisser ses cout et de réduire sa voilure le temps que l'orage passe, en réinvestissant les économies réalisé dans quelques projet de crise. Rien de très folichon.


AFP - Bruxelles a décidé de desserrer la bride de l'austérité à certains pays de la zone euro, dont la France, en accordant vendredi des délais pour ramener les déficits publics dans les clous, après avoir dressé un tableau très sombre de l'économie européenne.

La Commission s'est dite prête à accorder à la France un délai de deux ans, soit jusqu'en 2015, pour ramener son déficit public sous les 3% du PIB, et a confirmé son intention de laisser aussi deux ans de plus à l'Espagne.

Le déficit de la France devrait en effet atteindre 3,9% cette année et 4,2% l'an prochain, selon les nouvelles prévisions économiques de la Commission qui table aussi sur une récession cette année (-0,1%) pour la 2e économie de la zone euro.

"Etant donné la situation économique, il serait raisonnable de prolonger de deux ans le délai", pour revenir sous la barre des 3%, a déclaré le commissaire européen aux Affaires économiques, Olli Rehn, au cours d'une conférence de presse.

Les prévisions du gouvernement français sont "excessivement optimistes", a-t-il jugé, enjoignant Paris à faire "des efforts beaucoup plus importants et urgents".

L'Espagne devrait obtenir jusqu'à 2016 pour repasser en dessous des 3%, ce qui reste une gageure compte tenu du déficit de 7% prévu en 2014.

Pour les autres Etats membres, Bruxelles en reste au calendrier déjà défini. Elle envisage cependant d'accorder un an à certains d'entre eux, notamment les Pays-Bas.

Concernant l'Italie, qui vient de se doter d'un nouveau gouvernement, M. Rehn a promis une sortie de la procédure de déficit excessif si le pays parvient à rester durablement sous la barre des 3% et met en oeuvre des réformes structurelles. Selon les prévisions de la Commission, le déficit public de l'Italie doit être de 2,9% cette année et de 2,5% en 2014.

Mais le nouveau chef du gouvernement, Enrico Letta, a annoncé une série de mesures de relance qui ont été évaluées à quelque 10 milliards d'euros, et la Commission attend d'ici la fin du mois que Rome lui fournisse le détail des mesures prévues pour ne pas alourdir son déficit.

Ces gestes de bonne volonté de Bruxelles surviennent alors que les Européens sont divisés sur la marche à suivre face à l'impopularité croissante des politiques d'austérité, accusées d'avoir accentué la récession.

[Principaux indicateurs de l'économie de la zone euro, selon les prévisions de la Commission européenne]

Principaux indicateurs de l'économie de la zone euro, selon les prévisions de la Commission européenne

Confrontée à une demande intérieure en berne et à un chômage de masse qui touche 12% de la population active, et affecte plus d'un jeune sur deux en Espagne et en Grèce, l'économie de la zone euro est morose.

"Nous devons tout mettre en oeuvre pour surmonter la crise du chômage qui frappe l'Europe en conséquence de la longue récession qu'elle a traversée. L'ensemble des politiques mises en oeuvre au niveau de l'UE met l'accent sur la croissance à long terme et sur la création d'emplois", a insisté M. Rehn, tout en invitant les pays à "intensifier" la mise en place de réformes structurelles "pour libérer la croissance européenne".

Selon la Commission, la zone euro connaîtra cette année une récession plus importante que prévu, avec un Produit intérieur brut en repli de 0,4% (contre -0,3% jusqu'ici).

Facteur aggravant: les disparités sont considérables. Huit pays de la zone euro devraient être en récession cette année, dont la France (-0,1%) et les Pays-Bas (-0,8%), alors que ce dernier est considéré traditionnellement comme un pays solide au sein de la zone euro.

Idem pour les pays sous assistance financière, comme la Grèce (-4,2%), le Portugal (-2,3%), l'Espagne (-1,5%) et Chypre qui va s'enfoncer dans une récession profonde avec la réduction drastique du secteur bancaire imposée par ses créanciers. Le PIB chypriote doit se replier de 12,6% sur la période 2013-2014.

L'horizon devrait toutefois s'éclaircir en 2014, année ou la zone euro devrait renouer avec la croissance (+1,2%). Seuls Chypre et la Slovénie devraient être encore en récession l'an prochain.

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Très drôle, la Lagarde... une vraie comique !  >:(

L'austérité ? "Quelle est l'alternative ?" répond Christine Lagarde

Selon elle, il n'est pas possible de recourir davantage à l'emprunt, ni de "refaire" du déficit, ni de faire une politique de relance, car les moyens financiers manquent.

Qu'elle aille dire cela aux Etats-Unis... au Japon... à la Grande-Bretagne, qui sont en compétition pour battre tous les records à la fois de déficit et de création monétaire ! Je ne suis pas en train de recommander ce genre de "solution" qui ne fait que reporter les problèmes en les aggravant. Mais si Lagarde cherchait à limiter l'hypocrisie, elle ne ferait pas semblant de croire que les eurozoniens n'auraient d'autre choix que l'austérité à marche forcée, puisque bien des économies choisissent une autre version de politique désastreuse, ceci sans provoquer de remarque de la directrice du FMI...

Quant à la solution "Islande", revenant à laisser s'écrouler les parties du système financier qui ont fait faillite, plutôt que de garantir leurs pertes et leurs dettes avec de l'argent public en entraînant les pays vers le gouffre... je ne m'attendais pas à ce que Lagarde la cite.

Interrogée sur l'affaire Tapie, Christine Lagarde a répondu qu'elle ne quitterait pas le FMI. "A chaque jour suffit sa peine, s'il y a des investigations, je continuerai à faire mon métier", a-t-elle déclaré. En réponse à une question sur "une ligne rouge" dans ce dossier qui l'obligerait à démissionner, Mme Lagarde a répondu : "le FMI ne fait pas de spéculations, et je ne fais pas de spéculations". Mme Lagarde a été convoquée en mai par la justice française pour s'expliquer sur ce dossier.

Contrairement à Cahuzac, personne n'est prêt à ordonner à Lagarde de démissionner au vu de ses ennuis judiciaires qui commencent.

Mais la comparaison avec Cahuzac n'est peut-être pas justifiée...

... car les montants en jeu dans l'affaire Lagarde / Tapie / Adidas sont autrement plus élevés !  >:(

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@Montgros : il n'y a pas d'axiome sur la relation offre de capitaux et investissement productif, mais oui aujourd'hui dans le contexte qui est le nôtre ca n'a pas d'influences.

Et oui, le statu quo actuel profite aux plus riches, enfin aux riches du monde qui n'est plus, parce que finalement on n'accepte pas que tout a changé, que le mythe du village global des bisounours est une arnaque.......ce qui ruine le "peuple" on l’appellera comme ca, c'est ce refus des politiques de prendre en compte la nouvelle donne : lâches, traitres, corrompus..les3? appelez les comme vous voulez.

Oui ca te parait évident mais si je disais ca c'est parce que dans les grands médias et la classe politique c'est toujours le "théorème de Schmidt" qui est matraqué constamment comme étant une vérité.

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Très drôle, la Lagarde... une vraie comique !  >:(

L'austérité ? "Quelle est l'alternative ?" répond Christine Lagarde

Qu'elle aille dire cela aux Etats-Unis... au Japon... à la Grande-Bretagne, qui sont en compétition pour battre tous les records à la fois de déficit et de création monétaire ! Je ne suis pas en train de recommander ce genre de "solution" qui ne fait que reporter les problèmes en les aggravant. Mais si Lagarde cherchait à limiter l'hypocrisie, elle ne ferait pas semblant de croire que les eurozoniens n'auraient d'autre choix que l'austérité à marche forcée, puisque bien des économies choisissent une autre version de politique désastreuse, ceci sans provoquer de remarque de la directrice du FMI...

Quant à la solution "Islande", revenant à laisser s'écrouler les parties du système financier qui ont fait faillite, plutôt que de garantir leurs pertes et leurs dettes avec de l'argent public en entraînant les pays vers le gouffre... je ne m'attendais pas à ce que Lagarde la cite.

Contrairement à Cahuzac, personne n'est prêt à ordonner à Lagarde de démissionner au vu de ses ennuis judiciaires qui commencent.

Mais la comparaison avec Cahuzac n'est peut-être pas justifiée...

... car les montants en jeu dans l'affaire Lagarde / Tapie / Adidas sont autrement plus élevés !  >:(

Le cas Lagarde FMI est à voir sur un autre niveau.

Ca ferait le deuxième français à mettre le FMI en difficulté à cause de ses ennuis judiciaires, ca commence à faire tâche pour la France ("la France et ses personnalités politiques pas fiables et moralement embarrassantes").

Si Lagarde saute, adieu les postes d’importance (et de présidence ) pour la France au FMI (ou ailleurs) avant un petit temps.

C'est pas Lagarde qu'on veut préserver, c'est le poids de la France dans les institutions mondiales.

Le fait d'avoir remplacer DSK "automatiquement"par une Française a déjà beaucoup eu de mal à passer pour ce genre de poste très convoité.

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Le cas Lagarde FMI est à voir sur un autre niveau.

Ca ferait le deuxième français à mettre le FMI en difficulté à cause de ses ennuis judiciaires, ca commence à faire tâche pour la France ("la France et ses personnalités politiques pas fiables et moralement embarrassantes").

Si Lagarde saute, adieu les postes d’importance (et de présidence ) pour la France au FMI (ou ailleurs) avant un petit temps.

C'est pas Lagarde qu'on veut préserver, c'est le poids de la France dans les institutions mondiales.

Le fait d'avoir remplacer DSK "automatiquement"par une Française a déjà beaucoup eu de mal à passer pour ce genre de poste très convoité.

Je suis bien obligé de remarquer que contrairement à DSK, les ennuis judiciaires de Lagarde sont apparu avant qu'elle ne soit nommée à la tête du FMI...

Pour DSK, il était possible de plaider l'erreur : "on ne savait pas qu'il f..trait la honte à la France"

Pour Lagarde, ça ne l'est pas. Autre chose est en jeu.

Peut-être une simple magouille du Président de la République cherchant à protéger une ministre en la rendant intouchable concernant un scandale qui l'aurait éclaboussé lui aussi, et très peu soucieux de la réputation de la France...

Peut-être encore plus tordu, comme le fait d'avoir un responsable du FMI facilement contrôlable car vulnérable. Ne pas oublier que peu avant sa chute, DSK avait appelé à mettre fin au rôle central du dollar dans le système monétaire mondial. Bien des gens avaient des raisons de souhaiter que ce genre de choses ne se reproduise plus.

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L'ancien ministre des finances allemand au moment du passage à la monnaie unique appelle à la dissolution de l'euro.

"The Germans have not yet realised that southern Europe, including France, will be forced by their current misery to fight back against German hegemony sooner or later," he said, blaming much of the crisis on Germany's wage squeeze to gain export share.

(...)

Mr Lafontaine said he backed EMU but no longer believes it is sustainable. "Hopes that the creation of the euro would force rational economic behaviour on all sides were in vain," he said, adding that the policy of forcing Spain, Portugal, and Greece to carry out internal devaluations was a "catastrophe".

Traduction des parties citées :

"Les Allemands n'ont pas encore réalisé que l'Europe du Sud, y compris la France, sera forcée tôt ou tard par leur actuel marasme de riposter contre l'hégémonie allemande" a-t-il dit, faisant porter une grande partie du blâme pour la crise sur la compression des salaires en Allemagne visant à gagner des parts de marché à l'export.

(...)

M. Lafontaine a dit qu'il avait soutenu l'Union Monétaire Européenne, mais qu'il ne la croyait plus viable. "Les espoirs que la création de l'euro forcerait toutes les parties à avoir un comportement économique rationnel se sont avérés vains" a-t-il dit, ajoutant que la politique consistant à forcer Espagne, Portugal et Grèce à pratiquer des dévaluations internes était une "catastrophe".

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D'autant que l'affaire Cahuzac a aussi dû avoir un effet catastrophique sur la crédibilité des "élites" françaises.

Mais un effet positif sur le fait que personne en France n'est à l'abri de la Loi, ce qui ne fut pas toujours le cas, et n'est pas le cas encore dans de nombreux pays.
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Pour DSK, il était possible de plaider l'erreur : "on ne savait pas qu'il f..trait la honte à la France".

A noter que l'on ne sait pas de quoi DSK est coupable. L'affaire a aboutit sur un non-lieu et rien n'est clair dans cette embrouille.

Mais un effet positif sur le fait que personne en France n'est à l'abri de la Loi, ce qui ne fut pas toujours le cas, et n'est pas le cas encore dans de nombreux pays.

Euh... C'était tellement énorme que l'on ne pouvait pas faire autre chose que de le virer. Même en Inde une affaire pareille ne passerait pas.

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L'ancien ministre des finances allemand au moment du passage à la monnaie unique appelle à la dissolution de l'euro.

Traduction des parties citées :

"Les Allemands n'ont pas encore réalisé que l'Europe du Sud, y compris la France, sera forcée tôt ou tard par leur actuel marasme de riposter contre l'hégémonie allemande" a-t-il dit, faisant porter une grande partie du blâme pour la crise sur la compression des salaires en Allemagne visant à gagner des parts de marché à l'export.

(...)

M. Lafontaine a dit qu'il avait soutenu l'Union Monétaire Européenne, mais qu'il ne la croyait plus viable. "Les espoirs que la création de l'euro forcerait toutes les parties à avoir un comportement économique rationnel se sont avérés vains" a-t-il dit, ajoutant que la politique consistant à forcer Espagne, Portugal et Grèce à pratiquer des dévaluations internes était une "catastrophe".

Moi, ce que j’apprécie le plus avec ce genre de déclaration, c’est le courage dont peuvent faire preuve les hommes politiques…mais après la bataille, et seulement quand ils ne sont plus en poste O0.

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D'autant que l'affaire Cahuzac a aussi dû avoir un effet catastrophique sur la crédibilité des "élites" françaises.

les gens devant, à l'international, se soucier de la crédibilité des élites françaises ont d'autres critères d'évaluation.

Euh... C'était tellement énorme que l'on ne pouvait pas faire autre chose que de le virer. Même en Inde une affaire pareille ne passerait pas.

Faut demander à Mani. Moi je n'en serais pas aussi sûr...

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A noter que l'on ne sait pas de quoi DSK est coupable. L'affaire a aboutit sur un non-lieu et rien n'est clair dans cette embrouille.

Euh... C'était tellement énorme que l'on ne pouvait pas faire autre chose que de le virer. Même en Inde une affaire pareille ne passerait pas.

Oui mais encore faut-il qu'elle sorte au grand jour, qu'elle ne soit pas étouffée avant... Je doute qu'en Inde elle l'aurait été!  ;)
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Immobilisme - La France à la remorque...

Olivier Passet pour Xerfi Canal - mai 2013.

[dailymotion=640,390]xzibmx[/dailymotion]

Fanny Mae (crise des subprimes) rembourse 60 milliards de dollars à l'état Américain (sur les 116 versés) :

Fannie Mae et Freddie Mac avaient été emportés par la crise financière et été placés en septembre 2008 sous la tutelle de l'Etat, qui a dû lourdement les renflouer. Fannie Mae, à qui l'Etat avait versé 116,1 milliards de dollars, a commencé à le rembourser l'an dernier. En comptant le versement annoncé jeudi, elle lui aura reversé au total jusqu'ici 95 milliards de dollars en dividendes.

Chinagora, Chinogre a faim. A moi petits moutons...

L’Europe va mal. L’économie rétrécit, le chômage grimpe sans cesse, et les jeunes quittent le navire. Décourageant? Non, une occasion en or pour la Chine qui continue de faire son marché sur le Vieux Continent, avec appétit.

D’après le fonds A Capital, une firme de Pékin qui fait un relevé trimestriel («dragon index») des investissements outre-frontière, c’est même la zone euro qui attire la plus grande part des capitaux chinois.

La firme se base sur les fusions-acquisitions menées par des groupes chinois à l’étranger. En 2012, l’Europe a recueilli 33% des fonds investis, soit 12,6 milliards US. Un record. C’est nettement plus qu’en 2011 (10,4 milliards US) et très loin devant l’Amérique du Nord, avec environ 5,5 milliards US. Un résultat surprenant, vu la reprise économique en cours aux États-Unis, qui devrait en principe attirer les investisseurs.

De toute évidence, les investisseurs chinois sont attirés par les actifs européens vendus à des prix attrayants en cette période de crise. Un petit retour sur 2012 montre que les Chinois ont d’ailleurs fait de belles prises.

Ils ont mis la main notamment sur des géants industriels allemands en difficulté, dont Kion Group (machinerie) et Putzmeister (cimenterie), et le producteur britannique de céréales Weetabix.

China Investment Corp., le plus important fonds d’investissement étatique en Asie, a aussi pris une participation minoritaire dans des infrastructures britanniques stratégiques, incluant l’aéroport Heathrow et la Thames Water Utility. C’est une percée au coeur du royaume de Sa Majesté. Sans oublier que des fonds chinois ont fait des achats importants au Portugal et en Grèce, deux pays à vendre à la découpe ces temps-ci.

Le fait que l’Europe attire plus de capitaux chinois que les États-Unis, malgré la prise de contrôle très médiatisée l’an passé de Wanda sur la chaîne de cinémas AMC Theatres, témoigne de l’accueil souvent glacial des Américains.

Washington est particulièrement vigilant quant aux investissements étrangers sur son territoire, et cela a pour effet de décourager les avances des acquéreurs. Dans ce domaine, le cadre réglementaire est plus souple en Europe qu’aux États-Unis où, par exemple, «le Sénat peut bloquer, de manière arbitraire, des investissements», explique dans une note financière André Loesekrug-Pietri, fondateur d’A Capital.

Les Chinois apprécient également le savoir-faire européen dans l’énergie, l’eau, les transports, l’automobile et l’aéronautique, tous des secteurs appelés à développer en Chine.

Les entreprises chinoises ont «besoin de savoir-faire, et c’est en Europe que se trouvent les meilleures technologies», affirme le responsable.

D’autres noms? Volvo (Suède), le port de Pirée (Grèce), McCormick (France)… autant d’entreprises ou d’actifs de valeur qui ont aussi été cueillis comme des fruits mûrs par les Chinois depuis 2009 pour leur valeur stratégique à long terme.

via LeTemps.ch

Et ceci, trèèèèèès intéressant. Après les records d'allocataires de tickets de bouffe aux USA, les personnes bénéficiant d'une incapacité à travailler aux USA - cela va des handicapés aux personnes ayant fait une dépression 15 ans auparavant mais qui ne rebossent pas depuis.

Verdict :

- en 1968 : 51 travailleurs plein temps pour une personne en incapacité dans la population US.

- en 2013 : 13 travailleurs plein temps pour une personne en incapacité dans la population US.

The number of people on SSDI now exceeds the entire population of Greece. The aging of the population has nothing to do with the increase. In 1968 there were 51 workers for every person on disability. Today there are 13 workers for every person on disablity. Even the most pollyanna would agree that medical advancements since 1968 have been significant. These medical advancements would argue for less people being on disability and unable to work. Workplace safety measures have been increased exponentially since 1968, so that also argues for less disabled workers. The good old ADA law forced all workplaces to become disabled friendly. That argues for less people on disability. The country has transitioned from a manufacturing society to a service society. Workers don’t work on dangerous assembly lines anymore. Robots do the dangerous stuff. This should have dramatically reduced worker injuries and disabilities.

Everything I’ve pointed out is true. The tremendous increase in people on SSDI is nothing but a gigantic fraud, perpetuated by the Federal government and slimy lawyers. The government broadened the scope of disabilities to include stress, depression, and non-diagnosable things like aches and pains. I have stress, depression and pains too, but I get up at 5:15 every morning and go to work. The SSDI program is a joke. More than half the people on SSDI are lazy good for nothing leeches. They are sucking you and I dry while sitting around eating cheetos, watching Judge Judy on their government subsidized cable TV, and texting with other lazy fucks on their iPhones.

And don't forget, you get the added benefit of Medicare coverage after only two years of SSDI stress.

Image IPB

   10,962,532: U.S. Disability Beneficiaries Exceed Population of Greece.

    The total number of people in the United States now receiving federal disability benefits hit a record 10,962,532 million in April, which exceeds the 10,815,197 people who live in the nation of Greece.

    According to newly released data from the Social Security Administration, the record 10,962,532 total disability beneficiaries in April, included a record 8,865,586 disabled workers (up from 8,853,614 in March), 1,936,236 children of disabled workers, and 160,710 spouses of disabled workers.

    According to its latest census, Greece had only 10,815,197 residents.

     April was the 195th straight month that the number of American workers collecting federal disability payments increased. The last time the number of Americans collecting disability decreased was in January 1997. That month the number of workers taking disability dropped by 249 people—from 4,385,623 in December 1996 to 4,385,374 in January 1997.

    As the overall number of American workers collecting disability has increased, the ratio of full-time workers to disability-collecting workers has decreased.

    In December 1968, 1,295,428 American workers collected disability and, according to the Bureau of Labor Statistics, 65,630,000 worked full-time. Thus, there were about 51 full-time workers for each worker collecting disability. In April 2013, with a record 8,865,586 American workers collecting disability and 116,053,000 working full-time, there were only 13 Americans working full-time for each worker on disability.

D'ailleurs, puisqu'on parle de la Grèce : En mai, le chômage des jeunes atteint 64,2% avec une très belle progression de 5% en un seul mois !

The Greek economic depressionary catastrophe continues to merrily chug along. Hours ago, Greek Elstat reported that February unemployment rose to a new record high of 27.0%, with the January number revised from 27.2% to 26.7%, up from 21.9% in February 2012, and almost as if unlike the Greek BLS is not even trying to fudge numbers anymore and wants to show a deteriorating situation (or, as it was called in the Old Normal - "reality"). Looking at the Shadow economy, the number of people who are inactive, or "neither worked neither looked for a job", hit 3,358,649. This number is just shy of the total people employed, meaning in 2-3 months, the Greek shadow economy will be greater than the official, taxed-one. A gender breakdown shows that females have never had it worse with 31% unemployment, compared to 24.1% for men. But the most stunning number was the number of unemployed Greek youths (15-24), which hit a record 64.2%, the highest number on record, and a mindblowing 5% increase from the 59.3% youth unemployment reported in January, and a 10% increase from a year ago.

Il va falloir épaissir le Guinness Book juste pour les Grecs. Ils volent de records en records ! Normal au pays de l'Olympisme.

Pendant ce temps là... Les USA font ronfler la planche à billets et impriment l'équivalent du "New Deal" de Roosevelt chaque mois (...) et les Chinois profitent du décrochage de l'or pour rafler tout ce qui est disponible sur les marchés (contre leurs réserves en dollars bien sûr...).

Image IPB

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Le patron de la Fed s'inquiète de l'émergence d'une bulle financière aux Etats-Unis

http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20130510trib000764003/le-patron-de-la-fed-s-inquiete-de-l-emergence-d-une-bulle-financiere-aux-etats-unis.html

Selon Ben Bernanke, la période de stabilité économique actuelle encourage les investisseurs à prendre des risques inconsidérés alors que l'économie réelle peine à décoller.

Profitant de l'argent bon marché déversé par la Fed, les investisseurs ont récemment porté la Bourse de Wall Street à des records historiques, faisant craindre l'émergence d'une bulle financière aux Etats-Unis où l'économie réelle peine à décoller. Mercredi, les grands indices de Wall Street, le Dow Jones et le S&P 500, s'étaient hissés à des niveaux inédits, marquant le cinquième record d'affilée pour l'indice élargi, avant de refluer légèrement jeudi. "Etant donné le contexte actuel des faibles taux d'intérêts, nous surveillons particulièrement étroitement les cas d'une "course au rendement’ et d'autres formes de prises de risques qui pourraient affecter le prix des actifs et leur relation avec les fondamentaux" de l'économie, a ajouté Ben Bernanke. Selon lui, la Fed est davantage préoccupée par les "variations brusques" des prix des actifs que par leur valeur moyenne sur une période de temps.

Le “shadow banking” reste une menace

Selon le président de la Fed, le système bancaire occulte ("shadow banking") reste une menace pour la stabilité financière. "Même si le secteur bancaire occulte est moins important aujourd'hui qu'il ne l'était avant la crise... les régulateurs et le secteur privé doivent résorber les poches de fragilité restantes", a-t-il déclaré.

Il faut encore prendre des initiatives pour que le marché de financement de gros, par l'intermédiaire duquel les banques assurent leurs besoins de financement quotidiens, puisse absorber les répercussions potentielles d'un défaut d'un grand établissement ou d'un "broker-dealer", a expliqué le président de l'institut d'émission. Une ruée sur le marché des fonds monétaires reste par ailleurs une éventualité, a-t-il estimé.

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Les Etats-Unis, le Royaume-Uni et l'Australie devraient dévoiler les informations qu'ils détiennent sur les sociétés offshore sur lesquelles ils enquêtent pour fruade ou évasion fiscale. Ce qui permettrait à la France, demandeuse de ces informations, de gagner du temps en cherchant au bon endroit.

Un nouveau pas doit être franchis dans les prochaines semaines dans la lutte contre l'évasion et la fraude fiscale. Selon le journal le Monde, les Etats-Unis, le Royaume-Uni et l'Australie s'apprêtent à annoncer la mise à disposition des Etats qui en feront la requête les fichiers secret concernant les sociétés offshore dans les paradis fiscaux sur lesquels ils sont en traon d'enquêter. La France aurait elle même demandé à y avoir accès le 10 mai dernier. L'annonce officielle devrait avoir lieu lors du Forum mondial des administrations fiscales à Moscou les 16 et 17 mai prochain selon le quotidien. Les Îles Vierges et les Îles Caïman devraient être particulièrement citées lors de cette réunion lors de laquelle doivent être présentes les directions générales des impôts de quarante pays.

La décision des gouvernements américain, britannique et australien de partager les données offshore d'une ampleur inédite, qui semblent recouper celles révélées par l'enquête journalistique internationale Offshoreleaks, depuis le 4 avril, devrait donner un nouveau tour à la coopération entre Etats contre la fraude. Certains Etats militent d'ailleurs pour la création d'un organe permanent de coopération entre les administrations fiscales.

Suite : http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20130511trib000764039/fraude-fiscale-etats-unis-royaume-uni-et-australie-offrent-leurs-informations-aux-autres-etats.html

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