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Opération Barkhane


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Un reportage BFM sur la force Barkhane .

 

Bon pour le ;" s'est la première fois depuis la seconde guerre mondiale que l'armée française déploie autant de soldats " ...

 

Ils ont déjà oublié  toute les autres opérations/guerres  qui ont suivi la 2°Guerre Mondiale ...

 

Et une d'importance qui avait mis les médias sur les genoux lors des différentes phase (mis à genoux ou les journalistes dormez presque plus ,je me rappel bien les yeux cernées ,limite décoiffée des présentateurs télé ),information limite en continue à  l'époque et qui s'appelait 1°guerre du golfe ...

là s'était 12 000 et quelques soldats français ...

 

 

http://www.bfmtv.com/societe/mali-bfmtv-avec-l-armee-francaise-au-coeur-de-la-traque-des-jihadistes-858743.html

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  • 2 weeks later...

Une douzaine de gus d'après un article du point.
C'était dans l'Adrar des ifoghas.
Toujours très téméraire ces djihadistes, ils continueront à s' infiltrer malgré nos troupes et nos moyens de visions.
Mais de jour en jour, ils s' adaptent ...
 
Etant donné que AQMI possède en permanence des candidats en marthyrs, je pense qu'ils doivent probablement envoyer plusieurs "équipes" avec un taux de perte "assumé" ou plutôt des sections destinées à être sacrifié pour monopoliser les ressources de Barkhane....

 

Ils me font penser aux clans japonais sur le qui-vive à l'époque des samouraïs qui envoyaient des hommes qui savaient pertinemment qu'ils allaient mourir car ils savaient qu'ils étaient juste là pour faire "diversion" afin que la "grosse" armée puisse se déplacer sans éveiller l'attention.

 

Après tout dépend de la nature des hommes qu'ils ont neutralisés.

Espérons que nos hommes ont maitrisé la "bonne" équipe, celle des expérimentés.

Modifié par Claudio Lopez
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  • 2 weeks later...

http://www.la-croix.com/Actualite/Monde/Afrique/Au-Sahel-des-troupes-francaises-sur-le-qui-vive-2015-02-17-1281913

 

 

 

Commencée le 1er août 2014, l’opération Barkhane s’attaque aux flux humains et aux ressources qui financent les activités terroristes du Mali au Niger.

Dans le poste avancé de Madama, à l’extrême nord du Niger, l’armée française coupe les flux humains et financiers du terrorisme.

À Tessalit, au nord du Mali, les Français sont directement sous le feu des djihadistes.

 

Ciel clair, soleil impérial, une lumière magnifique baigne Madama, à l’extrême nord du Niger. Le calme. Apparent, toujours apparent. Pour l’heure, le premier ennemi du soldat dans le poste le plus avancé de l’opération Barkhane dans la bande sahélo-saharienne (BSS), c’est l’harmattan, le vent poussiéreux et capricieux du Sahel.

Ici, il règne sans partage. Par rafales, il s’engouffre sous les tentes, s’immisce dans les uniformes, aveugle les soldats, ronge les blindés et les armes. La nuit, le jour. Sans répit, sans modération, sans interruption.

« Il souffle depuis la Sainte-Barbe (4 décembre), dit un parachutiste du 3ème RPIMaSa vitesse ? 110/120 km/h ». Pour le soldat, il faut vivre dans ce tourment sans le négliger.

AU CARREFOUR DES ROUTES DU TERRORISME

Outre l’inconfort, l’harmattan a les moyens d’empêcher un avion d’atterrir, de camoufler l’arrivée d’un ennemi. Et l’ennemi n’est pas loin. Pour le moment, il se fait discret. Il observe le déploiement des Français, rôde dans la zone. Il se revendique de différentes obédiences djihadistes : Aqmi, le Mujao, les Signataires du sang, les djihadistes libyens d’Ansar al-Charia…

Un ennemi multiforme qui a trouvé refuge dans le sud de la Libye, profitant de l’anarchie qui règne dans ce pays (1).

À l’extrême nord du Niger, Madama est le verrou d’un triangle Algérie/Libye/Tchad. De là, les Français contrôlent les trois passes principales (celles de Salvador, Tumu et Korizo) empruntées par les trafiquants et les djihadistes entre le Mali et la Libye. « En prenant pied à Madama, explique le colonel Alain Vidal, c’est comme si nous avions installé un péage pour contrôler les entrées et les sorties de l’autoroute du terrorisme. »

 

FORTIN EN PISÉ

L’armée nigérienne est chargée de contrôler les véhicules et les caravanes qui empruntent cette « autoroute ». Elle fouille les pick-up, inspecte les transporteurs, examine les bagages. L’objectif est de tarir les trafics.

« Depuis l’arrivée des premiers Français, en novembre, nous avons confisqué 107 AK 47 (Kalachnikov). Elles étaient en général démontées et cachées un peu partout dans les bagages, les recoins des pick-up », affirme le capitaine Abdoulaye, le commandant du détachement nigérien de Madama.

Cet officier et ses hommes occupent un fortin en pisé (d’où le nom de Madama, « rouge » en langue téda) élevé par les tirailleurs et les goumiers de l’armée coloniale française en 1931. « C’était déjà pour surveiller la frontière libyenne. À l’époque, la France voulait contrer les velléités expansionnistes des Italiens occupant la Libye », explique un soldat français. Et surveiller le trafic caravanier transsaharien.

Le rectangle fortifié évoque Fort Saganne, le film d’Alain Corneau. Protégé par deux casemates reliées au fortin par des couloirs souterrains ; des barbelés et un champ de mines.

À 80 KM DE LA LIBYE

Les Français, eux, se sont installés à environ un kilomètre des Nigériens. Ils se donnent jusqu’au printemps pour construire une base militaire avec son terrain d’aviation, sa plate-forme protégée, son hôpital de campagne, sa place d’armes, son eau et son électricité. Un terrain de sport est prévu. Mais il n’y a pas de drapeau tricolore apparent sur le camp. « Pour ne pas indisposer les Nigériens », explique-t-on du côté de Barkhane.

Pour l’heure, le détachement français s’élève officiellement à 200 « personnels », dont une vingtaine de femmes : environ 120 parachutistes du 3ème RPIMa, des soldats du 1er  RHP, des artilleurs du 35e  RAP, des unités du Génie.

À l’extrême pointe du poste avancé se trouve le check-point « Charlie ». Trois parachutistes du 3e  RPIMa assurent la garde le jour, cinq la nuit. Devant eux, le désert, immense, plat, sans limite. À moins de 80 km, la Libye.

Ils observent, le regard fixé vers l’horizon. « Le plus délicat, c’est la nuit. Personne n’a le droit de circuler. Mais quand vous êtes lancé dans le désert, vous préférez rouler une partie de la nuit pour atteindre Madama. Or, identifier un véhicule la nuit, ce n’est pas ce qui est le plus facile », dit l’un de ces hommes en faction.

Le ministre de l'intérieur et de la sécurité s'exprime sur les attaques contre les chrétiens au Niger :


POURSUIVRE LES DJIHADISTES

De Madama, les Français conduisent des opérations avec les Nigériens et parfois même avec les Tchadiens dans le désert, à proximité des passes, sur les plateaux de Djado où l’on trouve de l’or.

Des opérations qui frappent les ressources des djihadistes, comme à la fin de l’année : « Nous sommes tombés sur un convoi de pick-up. Ils transportaient deux tonnes de cannabis ! », se souvient le capitaine Raoul.

Tout indique que les militaires français sont là pour un moment. Dans leur esprit, leur mission ne peut pas se contenter de patrouiller, de surprendre des djihadistes. D’autant que leur ennemi s’adapte à leur présence, emprunte des passages plus discrets, plus au Nord, par l’Algérie.

Les Français le savent. Pour eux, il n’y a d’autre solution que de poursuivre les djihadistes en Libye, « finir le travail » commencé en janvier 2013 au Mali. Ils ne le disent pas ouvertement. Mais visiblement, ils s’y préparent.

 

DES ENNEMIS « DÉTERMINÉS »

L’atmosphère est tout autre à Tessalit, le deuxième poste avancé de la force Barkhane dans la bande sahélo-sahélienne. Le camp se trouve au pied de l’Adrar des Ifoghar, à l’extrême nord du Mali. Il a des allures de camp retranché.

C’est d’ici qu’en février 2013, le général Barrera avait « cassé le donjon terroriste ». Mais deux ans après, les djihadistes sont de retour dans la région, menacent la population, frappent les forces internationales, piègent les routes, se fondent dans le paysage.

Au côté de 200 Français, une centaine de Maliens et 400 Tchadiens. « Les Maliens font de la figuration, ils ne peuvent pas quitter la base. La population ne le leur permettrait pas », confie un officier français.

 > À (re)lire : « Barkhane » remplace « Serval » au Mali 

« Notre présence est symbolique, concède le responsable du détachement malien, le commandant Traoré. Nous assurons la garde d’une partie du camp. On attend l’arrivée de renforts. L’armée malienne n’a pas beaucoup de moyens. Or, nos ennemis sont déterminés : vous n’imaginez pas ce qu’ils font à ceux qui tombent entre leurs mains. »

DES MÉTHODES MILITAIRES DIFFÉRENTES

Le contingent tchadien est commandé par le colonel Salim, 28 ans, un parent du président Déby. « Ils sont toujours prompts à aller au contact. Ils aiment faire la guerre, méprisent le danger, refusent de porter des gilets pare-balles au motif qu’ils ne craignent pas la mort », s’étonne un militaire français.

Ils ont la « gâchette facile », ce qui ne facilite pas le retour des patrouilles de nuit dans le camp de Tessalit. « Quand ça tire, ils se ruent dans leur pick-up et foncent vers le départ du feu, au risque de tomber dans un piège. Leur mode opératoire n’est pas tout à fait adapté au nôtre », dit dans un sourire un soldat de Barkhane.

Le danger est permanent, surtout les nuits de pleine lune. « Les terroristes en profitent pour nous arroser, lance un soldat. La dernière fois, c’était les 29, 30 décembre et le 1er  janvier dernier. » La base fut prise sous le feu ennemi. En tout, 33 tirs de roquettes et de mortiers !

 

PEU DE RENSEIGNEMENTS

« Nous avons un système de détection qui se déclenche dès que l’on tire sur nous. Une sirène nous avertit de l’arrivée d’un obus. On dispose de 30 secondes pour rejoindre un abri. Sinon, on se plaque à terre et on attend que ça se calme », explique un officier supérieur.

Autre danger rencontré par les soldats, les scorpions. Ils sont partout, ils sont dangereux, ils sont mortels si l’on tarde dans les soins. Dans le village qui jouxte la base, Allamanche, le cimetière est plein de villageois morts d’une piqûre.

« On ne dispose pas de beaucoup de renseignement humain », constate le capitaine Raphaël, « nous avons affaire à un ennemi dur au mal, qui ne raisonne pas comme nous et qui est décidé à combattre jusqu’à la mort. Il se confond avec les civils, nous tend des pièges, embrigade des enfants dans ses rangs ». Un ennemi qui n’a pas dit son dernier mot.

LAURENT LARCHER (à Madama -Niger- et Tessalit -Mali-)
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Suite, après Gibbs:  http://www.la-croix.com/Actualite/Monde/Afrique/A-Niamey-les-drones-observent-et-frappent-l-ennemi-2015-02-18-1282213

 

 

"Leur mission, renseigner, surveiller et accompagner les opérations militaires conduites au Sahel.

Les deux Mirage 2000 atterrissent non sans grâce sur la piste de l’aéroport de Niamey où se trouve le détachement air de la force Barkhane pour le fuseau ouest (Mali et Niger).

Les deux monstres d’acier et d’électronique viennent de remplir une mission de 4 heures. Les deux équipages restent discrets sur leurs sorties : « Nous étions au-dessus du Mali pour un appui au sol d’un convoi. Nous avons envoyé du renseignement, mais nous avons aussi fait du bruit, nous nous sommes montrés, afin d’informer les éventuels assaillants de notre présence », explique le capitaine Jean-François, navigateur d’un des deux Mirage.

Son camarade pilote, le commandant François, semble exténué. « Nous nous sommes levés à 4 h 30 pour décoller à 7 h 15. Pour cette mission, nous avons effectué quatre ravitaillements en vol. C’était intense mais la météo était bonne. »

 

DES ITINÉRAIRES DIFFÉRENTS

Escorter un convoi, c’est l’une des missions principales de ce détachement air de Niamey. Avec la recrudescence des attaques djihadistes, les convois français ne se risquent plus sur les routes balisées.

« Pour éviter les mines, les pièges, nos convois empruntent leur propre itinéraire. C’est plus long mais c’est plus sûr, explique un logisticien. Dans la guerre que nous menons ici, c’est le jeu du chat et de la souris. Les fantassins sont les chats qui cherchent les souris. Mais dans les convois, nous sommes les souris qui cherchent à éviter les chats. »

Dans ce contexte, tout est compliqué et prend du temps. Pour gagner le poste avancé de Madama, dans l’extrême nord du Niger, il faut dix jours depuis Niamey. Et la mobilisation des moyens aériens, Mirage 2000 et drones.

DRONES SILENCIEUX ET INDÉTECTABLES

Les drones, il y en a quatre à Niamey, tous achetés à l’armée américaine. Deux Harfang et deux Reaper. Ces avions sans pilote embarqué, silencieux et quasiment indétectables, sont capables d’observer une cible à plus de 3 000 mètres d’altitude (Harfing), voire 10 000 mètres pour le Reaper. Volant près de 24 heures en continu, ces outils de la guerre moderne ne sont pas armés mais ils sont capables de faire mal, très mal.

Non seulement ils protègent les troupes au sol, mais ils peuvent détecter une colonne ennemie, reconnaître un chef djihadiste et ne plus le lâcher, le temps de monter une opération pour le « neutraliser » comme ce fut le cas pour Ahmed el Tilemsi, émir du groupe djihadiste al Mourabitoun, tué par les forces françaises lors d’une opération à Tabankort, dans la région de Gao (nord du Mali), en décembre 2014.

Et l’on doit aux Reaper la découverte de la zone de crash du vol Ouagadougou/Alger d’Air Algérie, le 25 juillet 2014.

UN DANGER PERMANENT

Pour l’heure, les Français sont 400 dans leur base de Niamey. Ils l’agrandissent, l’aménagent et la sécurisent afin d’accueillir plus d’effectifs et plus de matériel.

Juste à côté de leur zone de vie, celle des soldats américains : « Ils sont 150. Nos relations sont réduites au minimum. Chacun vaque à ses activités. Nous avons disputé un match de football américain, sans plus », confie un militaire.

Les Nigériens ne sont guère plus présents. « Ils ne viennent pas voir ce que nous faisons ici et nous assurons notre propre protection », précise le colonel Mervet.

Pendant les graves troubles visant les chrétiens au Niger et le centre culturel français de Zinder, après la tuerie de Charlie Hebdo, les soldats français sont restés sur la base. « Nous avons joué à la tortue, le temps que cela se calme », dit un officier.

Après une quarantaine de lieux de cultes brûlés, une dizaine de morts parmi les chrétiens du Niger, le calme est revenu, en effet. Et les militaires français peuvent à nouveau sortir en ville. Mais jamais le même jour, jamais tout seul et enfin, jamais bien longtemps.

 

LAURENT LARCHER (à Niamey -NIGER-)"

 

Modifié par Bechar06
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En bon chrétien La Croix peut bien être un peu généreuse avec les pauvres que nous sommes :lol:

 

Le seul quotidien rentable en France... Paradoxalement : appartient indirectement au trio Pigasse, Niel et... Bergé. Je crois (les montages du groupe le Monde m'échappent un peu !).

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On a encore tapé dur sur de l'AQMISTE  au nord Mali près de la frontière algérienne durant la nuit du 12 au 13 février.

 

L'état major n'a pas voulu en dire plus et n'a donné aucun bilan.

 

http://www.opex360.com/2015/02/20/mali-encore-groupe-terroriste-mis-hors-de-combat-par-la-force-barkhane/

 

Continez les gars.

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Suite et fin de la série de 3 articles : http://www.la-croix.com/Actualite/Monde/Afrique/A-Gao-la-traque-continue-2015-02-20-1282938

 

Maxi mea culpa !  pour la citation intégrale de j-1... sans citation cette fois-ci !

 

Ou l'on apprend, entre autres infos,  comment l'AdlA a perdu "volontairement" un Mirage 2000, car la piste de GAO est insuffisante pour des chasseurs

 

A propos de ce journal, détenu par le "Groupe Bayard", cf. wikipedia: "fondateur ... la congrégation religieuse catholique Les Augustins de l'Assomption. Cette congrégation est aujourd'hui encore la propriétaire exclusive du groupe."    Je vais aller chercher un paratonnerre chez les Jésuites !

Modifié par Bechar06
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A propos de ce journal, détenu par le "Groupe Bayard", cf. wikipedia: "fondateur ... la congrégation religieuse catholique Les Augustins de l'Assomption. Cette congrégation est aujourd'hui encore la propriétaire exclusive du groupe."    Je vais aller chercher un paratonnerre chez les Jésuites !

 

Désolé : j'ai confondu La Croix et La Vie...

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  • 2 weeks later...

Reprise du reportage sur Barkhane, dans la Croix, par LAURENT LARCHER (à N’Djamena):

 

http://www.la-croix.com/Actualite/Monde/Afrique/L-armee-francaise-en-lutte-contre-le-terrorisme-dans-la-bande-sahelo-saharienne-2015-03-05-1287579

 

Organisation Est et Ouest de la BSS, point sur les différentes bases, Poste de commandement de N'djamena, rapports avec l'Algérie ... Plus l'organisation générale que des nouvelles des combats

 

Impression globale qu'on s'installe dans la durée, zone : 10 fois la France !

Modifié par Bechar06
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  • 3 weeks later...

Où l'on voit que la SAGAIE s'ensable !  =>  Retex :  donc, pour le Griffon + Jaguar, il faudra prévoir des roues adaptées désert !

surtout à 25 tonnes chacun  !  les zones où le sable est mou sont fréquentes, les éviter n'est pas toujours possible

 

Cf. l' Erg Djourab du Tchad de N'djaména à Faya Largeau ... et le nom même de l'opération "Barkhane" !  le temps pour atteindre Madana

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