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AIR-DEFENSE.NET

Conneries et idées de cinglés.


Kobalt
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[27][27]Kobalt ,elle va etre dégouté après !! héhé [08][08][27][27]

lol il m'en faudra plus que ça^^j'adore vos histoire!!

plus y en a des morbides, et plus j'ai envie d'y participer [20] [28]

moi pour les bétises ou les trucs de malades suis partante!!

toujours prête à m'amuser lol

Kobalt n'a pas tort du tout^^mais tout de même je resterai obéissante lol

je pense [08] [08]

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lors d'un exercice de l'école navale, organisé pour initier les éléves officier de marine, au combat d in fanterie, nous devions faire office de plastron. notre chef d'équipe, ancien du du groupe de combat en milieu clos, a décidé d'en faire bacvé à ces futurs officiers résultat on a truffé la campagne de la presquile de crozon de piéges à cons (grenade au platres reliée par des fils et autres artifices peu sympathiques) Le soucis est que jamais nous n avons recupere l integralite des pieges, car nous les avions installer à la nuit noire et donc cela a été impossible de tous les retrouver J imagine que certains promeneur ont du en faire les frais...

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Il aurait du rester dans le combat en milieu clos ce brave homme, les grands espace lui ont mis un sacré coup de bambou [08] [08]. A savoir, quand on fait un piegeage ou une pose de mine en masse, on fait automatiquement un croquis ou ou ont note sur une carte, histoire déviter qu'une unité amie viennent se prendre les pied dans les souvenir des autres. En effet j'imagine la gueule des promeneurs [29]

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Un grenade à platre, tu attache un fil à la goupille que tu bidouille un peu, tu fais courir le fil tendu au travers un cheminement, le long d'une porte etc... et l'affaire est dans le sac. Avec de l'imagination, des explos et quelques petits machins recupèrables aisément à droite ou à gauche tu pièges ce que tu veux.

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Un grenade à platre, tu attache un fil à la goupille que tu bidouille un peu, tu fais courir le fil tendu au travers un cheminement, le long d'une porte etc... et l'affaire est dans le sac. Avec de l'imagination, des explos et quelques petits machins recupèrables aisément à droite ou à gauche tu pièges ce que tu veux.

moi au cefe le tres charismatique ach lopez nous a montré comment pieger une baraque de A a Z cet homme tue une compagnie en 2 heures avec ces pieges c est une legende vivante
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Lors de la foire de Domont et du festival international du cirque de Domont, dans lequel j'était placeur, l'association qui organisait le festival avait invité un char Lecler (que j'ai pu visiter). Un léger probleme avec un capteur incendie, (cassé lors d'une visite) à amener l'équipage a nous demander une ou deux clés six pan. Pour blaguer, l'un des organisateurs a appeler la mairie, demandant une grue pour démonter la tourelle du dit char, au beau millieu du festival. Bien entendu, la Mairie a gober cette histoire qui a appeler le bataillons du char pour avoir la grue..... Bref, c'est arrivé jusqu'au ministere de l'interieure... Imaginer, démonter la tourelle de notre plus beau char en place publique [29] Pour finir, le détecteur a était désactivé par l'équipage avec la clée six pans qu'on leur avait prété et le char a pu repatir Mais c'est drolement étroit la dedans quand meme. Le plus dur je trouve étant d'y rentrer ( pour moi, ne sachant pas ou mettre les pieds) j'y est meme déchirer mon pantalons [10]

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Comme déjà dit j'ai fait mon service dans le Génie, et dans le Génie on a beaucoup de véhicules. Tous les deux ans il y a une revue de détail du matériel complet du régiment. Pas de bol c'est arrivé durant mon service. Après avoir nettoyé les 700 FAMAS, il a fallut faire mécano sur les vieux KT. Evidemment on n'avait aucune expérience en mécanique. A l'atelier, le chef nous remet une liste d'entretien à faire sur un camion, une page A4 entière, et on n'était que deux aussi ignorants en mécanique ... Comme je lui fait remarquer que je ne comprends même pas la moitié des termes techniques sur sa liste, il nous donne cet utile conseil : "démerdez vous". Je me suis retrouvé à démonter des bouts de moteur qu'il ne fallait pas toucher pour atteindre un filtre à air et pour, une fois remonté à l'envers s'apercevoir qu'on pouvait le changer sans rien démonter. Z'avez déjà démonté un arbre de transmission sur un de ces vieux trucs ? Moi oui, deux fois parce que le premier qu'on a monté était en fait déjà cassé et il a fallu le rechanger tout de suite [57]. Vidange huile moteur, changement de carter moteur, remplacement de l'huile (50L) et oh .... une fuite, le nouveau carter juste posé était déjà déchiré ... Vidange de 50L d'huile toute neuve, redémontage, reposage ouf ... Le dernier jour, on venait de purger le circuit de carburant et il ne restait qu'une petite vis à serrer pour le refermer, elle était bien planquée au fond moteur la s... et on ne pouvait y accéder qu'à grand peine, à croire qu'ils font exprès de concevoir des moteurs pour torturer les mécanos. Evidemment, comme ça fuit sans arrêt au niveau de cette vis, on force dessus et paf ... elle casse [08] et là il y a un geyser de diesel qui jaillit et nous arrose, bien 30 ou 50L répandus avant qu'on ait pu arrêter la fuite ! [31] Il fallait aussi changer les pneus de chantier, une opération un peu plus compliquée que sur une bagnole avec des tas de pièces à enfiler dans le bon ordre. Evidemment on se gourre et au moment du gonflage, le pneu explose et défonce la cage de sécurité ... Heureusement qu'on s'était mis à l'écart pour fumer ! Moi je ne fume pas mais j'ai réalisé ce jour là que fumer n'était pas toujours mauvais pour la santé [22] Finalement, le jour de la revue de détail arrive, après 3 semaines bloquées à la compagnie sans perm, je monte ce KT sur le pont, le gars de l'EM fait sa vérification et me dit OK, camion parfait, tu peux repartir. Je démarre, et là rien le camion refuse de repartir [08] Je réessaye, rien, réessaye encore et là, quand j'appuie sur la pédale, toute la tringlerie qui va de l'accélérateur à l'admission se détache et dégringole sous le camion ... Super efficace la revue [13]

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lors d'un exercice de l'école navale, organisé pour initier les éléves officier de marine, au combat d in fanterie, nous devions faire office de plastron.

notre chef d'équipe, ancien du du groupe de combat en milieu clos, a décidé d'en faire bacvé à ces futurs officiers

résultat on a truffé la campagne de la presquile de crozon de piéges à cons (grenade au platres reliée par des fils et autres artifices peu sympathiques)

Le soucis est que jamais nous n avons recupere l integralite des pieges, car nous les avions installer à la nuit noire et donc cela a été impossible de tous les retrouver

J imagine que certains promeneur ont du en faire les frais...

[30] mais [24]
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lors d'un exercice de l'école navale, organisé pour initier les éléves officier de marine, au combat d in fanterie, nous devions faire office de plastron.

notre chef d'équipe, ancien du du groupe de combat en milieu clos, a décidé d'en faire bacvé à ces futurs officiers

résultat on a truffé la campagne de la presquile de crozon de piéges à cons (grenade au platres reliée par des fils et autres artifices peu sympathiques)

Le soucis est que jamais nous n avons recupere l integralite des pieges, car nous les avions installer à la nuit noire et donc cela a été impossible de tous les retrouver

J imagine que certains promeneur ont du en faire les frais...

[27] Magnifique !!!! [27]

Ils sont fous ces francais [24] ^^

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  • 4 weeks later...

C'était en 99 au Kosovo, quand nous sommes arrivés ont devaient débbarrasser tout le bordel que les Serbes avaient foutus comme les placards par terre, les tables retournés, les chaises pété etc... on nous a raconté qu'à un moment un sergent de la deuxième section et le capitaine adjoint débbarassaient le sous-sol de l'ancien poste de police serbe (là ou on logeaient toutes la compagnie), donc ils débarrassaient à un moment, le capitaine devient blanc et se casse, le sergent surpris regarde et s'aperçois qu'il y avait une grenade et en regardant mieux, celle-ci était neutralisée. En deux minute toutes la compagnie était au courant et on se tapaient des barres.

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  • 1 year later...

Je propose de raconter ici des situations ou des dialogues cocasses qui se sont produits lorsque vous faisiez votre armée.

Pour ce 1er message, je vais parler du 1er jour de mon ER. Nous étions encore tous en civil et un sergent nous fit mettre en ligne afin que l'on se présente et il commence à nous faire son topo.

Le sergent:<< Dorénavant lorsque vous vous adressez à moi, c'est sergent: recrue Du Gland. Compris !!!>>

Les recrues: << Compris!>>

Sgt: <<Bon maintenant vous allez vous présenter.>> Il se déplace vers le 1er de la ligne et le désigne.

La recrue: <<Sergent: recrue Du Gland.>>

Sgt: <<Putain tu t'appelles Du Gland !!! C'était juste un exemple de nom ! >>   :lol:  :lol:

Recrue:<< Euh désolé. Sergent: recrue... >>

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y'a deja un vieux topic dans ce genre qui date d'un ou deux ans ... je le retrouve et je fusionne ...

<voili c'est fais .... les arrivants plus recents sont d'ailleurs instamment priés de nous faire part de quelques experiences rigolotes histoire d'alimenter ce thread bine mal a propos tombé en desuetude ...>

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Désolé, mais sur le coup comme il me l'avait raconté en même temps que des anecdotes amusantes mais banales comme les histoires de types qui tombent des hamacs enfermé dans leur sac de couchage moustiquaire, et bien sur les habituels histoires de tireur du dimanche qui fouttent tout leurs tir dans ta cible au lieu de la leur, mais l'histoire du masurca c'est moins banal.

Si tu veux je l'édite et je la met dans un topic mieux adapté, s'il y'en a un.

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lors d'un exercice de garde:

-on avait passé douze heures à garder un p***** d'hangar d'aviation (de type blindé et camouflé en butte avec végétation), avec fil de fer barbelés, poste d'observation, patrouille et tout toutime qui va avec.

L'exercice s'était bien passé, malgré le peu de sommeil que l'on a eu (2 heures je crois, pour moi) et une pluie assez forte à certains moments. Nos sergents, qui devaient faire les marqueurs (attaquants, avec la tenue de travail retournée), avaient bien fait leur boulot et on avait eu quelques situations assez intéressantes (du genre un Puch (Peugeot P4 suisse) qui s'amuse à tirer les barbelés et quelques attaques coordonnées du genre).

Le matin, après ces 12 heures de garde, le commandant d'école, un lieutenant colonel, a fait une inspection. Dans l'ensemble s'était bien (c'est ce qu'il a dit à la compagnie entière), mais, en coulisse, il a dit au commandant que la façon dont nous communiquions par radio n'allait pas (alors que l'on appliquait le réglement...) et qu'il fallait refaire 3 heures de garde pour corriger cela.

Et là, je vous dis pas le bordel que ça a été, surtout que ce lieutenant colonel n'était pas trop apprécié...

Plusieurs sergents ont réussis à passer (sans problème) les barrages de sécurité et ont commencés à courrir dans tous les sens sur le toit du hangar, en criant des conneries (avec leur tenue ça faisait penser à des fous),

un autre marqueur avait emprunté le flingue d'un lieutenant et nous a braqué dessus en sortant du périmètre par ce que j'avais eu le malheur de lui demander le laisser passer pour voir. Le lieutenant c'est d'ailleurs bien marré en voyant ça.

Même le commandant de compagnie remplaçant (un jeune officier contractuel) en avait marre et ne marrait en voyant le bordel que l'on faisait.

Bon, après une heure, on nous a dit de nous calmer et on a fini l'exercice plus ou moins tranquillement.

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je continue avec quelques petites histoires d'école de recrue.

1) mon fusil refusant de faire un truc (je sais plus quoi), je l'avais donné en réparation (c'était la deuxième fois en 7 semaines...), juste avant que l'école soit réorganisée en deux nouvelles compagnies, moment pendant lequel j'ai changé de chef de section. Résultat, mon fusil, qui avait juste un petit truc de coincé, est resté deux semaines dans la chambre d'arme, le sergent major chef (responsable de la logistique au niveau compagnie) croyant que le chef de section (l'ancien...) avait transmis l'info, moi croyant que le fusil étant en réparation. Heureusement qu'après ces deux semaines je suis allé demander, sinon mon fusil y serait encore.  :lol:

2) lors du dernier appel précédent le licenciement, lorsque que le commandant de compagnie nous a mis au garde à vous pour nous licencier, nous avons tous (sergent et lieutenant y compris) fait les pinguins (avec bruitage inclus) pendant une minute, sous les yeux médusés du commandant de compagnie et de l'officier de carrière responsable (un major). :lol:

3) en suisse, lorsqu'on a le FASS et que l'on se met au garde à vous, la main droite vient sur le fusil, à peut près au niveau du coeur (sans fusil, le bras reste tendu le long du corps). Cela parait simple, mais nous avons réussi à nous planter au moins une fois par semaine, pendant les 21 semaines qu'a durée l'école de recrue et on a même réussi à se planter lors du dernier appel.  :lol:

4) histoire entendue auprès d'un sergent-major-chef romand: au début d'une école de recrue, une recrue suisse allemande était venue s'annoncer au PC, le fusil sur homme. Malgré les indications gestuelles du sgtm C, celui-ci a du dire au moins 10 fois repos à la recrue pour qu'elle se réannonce avant qu'il ne comprenne qu'il fallait mettre la main sur le fusil.  :lol:

5) lors de la journée des parents, ma section a du défiler au pas sous les ordres du lieutenant. Malheureusement, le lieutenant ayant un fort accent suisse allemand,  en plus aidé par les bruits du public et du commentateur, nous avons réussi à nous planter deux fois dans les deux premiers ordres reçus. La moitié de la section est parti à droite, l'autre à gauche et un deuxième truc du genre. Bonjour l'impression que l'on a fait.  :lol:

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