Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Russie et dépendances.


Messages recommandés

Des vagues a la Douma :

Des députés de l'opposition russe claquent la porte de la Douma

Les députés du parti «Russie juste» entendent ainsi dénoncer la «grossièreté de Poutine».

Les députés du parti Russie juste (opposition) ont quitté mercredi la Douma (chambre basse du Parlement) pour protester contre des propos de Vladimir Poutine concernant une grève de la faim à Astrakhan (sud-ouest de la Russie) à la suite de fraudes électorales.

Le chef de ce parti, Sergueï Mironov, «a donné l'ordre de sortir de la salle à cause de la grossièreté de Poutine, nous partons», a écrit sur Twitter le député Ilia Ponomarev pendant que la télévision montrait des députés quittant la salle où le Premier ministre Vladimir Poutine présentait le bilan de l'action de son gouvernement en 2011.

Ce camouflet sans précédent pour M. Poutine est intervenu après une question posée par une députée de Russie juste concernant la grève de la faim d'un autre député du parti, Oleg Cheïn, et de plusieurs de ses partisans depuis le 16 mars pour dénoncer la victoire, émaillée de fraudes selon eux, du candidat du parti de Vladimir Poutine aux municipales du 4 mars à Astrakhan.

«Pour autant que je sache, votre collègue Cheïn a commencé sa grève de la faim, mais il ne s'est toujours pas pourvu en justice. Franchement, c'est plutôt bizarre», a déclaré Vladimir Poutine

L'homme fort du pays n'a pas réagi à la sortie du groupe parlementaire, qui compte 64 députés sur les 450 de la Douma.

Le parti Russie juste, après avoir travaillé pendant des années main dans la main avec le parti au pouvoir Russie unie, a critiqué ces derniers mois le régime de M. Poutine, alors que se développait un important mouvement de contestation dans le pays.

Vladimir Poutine doit être investi le 7 mai prochain à la présidence pour un nouveau mandat (de six ans), après avoir été quatre ans Premier ministre.

(AFP)

http://www.liberation.fr/monde/2012/04/11/des-deputes-de-lopposition-russe-claquent-la-porte-de-la-douma_810948

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Des soldats russes en République Démocratique du Congo.

KINSHASA (Xinhua) - La Russie est prête à prendre part à la traque des rebelles ougandais de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA) pour le retour effectif de la paix dans l'est de la RDC, a déclaré mardi l'ambassadeur russe en RDC, Anatoly Klimenko.

"La Russie est également disposée à dépêcher une délégation d’experts militaires en RDC pour vivre sur place les possibilités du renforcement de la modernisation des Forces armées de la RDC ( FARDC) surtout dans le domaine des équipements", a encore souligné l'ambassadeur russe, ajoutant que son pays est décidé à participer dans la modernisation des FARDC.

A ce propos, le diplomate russe a révélé que son pays vient d’octroyer 10 bourses d'étude en faveur de la formation, pour cinq ans, d'officiers congolais dans son pays pour en sortir formateurs des formateurs.

L'ONU et l'UA ont annoncé dernièrement leur intervention militaire dans la traque de la LRA et son chef Joseph Koni, avec un déploiement de 5.000 hommes de la Force régionale d’intervention regroupant les troupes des trois pays concernés par la LRA, notamment la République centrafricaine, la RDC et l'Ouganda.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

MOSCOU (Reuters) - Vladimir Poutine a annoncé mardi sa démission de la présidence du parti Russie unie après sa victoire à l'élection présidentielle, pour céder sa place au chef de l'Etat sortant, Dmitri Medvedev, dont il veut faire son Premier ministre.

"Comme le veut notre pratique politique, le président doit se tenir au-dessus des partis", a déclaré Vladimir Poutine aux représentants de Russie unie. "C'est pourquoi j'estime qu'il me faudra démissionner de la présidence après la passation des pouvoirs prévue en mai."

Vladimir Poutine, actuellement Premier ministre, doit prêter serment comme président le 7 mai. Il a proposé que le congrès du parti, qui doit se tenir dans les deux dernières semaines de mai, élise Dmitri Medvedev comme nouveau président.

Soucieux de protéger son image, Vladimir Poutine, vainqueur dès le premier tour de la présidentielle en mars, prend ainsi ses distances avec un parti fragilisé par des accusations de fraudes lors des élections législatives du 4 décembre dernier.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...

Retour aux affaires pour Vlad le terrible :

Violents affrontements avant l'investiture de Vladimir Poutine

07.05.2012 | Courrier international

La "Marche des millions", organisée par l'opposition le 6 mai à Moscou, veille de l'investiture de Vladimir Poutine à la présidence du pays pour un troisième mandat, a été marquée par des affrontements avec les forces de l'ordre, des centaines d'arrestations parmi les manifestants et une cinquantaine de blessés, rapporte le quotidien en ligne Gazeta.ru.

Avec une participation estimée à 100 000 personnes par les organisateurs (8 000 selon la police), la mobilisation contre Vladimir Poutine a largement dépassé les espoirs des organisateurs. Quelque 450 personnes ont été arrêtées, selon les chiffres du ministère de l'Intérieur, tandis que l'opposition a mis en ligne une liste de 650 noms de personnes expédiées dans différents postes de police du secteur de la place Bolotnaïa, où avait lieu le rassemblement. Parmi les personnes arrêtées, on compte des leaders "historiques" du mouvement "Pour des élections honnêtes" : le  juriste et blogueur Alexeï Navalny, le coordinateur du Front de gauche Sergueï Oudaltsov et le leader de Solidarité Boris Nemtsov. Ils encourent de quinze jours à deux ans de prison pour "incitation à des désordres massifs".

Quelques images

http://md0.libe.com/photo/421468/?modified_at=1336384777

http://md0.libe.com/photo/421465/?modified_at=1336384669

http://md0.libe.com/photo/421478/?modified_at=1336385194

http://md0.libe.com/photo/421475/?modified_at=1336385066

http://md0.libe.com/photo/421477/?modified_at=1336385146

Et aussi :

Poutine propose Medvedev au poste de Premier ministre

http://md0.libe.com/photo/421002/?modified_at=1336400575&ratio_x=03&ratio_y=02&width=476

Vladimir Poutine, le 4 mai 2012 à sa résidence de Novo-Ogaryovo, près de Moscou (Photo Alexei Nikolsky. AFP)

Le président russe a prêté serment ce lundi au Kremlin, devant 3 000 personnes.

Le chef de l’Etat russe Vladimir Poutine a proposé lundi au Parlement la candidature de son prédécesseur Dmitri Medvedev au poste de Premier ministre, a indiqué le président de la Douma (chambre basse), Sergueï Narychkine, cité par les agences russes.

Dans la foulée de cette annonce, le gouvernement russe, dirigé par M. Poutine jusqu'à lundi midi et son investiture à la présidence, a présenté sa démission, selon les agences.

Auparavant, Vladimir Poutine a promis lundi à la Russie une nouvelle étape de son développement, estimant lors de sa cérémonie d’investiture, que son mandat de six ans déterminera le destin du pays «pour des décennies».

«Aujourd’hui, nous entrons dans une nouvelle étape du développement national. Nous devrons résoudre des tâches d’une ampleur nouvelle», a-t-il dit.

«Les années à venir vont être déterminantes pour le destin de la Russie pour les décennies à venir et nous devons comprendre que la vie des générations futures, les perspectives historiques de notre Etat et de notre nation dépendent de nous», a déclaré l’homme fort de la Russie devant une foule de 3 000 invités réunis dans le Grand Palais du Kremlin.

Vladimir Poutine, qui est très critiqué par l’opposition pour son autoritarisme, a promis aussi de «renforcer la démocratie» en Russie.

Quelques minutes plus tôt, vêtu d’un costume sombre et d’une cravate rouge, il avait prêté serment sur la Constitution.

«Je jure, en tant que président de la fédération de Russie, de respecter les droits et libertés du peuple et du citoyen», a-t-il déclaré.

Le président sortant, Dmitri Medvedev avait tout juste avant prononcé ses derniers mots de chef d’Etat.

«Je suis heureux aujourd’hui que Vladimir Poutine devienne président, c’est un homme d’expérience et un dirigeant fort», a déclaré celui qui est appelé à devenir Premier ministre, conformément à la permutation des postes que Dmitri Medvedev et Vladimir Poutine ont annoncé à l’automne 2011.

«J’ai travaillé de manière ouverte et honnête, dans l’intérêt des gens. J’ai tout fait pour pour qu’ils soient libres et regardent l’avenir avec confiance», a ajouté M. Medvedev.

Opposants interpellés

Selon l’agence officielle Itar-Tass, une vingtaine d’opposants, dont l’un des leaders libéraux Boris Nemtsov, ont été interpellés dans le centre de la capitale où ils s'étaient rassemblés pour dénoncer le retour au pouvoir de Vladimir Poutine.

La veille, plus de 400 personnes avaient déjà été interpellées lorsque la police a dispersé sans ménagement un vaste rassemblement de l’opposition. Ces heurts ont fait plusieurs dizaines de blessés, chez les manifestants et les policiers.

Un impressionnant dispositif de sécurité a été déployé lundi dans le centre de Moscou.

Vladimir Poutine a été élu avec près de 64% des voix en mars pour un mandat de six ans. L’opposition avait fait état de nombreuses fraudes et organisé des manifestations pour contester sa victoire et celle de son parti en décembre aux législatives.

Jamais son régime n’a été confronté à un tel mouvement de contestation, qui a rassemblé jusqu'à plus de 100 000 personnes à Moscou cet hiver.

Vladimir Poutine avait quitté la présidence russe en 2008 pour devenir Premier ministre faute de pouvoir effectuer un troisième mandat consécutif.

(AFP)

http://www.liberation.fr/monde/2012/05/07/poutine-salue-une-nouvelle-etape-dans-le-developpement-de-la-russie_816955

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Et pour feter ca :

http://www.leparisien.fr/international/videos-a-peine-investi-poutine-montre-ses-muscles-au-hockey-08-05-2012-1990669.php

VIDEOS. A peine investi, Poutine montre ses muscles au hockey...

Publié le 08.05.2012, 17h45 | Mise à jour : 19h14

Chaque tir réussi du nouveau président a été acclamé par les supporteurs parmi lesquels se trouvaient les amis de l'homme fort de Russie, l'ex-Premier ministre italien Silvio Berlusconi et l'ex-chancelier allemand Gerhard Schroeder. Lors de ses deux premiers mandats à la tête de la Russie, on l'a vu vu piloter une Formule 1, commander un bombardier d'eau, pêcher torse nu en Sibérie, chasser en treillis dans la taïga, foncer en motoneige, faire une démonstration de judo, nourrir les dauphins, jouer au badminton, et on en passe et des meilleures... Vladimir Poutine, investi lundi, pour la troisième fois, président de la Russie, n'a pas attendu longtemps pour ré-enfiler son costume de Superman.

Dans la soirée, il a participé à un match de hockey sur glace contre une équipe de joueurs légendaires soviétiques. Et, bien évidemment, il a apporté la victoire à son équipe d'amateurs en marquant deux buts.

Berlusconi dans les tribunes...

Portant un maillot blanc-rouge avec le numéro 11, Vladimir Poutine a ainsi envoyé à deux reprises le palet dans le filet de l'adversaire, comme on peut le voir sur les images de la télévision russe. Chaque tir réussi du nouveau président a été acclamé par les supporteurs parmi lesquels se trouvaient ses amis, l'ex-Premier ministre italien Silvio Berlusconi et l'ex-chancelier allemand Gerhard Schroeder. Le président de la Fédération internationale de hockey sur glace (IIHF) René Fasel a également assisté au match.

«Le Championnat du monde de hockey sur glace est actuellement en cours. Nous souhaitons la victoire à notre équipe nationale et nous voulons que la génération actuelle soit digne des sportifs légendaires des années passées», a déclaré Vladimir Poutine lors d'une remise de médailles après le match.

On ne pourra pas lui reprocher de ne pas tenir parole : Vladimir Poutine avait promis en février 2011 à des sportifs d'apprendre à patiner et, selon son porte-parole, il s'est entraîné à plusieurs reprises la nuit pour pouvoir jouer au hockey. Ceinture noire de judo, l'homme fort de Russie est coutumier de ce type d'apparitions publiques.

Elu en mars en dépit d'une contestation sans précédent,  Poutine a été investi lundi pour un troisième mandat de six ans au Kremlin après deux précédents effectués en 2000-2008.

Les videos dans le lien pour les fans.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Russie: nouveau manuel d'Histoire

AFP

Un nouveau manuel d'histoire va être publié à Moscou pour "créer une image positive de la Russie d'aujourd'hui chez les Russes et dans le monde", a annoncé ce matin le ministère russe de l'Education et de la Science.

Ce manuel sera étudié dans les établissements scolaires afin de "rectifier des stéréotypes" apparus après l'effondrement de l'URSS en 1991 qui "minimisent le rôle de personnalités historiques éminentes constituant la gloire et la fierté de la Russie", indique le ministère sans préciser les personnalités en question.

Ces dernières années, plusieurs manuels d'histoire contemporaine ont fait scandale en Russie, en raison de leur tentative de réhabilitation de Staline. Ce nouveau manuel doit également dénoncer "les falsifications de l'Histoire" qui sont devenues "une arme visant à affaiblir l'influence internationale de la Russie, poursuit le Ministère sans autre précision là non plus.

La version occidentale de l'Histoire, qui parle de l'invasion pendant la seconde guerre mondiale puis de l'occupation des pays baltes (Estonie, Lituanie et Lettonie) jusqu'à la chute de l'URSS est considérée par les autorités russes comme une "falsification de l'Histoire".

Pour Moscou, il s'agit de la libération de ces trois pays suivie de leur intégration volontaire dans l'Union soviétique.

En 2007, Vladimir Poutine, qui exécutait alors son second mandat, avait expliqué à des historiens que les nouveaux manuels devaient inculquer "un sentiment de fierté" aux nouvelles générations, contrairement aux manuels des années 90 qui donnaient "un sentiment de culpabilité".

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ah bon, je ne me souvient pas que les Baltes qui ont lutté pour leur indépendance en 1918 ont accueillit l'Armée Rouge avec des fleurs en 40, beaucoup se sont même jeté dans les bras des allemands en 1941... :O

Effectivement, certains ont même aidé les nazis à la tuerie des juifs et de soviétiques notamment les cadres communistes.

mais, est-ce qu'une partie de la population balte n'a pas été déporté par Staline ?

Je sais que Staline a envoyé différentes nationalités ou ethniques dans les goulags comme les Allemands, les Tchétchènes, les Ukrainiens, même Russes, Bulgares, Grecs, Tatars, ... mais pour les Baltes ? Je ne sais pas.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...

Russia to Reopen Arctic Airbases

Selected air units of Russia’s Western military district will start this year preparations to return to abandoned Arctic airfields, the commander of the district’s aviation Maj. Gen. Igor Makushev said on Wednesday.

Military airfields in the Arctic were used extensively in the Soviet era, but after the collapse of the Soviet Union in 1991 they have been generally mothballed.

“We will start reopening airfields on Novaya Zemlya and in Naryan-Mar as early as this summer,” Makushev told a news conference in St. Petersburg.

Plans for next year include the reopening of a military airfield on Graham Bell Island, which is part of Franz Josef Land. [...]

Image IPB

Article en intégralité sur : Ria Novosti

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 weeks later...

Risque de guerre entre l'Arménie et l'azerbaïdjan : un risque énergétique majeur pour l'UE

La « guerre des snipers » dans la région du Nagorno-Karabakh entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie, si elle est peu évoquée (notamment dans les médias), inquiète (discrètement) l’Union européenne. (...) Le rôle de la Russie est déterminant, voire prépondérant, dans ce conflit. Il est cependant trouble. Si la Russie est un allié politique et militaire de l’Arménie, elle fournit des armes aux deux parties. On peut craindre qu’elle ait comme intérêt de maintenir un état de conflit de basse intensité comme elle le faisait sous l’URSS afin de rester la seule puissance régionale. Et on peut craindre qu’en cas de conflit ouvert, elle interviendrait comme « grand pacificateur » de la région (selon l’expression de l’eurodéputé allemand Michael Gahler), aux côtés de l’Arménie, imposant ainsi sa zone d’influence face aux occidentaux. D’autres acteurs internationaux sont incontournables dans la région: l’Iran (allié stratégique de l’Arménie), Israel (qui exporte ses armes à l’Azerbaïdjan), les Etats-Unis (qui ont un intérêt stratégique en Azerbaïdjan mais qui doivent aussi écouter une forte diaspora arménienne) et bien sûr l’UE.(...) Mais un conflit ouvert aurait des conséquences dévastatrices pour la région, qui serait totalement déstabilisée, là où il n’y a pratiquement personne pour « surveiller » un cessez-le-feu qui n’est déjà pas appliqué. Enfin, si, il y a tout de même six observateurs du Groupe de Minsk (OSCE)… Pour l’UE, la première conséquence serait évidemment énergétique, avec au mieux, une montée des prix du brut liée au risque pris par les compagnies. Et au pire, un blocage des exportations de l’Azerbaïdjan : une frappe aérienne (russe?) aurait en effet vite fait de détruire les pipelines, coupant ainsi les ressources du pays (pour qui les revenus pétroliers représentent 90% de ses exportations).

L'article complet :

http://www.bruxelles2.eu/zones/asie-centrale-georgie-russie-europe-caucase/une-guerre-ouverte-tres-a-lest-de-leurope-de-plus-en-plus-probable-a-moyen-terme.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Sur le papier, oui.

Mais le pouvoir azéri est assez fragile. Un décès à la tête du pays, un coup d'Etat militaire soutenu en sous-main par un pays tiers ou une attaque contre un terminal pétrolier, et le pays vacille.

De surcroît, les Arméniens connaissent parfaitement le terrain. En 1992, ils se sont fort bien débrouillés contre les Azéris. Leur armée est faible, mais elle peut faire l'affaire dans des opérations de harcèlement et d'embuscades.

La grosse inconnue sera l'attitude :

- des Russes

- des Iraniens

- des Turcs

- des Etats-Unis

- des Chinois

- des pétroliers

- ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Sur le papier, oui.

Mais le pouvoir azéri est assez fragile. Un décès à la tête du pays, un coup d'Etat militaire soutenu en sous-main par un pays tiers ou une attaque contre un terminal pétrolier, et le pays vacille.

De surcroît, les Arméniens connaissent parfaitement le terrain. En 1992, ils se sont fort bien débrouillés contre les Azéris. Leur armée est faible, mais elle peut faire l'affaire dans des opérations de harcèlement et d'embuscades.

La grosse inconnue sera l'attitude :

- des Russes

- des Iraniens

- des Turcs

- des Etats-Unis

- des Chinois

- des pétroliers

- ...

Les russes ont des casques bleus sur place et plus d'affinité avec l'Arménie

Les Iraniens peuvent pas voir les Azerbaidjanais

Les Turcs soutiennent l'Azerbaidjan

Pour les autre m'etonneraient qu'ils soient directement ou indirectement impliqués en dehors de cris d'orfraie diplomatique

En gros on est dans la même situation que la Georgie en 2008 avec l'Iran en acteur supplémentaire

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...

Les ambitions retrouvées de l'ex-armée Rouge.

Après avoir souffert, dans ses finances et son amour-propre, de la chute de l'URSS, l'armée russe se réforme. Vladimir Poutine a promis un « réarmement sans précédent ». Mais le complexe militaro-industriel peine à se moderniser...

Face aux Occidentaux, notre armée tient à nouveau la comparaison ! » Sergeï Skorniakov, commandant adjoint du « Iaroslav Moudrï », fleuron de la flotte de la Baltique, s'enthousiasme. Amarré à un quai de la base navale de Kaliningrad, l'enclave russe coincée entre Pologne et Lituanie, où le Kremlin menace de déployer ses missiles de courte portée Iskander et ses nouvelles batteries antiaériennes S-400, ce navire de guerre est présenté comme le symbole de la « renaissance » de la marine nationale. La majorité des hommes y sont désormais sous contrat, et non plus des appelés. Les salaires ont doublé, pour le commandement comme pour les marins sur le pont. A bord, tous le répètent : ils se sentent enfin respectés grâce aux réformes de l'armée lancées par Vladimir Poutine, l'ex et nouveau chef du Kremlin.

Mais, à lui seul, le « Iaroslav Moudrï » résume aussi les limites de cette modernisation. Carcasse de 4.500 tonnes, ce navire lourdement armé, sorti des chantiers navals en 2008, a été conçu sur un modèle datant de l'URSS... A l'image de cette salle des commandes encore décorée d'étoiles rouges, symboles du régime soviétique. Ici, rares sont les ordinateurs. Et les instruments de communication paraissent venir d'un navire musée.

« La modernisation est en cours. Progressivement, nous nous équipons avec de nouveaux armements », se défend pourtant le commandant général de la flotte baltique, le vice-amiral Viktor Tchirkov. Une priorité à l'échelle de toute l'armée. Vladimir Poutine a en effet promis un « réarmement sans précédent ». Quelque 23.000 milliards de roubles, soit près de 600 milliards d'euros, seront dépensés d'ici à dix ans dans le complexe militaro-industriel russe. Plus de 10 % de cette somme seront consacrés à la seule modernisation de ses usines. Le chef du Kremlin, dont la réforme vise à transformer une armée de 1 million d'hommes sous-payés, mal équipés et démotivés en une armée professionnelle devant passer à 145.000 soldats en 2020, s'est fixé des objectifs ambitieux : pour les dix ans à venir, 400 missiles balistiques modernes devront être livrés, ainsi que 8 sous-marins stratégiques, 20 sous-marins polyvalents, 50 navires de surface, une centaine d'appareils spatiaux à fonction militaire, 600 avions modernes, 1.000 hélicoptères, 28 nouvelles batteries antiaériennes...

Insuffisance de cadres

Ces problèmes ont plusieurs causes. Après la chute de l'Union soviétique, l'industrie s'est éclatée en de multiples entreprises dont on ne sait pas toujours identifier les propriétaires. Le Kremlin a tenté de les regrouper au sein de vastes conglomérats. « Mais ces intégrations verticales ont été menées de force. Sans vraie évaluation des capacités de production. Et, surtout, sans contrôle sur les finances », regrette Alexandre Golts. « La solution : privatiser, mieux définir les priorités et financer des projets plutôt que des conglomérats. Sans céder à la pression des lobbies poussant à un réarmement tous azimuts pour satisfaire tout le monde », conseille Alexandre Konovalov.

Autre explication : entre les jeunes recrues inexpérimentées et les préretraités post-soviétiques, le complexe militaro-industriel souffre d'une insuffisance de cadres de 30-40 ans parmi les ingénieurs et les techniciens. Sans parler du manque de bons managers. Alors que beaucoup de spécialistes sont partis vers des secteurs mieux rémunérés, le secteur de l'armement n'attire plus comme sous l'URSS les meilleurs diplômés de l'Académie des sciences. Résultat : peu d'innovations. C'est pour attirer de nouvelles recrues que le gouvernement songe à créer une agence qui servirait de laboratoire à idées. « Une solution bureaucratique à un problème de fond... », craint, sceptique, Alexandre Golts.

Certains grands chantiers ont certes été lancés, tel Armata, qui, confié au producteur de tanks Uralvagonzavod, doit aboutir à des modèles entièrement robotisés. Mais, pour le moment, le parc industriel vit en majorité sur ses modèles et ses usines soviétiques. Et, régulièrement, éclatent au grand jour des conflits entre le ministère de la Défense et ses fournisseurs. Sur la fin des achats du vieux char T-90, faute d'une modernisation technologique suffisante, par exemple. Sur le prix d'un nouveau sous-marin, jugé deux fois trop élevé par les militaires. Ou sur le sort des kalashnikov, dont l'armée ne sait que faire (elle en possède 11 millions d'unités, selon certaines estimations) mais que l'usine d'Izhmash veut continuer de produire.

La commande à la France, l'an passé, de deux porte-hélicoptères Mistral a aussi créé des tensions. Car le message du ministère était clair : si les industries ne se modernisent pas, l'armée est prête à acheter à l'étranger. Pour le complexe, cette leçon a été d'autant plus dure que la Russie, peu habituée à importer ses armes, est au contraire l'un des leaders mondiaux sur les marchés d'exportation. Avec, l'an dernier, un nouveau record de ventes : plus de 12 milliards de dollars.

Les ambitions de Sukhoï

Ces marchés à l'export ont sauvé plusieurs entreprises russes, les commandes extérieures leur ayant permis de survivre pendant dix années, malgré l'absence de commandes nationales après la chute de l'URSS. Parmi elles : Almaz Antey, avec ses systèmes de défense antiaérienne (dont désormais le S-400). Un groupe qui, aujourd'hui, n'a pas assez de capacités de production pour satisfaire la nouvelle demande intérieure et qui, du coup, envisage la construction de deux usines supplémentaires.

Autre exemple parmi les géants soviétiques qui ont jusque-là bien survécu grâce aux exportations vers la Chine, l'Inde et d'autres pays en voie développement aujourd'hui saturés de modèles post-soviétiques et demandeurs d'armements plus modernes : Sukhoï, avec ses légendaires avions de combat. C'est lui qui est derrière le développement du T-50. Présenté en concurrent du F-22 américain, cet avion de chasse de cinquième génération doit équiper les forces aériennes à partir de 2016. Avec des ambitions déclarées de quelque 1.000 appareils sur le marché international.

Echecs cuisants

Mais le complexe a connu aussi de cuisants échecs. Quelque 5 milliards de roubles (125 millions d'euros) ont ainsi été engloutis par la société Vega pour concevoir un nouveau drone. Le projet a finalement dû être confié à une entreprise issue du civil privé et, en attendant un hypothétique avion russe, Moscou a été contraint de se fournir en Israël. La guerre contre la Géorgie, en août 2008, avait pourtant révélé cette défaillance, l'une parmi tant d'autres d'une armée en manque d'équipements modernes à la hauteur de ses ambitions : la Russie avait certes gagné, mais en combattant à l'ancienne. « La majorité des guerres aujourd'hui sont pourtant régionales », rappelle Alexandre Golts. « L'armée doit donc se réarmer en fonction des conflits auxquels elle doit se préparer. Avec pour priorités : drones, "smart weapons" et moyens de communication. » Un message qui a encore du mal à passer dans la hiérarchie militaire et, plus encore, dans un complexe industriel trop marqué par l'époque soviétique.

Plus :

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Actuellement ils dépensent environ combien par an en équipement les russes ? (leur budget ayant oscillé ces dernières années de 58/60 milliards $ a 71 en 2011 mais le budget équipement représente combien la dedans ?)

Annoncer grosso modo 50 milliards d'euros/an (vu que c'est exprimé en euro dans l'article) (600-10% pour la modernisation des complexs militaro-indus) d'efforts d'équipements c'est énorme et potentiellement "a effet d'annonce" (marquer coup politique "fort" sans que les faits suivent réellement derrière)

A moins qu'ils comptent beaucoup sur une courbe de progression de revenus sur le gaz/pétrole/minerais qui le leur permettrait, mais ça laisse un arrière gout de doute quand même ... Comme si ils cherchaient a rattraper la dépense militaire chinoise qui s'est envolé ces dernières années (doublée en 10 ans, la Chine était sensiblement a niveau de dépenses militaire a peu près égal a la France ou GB dans les années 2000, pour doubler depuis les années 2010) "politiquement a tout prix"

Alors que de l'autre coté en occident : soit ça stagne ou ça "baisse" un chouille : ils n'ont pas de pression particulière a ce niveau, MAM/DAMB mis a part

Est ce crédible ? Je pense surtout que niveau revenus ils pourront pas trop pour l'instant compter sur une progression des prix de l'énergie fossile : la reprise mondiale annoncée pour après 2012 entre 2008/2010 n'étant pas venu, et ne montrant aucun signe "d'arrivée" : le pétrole risque même de baisser ... A la limite peuvent compter sur progression prix/gaz et du nickel

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Radar de Gabala: un compromis encore possible (FSVTS)

Image IPB

MOSCOU, 5 juillet

Il est encore possible d'aboutir à un compromis lors des négociations sur le prix de location du radar situé dans la ville azerbaïdjanaise de Gabala, a déclaré jeudi à RIA Novosti le directeur adjoint du Service fédéral russe pour la coopération militaire et technique (FSVTS).

"Il faut trouver des voies pour un compromis, qui est toujours possible. Le problème est de savoir si les parties sont prêtes à aboutir à un compromis et dans quelle mesure ce dernier est acceptable pour chacune des parties", a indiqué le responsable.

Selon une information diffusée début mars, l'Azerbaïdjan aurait décidé de porter de 7 à 300 millions de dollars le loyer annuel du radar de Gabala, loué par la Russie.

D'autre part, le commandant en chef de l'armée de l'air, le général Viktor Bondarev a récemment déclaré que si Moscou et Bakou n'arrivaient pas à se mettre d'accord sur le prix de location du radar, cela n'entraînerait pas de conséquences graves pour les forces armées russes

Signé en 2002, le contrat de bail du radar expire le 24 décembre 2012. Moscou a engagé avec Bakou des négociations visant à prolonger le bail jusqu'en 2025.

http://fr.rian.ru/defense/20120705/195254964.html

43 mds USD de commandes par les pays étrangers (Poutine)

SOTCHI, 2 juillet

En 2012, la Russie a signé des contrats d'exportation d'armements pour 5,7 milliards de dollars, et le portefeuille des commandes du complexe militaro-industriel atteignant au total 43 milliards de dollars, a annoncé lundi le président russe Vladimir Poutine.

"Dès cette année, de nouveaux contrats à l'exportation pour 5,7 milliards de dollars ont été signés, ce qui est de 2,4 milliards de dollars supérieur au premier semestre de 2011", a indiqué le chef de l'Etat lors d'une réunion de la commission pour la coopération technique militaire à Sotchi (mer Noire).

"Au total, le portefeuille des commandes à l'exportation constitue quelque 43 milliards de dollars, ce qui signifie que notre industrie de la Défense et ses entreprises connexes vont recevoir des ressources supplémentaires pour leurs développement et modernisation", a-t-il ajouté.

http://fr.rian.ru/defense/20120702/195227087.html

La Russie, 2e exportateur d'armements au monde (Poutine)

SOTCHI, 2 juillet

La Russie arrive en 2e position dans le monde pour le volume de ses exportations d'armements, a déclaré lundi le président russe Vladimir Poutine.

"La Russie arrive en 2e position dans le monde pour le volume des exportations d'armements", a indiqué le chef de l'Etat qui citait les données de l'Institut international de recherches sur la paix de Stockholm (SIPRI), avant de préciser que le pays assurait 24% des exportations mondiales.

Selon le SIPRI, 30% du volume mondial des exportations d'armes reviennent aux Etats-Unis, 9% à l'Allemagne et 8% à la France.

"Le marché des armes est complexe, et la concurrence y est âpre. Aussi les succès de la Russie y sont-il d'autant plus spectaculaires", a souligné M.Poutine lors d'une réunion sur la coopération militaire technique à Sotchi (mer Noire).

http://fr.rian.ru/defense/20120702/195226869.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salon de Farnborough: la Russie signe des contrats pour 570 avions

Image IPB

PDG d'OAK Mikhaïl Pogossian

FARNBOROUGH, 9 juillet

Le premier constructeur d'avions russe, la Compagnie aéronautique unifiée (OAK), a conclu des contrats de vente de 270 avions militaires et de 300 appareils civils, a annoncé lundi à RIA Novosti le PDG d'OAK Mikhaïl Pogossian, qui participe au salon aéronautique de Farnborough (Grande-Bretagne).

"L'OAK a signé des contrats pour 270 avions (militaires). Son carnet de commandes pour les avions civils compte 300 appareils", a indiqué M. Pogossian.

Il a précisé que ce carnet de commande comprenait en premier lieu des Sukhoï Superjet-100, des Antonov An-148 et des MS-21.

Le MS-21 est un moyen-courrier conçu par l'avionneur Irkout. Sa production en série doit débuter en 2014.

http://fr.rian.ru/economic_news/20120709/195299941.html

Farnborough 2012: les visas pour les Russes se font attendre

MOSCOU, 5 juillet

Les atermoiements bureaucratiques liés à l'obtention de visas pour la Grande-Bretagne mettent en danger la participation de représentants russes au Salon aérospatial de Farnborough, a annoncé jeudi la diplomatie russe dans un communiqué publié sur son site.

"Malgré le fait que tous les documents aient été fournis à temps, plusieurs représentants russes qui entendent prendre part au Salon aéronautique de Farnborough s'ouvrant le 9 juillet, n'ont pas encore obtenu leurs visas. Malheureusement, ce n'est pas la première fois que les atermoiements bureaucratiques mettent en danger la participation de nos représentants aux événements internationaux se déroulant en Grande-Bretagne", déplore le communiqué.

"Concernant ce problème, nous restons en contact permanent avec la partie britannique tant à Moscou qu'à Londres. Espérons que tous les participants russes au Salon aéronautique pourront obtenir les visas demandés", conclut le communiqué.

http://fr.rian.ru/world/20120705/195257937.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rapprochement stratégique ?

Les armées russe et américaine mèneront une série d'exercices conjoints en vue de perfectionner l'interaction des unités terrestres et navales participant aux opérations de maintien de la paix de l'Onu, a déclaré mardi à Washington le chef d'état-major général des forces armées russes Nikolaï Makarov.

"Avant fin juillet, nous mènerons les préparatifs des manœuvres "Atlas Vision" prévues pour 2013. L'objectif de ces exercices consiste à améliorer l'interaction entre les unités des forces terrestres russes et américaines participant aux opérations de maintien de la paix sous l'égide des Nations unies", a fait savoir M.Makarov qui effectue une visite aux Etats-Unis.

"Nous prévoyons en outre d'organiser une série d'exercices impliquant les forces navales des deux pays", a indiqué le général russe.

"Des exercices militaires russo-américains se déroulent presque annuellement. Ainsi, en août prochain, nous envisageons de mener les manœuvres Vigilant Eagle, destinées à améliorer l'interaction des forces aériennes en cas de détournement d'un avion par des terroristes", a annoncé M.Makarov.

Il a également rappelé que les forces spéciales russes et américaines avaient mené en mai dernier leurs premiers exercices communs sur le territoire de la base militaire de Fort Carson, dans l'Etat du Colorado. A présent, les bâtiments de guerre russes et les navires de la marine américaine prennent part aux grandes manœuvres internationales RIMPAC-2012 au large des îles d'Hawaï. http://fr.ria.ru/defense/20120710/195306807.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Le Kazakhstan espère recevoir des missiles S-300 d'ici 2013

Image IPB

TCHOLPON-ATA (Kirghizstan), 11 juillet

Le Kazakhstan espère équiper en 2013 son armée de systèmes de missiles sol-air S-300, a annoncé mercredi aux journalistes le chef des Troupes de DCA du pays Nourjan Moukanov.

"Le travail sur les questions liées aux systèmes S-300 se poursuit, nous espérons des suites positives d'ici 2013", a déclaré M. Moukanov à l'issue d'une réunion du Conseil de coordination de la CEI pour la DCA, tenue au Kirghizstan.

Les missiles sol-air S-300 russes sont destinés à la protection des sites industriels et administratifs, des bases militaires et des postes de commandement contre les attaques aériennes et spatiales. Les S-300 sont capables de détruire les missiles balistiques et de croisière, ainsi que d'abattre les avions à une distance de 150 km et à une altitude allant jusqu'à 27 km.

http://fr.rian.ru/images/18654/14/186541404.jpg

http://fr.rian.ru/defense/20120711/195317082.html

Bases russes au Kirghizstan: augmentation du loyer en 2014

Image IPB

TCHOLPON-ATA, 11 juillet

Le Kirghizstan entend augmenter le loyer de trois des quatre bases militaires russes déployées sur son territoire à partir de 2014, a annoncé mercredi à Tcholpon-Ata, une station balnéaire de la province d'Issyk Koul, le ministre kirghiz de la Défense Taalaïbek Omouraliev.

"Nous avons l'intention de proposer à la Russie de payer davantage pour ses bases après l'expiration du bail en 2014, en fonction du taux d'inflation", a indiqué le ministre.

Il s'agit d'un centre d'essai de matériels sous-marins de Karakol (situé au bord du lac d'Issyk Koul), du centre de liaison de la Marine russe de Kara-Balta (58 km à l'ouest de Bichkek) et du laboratoire radio-sismologique de Maïli-Suu (région de Djalalabad, sud).

En mars dernier, le ministère russe de la Défense a remboursé une dette de 15,5 millions de dollars au Kirghizstan pour l'exploitation de sites militaires, selon le service de presse du ministère kirghiz de la Défense.

Les autorités kirghizes ont annoncé à maintes reprises leur intention d'augmenter le loyer des sites militaires russes basés sur son territoire.

La décision d'augmenter le loyer ne concerne pas la base aérienne de Kant située près de Bichkek, qui fonctionne pour le compte de l'Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC: Arménie, Biélorussie, Kazakhstan, Kirghizstan, Ouzbékistan, Russie et Tadjikistan), selon lui. "Le Kirghizstan paie lui-même les charges locatives, il s'agit d'une somme de plus de 300 millions de soms (près de 5,2 M EUR) par an", a ajouté le ministre.

En vertu des accords signés dans le cadre de l'OTSC, le Kirghizstan ne peut pas prélever de loyer sur des sites militaires utilisés par cette organisation que certains analystes qualifient d'"OTAN russe".

http://fr.rian.ru/defense/20120711/195321466.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Share

  • Statistiques des membres

    5 965
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Meumeu
    Membre le plus récent
    Meumeu
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...