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Nos soldats en Afghanistan


Philippe Top-Force
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Pourquoi il y a des écussons-drapeau de France foncés et d'autres plus clairs sur d'autres photos ?

Il me semble qu'il y avait une histoire de camo là-dessus.

Il y a les "patch" classique coloré bien visible pour les défilé et en temps de paix ou a l'abri. Et il y a une version basse visibilité, qui reprend les teinte du camouflage est modifiant la lumiere et les contraste des maniere a reproduire le meme dessin, mais en se confondant avec le vetement des qu'on s'eloigne un peu.

Ici http://www.efaf.fr/product_info.php?products_id=933

La http://www.efaf.fr/product_info.php?products_id=920

Et la le normal http://www.efaf.fr/product_info.php?products_id=153

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http://www.defense.gouv.fr/ema/operations_exterieures/afghanistan/breves_et_photos
/afghanistan_elections_presidentielles_reconnaissance_des_bureaux_de_vote_video

Depuis le début du mois de juin 2009, le bataillon français participe aux reconnaissances des bureaux de vote en prévision des élections présidentielles afghanes du mois d'août, en collaboration étroite avec l'armée et la police afghanes. Début juillet, plus de 75 centres de vote sur une centaine prévue ont été reconnus.

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A Kaboul, avec les « soldats de l'ombre »

Leur rôle est essentiel. Au camp de Warehouse, les militaires du Bataillon de soutien et de commandement assurent la logistique et les transports. Plusieurs d'entre eux sont basés à Bruz.

L'été, il se produit un curieux phénomène qui perturbe le transport aérien. Avec la chaleur (autour de 35°) et l'altitude (1 800 m), les avions manquent de portance. Comme la piste de l'aéroport est courte, ils ne peuvent charger que la moitié de leur fret, sous peine de manquer leur décollage.

Une difficulté de plus pour les hommes du Bataillon de commandement et de soutien (BCS) dont la mission principale est la logistique. Pour participer à la lutte contre les talibans sous la bannière de l'Otan, la France a envoyé 2 800 soldats. Et tout ce qu'ils mangent, boivent. Tout ce qui leur est nécessaire pour s'habiller, se loger. Leurs armes, leurs munitions, leurs véhicules...

Près de leurs Vab, des soldats du peloton de circulation,

qui assurent la sécurité des convois.

Tout cela arrive grâce à un pont aérien entre la France et l'aéroport de Kaboul. « Jusqu'à 350 tonnes en une semaine », précise le colonel Thierry Lasserre, chef de corps du 2e Régiment du matériel basé à Bruz, près de Rennes. Et, en Afghanistan, le commandant du BCS.

416 soldats (et soldates, car il y a aussi des femmes) issus de 70 unités différentes : le 2e Rmat de Bruz, d'abord. Mais aussi le 1er Régiment du train de Montlhéry, le 601e Régiment de circulation routière d'Arras, le 1er Groupement logistique du commissariat de l'armée de terre... Hétéroclite ? « Au contraire ! On a pioché les meilleurs spécialistes là où ils se trouvaient », se défend Thierry Lasserre.

Le camp de Warehouse, où ils sont stationnés, abrite lui-même une douzaine de nationalités : Français, mais aussi Turcs, Allemands, Italiens, Tchèques... En tout, 2 500 militaires qui ne se mélangent guère. Ainsi, les foyers sont ouverts à tous. Mais si, après le déjeuner, vous allez boire un café à celui des Français, le « Montmartre », vous ne trouvez que des compatriotes.

Situé en banlieue de Kaboul, près de l'aéroport, ce camp d'une quarantaine d'hectares est gardé comme Fort Knox. A l'entrée, des chicanes en béton ont été disposées pour empêcher un attentat au camion-suicide. Le piéton est fouillé, passé au détecteur de métaux, questionné... Chaque véhicule visité par un « chien explo » dressé pour reconnaître jusqu'à 50 sortes différentes d'explosif.

Comme dans toutes les bases militaires en Afghanistan, la sécurité est au niveau maximum. Cette vigilance s'exerce jusque dans les détails : la semaine dernière, des soldats de la garde ont trouvé une clé USB qu'un travailleur afghan tentait de sortir en fraude dans son téléphone portable.

Cela ne fait pas pour autant de Warehouse un lieu totalement sécurisé. Au printemps, une rocket est tombée près du petit marché où les soldats viennent faire des emplettes. Quatre d'entre eux ont été blessés. « Ici, ce n'est pas la guerre mais on peut mourir », dit le capitaine Warnier, responsable de la sécurité, en montrant le trou gros comme un nid-de-poule qu'a laissé l'impact.

Plus risqués que la vie au camp, les convois sont la deuxième grosse mission des hommes du BCS, les « soldats de l'ombre », comme dit le colonel Lasserre. Une chose est de réceptionner le fret qui vient de France, une autre est de le faire parvenir aux unités sur le théâtre d'opération.

Une tâche pleine de danger car il faut toujours craindre un attentat à l'explosif, une embuscade. Laurent, 31 ans, est maréchal des logis chef. Les convois ? « Ce sont ceux pour la Kapisa que l'on redoute le plus. Pendant le trajet (3 heures et demie), on reste totalement concentrés. Et, à l'arrivée, quelle fatigue ! Mais personne n'a peur : chacun sait ce qu'il a à faire, on est formés pour ça. »

Le 1er RI revient entier d'Afghanistan

En Moselle, à Sarrebourg, nombreux seront ceux qui, aujourd'hui, pousseront un « ouf ! » de soulagement : les derniers soldats du 1 er Régiment d'infanterie engagés pendant cinq mois en Afghanistan sont rentrés à la maison.

La projection du 1er RI en Afghanistan a débuté en février. Le chef de corps, le colonel F. Chatelus, a emmené là-bas la moitié de son régiment à savoir quelque 550 hommes et femmes. « Grâce à notre action, l'armée nationale afghane est maintenant installée en permanence dans la vallée de l'Uzben (district de Surobi) qui était auparavant un sanctuaire de l'insurrection, où 10 soldats français ont été tués l'été dernier », résume l'officier qui commandait également, sur place, la totalité du bataillon français engagé. « Un autre aspect de notre mission était la protection du camp français de Kaboul et le contrôle de zone effectué en ville, à Kaboul ou Surobi village, sous la menace permanente de l'attaque suicide ».

Fort heureusement, tout le monde est revenu en France indemne, même si là-bas, « le risque était présent partout, mais sous différentes formes », révèle encore le colonel Chatelus. Pour preuve, ce terrible « accrochage » du 11 juin, un piège tendu par une quarantaine d'attaquants, qui n'a pas fait de victime du côté français, mais dix-sept du côté des assaillants.

Dès mercredi 15 juillet, la vie du 1er RI se poursuivra, comme si de rien n'était. Ou presque, car son chef sera remplacé par le Col Lagrange.

Au moment de quitter le régiment, le Col Chatelus a exprimé le désir qu'une forte délégation de Cambrésiens soit présente. « Je tiens à remercier la ville de Cambrai pour le soutien apporté à mes soldats en opération », assure l'officier dans le courrier précité, en évoquant l'envoi de Bêtises, initié par un élève de l'école Saint-Bernard, et les Livres d'or de La Fleurus « qui ont remporté un franc succès auprès de mes hommes».

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Moins nous en savons sur les opérations de nos soldats, mieux ils se portent. L'ennemi n'est pas idiot, il se documente, y compris avec ce qui transite sur un site comme air-défense grâce à des réseaux implantés ici même dans notre pays. C'est une réalité, il faut en avoir conscience et donc agir en conséquence.

Et de vous rappeler une affiche de 1940: "prudence, l'ennemi guette vos confidences".

La gloriole "panpanboumboumonestlesplusforts", on peut s'en passer. Nos soldats, eux, sont irremplaçables.

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Moins nous en savons sur les opérations de nos soldats, mieux ils se portent. L'ennemi n'est pas idiot, il se documente, y compris avec ce qui transite sur un site comme air-défense grâce à des réseaux implantés ici même dans notre pays. C'est une réalité, il faut en avoir conscience et donc agir en conséquence.

Et de vous rappeler une affiche de 1940: "prudence, l'ennemi guette vos confidences".

La gloriole "panpanboumboumonestlesplusforts", on peut s'en passer. Nos soldats, eux, sont irremplaçables.

M'enfin on est plus en 40, la commuunication est globale et l'info tres facilement accessible ... pour éviter de laisser l'ennemi communiquer tranquille il est indispensable de communiquer aussi, de maniere suffisament dense et crédible pour inspirer confiance et soutient. Il s'agit pas de faire du bodycounting a la mords moi le noeud mais de communiquer sur l'activité de nos troupes au combat. La guerre c'est un business aussi ... et un business sans un bon marketing et une bonne com ... c'est voué a la liquidation.

Quand aux infos utilisé par les taliban et pioché sur le web par des complices :) ... malheureusement je crois que les talibans sont bien mieux informés la bas que nous ici, d'autant que vu le niveau techno de la guerre qu'ils menent, je ne suis pas convaincu qu'on leur soit d'une grande utilité avec nos geekerie :lol:

Se servir d'un GSM comme remote control il ont pas besoin de nous pour ca. Connaitre les spec et le modus operandi des brouilleur non plus... etc.

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Faudrait arrêter d'utiliser le terme taliban à tort et à travers aussi, les opposants sont très divers, ils n'y a pas de front uni contre nous, juste un consensus contre la présence de troupes étrangères, c'est un avantage pars qu'ils sont incapables de planifier des offensives simultanés ou une stratégie à l'échelle nationale, mais c'est également problématique car nos succès reste locaux eux aussi, ils ne signifient pas une amélioration globale.

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http://www.parismatch.com/Actu-Match/Monde/Actu/Chasseurs-alpins-bataille-en-Afghanistan-84184/

Au cœur de la bataille d’Alasay

L’opération est baptisée «Nan-E-Shab Berun», littéralement «Dîner en ville». Elle débute à 2 h 45 du matin avec la mise en place des premiers hommes dans les VAB. Une heure plus tard, ils partent derrière l’armée nationale afghane (Ana) dans la vallée d’Alasay. A 4 h 33, les quatre «déposes» de soldats sur les crêtes par les hélicoptères commencent. Avant le lever du jour, près de 700 hommes sont dans la vallée ou sur ses flancs. Objectif : repousser les insurgés pour que l’Ana puisse s’installer durablement et libérer ainsi l’axe qui va à Surobi, au Pakistan. Une route essentielle au développement économique.

Les Français et leurs alliés connaissent parfaitement les risques. Chaque patrouille qui a dépassé la ligne reliant les deux villages de Sultankhel et de Shehkrut, la «deadline» comme l’appellent les soldats, a été prise à partie. Deux soldats de l’Ana sont morts la semaine précédente. Mais ils doivent absolument frapper avant l’arrivée du printemps et la réorganisation de l’ennemi s’ils ne veulent pas connaître le sort des gars du 8e RPIMa en août dernier. Les efforts pour garder l’opération secrète ont échoué. «Nous sommes attendus, nous confie le capitaine Sébastien, officier renseignement. Nos informations montrent un renforcement dans la vallée.» Dans la nuit, un peu avant le déclenchement de l’opération, une roquette est passée à proximité de la BOA de Tagab. Un avertissement.

Encadrées par leurs «mentors» américains et soutenues par les Français, les forces de l’Ana atteignent peu après 8 h 30 le district d’Alasay. «Impeccable, s’amuse alors le colonel. On va y prendre le lunch, voire même le breakfast !» Soudain, il ne sourit plus. «Vous pouvez écrire que c’est la guerre», dit-il. Sur les crêtes, deux sections, Vert 30 et Vert 20, sont la cible d’un feu nourri. Elles ont notamment pour mission d’empêcher des renforts insurgés de rejoindre la zone des combats. «En arrivant, nous avons été pris à partie par au moins trois snipers, raconte l’adjudant Mourald, le patron de Vert 30. Un premier groupe a été “fixé”. Il nous a fallu deux heures quarante pour le désengager.» Pas le temps de construire des fortifications dans cette montagne aride, sans abri. «Je suis resté trente minutes sans bouger, se souvient Mourald, la face collée au sol. Les insurgés les plus proches étaient à 50 mètres. Dans ces moments, on pense juste à ramener tout le monde.»

Il est 8 h 44. «Vert 30 demande l’appui des hélicoptères très rapidement», annonce la radio. Vingt minutes plus tard, c’est Jonquille 30, dans la vallée, qui est prise à partie. Pendant plus d’une heure. Le centre opérationnel s’anime. Les radios crachent en continu. Ordinateurs, cartes, gobelets de café jonchent la table. Un écran projette une carte actualisée en temps réel. Au-dessus de nos têtes le ballet des avions et des hélicoptères se mêle au tonnerre des mortiers.

A 10 h 22, les deux premiers blessés – de l’Ana – sont évacués en hélicoptère. Le colonel concentre son attention sur Vert 30. «A cette cadence, ils ne tiendront jamais quatre jours», s’inquiète-t-il. Or, cette crête est stratégique. Soudain, le tireur Milan de Vert 30 est blessé. «La première balle a été arrêtée par son poste de tir juste avant son visage et la deuxième a été stoppée par son gilet pare-balles, détaille l’adjudant Mourald. Il l’a échappé belle.» Bilan : deux côtes cassées et un rapatriement en hélicoptère. Un groupe de Vert 20 qui tentait d’exfiltrer Vert 30 est lui aussi fixé sur sa position. «Le feu a duré quarante-cinq minutes, raconte le lieutenant Aurélien, chef de la section. Avec mon radio, nous avons reçu une roquette à 10 mètres.» Alors, bien sûr, les hommes ont peur. «Sinon, on serait inconscients», s’exclame Mourald.

Nicolas, un caporal de 23 ans, ajoute : «Il ne faut pas commencer à se poser des questions, à penser à notre famille. Surtout quand, dans la vallée, on voit nos camarades souffrir.» «Les insurgés se cachent dans des petites grottes, raconte le lieutenant Aurélien. On a du mal à identifier leur position avec précision.»

De 11 heures à 15 heures, le groupe connaît une accalmie, même s’il reste sous le feu d’un sniper. Puis les tirs reprennent. Vert 30 évalue entre six et douze le nombre d’insurgés mais il faudra l’appui des mortiers et de l’aviation, le largage d’une bombe perforante de 1 tonne sur une grotte pour que le feu se calme à nouveau. Sûrement faute de combattants. «Ils ont pilonné la zone, décrit Nicolas, le caporal de Vert 20. Ils l’ont mise en feu. C’était impressionnant.» Mais l’ennemi est «traité».

Au centre opérationnel, tous sont concentrés sur leur tâche. Aux problèmes de Vert 20 et 30 s’ajoutent les menaces d’attaques-suicides, les insurgés tentent de se réorganiser. Leurs renforts arrivent dans la vallée où les accrochages sont très violents. Il faut prendre en charge les blessés – l’Ana en compte six. Une fillette de 8 ans, brûlée, est évacuée en même temps que le tireur Milan de Vert 30. Un peu avant 19 heures, le colonel demande à ses supérieurs – des Américains – deux hélicoptères pour désengager Vert 20 et Vert 30. «Ça ne changera pas la face de la bataille», plaide-t-il.

Il est 22 h 16 quand le corps du caporal-chef X., du 27e bataillon des chasseurs alpins, est récupéré par un convoi sanitaire héliporté. Un officier fait du café. Le capitaine Brice organise le réapprovisionnement des sections mortiers qui ont déjà tiré 200 obus explosifs depuis l’aube.

Puis, soudain, 23 h 59, les Américains qui ont d’abord donné leur accord au désengagement par hélicoptère des sections Vert 20 et Vert 30 reviennent sur leur décision. «Trop dangereux», disent-ils. Même si les soldats sont déjà descendus sur la zone où l’appareil aurait dû les récupérer. «Puisque la solution n’allait pas arriver du ciel, la seule issue était de s’exfiltrer à pied, analyse maintenant un lieutenant. Nous avons gardé une bouteille de flotte chacun et quelques barres de céréales. Et largué le reste de la nourriture.» Avec son armement, chaque soldat porte entre 80 et 100 kilos.

Il leur faudra entre deux et trois heures pour descendre dans la nuit avec «le risque qu’un mec tombe, renverse son matériel, se casse une cheville sur une pierre». Ils ne peuvent plus communiquer tant le souffle leur manque. «Parler, c’est utiliser de l’énergie, dit le sergent-chef Frédéric. Avancer, sans penser à rien. Il faut poser le cerveau. C’est une question de volonté. Mais j’étais vraiment limite», reconnaît-il. Avec la peur au ventre, se souvient le lieutenant Aurélien : «Peur qu’un ennemi réussisse à s’infiltrer entre deux sections et empêche les appuis de nous soutenir. Avec ce qu’on avait sur le dos, c’était impossible de combattre.» Du district d’Alasay, les hommes des commandos de montagne entament l’ascension pour aider leurs copains. Il est 3 heures du matin quand les sections arrivent enfin au poste de police du district. Au terme de ces vingt-quatre heures sur zone, Vert 30 a utilisé 50 % de ses munitions. Un poste Milan a été détruit par l’ennemi et deux missiles antichars ont été neutralisés sur place.

«On pensera à ce qu’on a vécu... quand ce sera terminé», affirme l’adjudant Mourald. La première manche est gagnée. Dès 14 heures, ils sont à nouveau en alerte. Certains sont déjà repartis en mission. Et un officier de confier : «C’est un miracle qu’on n’ait pas eu plus de morts et de blessés. Il aurait fallu rajouter une section mais on n’avait pas les hommes.»

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  • 2 weeks later...

http://www.defense.gouv.fr/ema/operations_exterieures/afghanistan/breves_et_photos/27_07_09_afghanistan_arrivee_des_3_helicopteres_tigre_a_kaboul

Afghanistan : arrivée des 3 hélicoptères Tigre à Kaboul

Le 26 juillet 2009, trois hélicoptères de combat Tigre sont arrivés sur l’aéroport de Kaboul par Antonov 124.

Ils complèteront le dispositif aérien de la coalition, notamment les 6 hélicoptères français, 3 Caracal et 3 Gazelle "Viviane", déjà présents sur le théâtre afghan au sein du détachement d'hélicoptères de Kaboul.

L'hélicoptère Tigre HAP (Hélicoptère d'appui et de protection) servira dans des missions de reconnaissance armée, d'appui et d'intervention au profit des troupes de la coalition.

Les trois Tigre sont mis en œuvre par le 5e Régiment d'hélicoptères de combat de Pau.

C'est la première fois que le Tigre est engagé sur un théâtre d'opérations.

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Il y a un coté presque irréel à voir le Tigre en Afghanistan … comme si ça faisait depuis 2002 qu'on l'attendais là bas et que ce n'était plus qu'un rêve irréalisable… ça me fait presque pleurer une petite larme  :'(

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http://www.defense.gouv.fr/ema/operations_exterieures/afghanistan/breves_et_photos/27_07_09_afghanistan_arrivee_des_3_helicopteres_tigre_a_kaboul

Afghanistan : arrivée des 3 hélicoptères Tigre à Kaboul

Le 26 juillet 2009, trois hélicoptères de combat Tigre sont arrivés sur l’aéroport de Kaboul par Antonov 124.

Ils complèteront le dispositif aérien de la coalition, notamment les 6 hélicoptères français, 3 Caracal et 3 Gazelle "Viviane", déjà présents sur le théâtre afghan au sein du détachement d'hélicoptères de Kaboul.

L'hélicoptère Tigre HAP (Hélicoptère d'appui et de protection) servira dans des missions de reconnaissance armée, d'appui et d'intervention au profit des troupes de la coalition.

Les trois Tigre sont mis en œuvre par le 5e Régiment d'hélicoptères de combat de Pau.

C'est la première fois que le Tigre est engagé sur un théâtre d'opérations.

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