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La crise financiere mondiale


Invité barbaros pacha
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Rapide recherche sur le web :

Les salaires ont baissé certes => article de 2011 avec une forte inégalité salariale apparemment :

http://www.marianne2.fr/Le-prix-de-la-prosperite-allemande-42-de-salaire-moyen-_a212320.html

Mais en 2008 l'écart sur le revenu moyen était largement favorable aux ALL :2980 EUR, FR : 2462 EUR

http://www.inegalites.fr/spip.php?article1419

elle a peut être un peu oublié le jeu collectif.

Mouais, c'est vrai que ca joue bien collectif en Europe :rolleyes:..

Et qui ramasse le fruit des efforts en Allemagne ? les salariés qui ont du sérieusement serrer la ceinture ? Pour cela il faudrait aujourdhui que l'Allemagne augmente les salaires. Si elle ne le fait pas, alors on ne pourra pas dire que c'est l'allemand moyen qui jouira du produit de sa sueur, mais plutôt une certaine classe sociale...

Ca bouge sur ce point là, entre les primes à 8000 EUR des constructeurs immobiles, ya eu des greles salaires des metalos, et une greve de lufthansa ya quelques mois..

http://www.marianne2.fr/Le-prix-de-la-prosperite-allemande-42-de-salaire-moyen-_a212320.html

http://www.europe1.fr/International/Allemagne-la-ou-les-salaires-augmentent-1076271/

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Mouais, c'est vrai que ca joue bien collectif en Europe

Tu as raison, et je le regrette, la politique Allemande sur ce sujet en est un exemple parmi tant d'autres.

Ca bouge sur ce point là, entre les primes à 8000 EUR des constructeurs immobiles, ya eu des greles salaires des metalos, et une greve de lufthansa ya quelques mois..

J'ai utilisé le "faudrait" à dessein, je ne dis pas que l'Allemagne ne va pas le faire, et je l'espère pour les salariés allemands ;)
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Il ne faut pas oublier que dans l'industrie, les salariés allemands peuvent bénéficier de prime individuelle variable pouvant aller jusqu'à 8000 euros,

elle récompense la "performance",ca n'a rien à voir avec les notre, 1000 euros de piva maxi, généralement c'est 600 euros standard, elle sont la

pour compenser les faibles augmentations et entretenir la motivation.

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La Chine vient d'acheter ces seuls six derniers mois 383 tonnes d'or. A cela s'ajoute les 250 tonnes d'or de production nationale annuelle qu'elle ne met pas sur le marché. Beaucoup d'experts estiment que les stocks d'or avoués de la banque de Chine sont largement sous-estimés.

Dans le même temps, les grands gestionnaires de Hedge Funds George Soros et John Paulson (rien à voir avec Hank Paulson) se jettent littéralement sur l'or :

Quand aux 8133 tonnes d'or des Etats-Unis, beaucoup mettent en doute la véracité de ce chiffre. Il est d'ailleurs impossible d'obtenir un audit indépendant de Fort Knox depuis de nombreuses années. Le dernier document vidéo rendu public tourné à l'intérieur de Fort Knox date de 1974. Aucun membre du Congrès Américain n'a pu se rendre sur place pour une inspection depuis. Toutefois chaque année un rapport d'audit est rendu public (ici, la version de 2010) :

Il ne s'agit pas comme certains conspirationnistes du "club des barres de tungstene" de dire qu'une bonne partie de l'or à été vendue mais plutôt de pointer que le sujet des réserves d'or des Etats-Unis semble avoir revêtu un caractère éminemment stratégique.

La Chine est aujourd'hui classée premier acheteur mondial du Perth Mint Gold, devant l'Europe et les Etats-Unis.

Selon le tableau suivant plus bas, les stocks d'or estimés pour chaque pays. On notera les 8 133 tonnes pour les USA contre 10 192 tonnes pour la zone Euro (...). Bien sûr on rappellera que les Américains ont fait pression sur le gouvernement Français (et un certain Nicolas Sarkozy aux Finances) pour vendre 600 tonnes d'or de la banque de France (qui en a vendu 60 ou 65 tonnes plus récemment). Le gouvernement Blair a agi de même et vendu plusieurs tonnes d'or de la Bank of England.

La Cour des comptes pointe, dans son rapport annuel publié aujourd'hui, des erreurs d'appréciations sur la question de la vente d'une partie du stock d'or de la Banque de France survenue entre 2004 et 2009.

En mai 2004, Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Economie, annonce la vente de 500 à 600 tonnes d'or de la Banque de France sur 5 ans. La France pourra placer l'argent ainsi dégagé sur des devises et des placements obligataires, dont les intérêts serviront à réduire la dette. Une erreur d'appréciation que met en avant la Cour des comptes dans son rapport annuel.

Mauvaise idée :

Mauvaise idée : entre 2004 et 2011, le prix moyen de l'once d'or explose: il est passé de 409,72 dollars à 1 384,21 dollars.  D'ailleurs au même moment,  les banques centrales européenne et les banques centrales des Etats de la Zone euro, ainsi que  la banque suisse et la suédoise Sveriges Riksbank décident de limiter leurs ventes d'or.

20% des réserves d'or bradées :

Le stock d'or de la Banque de France passe de 3 000 tonnes en 2004 à 2 445 tonnes fin juillet 2009. Si la France avait vendu ces 572 tonnes aujourd'hui, elle aurait touché deux fois plus d'argent, soit un montant supérieur à 18 milliards d'euros.

Note : La Belgique a interdit les ventes de son or en 2005, le Portugal en 2006 et l'Espagne en 2007.

Doc. 1 - réserves d'or mondiales (+ zone Euro) en décembre 2010 - source : World Gold Council.

Image IPB

Doc. 2 - réserves d'or mondiales rapportées "per capita" - déc. 2010 WGC - (notez la Suisse qui concentre 1000 tonnes pour une population modeste).

Image IPB

Bien sûr à la vue des deux illustrations, on comprendra aisément qu'un bloc Européen uni présente un stock d'or lui permettant d'assoir l'Euro sur une valeur nominale supérieure à n'importe quelle autre monnaie. Cela fait de l'Euro un candidat au statut de monnaie de réserve alternative (tout comme le Franc Suisse).

Le retour du standard-or n'est pas pour tout de suite. Quoique...  

Les Chinois semblent avoir d'autres plans.

En tout cas ils achètent de l'or, beaucoup d'or.

Et plus du tout de bons du Trésor US.

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2500 tonnes d'or au cours actuel c'est 102,5 milliards d'euros

les 8 000 tonnes US (et encore ce chiffre est assez ancien) ne représentent donc qu'environ 450 milliards de $

est-ce avec çà qu'on assoit la valeur d'une monnaie vu aujourd'hui les volumes de transaction qui n'on plus rien à voir avec ceux antérieurs à 1973

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2500 tonnes d'or au cours actuel c'est 102,5 milliards d'euros

les 8 000 tonnes US (et encore ce chiffre est assez ancien) ne représentent donc qu'environ 450 milliards de $

est-ce avec çà qu'on assoit la valeur d'une monnaie vu aujourd'hui les volumes de transaction qui n'on plus rien à voir avec ceux antérieurs à 1973

Ben non. Si on devait passer à l'étalon-or, son cours devrait passer au moins à 50000$. Le rêve secret des goldbugs, hahahaha !  :happy:

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Universités privées : la catastrophe

Si les grandes universités outre-Atlantique dominent les classements internationaux, les critiques se font de plus en plus forte sur les inégalités engendrées par un système aussi onéreux pour les étudiants. Notre blogueur associé Laurent Pinsolle revient sur les failles d'un système.

La critique du coût délirant des études n’émane pas d’une officine gauchisante alter-mondialiste, mais bien du très sérieux et très libéral The Economist, qui n’en est pas à sa première attaque. Dans un nouveau papier intitulé « la calamité du coût de l’université », l’hebdomadaire reprend les conclusions d’un rapport du cabinet de conseil Bain, qui pointe l’explosion de coûts. Il explique que les universités étasuniennes ont augmenté leur endettement de 12% par an de 2002 à 2008.

Les dépenses d’équipement ont augmenté de plus de 6% par an et celles consacrées à l’instruction de près de 5% par an. Résultat, The Economist rapporte une envolée du coût des études puisque depuis 1983, le coût moyen d’un étudiant é a progressé trois fois plus vite que l’inflation. De 2001 à 2010, le coût des études est passé de 23% du salaire annuel moyen à 38%. Résultat, les étudiants s’endettent massivement : 1000 milliards de dollars aujourd’hui (dont quelques subprimes).

Cette étude complète un papier du même journal d’il y a deux ans  qui pointait également les dépenses somptuaires des universités et le coût exhorbitant des études, alors que les étudiants et les professeurs travaillent de moins en moins. The Economist comparait alors ces fleurons des classements internationaux aux constructeurs automobiles étasuniens avant leur faillite ! D’autres études ont également souligné l’explosion des frais administratifs et la bureaucratie envahissante.

L'échec du privé

Bien sûr, tout cet argent permet de figurer tout en haut des classements internationaux en payant des professeurs reconnus. Pourtant, même The Economist se pose la question du mauvais fonctionnement du marché dans ce domaine. En effet, le prix semble être devenu un argument de vente : plus il est élevé, plus la formation semble demandée. La concurrence devient totalement malsaine et anti-économique avec une bulle digne de celle des starts-ups de la fin des années 1990.

Pire, comme Paul Krugman l’avait noté dans son livre L’Amérique que nous voulons, ce système pose un gros problème d’inégalités et d’injustice. Il rapportait en effet une étude sur les élèves de 5e qui montrait que ceux qui étaient dans le premier quart de leur classe mais dont les parents étaient dans le 4e quart pour les revenus avaient autant de chances d’aller à l’université que ceux qui étaient dans le 4e quart de la classe mais dont les parents étaient dans le 1er pour les revenus !

En clair, par-delà l’énorme gâchis financier de cette bullle financière, cette envolée des frais de scolarité des universités étasuniennes produit une société de plus en plus aristocratique où les mauvais élèves de parents riches ont autant de chances de faire des études que les bons élèves de parents issus des classes populaires. Voilà une nouvelle démonstration des très grandes limites du marché, outre le cas de la santé, 50% plus coûteuse qu’en France pour un moins bon résultat.

Contrairement à ce que veulent faire croire les ayatollahs néolibéraux, le marché ne fonctionne pas toujours. Et dans le domaine si important de l’éducation, il démontre des failles colossales aux Etats-Unis qui devraient être prises en compte avant tout projet de libéralisation ailleurs.

Marianne2.fr

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Et bien. Qui a-t-il de chocant?

Si c'est anti-économique et si cela ressemble à l'industrie automobile avant son effondrement, cela fera comme l'industrie automobile. Rien de plus.

Ta raison y a rien de mieux que le Darwinisme, ...à part les combats de gladiateurs évidemment.

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Universités privées : la catastrophe

Si les grandes universités outre-Atlantique dominent les classements internationaux, les critiques se font de plus en plus forte sur les inégalités engendrées par un système aussi onéreux pour les étudiants. Notre blogueur associé Laurent Pinsolle revient sur les failles d'un système.

La critique du coût délirant des études n’émane pas d’une officine gauchisante alter-mondialiste, mais bien du très sérieux et très libéral The Economist, qui n’en est pas à sa première attaque. Dans un nouveau papier intitulé « la calamité du coût de l’université », l’hebdomadaire reprend les conclusions d’un rapport du cabinet de conseil Bain, qui pointe l’explosion de coûts. Il explique que les universités étasuniennes ont augmenté leur endettement de 12% par an de 2002 à 2008.

Les dépenses d’équipement ont augmenté de plus de 6% par an et celles consacrées à l’instruction de près de 5% par an. Résultat, The Economist rapporte une envolée du coût des études puisque depuis 1983, le coût moyen d’un étudiant é a progressé trois fois plus vite que l’inflation. De 2001 à 2010, le coût des études est passé de 23% du salaire annuel moyen à 38%. Résultat, les étudiants s’endettent massivement : 1000 milliards de dollars aujourd’hui (dont quelques subprimes).

Cette étude complète un papier du même journal d’il y a deux ans  qui pointait également les dépenses somptuaires des universités et le coût exhorbitant des études, alors que les étudiants et les professeurs travaillent de moins en moins. The Economist comparait alors ces fleurons des classements internationaux aux constructeurs automobiles étasuniens avant leur faillite ! D’autres études ont également souligné l’explosion des frais administratifs et la bureaucratie envahissante.

L'échec du privé

Bien sûr, tout cet argent permet de figurer tout en haut des classements internationaux en payant des professeurs reconnus. Pourtant, même The Economist se pose la question du mauvais fonctionnement du marché dans ce domaine. En effet, le prix semble être devenu un argument de vente : plus il est élevé, plus la formation semble demandée. La concurrence devient totalement malsaine et anti-économique avec une bulle digne de celle des starts-ups de la fin des années 1990.

Pire, comme Paul Krugman l’avait noté dans son livre L’Amérique que nous voulons, ce système pose un gros problème d’inégalités et d’injustice. Il rapportait en effet une étude sur les élèves de 5e qui montrait que ceux qui étaient dans le premier quart de leur classe mais dont les parents étaient dans le 4e quart pour les revenus avaient autant de chances d’aller à l’université que ceux qui étaient dans le 4e quart de la classe mais dont les parents étaient dans le 1er pour les revenus !

En clair, par-delà l’énorme gâchis financier de cette bullle financière, cette envolée des frais de scolarité des universités étasuniennes produit une société de plus en plus aristocratique où les mauvais élèves de parents riches ont autant de chances de faire des études que les bons élèves de parents issus des classes populaires. Voilà une nouvelle démonstration des très grandes limites du marché, outre le cas de la santé, 50% plus coûteuse qu’en France pour un moins bon résultat.

Contrairement à ce que veulent faire croire les ayatollahs néolibéraux, le marché ne fonctionne pas toujours. Et dans le domaine si important de l’éducation, il démontre des failles colossales aux Etats-Unis qui devraient être prises en compte avant tout projet de libéralisation ailleurs.

Marianne2.fr

On ne pleurera pas pour eux, du fait de leur comportement les universités US sont vouées a disparaitre de leur classement a celui du fameux de shangaï, parce que si les moyens financiers amènent au final + de mauvais élèves mais de parents très riches par rapport a avant : cela va forcément s'en ressentir a un moment ou a un autre sur ces classements ...

A moins, a moins que ces classements étaient biaisé depuis un bon moment déja ... Et qu'on y achète pas une qualité d'instruction, mais simplement un titre de passage ni + ni - possible aussi, mais alors pourquoi sont elles encore en haut de ce classement ? Car les frais a la hausse le sont constamment depuis des années déja, le phénomène n'a rien de vraiment "nouveau" aux USA

En réalité je pense que ces classements sont simplement biaisé depuis le début mais ça ...

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Article de mauvaise foi absolue. Le choix de l'inflation est désastreux surtout pour les inactifs, et le meilleur pour les jeunes ce qui leur permettra via une relance de l'économie, des jobs, des hausses de salaire pour rattraper l'immense avance que les "vieux" ont pris sur eux.

C'est simple, on a deux possibilités :

Austérité - déflation => avantage à ceux qui ont déjà accumulé, désastreux pour l'économie et les emplois <=> avantage aux "créanciers"

Relance monétaire et fiscale - inflation => relance de l'économie et des emplois, capital déjà existant grignoté <=> avantage aux "débiteurs"

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Article de mauvaise foi absolue. Le choix de l'inflation est désastreux surtout pour les inactifs, et le meilleur pour les jeunes ce qui leur permettra via une relance de l'économie, des jobs, des hausses de salaire pour rattraper l'immense avance que les "vieux" ont pris sur eux.

C'est simple, on a deux possibilités :

Austérité - déflation => avantage à ceux qui ont déjà accumulé, désastreux pour l'économie et les emplois <=> avantage aux "créanciers"

Relance monétaire et fiscale - inflation => relance de l'économie et des emplois, capital déjà existant grignoté <=> avantage aux "débiteurs"

Sauf que l'inflation est difficilement maitrisable ("effet ketchup") et que l'hyperinflation a des effets hautement délétères.
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Sauf que l'inflation est difficilement maitrisable ("effet ketchup") et que l'hyperinflation a des effets hautement délétères.

Oui enfin l'inflation est relativement stable pour le moment. C'est justement ce qui donne certaines libertés à la BCE.
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Bon déjà hyper-inflation on peut oublier, autant parier sur un astéroide géant qui tombe sur une région habitée.

Quant à l'inflation on n'en voit pas le début pour le moment. Rien qu'aujourd'hui les chiffres du PPI m/m pour l'Allemagne sont tombés à 0.0% (+0.4% attendu), le chiffre précédent ayant déjà fortement surpris par son caractère hautement déflationniste (-0.4%).

Serge, entre une inflation à 0% ou négative + chômage et une inflation à 5% + emploi, je choisis la deuxième proposition.

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Bon déjà hyper-inflation on peut oublier, autant parier sur un astéroide géant qui tombe sur une région habitée.

Quant à l'inflation on n'en voit pas le début pour le moment. Rien qu'aujourd'hui les chiffres du PPI m/m pour l'Allemagne sont tombés à 0.0% (+0.4% attendu), le chiffre précédent ayant déjà fortement surpris par son caractère hautement déflationniste (-0.4%).

Serge, entre une inflation à 0% ou négative + chômage et une inflation à 5% + emploi, je choisis la deuxième proposition.

Il me semble que la meilleur solution c'est d'essayer de garder un certains équilibre, avec une inflation qui soit raisonable. Ce qui est justement le boulot de la BCE.
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