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Notre Marine Nationale, les nouvelles, les effectifs, la composante


Philippe Top-Force
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L'Amiral communique partout http://www.newspress.fr/Communique_FR_268940_5982.aspx

Vous êtes, comme votre prédécesseur, un « sous-marinier ». L'augmentation du nombre de sous-marins militaires dans le monde et de pays détenteurs de cette arme signifie-t-elle une recrudescence des dangers ?

Notre Livre blanc, paru il y a peu, l'a indiqué: les menaces dans le monde sont de plus en plus diffuses, dispersées et évolutives. C'est vrai de la menace sous-marine comme des autres. Il y a effectivement depuis vingt ans une augmentation sensible du nombre de sous-marins dans le monde. On en compte environ 500 aujourd'hui, détenus par 42 pays. Nous sommes bien sûr très attentifs à cette évolution.

Vous remarquerez d'ailleurs que je préfère parler de risque ou de menace potentielle plutôt que de danger.

Auparavant, les sous-marins performants étaient concentrés dans les mains de quelques nations. Aujourd'hui, nombre de nations possèdent des sous-marins modernes et savent les mettre en oeuvre. C'est une tendance que l'on ne peut pas ignorer car cela veut dire que, partout où elles iront, nos forces navales pourraient être confrontées à de tels adversaires. La lutte anti sous-marine est aujourd'hui un domaine d'excellence de la marine française. C'est un domaine où, à l'évidence, il ne faut pas baisser la garde ! L'arrivée des frégates "Aquitaine", des hélicoptères NH 90 et des sous-marins nucléaires d'attaque Barracuda vont nous permettre de conserver, voire d'améliorer cette capacité particulièrement précieuse.

Les tensions militaires sont de plus en plus nombreuses en Asie - revendications territoriales, nationalisme, conflits de puissance Chine Asean US. Européens et français avons-nous des intérêts militaires et maritimes en mer de Chine ?

Oui ! Nous avons des intérêts en mer de Chine pour au moins trois raisons. Tout d'abord, la Chine elle-même est un géant économique, en passe de devenir d'ici 2030 la première économie du monde, ainsi que l'analyse, là encore, le Livre blanc. Notre intérêt économique, comme celui des autres puissances dans le monde, passe donc par le maintien de la paix dans cette région du monde. Ensuite parce que la mondialisation induit une dépendance très forte de nos économies aux flux maritimes, y compris dans des zones très éloignées de nos côtes, et particulièrement en Asie. A titre d'exemple, transporter un conteneur entre Shanghai et Anvers coûte aujourd'hui le même prix qu'entre Marseille et Dijon. Toute tension dans une zone de fort trafic maritime nous intéresse donc au premier chef. Enfin, ainsi que l'a fait remarquer le Sénat dans un rapport d'information publié l'année dernière, la raréfaction des ressources à terre tourne les appétits vers la mer dans le monde entier. Les revendications territoriales auxquelles vous faites référence, et qui sont pour partie liées à la protection des ressources potentielles que l'on trouve au fond des océans, sont une illustration de ce que j'appelle la "territoralisation" de la mer, c'est à dire la revendication de nouvelles frontières à la mer. Ce n'est d'ailleurs pas le seul endroit ou des tensions pourraient apparaitre. Je pense à l'Arctique, à la Méditerranée, au Pacifique....

Si l'on considère que le monde est plus instable, plus dangereux, est-ce mécaniquement un engagement accru de la Marine nationale pour la défense des intérêts français et européens ? Si oui est-ce tenable ?

L'engagement de la Marine nationale sera celui que le pouvoir politique lui ordonnera. Le rôle des militaires n'est pas de fixer les missions mais bien de remplir celles qu'on leur ordonne avec les moyens qu'on leur confie. Le Livre blanc a donné un cap et mis en regard des moyens et une ambition. A mon niveau, je dois m'assurer que le contrat opérationnel qui en découle pour la marine est réalisable. C'est le cas, à condition bien sûr que les crédits accordés permettent de suivre la ligne fixée par le Livre blanc et d'entraîner les équipages dans toutes les composantes. Cela suppose un programme de renouvellement de nos moyens mais aussi des crédits suffisants pour entretenir le matériel existant, autoriser l'activité nécessaire à l'entrainement et faire fonctionner la marine de façon générale. C'est tout l'objet de la loi de programmation militaire qui doit être débattue prochainement.

A l'échelle de l'Europe, des coalitions sont possibles à tout moment. Grâce à l'entrainement qu'elles pratiquent ensemble au quotidien, les marines européennes, comme celles de l'OTAN, sont capables sans délai de constituer une force commune ; nous l'avons souvent montré. Le meilleur exemple est la mission Atalanta de lutte contre la piraterie en océan Indien. Dès lors que les intérêts politiques convergent, l'outil militaire peut et saura s'organiser pour coordonner ses forces. Encore une fois, c'est la volonté politique qui guide l'action opérationnelle.

Le Livre blanc, projet de budget de la Marine nationale pour les 5 ans à venir, permet-il à la marine de couvrir toutes ses opérations extérieures. Est-ce au détriment des missions habituelles ? Est-ce déjà arrivé ?

La marine se voit confier des missions permanentes, telles que la dissuasion ou les missions de connaissances-anticipation assurées par nos forces pré-déployées près des zones d'intérêts. Elle participe également à l'action de l'Etat en mer, en particulier en haute mer : sauvetage de personnes, assistance aux bâtiments en détresse, lutte contre le trafic de drogue, contre la pêche illicite, interception de passeurs, destruction de mines historiques. Missions permanentes et action de l'Etat en mer constituent deux pieds de ce que j'ai coutume d'appeler le trépied de nos missions. Les opérations extérieures en sont le troisième pied et ne sont, par définition, pas prévisibles. Tout dépend dès lors du niveau d'engagement qui nous est demandé. Nous avons déjà fortement mutualisé nos moyens, les mêmes bâtiments participant à toutes ces missions selon les besoins. Il faut donc effectuer des arbitrages en fonction du contexte.

Nous en avons eu un exemple lors de l'opération aéromaritime menée en Libye en 2011. A l'époque, 27 bâtiments se sont relayés devant les cotes libyennes; le porte-avions et son groupe aérien, les bâtiments de projection et de commandement, les frégates, les sous-marins nucléaires d'attaque, les avions de patrouille maritime ont été engagés de façon intense et continue. Nous avons dû, pour y parvenir, renoncer provisoirement à certaines missions permanentes. Demain, avec des capacités moindres, des arbitrages entre missions seront encore plus nécessaires. Ce principe a été acté par le Livre Blanc.

Réduction des budgets d'un côté, maintien des engagements extérieurs de l'autre, sont des contraintes diamétralement opposées. Cette crise des ciseaux nous oblige-t-elle à nous fondre davantage dans la structure mutualisée de l'Otan ?

Nous avons, pour partager le fardeau des crises, intérêt à agir autant que possible en coalition, que ce soit dans le cadre de l'Union européenne ou de l'OTAN. Cela ne veut pas dire que nous devons renoncer à notre capacité à agir seul : l'évacuation de nos ressortissants par la Marine au Liban en 2006, la protection de nos ressortissants en Côte d'Ivoire en 2011, et plus récemment la crise au Mali l'ont démontré. L'OTAN n'est pas à mon sens une structure dans laquelle on se fond mais plutôt une organisation dans la quelle nous devons jouer un rôle actif. Elle donne un cadre politico-militaire si les pays de l'Alliance Atlantique souhaitent s'engager ensemble. Encore une fois, l'opération en Libye en 2011 en est une bonne illustration.

Avec le recul quel est l'impact sur la Marine nationale du retour de la France dans le commandement intégré de l'Otan ? Avantages - inconvénients du point de vue des moyens et de l'interopérabilité des marines des états membres et en particulier des marines européennes?

Du point de vue militaire, la première grande vertu de l'OTAN, c'est le fait d'instaurer des standards, c'est-à-dire un corpus de procédures communes et l'interopérabilité des matériels qui permettent de travailler facilement ensemble et quasiment sans préavis. Cela fait très longtemps que la marine nationale les utilise avec les marines de l'Alliance. Ces standards permettent aussi de travailler entre européens seuls. Le retour de la France dans le commandement intégré a permis également de prendre des postes de responsabilité, à hauteur de nos engagements humains et financiers dans l'OTAN, dans les différents états-majors. Cela nous permet de mieux faire valoir nos vues dans les discussions entre Alliés. Ainsi c'est un amiral Français qui est le Deputy Commander (ndlr : numéro 2) du MARCOM (maritime command de l'OTAN) à Northwood.

Les accords de Lancaster House, perçus avec beaucoup de suspicion par la presse anglaise et américaine (mais pas par la presse française), pourraient faciliter le lancement d'un second porte-avions qui nous fait cruellement défaut. Qu'en pensez-vous ?

Avec mon homologue britannique l'amiral Georges Zambellas, nous partageons le souhait de voir monter en puissance la partie maritime de la force expéditionnaire conjointe (CJEF: combined joint expeditionary force), concept que j'ai initié avec son prédécesseur l'amiral Stanhope. Il s'agit d'être en mesure de proposer à nos autorités politiques une force maritime intégrée capable d'être mise sur pied sans délai si le besoin s'en faisait sentir. Cela est rendu possible par le cadre politique fourni par les accords de Lancaster House. Le projet, à plus long terme, est effectivement de proposer à nos dirigeants la permanence d'un groupe aéronaval dont le porte-avions serait fourni alternativement par le Royal Navy et la marine nationale. C'est la meilleure réponse que nous puissions apporter en l'absence de construction d'un deuxième porte-avions français afin de garantir que l'Europe au moins dispose de cette permanence, à défaut de pouvoir l'assurer en national.

L'association des 2 principales marines européennes - si je ne me trompe pas - n'est-elle pas au domaine militaire ce qu'est le couple franco-allemand au plan européen ?

Souhaitons-le ! Le couple franco-allemand est un remarquable exemple de coopération et d'amitié durable. Les accords de Lancaster House mais aussi les opérations aéromaritimes que nous avons menées au large de la Libye en 2011, au cours desquelles la marine nationale et la Royal Navy ont travaillé de manière très étroite, ont initié une coopération très forte entre nos deux marines. Nous avons de nombreux intérêts communs avec le Royaume-Uni et nous partageons un haut niveau d'ambition pour nos deux pays et nos deux marines. Je souhaite qu'elle se consolide avec le temps comme s'est consolidée l'amitié franco-allemande et qu'elle devienne un moteur de la construction d'une défense européenne. C'est une démarche pragmatique qui constitue un pas supplémentaire dans la construction de l'Europe de la défense.

Quelle est le niveau de la marine allemande et quelle est la situation de la collaboration entre les marines françaises et allemandes ?

La coopération entre nos deux marines est ancienne et très étroite. Je ne prendrai qu'un seul exemple : certains de nos officiers de marine font leur formation initiale à l'école navale allemande et vice-versa.

C'est un signe très fort de confiance, sans doute le plus fort qui existe, quand on sait combien la formation initiale forge la personnalité d'un officier pour l'ensemble de sa carrière. Nous avons d'ailleurs fêté cette année les 20 ans de ces échanges. Une belle continuité. Il existe également de nombreux exemples de coopération opérationnelle, comme notre participation commune au sein de l'opération Atalanta de lutte contre la piraterie en océan Indien. La force navale franco-allemande (FNFA), autre exemple de capacité à fournir à nos dirigeants une force maritime intégrée, est régulièrement activée, comme le mois dernier au large de Brest. A chaque fois, nous avons en face de nous des marins professionnels et aguerris avec lesquels nous sommes parfaitement en phase. C'est une coopération facile et habituelle.

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Pour son chef d’état-major, la Marine nationale ne fera plus tout ce qu’elle sait faire aujourd’hui dans 10 ans.

(...) En clair, il faudra faire des choix dans les engagements car il ne sera plus possible pour la Marine nationale de déployer à la fois une frégate en Méditerranée orientale et un autre dans l’opération de lutte anti-piraterie Atalanta.

(...) l’amiral Rogel, qui a en outre rappelé que l’opération Harmattan, en Libye, avait amené la Marine “aux limites” de ses “capacités dans un conflit qui n’était pas aux limites de l’intensité à laquelle sommes susceptibles d’être confrontés.”

(...) Conséquence à prévoir : “Nous intercepterons moins de drogue, nous diminuerons le maillage contre les pirates, nous serons moins présents contre l’immigration, nous surveillerons moins les routes d’approvisionnement stratégique”, a indiqué le CEMM. “Il ne faudra pas être surpris dans 10 ans que le chef d’état-major de la marine réponde qu’il ne peut que remplir imparfaitement l’une ou l’autre de ces missions”, a-t-il encore insisté.

Suite :

http://www.opex360.com/2013/07/26/pour-son-chef-detat-major-la-marine-nationale-ne-fera-plus-tout-ce-quelle-sait-faire-aujourdhui-dans-10-ans/

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  • 3 weeks later...

Pour les P 400 je leur souhaite bien du plaisir ... ils ne vont certainement pas les payer cher quoi qu'il advienne

500.000 € un BATRAL,

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2013/08/07/s-offrir-un-batral-c-est-possible-moyennant-500%C2%A0000-euros-10.html

 

P400 vendu au kenya à l'époque http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2012/09/01/le-kenya-dispose-enfin-de-son-premier-navire-pour-lutter-con.html

 

Une misère, il arrive même que la France fasse des dons à des marines pauvres.

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Correctif : le Batral Jacques Cartier ne sera pas vendu. Le Batral qui "a eu du mal à rallier Brest" sera désarmé et déconstruit (son nom figure dans le plan quinquenal de déconstruction). Bourré d'amiante, très mal en point visiblement, le Batral ne naviguera plus donc. A la différence de la Tapageuse qui va rejoindre les gardes-côtes philippins, le Jacques-Cartier n'aura pas de seconde carrière. Il va finir sa vie à Brest puis dans un chantier de démolition.

 

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2013/08/13/francis-granier-suite-et-fin-de-l-aventure-du-batral-10065.html

Modifié par alexandreVBCI
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  • 1 year later...

la marine poursuivant sa modernisation. Un certain nombre de matériels seront livrés en 2015 : la troisième frégate FREMM, la Provence – la quatrième, la Languedoc, est déjà sur l’eau, à Lorient –, quatre hélicoptères Caïman, quatre Rafale, deux avions de surveillance maritime Falcon 50 au standard marine, et le premier lot de missiles de croisière navals. Dans le même temps, des commandes seront passées pour l’acquisition de deux BSAH, la modernisation de onze Atlantique 2 et la remise à niveau d’une partie des télécommunications de la flotte.

 

Désarmement d’un certain nombre de bateaux : le transport de chalands de débarquement (TCD) Siroco, le pétrolier ravitailleur Meuse, ainsi que le patrouilleur austral Albatros basé à La Réunion et les deux patrouilleurs de surveillance des sites Athos et Aramis dont le versement à la gendarmerie maritime est en cours d’étude. Par ailleurs, douze avions et hélicoptères, Super-Étendard, Lynx et Alouette, seront retirés du service actif.

 

RH : L’année 2015 sera une nouvelle année de réduction des effectifs. La marine a effectué depuis longtemps sa réorganisation territoriale et est désormais concentrée sur deux emprises principales, Toulon et Brest, où sont stationnés 75 % des marins. La déflation prévue pour le BOP marine, conformément au Livre blanc, est de 1 800 personnes sur la période 2014-2019

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  • 2 months later...

La Marine navigue au 2025... http://t.co/68Xjjjy3L2 via @Lopinion_fr

— Philippe Top-Action (@top_force)

December 24, 2014

 

Le modèle de la Marine reste construit autour de l'arrivée de 11 FREMM, pas une de moins. @PI_tt_Bull @Bruno4459 @Mr_Mat_fr @FauteuilColbert

— Philippe Top-Action (@top_force)

December 24, 2014
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  • 2 weeks later...
  • 4 SNLE-NG
  • 6 SNA Barracuda
  • 2 porte-avions (groupe aérien embarqué de 60 Rafale (25 Rafale M, 35 Rafale N, 3 E-2C)
  • 2 BPC + 2 TCD
  • 26 frégates
  • 22 navires de l'AEM (frégates de surveillance, BATRAL, etc...)
  • 16 bâtiment de guerre des mines (dont une unité logistique)
  • 6 bâtiments logistique

trouver l'erreur !

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Faut lire l'article. :)

 

 

Chose promise, chose due : tentons de dresser un bilan du modèle d'armée 2015 en sa partie navale, "Marine 2015". Cette maquette à atteindre est contenue, paraît-il, dans le rapport annexé à la loi de programmation militaire 1997-2002.

 

Celle-ci est la traduction du livre blanc sur la défense de 1994 qui tire les enseignements de la fin du conflit Est-Ouest. C'est-à-dire que la dissuasion nucléaire n'est plus l'alpha et l'oméga de la stratégie de défense nationale mais en demeure toujours la clef de voûte. La démonstration des forces armées américaines en Irak se déroule avec pour spectateurs principaux une coalition impressionnée par la manœuvre.La montée en puissance des nouvelles technologies de l'information et des communication et leur traduction américaine dans la révolution dans les affaires militaires en est la cause.

Ainsi, le plan Armées 2000, édicté dans les dernières années de la Guerre froide, est mis en application en 1992 au regard de cette première transition stratégique. Tirant les enseignements de cette phase, il est assez rapidement remplacé par le modèle d'Armées 2015 qui est porté par la première loi de programmation militaire (1997-2002) traduisant le livre blanc de 1994. 

 

Bien dommage que ce modèle d'armée ne soit pas disponible dans les ressources en ligne accessibles à tous. Indisponible dans les sites institutionnels. Puisque la loi de programmation militaire 1997-2002 n'est pas accessible, et que c'est elle qui porte le format des armées, nous allons devoir nous référer à un article de Marine (n°199, avril 2003), magazine de l'ACORAM, pour découvrir les objectifs de Marine 2015.

 

C'est simplement ce qu'aurait du être la Marine aujourd'hui si le livre blanc de 1994 avait été respecté.

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C'etait ce qui été prevu avec les lpm 1997 et 2003 pour l'horizon 2015.

 

Aujourd'hui en 2015, on constate les écarts. :)

 

Par contre, 1 chose me surprend dans le prévisionnel :

on comptait tourner avec 3E2C pour 2 PA... = pas de déploiement sur 2 zones distinctes

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D'ailleurs l'article m'a paru très bien construit et recherché. Je le recommande.

 

@ Asgard.

J'imagine que le déploiement des 2 PA en simultané aurait été plus que exceptionnel. L'intérêt d'en avoir 2 dans la flotte, c'est avant tout d'en avoir toujours 1 opérationnel. (et encore c'est limite, 3 le garantirait par contre). 

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 On comptait tourner avec 3E2C pour 2 PA... = pas de déploiement sur 2 zones distinctes

Je pense qu'il est raisonnable de penser que si on avait eu effectivement 2 PA, on aurait probablement fini par acheter le 4e E-2C d'occasion dont il avait été question il y a quelques années.

(pour un seul PA d'ailleurs)

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  • 4 weeks later...

Frégates, Rafale, BPC. Les défis de la Marine http://t.co/tafy72ACLn via @letelegramme

— Philippe Top-Action (@top_force)

February 11, 2015

@LeTelegramme L'important, dit le CEMM, c'est le contrat opérationnel ». Son objectif : disposer pour 2025 de 15 frégates de premier rang

— Philippe Top-Action (@top_force)

February 11, 2015
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