Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Chine et USA


Messages recommandés

Bon je lance ce post (Peut être qu'il y à un doublon)

1 )Affaire Google

2) Vente d'armes Taïwan

3) et la dernier rencontre Obama Dalaï-lama

Donc comment va évoluer les relations USA/CHINE ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 114
  • Created
  • Dernière réponse

Top Posters In This Topic

Un financier entendu à la radio a dit je cite :"la nouvelle guerre froide de la  décade 2010 vient de commencer".

Il a notamment relevé que la part des chinois dans le financement du deficit américain ne cessait pas de baisser depuis plusieurs mois, et que le marché US consommait de moins en moins chinois, les interdépendances économiques entre les deux pays s'estompant, le statu quo aura tendance à se rompre de plus en plus facilement.

Il n'a pas parlé de concurrence militaire, mais a évoqué une concurrence économique virulente sur la domination des gisements de matières premières.

Les ambitions de la chine étant claires, les deux colosses vont se retrouver vite face à face. Je partage cette idée, une nouvelle guerre froide vient de commencer.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mais que va faire l'Europe et surtout la France ?

Elle vont devoir s'habituer au fait que le centre de gravité du monde moderne tourne autour de la Mer de Chine et des ses zones périphériques ...

La Corée postule au titre de RFA/RDA locale, l'Australie va vouloir prendre une place d'acteur majeur dans le quartier, le Viet-Nam se voit bien dans en ami proche, mais pas trop, façon Yougoslavie, etc.

Si la zone chaude, c'est là bas ... on peut peut être profiter d'un calme relatif pour relancer notre économie/industrie de notre côté, à la manière des Quatre Dragons, ou des Tigres Asiatiques lorsque le monde occidental était principalement occupé à organiser son apocalypse.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si la zone chaude, c'est là bas ... on peut peut être profiter d'un calme relatif pour relancer notre économie/industrie de notre côté, à la manière des Quatre Dragons, ou des Tigres Asiatiques lorsque le monde occidental était principalement occupé à organiser son apocalypse.

Oui surtout que la chine a eu une baisse de 25% des ses exportations elle se recentre sur sont marcher intérieur

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

oui ben si centre de gravité du Monde bascule sur le Pacifique et la zone Corée Japon Chine Taïwan avec les Américains en contrepoids oriental çà va nous laisser souffler un peu ...

Pour nos gentils va-t-en guerre la Polynésie c'est loin de tout et la Calédonie est dans le jardin australien ...

Cà baigne on va pouvoir souffler donc et atteNdre paisibles les deux prochaines LPM

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

rapport ou pas l'enfant unique est abandonné en chine ... stratégie a long terme?

A bon ?

C'est plutôt maintenant un problème démographique

Il y a des villages où il y a presque plus que des hommes

Résultat ils font venir des femmes du Bangladesh

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La Chine n'avait pas à commencer à faire mumuse avec la cyberwar >:(

http://www.numerama.com/magazine/15028-piratage-la-nsa-pourrait-venir-en-aide-a-google-mais-a-quel-prix.html

A vrai dire ce sont les USA qui ont commencé. Longtemps avant que les Chinois ne developpe d'expertise en hacking, les USA utilisait tout un tas de procédé internet pour diffuser la bonne parole en Chine, contre l'avis des autorité chinoise.

C'est cette diffusion paralelle organisé par les service US qui a amené une réponse de l'état chinois a travers diverse service populaire - des sortes de milice de l'internet et des technos semblable -.

Les service d'onion routing par exemple on été développé pour progé la bonne parole dans les états totalitaire, les service de stockage décentralisé aussi etc. Idem avec les solution P2P décentralisé tres utile pour diffuser tres rapidement des vidéo ... en entrée ou sortie de mouvement populaire / politique etc.

Les Chinois on vite compris l'importance de la communication aussi bien aupres de la population que de la guerre. Et on surinvestie ce secteur pour niveller leur différence avec leurs ennemis potentiels. Les russes on fait pareil pendant que leur force militaire déclinait.

Les attaques informatiques guerriere seront le lot commun de tous les conflits. C'est technolgie etant au centre de la vie de chacun des militaire y compris.

Meme les conflit assymétrique recours a la techno-guerilla, et techno-manipulation, et autre action guerriere issu de la dématérialisation des échanges.

On remarquera que les chinois plutot que de courir technologiquement apres leur ennemi potentiel, imposent leurs solutions aux problemes.

- cyber attaque pour contrer leur lacune info'com et désorganisaer l'arriere.

- arme anti-satellite pour contrer leur lacunes renseignement brouillage.

- missile ballistique anti-navire lourd pour contrer leur lacune contre les groupe aéronavale et flotte d'invasion.

etc.

On devrait s'en inspirer sérieusement ... plutot que de rester engluer dans notre mode guerre froide sovietique.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

États-Unis et Chine: la nouvelle guerre froide?

Nicolas Bérubé

La Presse

(Los Angeles) Google, dalaï-lama, vente d'armes à Taïwan... La liste des points d'achoppement entre la Chine et les États-Unis s'allonge. Barack Obama et Hillary Clinton haussent le ton. Mais les Américains peuvent-ils donner des leçons à la Chine, qui finance leurs déficits records?

Les disputes entre les États-Unis et la Chine s'arrangent habituellement en privé, autour d'un souper sept services ou dans les couloirs feutrés des sommets internationaux.

Ces jours-ci, par contre, les désaccords entre Washington et Pékin éclatent au grand jour.

En janvier, l'administration Obama a autorisé la vente d'armes d'une valeur de 6,4 milliards à Taïwan, île autonome revendiquée par la Chine.

La nouvelle a déchaîné les passions en Chine. «Nous devrions riposter, oeil pour oeil, a suggéré Liu Menxiong, membre de la Table consultative des politiques de la république chinoise. Nous devrions vendre des armes à l'Iran, la Corée du Nord, la Syrie, Cuba et le Venezuela. Pourquoi devrions-nous avoir peur?»

Jeudi prochain, le président Obama rencontrera le dalaï-lama à la Maison-Blanche. Un geste qui déplaît aux dirigeants chinois, qui considèrent le leader tibétain en exil comme un terroriste et un agitateur.

Le China Daily, l'un des plus grands journaux du pays, généralement centriste, a dénoncé la décision. «Quand quelqu'un vous crache au visage, vous devez riposter», écrit le quotidien, qui encourage le gouvernement à punir les États-Unis «par tous les moyens nécessaires».

Hier, la Chine a de nouveau demandé officiellement à l'administration Obama d'annuler la rencontre avec le dalaï-lama.

«Nous demandons aux États-Unis de comprendre la nature délicate du sujet, et d'honorer sa position officielle, qui reconnaît le Tibet comme faisant partie de la Chine», a dit un porte-parole du ministre chinois des Affaires étrangères.

La Maison-Blanche a rétorqué que la rencontre aurait lieu comme prévu.

Et il y a eu la sortie de Google, qui a accusé à mots couverts le gouvernement chinois d'avoir attaqué son réseau. La secrétaire d'État Hillary Clinton a donné son appui à l'entreprise.

Thomas Plate, professeur au département d'études asiatiques de l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA), dit être préoccupé par ce changement de ton.

«Durant toute ma carrière, j'ai étudié les relations entre la Chine et les États-Unis et, pour la première fois, je suis nerveux, explique-t-il en entrevue. Je ne dis pas que la troisième guerre mondiale s'en vient. Mais la tension monte, aucun doute là-dessus.»

Montée du nationalisme

En Chine, les frictions avec les États-Unis fouettent le nationalisme ambiant. Selon un sondage publié ce mois-ci dans le quotidien Global Times, repris par le Times de Londres, 55% des Chinois sont d'avis que leur pays se dirige vers une «guerre froide» avec les États-Unis.

Un sentiment que perçoit M. Plate, qui tient depuis 16 ans une chronique publiée dans plusieurs quotidiens asiatiques, dont The South China Morning Post, The China Times, et The Korea Times.

«Ce n'est pas parce que la Chine n'est pas une démocratie que les dirigeants ne sont pas sensibles à l'opinion publique. Les Chinois tolèrent leur gouvernement, tant que leur qualité de vie s'améliore. Si cette entente tacite est rompue, tout peut arriver.»

Ainsi, une nouvelle génération de dirigeants chinois beaucoup plus nationalistes tire maintenant les leviers de l'État. «Ils réalisent qu'ils ont du pouvoir, et ils veulent l'utiliser. L'histoire leur enseigne que l'Ouest a toujours voulu profiter de la Chine. Aujourd'hui, ils veulent renverser les rôles.»

L'origine de la crise de confiance entre les deux pays, note-t-il, prend sa source dans le débat sur la libéralisation du taux de change du yuan dans les années 90.

À l'époque, l'administration de Bill Clinton et la Banque mondiale faisaient campagne pour que les pays d'Asie libéralisent leur devise et laissent les forces du marché en déterminer la valeur.

Plusieurs pays ont suivi ce conseil, une décision qui a finalement exacerbé la crise économique de la fin des années 90, où des pays comme la Thaïlande et la Corée du Sud ont vu leur devise se faire pilonner par la spéculation internationale.

Les Chinois n'ont pas libéralisé leur monnaie. Et ils s'en sont mieux tirés que les autres.

Depuis la crise asiatique, les Chinois prennent tous les conseils économiques de l'Ouest avec un grain de sel, note M. Plate. «Ils écoutent ce que les États-Unis ont à dire, mais ils prennent leurs propres décisions. Parfois, les dirigeants chinois se replient sur eux-mêmes. C'est difficile de prévoir leurs actions.»

«La Chine se lève»

Durant sa visite en Chine l'automne dernier, Barack Obama a montré au monde que les États-Unis avaient bien peu de leviers pour faire valoir leurs intérêts.

Les Chinois ont paradé le président américain comme ils l'entendaient, décidant de son horaire, restreignant ses déplacements. Obama avait comme objectif de convaincre le président Hu Jintao de mettre fin à la dévaluation du yuan (voir autre texte). Il est rentré les mains vides.

Une situation indicatrice des années à venir, croit Thomas Plate. «Les Chinois ont montré au monde qu'ils n'étaient pas impressionnés par Obama. Ne vous y trompez pas: l'équipe financière du gouvernement chinois est extrêmement compétente, sans doute la meilleure du monde. Ces gens-là sont très intelligents. Pour eux, la partie vient de commencer. La Chine se lève. Et elle n'est prête à recevoir les ordres de personne.»

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Attaques contre Google : la source chinoise se confirme

par la rédaction, ZDNet France. Publié le 19 février 2010

Sécurité - Le New York Times révèle que deux écoles spécialisées dans l'informatique seraient à l'origine des attques subies par le géant de la recherche il y a quelques mois.

Selon iDefense, ces cyber-attaques avaient pour but de pénétrer dans des répertoires où est stocké le code source d'applications développées par les entreprises attaquées.

Après un début d'enquête, l'origine de l'attaque est attribuée à la Chine et l'affaire prend une tournure politique. « Nous allons entreprendre une démarche formelle sur cette affaire auprès du gouvernement chinois à Pékin dans les jours qui viennent », avait déclaré Philip Crowley, le porte-parole du département d'Etat.

Invoquant ces piratages ainsi que la défense des droits de l'homme, Google avait décidé de ne plus censurer les résultats de la version chinoise de son moteur de recherche et envisageait même de se retirer du pays.

Toute accusation relative à la « participation du gouvernement chinois à quelque cyber-attaque que ce soit est sans fondement et vise à dénigrer la Chine », a ensuite déclaré un représentant du ministère de l'industrie et de la communication dans les colonnes de l'agence de presse Xinhua.

Reste que selon le New York Times, qui cité des sources anonymes, la source de ces attaques serait bien chinoises. L'université Shanghai Jiaotong, et l'établissement d'enseignement professionnel Lanxiang, qui forment des informaticiens pour l'armée seraient épinglés dans l'enquête menée par les autorités américaines et notamment la NSA.

Selon le quotidien, ces attaques auraient débuté dès avril 2009. Affaire à suivre.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Mes pronostics, basée sur mes observations du domaine financier :

La chine va continuer à connaître une croissance de 8/10% pour quelques années encore.

Une bulle boursière est en train de se former depuis quelques temps.

Les entreprises chinoises sont surévaluées (espérance de gains basée sur une hypothèse de croissance trop élévée) depuis des années. Beaucoup d'entrepises ont eu recours aux marchés financiers. Les grandes banques occidentales ont amenés des capitaux dans des centaines d'entreprises ou la visibilité est très faible. En clair il s'agit d'un effet "moutonnier", courant en finance et que vous avez du tous entendre parler je pense. La hausse appelle la hausse...

Je pense qu'il y a en parallèle une bulle immobilière dans certaines villes (shangai, chengdu, pekin etc...) qui se forme actuellement, vu les buildings en construction la bas.

De même l'état commence à investir non plus dans des projets "basiques" (infrastructures etc..) mais dans des proejts de pointe dont la rentabilité n'est pas assurée/ a trop long terme : espace, flotte, aviation, etc...

La bulle financière et immobilière va donc éclater. La baisse du PIB se fera sentir pendant une dizaine de mois. L'inconnu est de savoir si cette crise aura des répercutions sur le long terme. Le système financier sera affecté (il est reconnu comme faible aujourd'hui). Si je devais parier je dirais que çà n'entamera pas assez le potentiel de puissance chinois. La crise en Corée du Sud avait donnée un rude coup à ce pays (rachats de Daewoo et Samsoung motors par des étrangers par ex, des conglomérats ont fait faillite) mais la Corée du Sud avance à un rythme encore appréciable aujourd'hui.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 weeks later...

http://www.opex360.com/2010/03/04/la-chine-modere-la-hausse-de-ses-depenses-militaires/

Deux officiers supérieurs chinois ont récemment fait part de leurs observations au sujet du contexte sécuritaire régional et de l’avenir des forces armées de leur pays. Ainsi, le colonel Dai Xu a estimé que Pékin « n’échappera pas à la calamité de la guerre (…) dans 10 ou 20 ans » étant donné que l’Empire du milieu est entouré de pays hostiles ou alliés des Etats-Unis, la rivalité avec ces derniers risquant de s’accentuer à l’avenir, à mesure de l’affirmation de la puissance chinoise.

« Le grand objectif de la Chine au XXIe siècle est de devenir le numéro un mondial, la première puissance » a affirmé le colonel Liu Mingfu, dans un livre intitulé « Le rêve chinois ». Et pour cet officier, « l’essor économique » ne peut qu’aller de pair avec un « essor militaire » afin que l’armée populaire de libération devienne assez forte pour dissuader les Etats-Unis de venir contester le rang de Pékin et d’intervenir dans un conflit dans le détroit de Taïwan.

Ces déclarations ont toutefois été remises en cause par le général Luo Yan, membre de la Conférence Consultative Politique du Peuple Chinois (CCPPC) et chercheur à l’Académie des Sciences Militaires. « Nous devons penser aux moyens de préserver notre intégrité nationale. Nous n’avons aucunement l’intention d’entrer en concurrence avec les Etats-Unis » a-t-il affirmé avant l’ouverture de la 3e Session de la 11e CCPPC. Quant aux remarques du colonel Luo, elles ne reflètent que « son ambition personnelle » a-t-il estimé.

Cela étant, Pékin a annoncé, ce 4 mars, un budget de la défense de 532,1 milliards de yuans (57 milliards d’euros), soit une progression de 7,5% par rapport à 2009. Cette hausse est deux fois moins importante que celle annoncée l’an passé (+14.8%). Et il s’agit de la plus faible augmentation des dépenses militaires chinoises depuis 1999.

Comme d’habitude, le porte-parole du Parlement, Li Zhaoxing, a précisé que l’essentiel de ces dépenses sera consacré à l’amélioration des conditions de vie des militaires, ainsi qu’à la modernisation de l’armée populaire chinoise, forte de plus de 2 millions d’hommes.

Seulement, le budget de la défense chinois est régulièrement épinglé par les Etats-Unis pour son manque de transparence. Et la multiplication par cinq des dépenses militaires de Pékin en dix ans a également provoqué une course aux armements dans la région.

Mais la Chine fait valoir que son budget de la Défense, ramené au Produit intérieur brut (PIB), est « raisonnable » comparé à celui d’autres puissances. Ainsi, les dépenses militaires chinoises représentent 1,4% du PIB, contre 4% pour les Etats-Unis et 2% pour la France et le Royaume-Uni.

« La Chine est engagée en faveur de la paix. Le seul but de sa force militaire est de protéger sa souveraineté et son intégrité territoriale » a une nouvelle fois répété Li Zhaoxing.

Ce qui n’exclut pas un conflit pour la reprise de Taïwan, considéré comme une province « rebelle » par Pékin. Mais pour le moment, une aventure militaire dans le détroit de Formose ne serait pas dans l’intêret chinois, notamment sur le plan économique.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il faut bien comprendre que les dirigeants chinois ont une stratégie à long terme, et pas de "système" arrêté, ils sont pragmatiques avant tout, s'il faut tout changer pour continuer à avancer, ils le feront, c'est l'avantage d'un système autoritaire, de pouvoir imposer des solutions radical sans perdre de temps, la contrepartie, c'est que si ces solutions sont mauvaises, le prix que paierons les gens sera très élevé, voir catastrophique.

Pour l'instant les dirigeants chinois depuis Deng Xiaoping ont remarquablement mené leur barque, mais ils ne sont pas à l'abri d'un faux pas.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 months later...

Donc comment va évoluer les relations USA/CHINE ?

et bien on se dirige tout droit vers un G2 puisque la dépendance des uns par rapports aux autres est énorme.

voilà une grosse différence avec la guerre froide USA vs URSS.

et l'APL est contente elle peut justifier ses budgets et idem pour le Pentagone.

les Chinois peuvent vendre de l'armement initialement prévu pour contrer l'US Navy à l'Iran, la Birmanie, Syrie et tous les régimes paranos.

les USA peuvent vendre le leur à la Corée du Sud, au versant Ouest du Golfe Persique, Israël, Egypte, Inde, Australie.

ça justifie le maintien de la base d'Okinawa pour l'US Navy et de l'autre côté on obtient des bases dans le Nord de l'Océan Indien.

bref tout le monde est content.

si la situation économique ds USA se redégradait la 1ère victime serait la Chine...

Une bulle boursière est en train de se former depuis quelques temps.

Les entreprises chinoises sont surévaluées (espérance de gains basée sur une hypothèse de croissance trop élévée) depuis des années. Beaucoup d'entrepises ont eu recours aux marchés financiers.

la bourse de Shangaï a très sévèrement dévissée depuis 2008.

il y a en parallèle une bulle immobilière dans certaines villes (shangai, chengdu, pekin etc...) qui se forme actuellement, vu les buildings en construction la bas.

oui, 3 milliard de mètres m² construit ou à construire...

La bulle financière et immobilière va donc éclater.

Pékin a déjà renfloué ses 4 premières banques avant de les introduire sur les marché financiers.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a en parallèle une bulle immobilière dans certaines villes (shangai, chengdu, pekin etc...) qui se forme actuellement, vu les buildings en construction la bas.

D'après quelques sources persos, il semblerait que Shangaï soit en grande partie une sorte de village Potemkine à grande échelle en ce qu'il y a une grande partie de la surface bâtie qui ne sert que de vitrine (et/ou de blanchisseuse d'argent) sans être occupée, tant en raison d'une demande insuffisante que de prix sans rapport justement avec cette demande, le tout plus parce que la ville est planifiée comme projet de prestige bien plus qu'autre chose. Il y a du business, mais en réalité pas le quart de ce qui est claironné. Et pour compenser, l'Etat chinois essaie de faire venir en masses des ouvriers non qualifiés pour peupler la périphérie immédiate et lointaine.

Exagéré ou réel? Parce que s'il y a une bulle immobilière en Chine, c'est avant tout à Shangaï.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Exagéré ou réel? Parce que s'il y a une bulle immobilière en Chine, c'est avant tout à Shangaï.

toute la côte surtout.

mais il y a des centres commerciaux déserts à 40 km du centre de Shangaï...

l'Etat chinois essaie de faire venir en masses des ouvriers non qualifiés pour peupler la périphérie immédiate et lointaine.

c'est surtout qu'ils servent de main d'oeuvre pas cher pour les industries.

ce qui inquiète la Chine (il y a plusieurs études chinoises récentes sur le sujet), c'est le tarissement annoncé de cette main d'oeuvre bon marché et docile...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Share

  • Statistiques des membres

    5 965
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Aure-Asia
    Membre le plus récent
    Aure-Asia
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...