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La France et ses programmes UAV/UCAV


Philippe Top-Force
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Heuu j'ai pas envie de ressortir mes dicos de grec... ça dit quoi ?

Demande a gogol http://translate.google.fr/translate?u=http%3A%2F%2Fwww.hellenicdefense.gr%2Feidiseis%2Fe081205a.html&sl=el&tl=fr&hl=fr&ie=UTF-8

L'APD fournie par Dassault dans la pointe de la technologie Stealth UCAV nEUROn

5 Δεκεμβρίου 2008 5 Décembre 2008

Η Ελληνική Αεροπορική Βιομηχανία ανακοίνωσε στις 3 Δεκεμβρίου πως παρέδωσε προ ημερών στην Dassault Aviation το πρώτο από τα τρία πρωτότυπα του Συστήματος Εξαγωγής Καυσαερίων (ακροφυσίου) για το ευρωπαϊκό Μη-επανδρωμένο Εναέριο Όχημα Μάχης (UCAV) nEUROn. The Hellenic Aerospace Industry a annoncé que le 3 Décembre rendu il ya quelques jours, Dassault Aviation dans le premier des trois prototypes du système d'échappement (la buse) pour les vols non-européens Combat Air Vehicle (UCAV) nEUROn. Κατά την ανακοίνωση, η ΕΑΒ σχεδίασε και κατασκεύασε το ακροφύσιο «...με εφαρμογή των πλέον προηγμένων σχεδιαστικών και κατασκευαστικών τεχνολογιών, που καθιστούν το εν λόγω αεροσκάφος μη ανιχνεύσιμο από τα ραντάρ (τεχνολογία Stealth). Lors de la communication, l'APD a conçu et construit la buse «... en utilisant les plus avancés de conception et de technologies de fabrication, ce qui rend cet appareil non détectable par radar (technologie Stealth). Για την ανάπτυξη και κατασκευή του η εταιρία ενσωμάτωσε σημαντικές τεχνολογίες αιχμής σε υλικά και διεργασίες που το καθιστούν πρωτοπόρο σε παγκόσμια κλίμακα. Pour le développement et la fabrication de la société de technologies importantes dans des matériaux et des procédés qui font un leader dans le monde entier.

Το πρωτότυπο ακροφύσιο πρόκειται να δοκιμασθεί εντός λίγων ημερών στη Γαλλία, όπου θα ελεγχθεί και θα καταγραφεί η συμπεριφορά του σε συνθήκες κανονικής λειτουργίας του κινητήρα». Le premier conseil est d'être testé dans quelques jours en France, où ils vont vérifier et d'enregistrer le comportement d'un fonctionnement normal du moteur ».

Η ΕΑΒ συμμετέχει από το 2005 στο πρόγραμμα nEUROn, για την ανάπτυξη και κατασκευή του UCAV σε επίπεδο πρωτότυπου, αναλαμβάνοντας να σχεδιάσει και να κατασκευάσει: L'APD est impliqué depuis 2005 dans le nEUROn, pour le développement et la construction des UCAV à l'original, en prenant à la conception et la construction:

    *     Το Σύστημα Εξαγωγής Καυσαερίων, το οποίο αποτελεί κρίσιμο σημείο εντοπισμού του αεροσκάφους. Le système d'échappement, qui est une critique de l'avion.

    *     Το οπίσθιο τμήμα της ατράκτου. La section arrière du fuselage.

    *     Τον πίνακα ελέγχου ηλεκτρονικών συστημάτων του αεροσκάφους προ της πτήσης. Dans le panneau de contrôle de systèmes électroniques de l'avion avant le vol.

Στην ανάπτυξη του nEUROn συμμετέχουν 6 κράτη -Γαλλία, Σουηδία, Ιταλία, Ισπανία, Ελβετία, Ελλάδα- τα οποία χρηματοδοτούν το πρόγραμμα. Dans le développement des neurones impliqués 6, France, Suède, Italie, Espagne, Suisse, Grèce, afin de financer le programme. Σε βιομηχανικό επίπεδο την ευθύνη συντονισμού και διαχείρισης του προγράμματος ανέλαβε η γαλλική Dassault, ενώ συμμετέχουν η σουηδική SAAB, η ιταλική Alenia, ο ισπανικός κλάδος EADS-CASA της πολυεθνικής εταιρείας, η ελβετική RUAG και η ΕΑΒ. Au niveau de l'industrie la responsabilité de la coordination et la gestion du programme par le français Dassault, tout en impliquant le suédois SAAB, l'italien Alenia, la branche espagnole d'EADS-CASA multinationale, le suisse RUAG et l'APD.

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  • 3 weeks later...

EADS Drops Recon Variant of Advanced UAV

By pierre tran

Published: 12 Feb 11:01 EST (16:01 GMT)

PARIS - EADS has decisively shifted its Advanced UAV concept to a long-winged, high-altitude, long-loitering surveillance model, dropping consideration of a faster and short-winged recon variant, said Hervé Guillou, head of the Defense and Security France division.

The design change grew out of a 15-month risk-reduction study EADS is preparing under a joint 60 million euro ($77 million) Advanced UAV project funded by France, Germany and Spain.

"There's a clear focus," Guillou said in a Feb. 2 interview. "The long wing will be the base model."

Dropping the short-wing concept will simplify the work, he said.

Germany flies a version of the Tornado strike fighter for low-level reconnaissance, and the main Advanced UAV missions required by France and Germany are surveillance.

Advanced UAV is competing against a rival offer from Dassault Aviation, Thales and Indra that uses the Israeli Heron TP medium-altitude, long-endurance drone.

Thales is banking on urgent military needs in the Afghan theater to win a sale to France and Spain.

Guillou said the competition represents Europe's effort to erase a 10-year capability gap in building UAVs, a business dominated by American and Israeli industry. It was unthinkable that Europe would give up the design, development, production and maintenance of complete UAV systems, he said.

"EADS submitted a major risk-reduction delivery on the Advanced UAV in December, which was very well received by the three countries as a sound basis for the full-scale development phase," he said. A final draft is due in April.

The risk-reduction work confirms that EADS can "satisfy the requirement in line with the planning and costs proposed," he said. The risk reduction study has allowed the three chiefs of staffs to converge on their operating requirements.

Under the EADS proposal, a first flight would be made in 2013, with delivery of a qualified Advanced UAV in 2015. It would be equipped with a mission system comprising new electronically scanned radar, electro-optronics, satellite communications and be capable of flying in civil airspace.

The expected budget is 2.2 billion euros, for 10 systems, with a French share of 800 million euros of investment, EADS said. The mission system would weigh more than the platform in cost allocation, EADS said in a statement.

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http://www.challenges.fr/actualites/entreprises/20090212.CHA0992/premiere_mission_dun_drone_deads_en_afghanistan.html

LA première mission du système de drones SIDM de l'armée francaise, livré fin janvier par EADS à Bagram, en Afghanistan, aura lieu ce week-end. L'armée dispose d'un système de trois de ces drones MALE (moyenne altitude longue endurance) et une station au sol, capable d'assurer une surveillance à une portée de 1.000 km. Le prix du système est d'environ 41 millions d'euros.

EADS a investi 200 millions depuis 2000 pour le développement de son activité drones, dominée par les industriels américains et israéliens. La plateforme du SIDM francais est d'ailleurs construite a Tel-Aviv, l'intégration des systèmes s'effectuant à Mont de Marsan

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  • 3 weeks later...

"UAV ou SDM, la Défense française devra choisir"

5 mars 09 - Challenges.

Deux projets sont en cours de développement. D’un côté EADS, avec son Advanced UAV propose un appareil 100% européen qui sera disponible à l’horizon 2015. De l’autre, Dassault et son partenaire Thales développe le SDM, un drone dérivé du Heron TP israélien. Selon le cabinet Forecast International, le marché militaire mondial est évalué à 17 milliards de dollars, d’ici à 2020.

L'article complet de l'hebdomadaire Challenges

Depuis le 17 février, un étrange engin décolle régulièrement de la base aérienne afghane de Bagram, à 60 kilomètres au nord de Kaboul. Un appareil de 16 mètres d'envergure, au nez bombé, avec deux poutres étroites en guise de fuselage arrière. Son nom : SIDM, pour Système intérimaire de drone Male (moyenne altitude longue endurance). Cet avion sans pilote, développé par EADS et dérivé d'un drone israélien, est désormais à pied d'oeuvre au sein des forces françaises. «Il permet une surveillance à moyenne altitude et le pistage de véhicules, explique Yannick Cailliez, responsable des systèmes de drones à la Délégation générale pour l'armement (DGA). C'est le complément idéal des drones utilisés jusqu'alors.»

Ce n'est que le début. En coulisses, la guerre fait déjà rage pour la future génération de drones à plus long rayon d'action, réclamés par la France, l'Allemagne et l'Espagne. D'un côté, EADS, le favori, avec son Advanced UAV, un appareil 100% européen, disponible à l'horizon 2015. De l'autre, Dassault et son partenaire Thales, qui proposent un drone dérivé du Heron TP israélien, projet présenté comme moins onéreux et plus rapide à développer. Le contrat a de quoi faire saliver les deux groupes : EADS l'évalue à 2,8 milliards d'euros, développement de l'appareil compris.

L'enjeu est essentiel : la présence de l'Europe sur un secteur trusté par les Etats-Unis et, dans une moindre mesure, par Israël. «L'Europe a les compétences et les technologies pour devenir un acteur mondial des drones, y compris les plus complexes, assure Larry Dickerson, analyste au cabinet Forecast International. Ce qui lui manque, ce sont avant tout les énormes investissements que ce secteur nécessite.»

Mais le jeu en vaut la chandelle. Forecast International estime le marché à 17 milliards de dollars sur les dix prochaines années. Sans compter les applications civiles : «On constate de nombreux projets de drones destinés à surveiller de grands événements, type Coupe du monde, voire des manifestations», indique Patrice Bouveret, président de l'Observatoire des armements. Certains appareils semblent sortir d'un film de science-fiction, comme le nanodrone Libellule, un engin de 6 centimètres. «Des verrous technologiques sont en train d'être levés, même si certains projets ne vont pas voir le jour avant 2020- 2025», assure Arnaud Delloye, responsable des études amont sur les drones à la DGA.

Quoi qu'il en soit, les industriels européens sont décidés à prendre leur part du gâteau. Thales, Sagem et EADS maîtrisent déjà les drones «tactiques», rapides et à faible autonomie. Mais tout reste à faire sur le secteur des drones Male, ultradominé par les américains. Un temps réunis au sein du projet européen EuroMale, EADS et Dassault sont désormais en guerre frontale.

Rivaux...

EADS semble avoir une longueur d'avance : les trois pays intéressés (France, Allemagne, Espagne) lui ont confié fin 2007 une étude préliminaire de «réduction de risque», c'est-à-dire de faisabilité, la décision finale étant prévue au début de l'été. EADS a de sérieux arguments à faire valoir : son Advanced UAV peut s'insérer dans le trafic aérien civil, une première pour un drone militaire. Surtout, il supprime la dépendance de l'Europe vis-à-vis d'Israël en développant un appareil 100% européen. «Les autres choix sont simples : un drone à 90% israélien ou l'acquisition de drones américains, assène Hervé Guillou, président d'EADS Defence & Security Systems. On a déjà fait la moitié du chemin vers l'autonomie européenne avec le SIDM, il serait désastreux de s'arrêter là.»

Dassault fait un autre pari. Pour tuer l'Advanced UAV, il tente de le torpiller dans l'oeuf. Il a proposé mi- 2008 un appareil livrable dès 2012, soit trois ans avant l'appareil d'EADS : le SDM, développé avec le français Thales et l'espagnol Indra. «L'armée semble avoir un besoin urgent de ces appareils, pointe Eric Trappier, vice-président international de Dassault Aviation. L'Advanced UAV n'est qu'un projet sur papier, sans même un prototype.»

... schizophrènes

Etrange guerre des nerfs. EADS se dit prêt à faire une place à Dassault dans son projet, malgré la fin de non-recevoir adressée par ce dernier mi-2007 - «Ils nous proposent de faire des vis de 5, très peu pour nous», explique Eric Trappier. Dassault assure pouvoir développer un drone 100% européen, comme l'Advanced UAV, si les Etats clients en expriment clairement le souhait, et si une «une véritable compétition est ouverte».

Dans cette lutte sans merci, la schizophrénie n'est jamais loin : Thales, soutien majeur de Dassault, collabore au radar du drone... d'EADS. Et ce même EADS travaille sur le projet de démonstrateur de drone de combat Neuron, développé par... Dassault. La DGA tente de se faire une religion. Elle assure étudier toutes les solutions, y compris le recours au Predator B, de l'américain General Atomics, ou une prolongation de l'actuel SIDM. La guerre des drones ne fait que commencer.

LE SDM, DE DASSAULT-THALES

Caractéristiques 26 mètres d'envergure, 4,6 tonnes, un seul moteur à hélice, 24 heures d'autonomie à 45 000 pieds.Avantages Une livraison prévue en 2012, soit trois ans avant son rival; un coût annoncé inférieur à celui d'EADS de 1 milliard d'euros.Inconvénients Il n'associe pas l'Allemagne au projet; dérivé d'un drone israélien, il ne résout pas la dépendance technologique.

L'hégémonie américaine

Outre les Etats-Unis - qui dominent le marché -, Israël et l'Europe, d'autres pays fabriquent des drones : l'Afrique du Sud, le Japon, la Corée du Sud, Singapour et la Malaisie.

Ces appareils sans pilote n'intéressent pas que l'armée

- Elsa : ce drone de surveillance urbaine de 1,5 mètre d'envergure est en phase de test dans la police nationale en France. D'une autonomie de 45 minutes, il est destiné à être utilisé lors des violences urbaines. - Le Fire Scout : ce drone hélicoptère de surveillance maritime, fabriqué par l'américain Northrop Grumman, sera capable de se poser sur le pont d'un navire. Il est prévu pour 2011. - Le Predator B : appelé aussi Reaper, ce drone armé conçu par l'américain General Atomics est à pied d'oeuvre en Afghanistan et en Irak. Il embarque notamment des bombes à guidage laser. - Le SIDM : développé par EADS sur une plate-forme israélienne, ce drone de surveillance de 16 mètres d'envergure vient d'entrer en action au sein des forces françaises en Afghanistan.

L'ADVANCED UAV, D'EADS

Caractéristiques 27 mètres d'envergure pour 6,5 tonnes; propulsé par deux réacteurs de jet d'affaires, il peut voler 24 heures à 55 000 pieds.Avantages Conception 100% européenne; il peut emporter 1,5 tonne d'armement; il peut aussi se fondre dans la circulation aérienne civile.Inconvénients Un coût de développement élevé : 2,8 milliards d'euros; il ne serait livré qu'en 2015.

Vincent Lamigeon

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"UAV ou SDM, la Défense française devra choisir"

LE SDM, DE DASSAULT-THALES

Caractéristiques 26 mètres d'envergure, 4,6 tonnes, un seul moteur à hélice, 24 heures d'autonomie à 45 000 pieds.Avantages Une livraison prévue en 2012, soit trois ans avant son rival; un coût annoncé inférieur à celui d'EADS de 1 milliard d'euros.Inconvénients Il n'associe pas l'Allemagne au projet; dérivé d'un drone israélien, il ne résout pas la dépendance technologique.

Image IPB

L'ADVANCED UAV, D'EADS

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Caractéristiques 27 mètres d'envergure pour 6,5 tonnes; propulsé par deux réacteurs de jet d'affaires, il peut voler 24 heures à 55 000 pieds.Avantages Conception 100% européenne; il peut emporter 1,5 tonne d'armement; il peut aussi se fondre dans la circulation aérienne civile.Inconvénients Un coût de développement élevé : 2,8 milliards d'euros; il ne serait livré qu'en 2015.

Je me demande si les Sorciers de Dassault ne seront pas tentés d'apporter quelques améliorations au Heron TP , quand on voit ce qu'ils ont apporté au drone Sperwer, en en modifiant la structure de l'aile.

L'intérêt du Heron est d'être une plateforme qui va être rapidement "ucasée" par les Israeliens, dans les projets de surveillance antimissile.

Et là l'intérêt de Dassault est d'être l'intégrateur des armes sous le Rafale :

Cet Heron TP pourrait bien une fois les UAV de surveillance délivrés, devenir le premier UCAV français en attendant la soudure avec les Neurons

Notamment la charge utile : 1tonne est proche de celle d'un Reaper, de même que le temps de loitering.

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  • 5 weeks later...

Un commentaire sur Insidedefense montrant la passerelle d'équivalences s'établissant entre UCAV et Jets pour certaines missions :

"Addition of Bomb-Dropping UAS Prompts Air Force Request to Retire F-16s

DefenseAlert, April 7, 2009 -- The influx of heavy-weapons-load-carrying MQ-9 Reaper drones into the Air Force fleet mix has prompted the service to propose the retirement of 250 of its oldest fourth-generation fighter jets, Defense Secretary Robert Gates told reporters this afternoon."

et le même en plus détaillé sur defense news :

" New Capabilities Play Vital Role in Budget Recommendations, Gates Says

(Source: U.S Department of Defense; issued April 7, 2009)

WASHINGTON --- New capabilities, which are playing a greater role in America's defense, are an integral part of Defense Secretary Robert M. Gates’ recommendations for the fiscal 2010 budget request.

Gates discussed some of these capabilities and his budget recommendations at a Pentagon roundtable this afternoon also attended by Marine Corps Gen. James E. Cartwright, the vice chairman of the Joint Chiefs of Staff.

To start, the secretary is recommending the Air Force retire 250 of its oldest aircraft next year and halt production of the F-22 Raptor at 187.

Part of the reasoning behind this is that the Predator and Reaper unmanned aerial vehicles are coming on line. These UAVs are starting to supplant some of the mission space that manned aircraft once dominated.

“Heretofore, they were not put into the missions that the F-18, F-16, F-15 occupied,” Cartwright said. “Now you start to bring that capability on, especially with the Reaper.”

The Reaper is like a Predator UAV on steroids. The aircraft can carry up to 1.5 tons of weapons and stay aloft for hours.

“Given that the conflicts that we are in or likely to be in the next couple of years, are conflicts where being on station for extended periods of time and not carrying maximum loads every sortie -- those platforms really do give you a qualitative edge,” the general said.

The secretary called the UAVs new pieces of the defense equations. “These are not just the Predators doing strikes; it is long distances and long dwells,” he said. “An F-16 has a range of about 500 miles. The Reaper has a range of about 3,000 miles. This is going to be an increasing part of the Air Force arsenal.”

On the F-22 Raptor, the secretary decided to halt the build at 187 -- a number the Air Force and combatant commanders agree on, Gates said. The emphasis will go to the F-35 Joint Strike Fighter. He said he does not see a risk in the decision.

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En tout cas l'opération Thalès Dassault IAI Indra a un objectif: contrer EADS

Le conflit Dassault EADS sur les drônes notament en France est de notoriété publique et tous les coups sont permis

En voyant l'advanced UAV d'EADS avec ces 2 possibilités d'ailes : longues pour le loitering et courte pour la pénétration à plus grande vitesse,

je me disais que Dassault verrait bien cette appareil rester à l'état de projet :

Hypothèse Dassault : mise en service 2012 et pas d'ombre de drones-jets ensuite pour plomber le développement d'un système basé sur le Neuron vers 2020...

hypothèse EADS : mise en service 2015 mais avec les retards habituels sur un projet à créer de toute pièce... 2018-2020.

De toute façon même avec un appareil de seulement 5 ans en service et un programme qui ne demanderait qu'à s'étoffer (UCAV etc) : plus de crédits pour un neuron avant longtemps...

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Sur le site libération.fr :

L'un des trois drones Harfang (système SIDM) de l'armée de l'air déployés en Afghanistan vient de connaître un incident sérieux qui va nécessiter son rapatriement en France.

Cet engin effectue ses phases de décollage et d'atterrisage de manière entièrement automatique. Lors d'un décollage, il a rencontré des problèmes de givre au niveau de son tube de pitot, ce qui a engagé dans une descente très rapide. A l'approche du sol, le pitot a dégivré et le drone est remonté, à la suite d'une ressource brutale. L'appareil ne s'est donc pas écrasé et aucun dégât n'est constaté. Toutefois, les aviateurs n'excluent pas que ces manoeuvres brutales aient pu provoquer une fatigue de la structure, c'est-à-dire des criques. Le drone (N°0-22) va donc être rapatrié en France pour être soigneusement examiné.

Les trois drones Harfang (système SIDM) sont déployés sur la base de Bagram depuis le mois de février, où ils devraient rester environ six mois. Sauf cet incident de vol, ils donnent grande satisfaction. "On est ravis de cet engin" confie un aviateur. Les drones font environ 4 missions par semaines, d'une durée d'une douzaine d'heures, dans un cadre interallié.

L'incident de vol met en lumière le principal point faible de ce système de reconnaissance : son trop faible nombre. L'armée ne dispose en effet que de trois appareils ! Tout incident sur l'un d'eux réduit d'un tiers le potentiel national.

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Si je me souviens bien, c'est le même type d'incident qui a mené à la perte d'un B2 au décollage, à Guam l'année dernière.

[Edit]

En fait, pour le B2 à Guam, c'est presque pire : détection d'humidité dans une sonde, ré-étalonnage de celle-ci en fonction de ce critère, sauf que la sonde avait été assèchée par le système de réchauffage, donc erreurs de mesures conduisant à une mauvaise appréciation de la vitesse et de l'altitude.

Le givrage d'un pitot, on a connu ça en janvier 2004 sur un Diesel (le No621/3-JG) devenu incontrôlable et que l'équipage a pu évacuer avant le crash sans victime.

[/Edit]

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Ca met surtout en lumiere les limite du pilotage tout auto ... la fusion de senseur ne semble pas suffisament abouti ou l'IA pas suffisament fine pour interpreter comme telle un défaut d'un senseur.

En aviation, automatisé ou pas c'est la faute du pilote, car il est le seul responsable de l'aéronef, que celui-ci soit dans un cockpit ou au sol dans le cas d'un uav.

Pour le pilote, il n'y a pas de quoi être fier, il suffit de lire le GFA pour savoir ou est le givrage et d'enclencher le pitot heat(ou éviter la zone) lorsque l'avion vole dans ce type de condition... l'opérateur devait dormir lors du ground school, car c'est entièrement sa faute et non celle d'un ordinateur...

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Ce serait la faute à une case mal cochée au moment de la préparation de mission, selon Jean Guisnel...

"selon nos informations, lors de la préparation du vol, une "case" sur l'écran informatique de contrôle aurait été mal cochée, alors qu'elle revêt une certaine importance, puisqu'elle propose, soit de placer l'appareil en mode "dégivrage automatique", soit de ne pas le faire. C'est un opérateur qui aurait omis de cocher le dégivrage automatique, provoquant ainsi l'incident. Du côté de industriel EADS, qui a fourni les trois drones Harfang et leur station de contrôle à l'armée de l'air, on se refuse à confirmer ces informations. De source proche du ministère de la Défense, on indique rechercher une éventuelle responsabilité de l'industriel, qui n'aurait pas fourni d'indications suffisantes à l'armée de l'air sur la mise en oeuvre de l'Harfang, ni fourni la formation adéquate prévue par le contrat. Affaire à suivre, donc..."

http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-04-23/exclusif-le-drone-harfang-a-ete-victime-d-une-erreur-humaine/1648/0/337128

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Ce serait la faute à une case mal cochée au moment de la préparation de mission, selon Jean Guisnel...

"selon nos informations, lors de la préparation du vol, une "case" sur l'écran informatique de contrôle aurait été mal cochée, alors qu'elle revêt une certaine importance, puisqu'elle propose, soit de placer l'appareil en mode "dégivrage automatique", soit de ne pas le faire. C'est un opérateur qui aurait omis de cocher le dégivrage automatique, provoquant ainsi l'incident. Du côté de industriel EADS, qui a fourni les trois drones Harfang et leur station de contrôle à l'armée de l'air, on se refuse à confirmer ces informations. De source proche du ministère de la Défense, on indique rechercher une éventuelle responsabilité de l'industriel, qui n'aurait pas fourni d'indications suffisantes à l'armée de l'air sur la mise en oeuvre de l'Harfang, ni fourni la formation adéquate prévue par le contrat. Affaire à suivre, donc..."

http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-04-23/exclusif-le-drone-harfang-a-ete-victime-d-une-erreur-humaine/1648/0/337128

JMT apporte d'autres conclusions sur son blog

http://lemamouth.blogspot.com/2009/04/le-harfang-disseque-dans-les-landes.html

Il y a débat !

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Un article un peu vieux sur l'HERON TP ou EITAN d'IAI

Image IPB

Ce drone géant (voir précédent post est la base choisie par DAssault pour contrer la proposition d'EADS en drone male.

"israel AF Hones Manned-UAV Mix

But Ground-Controlled Strike Packages Not Yet Ripe for Iran

By barbara opall-rome

Published: 7 July 2008

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TEL AVIV - Dozens of Israeli-built unmanned aircraft - most of them the same Hermes 450S models operated by British forces in Iraq and Afghanistan - played a key role in Israel Air Force maneuvers over the eastern Mediterranean Sea last month.

They also dominated the aerial component of Grapes of Fire, a major militarywide exercise in May. And in real-life counterterror operations in the Gaza Strip, Israeli UAVs chalked up 24,000 flight hours over the past year alone, far more than attack helicopters (1,300 flight hours) and fighter jets (100).

Related Topics

    * Asia & Pacific Rim

    * Land Warfare

But in the September 2007 strike on a suspected nuclear facility in eastern Syria, UAVs remained homebound, loitering along Israel's borders in case Syria or its Iranian allies chose to retaliate through Gaza- or Lebanon-based terror organizations.

The same would be likely in any Israeli Air Force (IAF) attack on Iran. Top leaders remain reluctant to entrust unmanned aircraft with the crown-jewel weapons and judgment calls needed for high-value strategic strikes.

"Will I put something very special, very valuable and very rare on UAVs? I'm not ready. We're not there yet," said Maj. Gen. Ido Nehushtan, the new IAF commander.

In his first public address on the job, Nehushtan said the IAF is reaping enormous added value from unmanned aircraft in a variety of mission areas.

Nevertheless, "I'm not sure we'll be confident with the judgment of the operator on the ground in the same way as a professional in the cockpit," he told defense and industry experts at a June 26 conference on UAVs, sponsored by Israel's Fisher Institute for Air & Space Strategic Studies.

Coordinated, Strategic Spin

Officials here are intentionally coy - even misleading - regarding operational plans concerning Iran.

But experts here deny media reports that a recent air drill over the Aegean was a dry run for a strike against Iran. They said the abundant presence of UAVs suggests instead that the exercise was part of a series aimed at increasing overall readiness.

Moreover, experts here say U.S. and Israeli officials are working to deliver exaggerated and deliberately timed leaks of a probable attack to bolster diplomatic support for less-than-warfare options for deterring Iran and its bellicose president, Mahmoud Ahmadinejad.

Sources here say the mid-June air exercise involved far fewer than the 100 F-16s and F-15s reported by The New York Times.

"The whole package of manned and unmanned fighters, supporting aircraft and utility helicopters didn't come close to 100, and more than a third of all platforms deployed were UAVs," said a source briefed on the three-day event.

Notably absent from that exercise, sources here said, was the IAF's Eitan (Steadfast), the only UAV here that can haul the heavy penetration weaponry needed for an attack on Iran. IAF specialists have been evaluating a high-end, multimission combat suite for the 4.5-ton UAV for more than a year, and initial operational capability is expected in early 2009.

However, if the IAF intended to use the Eitan as part of a strike package for Iran, it certainly could accelerate its operational debut, as the service did with its Gulfstream Nachshon aerial-warning aircraft during the 2006 Lebanon War and with an electronic-warfare version of that aircraft in last year's attack on Syria.

Built by Israel Aerospace Industries (IAI), the Eitan - or Heron TP - will carry more than a ton of weapons as well as specialized sensors, electronic warfare and targeting gear in its bulbous forward section, its principal payload bay and on each tail of its twin boom.

"UAVs are an integral part of the IAF force structure, and they've become a dominant element in training and operations planning," said Herzl Bodinger, a retired major general and former IAF commander. "But we're still not at a point where enough of them can carry 1-ton weapons for the long-range missions everybody seems to be talking too much about these days."

Eitan Ben-Eliahu, who commanded the IAF after Bodinger, suggested that officials remain ambiguous regarding Israel's intentions with regard to Iran.

"Until you actually attack, there are lots of things that can serve the purpose of diplomacy, including exercises," Ben-Eliahu said. "Ahmadinejad doesn't necessary care what we say. But when he sees that we're serious, that we have the capability, that we have a plan, that we're bolstering our offensive and defensive means of military power, it's more likely he'll conclude it's not worthwhile to go forward with nuclear weapons."

Regarding U.S.-based media reports of an imminent Israeli air attack, Ben-Eliahu said: "It's a lot of spin. And when done in moderation, it can serve us well. It increases the chances that there won't need to be an attack. … Sometimes you need to give a chance for noise and escalation to work."

Backpedaling

The Israel Defense Forces has repeatedly declined to discuss the extent or nature of last month's Aegean exercise.

Nevertheless, in a prepared statement, an IDF spokesman appeared to back away from Iran-oriented assessments by unnamed Pentagon officials: "The IDF does not know of any intentions of attack in any specific theater. The IDF is obligated to continue to train in order to provide defense to Israeli citizens in case of need."

In a July 2 Pentagon news conference, Adm. Michael Mullen, chairman of the U.S. Joint Chiefs of Staff, also appeared to refute intimations of an imminent attack by anonymous officials in Washington.

At a press briefing July 2, Mullen said an Israeli attack on Iran would open up a third front for U.S. forces that would be "extremely stressful on us," given American forces are pressed by continuous operations in Iraq and Afghanistan.

Late last month, Mullen spent a weekend in Israel, where he visited Israel's northern, central and southern fronts. Aside from visiting troops and field commanders, Mullen and his counterpart, Lt. Gen. Gabi Ashkenazi, and senior officials spoke extensively about strengthening bilateral coordination regarding the Iranian threat.

In his Pentagon briefing, he declined to discuss details of his visit or assessments of Israeli intentions.

"But I'm convinced that the solution still lies in using other elements of national power to change Iranian behavior, including diplomatic, financial and international pressure," Mullen said. ■

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