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AIR-DEFENSE.NET

[Le monde des opérateurs du H225M/EC 725 Caracal]


Philippe Top-Force
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De plus, l'ESH ayant sans aucun doute profite du refus du DAOS de remplir des missions non-SOF pour se faire beaucoup de pub (voir la plethore d'article dans Raids et ailleurs), le DAOS l'a bien mauvaise et il ne se feront aucun cadeau malgre la volonte officielle de voir ces deux unites travailler ensemble.

Ma parole c'est du règlement de compte Aubry/Ségo version Centre-Europe .... Ils sont pires que Paris Hilton nos pilotes d'hélicos, si ils doivent se faire une crise d'hémorroides a chaque fois que leur petit concurrent de l'autre bord montre sa face dans une revue, il y en aura plus beaucoup capable de s'asseoir aux commandes d'un Caracal sans un petit coussinet et des kilos de pommade

L'ESH et le DAOS n'appartienent-ils pas tout les 2 au COS .... histoire de distribuer quelques baffes de recadrage ....

Clairon

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Tout ces messieurs pilotes de jouets de luxe passent pour des trous du culs avec leurs vapeurs de jeunes filles gâtées...

Il suffit d'avoir une belle bécane, d'être des spécialistes ou de faire la une des journaux (souvent spécialisés relativisons...) ... et hop çà enfle:

"je ne veux pas faire ceci, celà"

Le star system n'a pas cours dans l'Administration, règle n°1

Si ces mecs ne jouaient pas les aigles de pacotille avec notre pognon je trouverais celà presque drôle (bien qu'enfantin)  =(

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et pendant ce temps là, au sol, ça manque cruellement d'hélicos...

Vous voulez pas envoyer les pilotes et autres personnels du DAOS et de l'ESH en mission terrestre avec des fantassins, avant de les envoyer faire des missions aéros ?Juste pour leur rappeler à quoi ils servent...

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Le programme EC 725 Caracal a pour doctrine d'emploi, les unités spéciales du EOS 3 HUS DAOS et la Resco 1.67 Pyrénées pour l'armée de l'Air, cet hélicoptère n'a pas au départ du programme, été lancé pour faire du héliportage et de l'hélitransport de manoeuvre pour les troupes conventionnelles.

C'est ce que service de semaine a voulu nous dire de façon imagée.  :lol:

Les Missions de hélitransport de manoeuvre et héliportage étaient et sont attribuées aux 93 HM Puma et aux 16 autres HM Cougar. Plus tard par 68 TTH 90 commandés ou en passe de l'être. Mais faute de rénovation des 45 Puma, faute de DTO faible hors OPEX de nos HM, l'EMA déploie les 3 Caracal Resco en Afghanistan et un au SP pour suppléer le Super Frelon, le relais étant assuré par les Cougar AT , deplus par la suite le gouvernement français et le chef des armées n'ont pas souhaité et/ou divulgué le déployement des forces spéciales AT/Cdo Marine en A-Stan, le CEMAT ne voulait pas envoyer le Caracal HUS et les équipages spécialisées.

Rien n'interdit par contre à l'état de réviser ses cibles de dotations et commander des Caracal supplémentaires pour les affecter en unités.

6 pour les HUS, 2 le GAM56, 3/4 GIH, 2 et plus pour l'AdA. Autant pour la MN en compensation du retard des premiers NHS90. (novembre 2005) les NHC90 devant remplacer une partie des Lynx étant prévus en 2011.  ;)

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Le probleme n'est pas limite aux pilotes; c'est toute la structure projetable de l'ESH qui est consideree comme une bande de rigolos incapables d'operer "au coin du bois" et de maniere tres rustique et efficace par le DAOS....l'operation EUFOR Tchad/RCA durant laquelle les 725 du DAOS et de l'ESH ont ete obliges de travailler cote a cote a largement contribue a faire la demonstration du gouffre existant entre les deux unites malgre la volonte affichee de l'EM de faire travailler le DAOS et l'ESH ensemble.

Pour le DAOS, l'ESH s'est fait beaucoup de publicite en remplissant des missions de "legumier" (non SOF) du genre faire la navette entre le TCD Siroco et la ville de Beyrouth en plein jour charges de femmes enceintes lors de la guerre de 2006 ou encore faire du transport de troupes "lambda" en A-stan alors que des missions reellement SOF remplies par le DAOS ne sont pas, par la force des choses, rendues publiques.

Sans parler du fait que le personnel de l'ESH ne fait pas l'objet d'une selection et d'un cursus de formation particulier propre aux FS comme le pratique le DAOS en liaison avec des unites du reste de la BFST depuis des annees.

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C'est Gérard Majax, ton gus ?  Je suis allé sur le forum dont tu parles, c'est le bordel pour s'y retrouver. Ce n'est plus le blog de JDM/LIBERATION/SD.

majax64des carracals pour la 32F

Je pense que je peux répondre à quelques questions qui sont posés à la fin de l'article ! Tout d'abord il faut savoir que parmi les 14 ec 725(carracals) en services (8 armée de terre et 6 armée de l'air) la marine a participé financièrement à l'achat de 2 ec 725 ! Ce qui veut dire que 2 ec lui appartiennent ! Ensuite concernant la formation des pilote , elle est en cours ou va commencer trés bientot sur le site d'Eurocopter, avec un EC de l'armée de terre ! Le problème qui se pose c'est à qui vont être repris les 2 ec !?

Dimanche 19 octobre à 09h02

Salut

Concernant les EC-725 de l'AVIA, j'ai retrouvé l'article de Air et cosmos (numéro 1821) qui traite du collectif budgétaire 2001

IL est indiqué que 1.7 à 1.9 milliards de franc sont débloqués pour commander 13 Caracal, sur ces 13 appareils, le ministère précise que =

- 8 sont pour le COS

- 3 sont pour la marine (financé par la marine) livrable en 2004 et "la marine compte les utiliser pour des missions de contre-terrorisme"

- 2 sont pour l'OVIA (a cette époque 4 avait déja été commandé par l'ADA)

Dans l'article il est précisé que cette "distribution suscite certaine remarques" et qu'il est possible au final que le parlement revienne dessus

ON sait maintenant ce qu'il en est.........pas de caracal pour la marine

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Un hélicoptère EC725 Caracal de l'armée de l'air s’est déployé depuis près d’une semaine sur la base aéronavale (BAN) de Lanvéoc-Poulmic pour assurer des missions de sauvetage en haute mer, avec la Marine nationale. Le commandant Franck Arnaudon, pilote de Caracal à l'escadron d'hélicoptères (EH) 1/67 "Pyrénées" de Cazaux, revient sur cette semaine. Interview.

Comment s’est déroulé le déploiement sur la base aéronavale?

Fin novembre, nous avons reçu l’ordre de l’état-major de l’armée de l’air de nous mettre en place sur la BAN de Lanvéoc-Poulmic pour assurer la mission Secmar (secours maritime) qui implique la recherche, le secours et le sauvetage en mer. Le samedi 6 décembre, dans la matinée, neuf personnes se sont déployées avec l’hélicoptère EC725 Caracal et 900 Kg de matériel: deux pilotes dont moi-même, un mécanicien navigant, deux plongeurs et quatre mécaniciens pour la mise en œuvre de l’appareil.

Une fois sur place, quel a été le programme ?

Dès notre arrivée, dans l’après-midi, nous avons travaillé avec les deux pilotes de la Marine nationale, déjà formés sur le Caracal à Cazaux. Avant de prendre l’alerte, ils doivent effectuer un entrainement sur l’appareil. Leur qualification s’est achevée aujourd’hui. La semaine prochaine, nous allons entamer notre qualification Secmar, assurée cette fois-ci par les pilotes de la Marine.

Cet échange de savoir-faire illustre bien la coopération interarmées…

Effectivement, l’armée de l’air possède l’expertise de l’appareil Caracal pour délivrer la qualification aux marins. La Marine nationale, quant à elle, forme les pilotes de l’armée de l’air dans son domaine de compétence : les missions Secmar. Concrètement, nous serons en mesure de prendre l’alerte sous peu.

En quoi consiste la qualification Secmar ?

Pour nous, il s’agit plutôt d’une validation puisque sur la base aérienne de Cazaux, nous sommes déjà susceptibles d’intervenir en vue d’un sauvetage en mer.

L’entraînement consiste essentiellement à évoluer avec un bâtiment naval pour exécuter du treuillage et pour transporter du materiel. Il se déroule principalement de nuit. Cette expérience de la mission Secmar est une valeur ajoutée à notre cœur de métier pour les hélicoptères, à savoir la mission Resco (recherche et sauvetage au combat).

Quels sont les atouts du Caracal pour la mission Secmar ?

Le Caracal est un appareil extrêmement polyvalent qui possède de nombreux atouts pour ce genre de mission. Son rayon d’action étendu lui permet d’aller jusqu’à 250 nautiques, soit environ 500 kilomètres, un avantage en haute mer. Ensuite, son système intégré est perfectionné, notamment le pilote automatique d'une précision remarquable. Le pilotage est rendu plus facile même par mauvais temps et en basse altitude. De plus, le Caracal dispose d’un système de double treuil, ce qui fait défaut à la plupart des hélicoptères en cas de panne technique. L'EC725 possède aussi une capacité d’emport importante : environ trois tonnes de charge offerte. Enfin, en termes de sécurité, notre appareil a un bel avantage, la probabilité de subir une panne étant bien inférieure aux autres types d’hélicoptères

http://www.defense.gouv.fr/air/base/breves/2008/decembre/rencontre_avec_un_pilote_de_caracal

Un site sur le 1.67 Pyrénées et de biens belles photographies.

http://www.eh167pyrenees.com/

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Ou l'on découvre que le treuillage de nuit sur un bâtiment n'est pas un sport de masse.

Pour un treuillage naufragé en mer de nuit:

1) passage vertical par guidage visuel, hauteur au dessus de l'eau ( entre 300 et 500 ft/mer) contrôlée automatiquement par le pilote automatique ( P.A.), entrée de la position dans le calculateur puis,

2) présentation automatique jusqu'au stationnaire fonction trans down ( entre 60 et 100 ft/mer), puis

3) treuillage de l'impétrant en full automatique grace au minimanche du treuilleur ( hauteur tenue automatiquement...)

4) départ de la station en automatique fonction trans up.

Globalement, une phase de vol ou le pilote ne touche absolument pas aux commandes.

Treuillage sur un bâtiment de nuit:

1) idem

2) idem

3) mise en stationnaire sur l'objectif "à la main", avec tenue de hauteur "à la main", puis maintien du stationnaire "à la main" puis recul par rapport au bâtiment une fois le treuiilage terminé " à la main"

4) idem

le tout sur un truc entre 12 et 350 mètres de long, entre mer 0 et  incalculable ( roulius, tanguage et lacet en fonction), avec le vent du moment....

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J'ai des questions de béotien : pourquoi c'est en automatique pour un naufragé et "à la main" sur un bâtiment ? De jour, c'est différent ? La vitesse de déplacement du bâtiment influe-t-elle sur la règle automatique/"à la main" (visiblement la force de la mer n'influe pas) ou est-ce que c'est intangible ?

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Le stationnaire de nuit, sans références extérieures visuelles, est humainement impossible. Ce qui fait par exemple, que les Dauphins de service public, qui ne sont pas équipés de stationnaire automatique, ne peuvent assurer un treuillage de naufragé de nuit en pleine mer ( sauf bien sur exception qui confirme la règle).

Il est impératif, par nuit noire en pleine mer, sans références extérieures, de disposer d'un dispositif de mise en stationnaire automatique utilisant systématiquement un radio-altimètre de précision ( pour la hauteur sur l'eau) et un radar a effet Doppler pour l'information de déplacement longitudinal ou latéral.

Sur Panther et Caracal, ces dispositifs assurent, à partir de la verticale, un guidage automatique vers le point de stationnaire, avec une descente face au vent. Sur Lynx, la présentation face au vent doit etre pilotée jusqu'au point de mise en descente ou l'automatique reprend ses droits. Une fois le treuillage terminé, le départ seffectue en automatique sur Panther et Cracal, en semi-automatique sur Lynx.

Sur un bâtiment, les références existent et là le radio altimètre et le Doppler peuvent être perturbés par les superstructures du bâtiment et son déplacement relatif par rapport à l'hélicoptère, ce qui fait que ces deux équipements, utilisés à titre d'information, ne peuvent ( sauf exception qui confirme la règle) être utilisés pour assurer le sationnaire.

Bien sur, l'état de la mer et du vent influence le treuillage:

Sur un treuillage " normal" le pilote en place droite conserve TOUJOURS la vue du bâtiment ou du naufragé. Mais quand il y a par exemple 70 Kt de vents ( m'est arrivé une fois), le plongeur en descente vers le bâtiment est drossé par le vent, et le treuillage se  déroule 10 à 20 mètres sur l'avant du point de treuillage pour compenser l'effet du vent. Si le bâtiment est petit, le pilote perd la vue de la cible et doit alors etre guidé à la voix par le treuilleur ( grands moments de solitude...)

De même l'état de la mer influe sur le comportementy du navire: mer calme, pas de roulis ni de tanguage, cool...Mer 5 ou plus, le bateau roule, tangue, parfois tortille du cul, est secoué par les vagues qui bien sur ne sont pas dans le bon axe...

Enfin, il y a un monde entre treuiller sur un VLCC ( very large crude carrier) de 400 000 tonnes en route stable par mer 2 et un voilier de 12 mètres par mer 10, 70 Kts de vent avec les mats qui balayent des arcs de 40°.

Les procédures normales de treuillage imposent une approche du naufragé ou du navire à servir FACE AU VENT avec si possible, un navire faisant route à 30 degrés à droite du lit du vent pour une zone de treuillage à l'arrière du navire, afin que le pilote de droite ait de bonnes références visuelles. Bien sur, sur un navire en perdition, par définition avec une mauvaise mer, ce prérequis vole en éclat dès le départ.

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Selon les Echos du jour, la DGA a validé les programmes qui vont bénéficier du plan de relance :

"Pour Eurocopter, le bilan s'avère - in fine - moins positif. La filiale d'EADS gagne 5 hélicoptères de transport Caracal, de quoi combler en partie le vide en matière d'aéromobilité de l'armée française. Victime d'arbitrages, l'hélicoptère de combat Tigre n'a en revanche pas été conservé. Les négociations pour un ralentissement des rythmes de livraison vont donc se poursuivre."

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Des caracal neufs avec tout l'équipement que cela concerne..., juste pour du SAR?  :O

Sachant que de plus que le NH90 finira par arrivé. dans ce cas seront ils conservés par la marine pour le CTM et une utilisation plus générale avec les commando marine? ;)

Mais cela reviendrait à créer un énième groupement d'hélicoptère dédié au COS(DAOS et ESH), alors que la politique est plutôt sur de l'interarmes. n'est ce pas d'ailleurs une des philosophies du COS? de plus il y a déjà du personnel de la Marine dans L'OVIA...

Donc une unité de Caracal Marine me semble inutile, en dehors du caractère urgent du SAR en Bretagne bien sur, merci à L'AA.

5 EC725, je les verraient bien dans l'ALAT pour en faire bénéficié le plus grand monde, et délaissé un peu le Pyréné dans son rôle de transport de troupe en Afghanistan. Qu'il se concentre sur le RESCO/personel recovry et les missions ESH, son rôle premier.

Pour la DGSE, en ont ils vraiment besoin, ne peuvent ils pas utilisé l'ESH?

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Des caracal neufs avec tout l'équipement que cela concerne..., juste pour du SAR?  :O

Sachant que de plus que le NH90 finira par arrivé. dans ce cas seront ils conservés par la marine pour le CTM et une utilisation plus générale avec les commando marine? ;)

Mais cela reviendrait à créer un énième groupement d'hélicoptère dédié au COS(DAOS et ESH), alors que la politique est plutôt sur de l'interarmes. n'est ce pas d'ailleurs une des philosophies du COS? de plus il y a déjà du personnel de la Marine dans L'OVIA...

Donc une unité de Caracal Marine me semble inutile, en dehors du caractère urgent du SAR en Bretagne bien sur, merci à L'AA.

5 EC725, je les verraient bien dans l'ALAT pour en faire bénéficié le plus grand monde, et délaissé un peu le Pyréné dans son rôle de transport de troupe en Afghanistan. Qu'il se concentre sur le RESCO/personel recovry et les missions ESH, son rôle premier.

Pour la DGSE, en ont ils vraiment besoin, ne peuvent ils pas utilisé l'ESH?

Remarque, avec 5 Caracal confiés aux pingouins on est presque sur d'avoir une forte démultiplication de forces... Les copains vont se demerder pour assurer la fonction SAR  et faire en plus le transport des commandos et la Resco sur le PA =D

Et ils sont encore capables de dégager des engins pour l'Afghanistan, vu ce qu'ils arrivent à tirer des vieux Frelons... :lol:

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Et pourquoi pas 5 EC 725 en version cargo de base, pour finalement effectuer le travail actuellement réalisé par les Caracals de l'AdA. Ainsi allégés, ces appareils auraient une bien meilleure enveloppe de vol.

5 EC 725 pour la marine oui mais quelle version ?

tu à peut être raison des version cargo de base

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