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Marine indienne


CVN220
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Commentaires d'un travail de mémoire d'un spécialite français sur la montée en puissance de la marine de guerre indienne :

Sorry, si c'est long à lire mais c'est très intéressant.

Section 1: La priorité de New Delhi : la composante navale

« Pour être fort sur terre, nous devons maîtriser les mers » J. Nehru

L’Indian Navy est l’objet depuis une trentaine d’années de toutes les attentions de la part des responsables politiques. Son budget n’a cessé de croître au point de faire naître quelques dissensions au sein des forces armées indiennes. Les efforts d’acquisitions de matériels sophistiqués ainsi que les investissements consentis dans la formation des marins indiens témoignent de l’importance que la composante maritime est appelée à jouer au sein des forces stratégiques. Aussi il nous apparaît essentiel de présenter la septième flotte du monde (§ A) puis d’étudier à travers le programme de missile Danush le rôle centrale que les stratèges indiens entendent conférer à leur marine (§ B)

§ A Présentation de la septième flotte du monde

L’Indian Navy est la septième plus grande marine militaire du monde. Elle se compose de deux flottes :

- la Eastern Fleet dont le commandement est implanté à Visakhapatnam dans la Baie de Bengale et,

- la Western Fleet dont le commandement se situe à Bombay.

L’expansion de la marine indienne date des années 70 avec un regain d’intérêt des autorités pour l’Océan indien, ce qui les incite à renforcer de manière constante leur marine de guerre.

De fait, c’est la militarisation de l’Océan indien tout au long des années 70, en liaison avec les crises dans la région, qui vont conduire les autorités indiennes à dynamiser leur marine . Le point d’orgue de cette militarisation de l’Indian Lake a lieu avec l’extension de la base aéronavale de Diégo Garcia située à 1600 Km au sud de l’Inde . De même, la présence permanente de la Ve flotte américaine constitue pour New Delhi une menace inacceptable. Le souvenir douloureux de la présence du porte-avions Entreprise, dont on suppose encore qu’il transportait des armes nucléaires, fait dire aux indiens que les faiblesses de l’Indian Navy ont pu permettre un tel chantage. New Delhi fait de sa marine un élément essentiel de la défense nationale et de l’influence internationale du pays.

L’objectif des indiens est de faire de l’Indian Navy une flotte de haute mer. Sa part de crédits dans le budget de la défense à augmenté sensiblement de 1967 à 1978 en passant de 4% à 10% au détriment de l’armée de terre. Dans la même période, la moitié des dotations d’équipements du budget (environ 25%) ont été allouée à la marine. De 1999 à 2000, les dépenses allouées à l’Indian Navy ont augmentées de 28%. En 2001, le budget de la marine représentait 1/6 du budget total de la défense . Cela s’explique par l’ambition constante des marins indiens de contrôler leur « zone d’influence » fixée à « 7 000 miles, depuis la mer d’Arabie jusqu’au sud de la mer de Chine ».

Si sur le plan quantitatif le cap est maintenu avec constance et ambitions, sur le plan des idées, notamment quant au devenir de la marine indienne, diverses conceptions s’opposent. Principalement deux écoles de pensée existent. L’école soviétique, ou ancienne école, dont il est dit que la Eastern Fleet est son « fief » et l’école britannique qui aurait ses représentants au sein de la Western Fleet. Les tenants de l’école britannique ont été formé pour la plupart au sein des académies occidentales et se compose de nombreux officiers qui ont suivis les cours de l’US Naval War College.

Concrètement, l’opposition théorique se traduit par des conceptions d’emploi totalement différentes de l’Indian Navy :

- L’école soviétique considère que la marine indienne est un élément ajouté aux armées de terre et de l’air dans l’équilibre nucléaire asiatique. Cette vision semble partagée au sein du ministère de la défense indien dont M. Bandhopadhyay, porte parole du ministère, déclarait à l’Herald Tribune le 23 février 2001 : « Nous sommes autant préparé que le Pakistan au déploiement d’armes nucléaires sur nos navires ». Cette école de la dissuasion nucléaire minimale navale restreint le rôle de la marine indienne à un usage presque exclusivement régional. La marine est un outil, parmi d’autres, qui sert à l’équilibre nucléaire régional.

- L’autre aspect de ce courant de pensée est une stratégie d'anti-accès vers le sud de la mer de Chine. Comme la vieille flotte soviétique, elle se concentre sur des possibilités antinavire avec une priorité qui va vers le développement des sous-marins d'attaque. Sous sa forme plus agressive, elle pourrait être interprétée par certains en tant que marine anti américaine. Avec des capacités modestes pour la projection de puissance vers le golfe Persique.

- L’école britannique est à l’opposée des ambitions modestes que semble confier l’école soviétique à la marine indienne. Selon ses tenants, la tâche principal de l’Indian Navy est la conservation de l’espace maritime d’intérêt national : à savoir l’océan indien. Cette option exige une exclusion américaine de l’Indian Lake. Sur le plan des forces stratégiques, la marine indienne doit pouvoir disposer d’une autonomie certaine et d’un effort conséquent. Bras quasi invulnérable d’une force nucléaire, la composante maritime doit devenir le fer de lance des futures forces stratégiques de l’Inde. L’actuel chef d’état major de la marine, l’Amiral Madhvendra Singh , semblerait appartenir à ce courant de pensée.

Dans sa quête de l’étranger proche et aux vues des positions officielles (cf. supra pp. 26 à 37), l’Indian Navy verra son rôle nécessairement évoluer vers une stratégie plus ambitieuse qu’elle ne l’était naguère. L’école soviétique est un héritage de la longue collaboration militaro-industriel qui a longtemps lié et continue de lier les deux pays. Moscou ne semble plus à même d’influencer les orientations de la pensée stratégique navale de l’Inde.

§ B Le programme Danush

Le programme Danush est un missile à portée intermédiaire (cf. supra p. 42 et s.). Initialement conçu comme un missile anti navire, il a été, à la demande de l’Indian Navy, modifié en missile balistique mer-sol avec une portée de 500 Km. Sur le plan technique, le Danush version II conserve les mêmes caractéristiques que la première version. Le missile Danush est conçu pour être lancé depuis un navire de surface, en témoigne le test du missile le 11 avril 1998, effectué depuis le Subhadra. Ce test à été un échec puisque le missile s’est désintégré au bout de quatre secondes de vol . Ce programme a relancé au sein de l’Indian Navy le débat sur la mise en place d’une flotte de navires de surfaces dotés de missiles à têtes nucléaires.

Section 2: Le programme de sous- marin nucléaire

Le programme de sous-marin nucléaire est une priorité indienne. Il représente, pour les stratèges indiens, la clef de l’équilibre nucléaire avec la Chine. Le développement d’une composante sous marine constituerait également une rupture stratégique avec le Pakistan. Les efforts déployés dans ce sens démontrent une ambition constante de la part de New Delhi (§ A). Le programme de missile Sagarika reste étroitement lié à la question (§ B).

§ A Le projet de sous marin nucléaire indien, l’arme absolue ?

« Il n’y a que deux types de navires… les sous-marins et les cibles »

Depuis 1971 les scientifiques indiens travaillent à la miniaturisation d’un réacteur nucléaire nécessaire à la propulsion d’un sous-marin.

En 1988, les russes louaient aux indiens un sous-marin à propulsion nucléaire. Ce même sous-marin causa la mort d’un ingénieur indien à cause des problèmes de radiation . Le projet de construction d’un sous-marin nucléaire à conduit New Delhi à construire l’infrastructure nécessaire à une telle entreprise. Pour les essais des réacteurs ainsi que pour leur maintenance, un port d’attache, ave l’aide des soviétiques, à été basé à Vishakhapatnam. En 1996, des problèmes financiers ainsi qu’une pression américaine ont conduit les indiens à ralentir considérablement leur investissement pour ce projet de sous –marin nucléaire, connu aussi sous le nom d’Advanced Technology Vessel (ATV).

En 1996, le journal Jane’s (édition marine) révélait que la location du sous-marin soviétique de la classe Charlie II avait pour but de valider le design du futur sous-marin nucléaire indien. La réalisation du réacteur devant être nationale. Un système de propulsion nucléaire ayant même été testé en usine. Selon le Jane’s toujours, le projet ATV aurait priorité sur le projet du nouveau porte-avions indiens. Les indiens travailleraient sur la fabrication d’un sous-marin de 6000 t en déplacement. Si les indiens possèdent une expérience certaine en ce qui concerne les sous-marins diesels à propulsion électrique, la grande difficulté est que ces connaissances ne sont pas totalement transférables pour le projet ATV.

Les indiens ont donc opté pour une copie du design du sous marin russe de la classe Charlie II en y incorporant un réacteur de fabrication nationale.

La collaboration indo-russe continue. La preuve la récente location par la Russie d’un autre sous-marin. Selon les recoupements fait à partir des analyses de divers documents écrits par des indiens (cf infra partie III titre I), nous pouvons penser que le premier sous-marin nucléaire indien sera opérationnel d’ici une décennie.

Dès l’instant ou le choix du design portait sur le Charlie II, il était évident pour les ingénieurs indiens que, compte tenu de la taille des missiles balistiques indiens, le futur sous-marin serait équipé des missiles de croisière ou de tout autre missile balistique mais de taille sensiblement plus petite que ceux détenus ou en cours de développement. Nous le voyons l’autre défi sera de pouvoir armer ces sous-marin de missiles balistiques ou de croisières capables d’emporter des têtes nucléaires.

Le développement du missile Sagarika, commandé par l’Indian Navy répond à cet objectif.

§ B Le projet Sagarika

Le projet Sagarika est né en 1992 suite à une commande de l’Indian Navy . Le programme a réellement commencé en 1994 et la mise opérationnelle du missile est prévue pour 2005. Il est dit que ce missile est le programme le plus moderne de la Defense Research and Development Organization (DRDO), équivalent indien de la DGA. Ce missile à une capacité d’emport de 500 Kg pour une portée de 300 Km et disposera d’un système de navigation. Des sources américaines affirment que les indiens réfléchiraient à la définition d’un missile balistique mer-sol. Toutefois, cela ne nous semble guère pouvoir être dans les capacités et priorités de l’Inde. En effet, la maîtrise d’une telle technologie (couple missile balistique moyenne portée et sous-marin) nécessite bien trop de sacrifices financiers alors que le pays est déjà engagé sur d’autres front dont certains sont beaucoup plus urgents. Si étude il y a elle doit certainement se situer à un niveau de conception.

Entre l’entrée opérationnelle du Sagarika et la mise en mer du premier sous-marin nucléaire il risque de se passer un certain nombre d’années avant que le couple ne soit réunit. C’est ainsi qu’il est envisagé de prévoir une alternative conventionnelle à la composante stratégique navale . Il est ainsi étudié la possibilité de développer des sous-marins à propulsion indépendante à air dont la German Submarine Corporation en exporte la technologie. C’est ainsi que les indiens ont obtenu une licence de fabrication de la part de cette entreprise . Nous pensons, qu’il n’est pas à exclure que les indiens dotent dans le futur certains de leurs sous-marins de missiles Sagarika à courte portée équipés de têtes nucléaires.

§ C Le programme de sous- marins nucléaires, défis techniques

La mise en lace d’une plate forme nucléaire sous-marine présente bien des difficultés techniques que l’Inde devra surmonter. Les avantages du stationnement des missiles en haute mer se paient cependant fort cher, car les autres caractéristiques du milieu marin, et la mobilité même des porteurs, posent aux constructeurs de systèmes d'armes stratégiques sous-marins des problèmes techniques et scientifiques considérables. La propulsion nucléaire, source d'une autonomie quasi-totale, ne laisse au monde extérieur que le soin de fournir aux équipages les vivres nécessaires à leur existence et un séjour de repos. Le grand défi de la propulsion nucléaire sous-marine est la miniaturisation du réacteur nucléaire.

L’autre difficulté est l'adaptation au lancement en plongée des missiles balistiques et aérodynamiques, qui placent le sous-marin à égalité avec les vecteurs terrestres, de surface et aériens en matière de portée, de vitesse et de puissance destructive des armes. Le lancement à partir d'un sous-marin en plongée de missiles stratégiques a longtemps semblé, être soumis à des difficultés techniques quasi-insurmontables. La nécessité de disposer, pour assurer la mission stratégique, d'une plate-forme sous-marine mobile totalement discrète et pratiquement indétectable, implique de disposer, au préalable, d'une source d'énergie quasi-inépuisable, autant pour assurer la propulsion du sous-marin que la vie de son équipage et le fonctionnement des multiples équipements nécessaires à l'exécution de la mission. Seule, l'énergie nucléaire remplit ces conditions.

Trois défis se présentent aux futures forces sous-marines stratégiques indiennes :

1) la précision des tirs repose essentiellement sur une connaissance rigoureuse de la position du sous-marin, aussi bien entendu en latitude et longitude qu'en cap. La seule erreur d'une minute sur ce cap entraînait, à 3 000 km de portée, un écart au but de 1 km ... Seule la navigation par inertie permettait d'espérer une telle précision ! Il fallait étudier des plates-formes équipées de gyroscopes d'une extraordinaire précision ;

2) l'éjection en plongée sous une vingtaine de mètres d'eau, d'un missile d'une vingtaine de tonnes, avec une vitesse verticale de 100 Km/h, dépasse très largement les possibilités déjà éprouvées, en matière de lancement de torpilles par exemple ;

3) Enfin la constance de la dissuasion nécessite de disposer de moyens de liaison radio entre la terre et le sous-marin d'une sûreté absolue, dont l'emploi ne risquerait pas de compromettre la discrétion du lanceur.

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India gives in to Russian demand on Gorshkov deal

New Delhi: India has given in to Russia's demand for a staggering price hike for the aircraft carrier Admiral Gorshkov.

India will now pay almost an additional $1 billion over the agreed price of $1.5 billion. In yet another blow, Russia has also told India that the aircraft carrier will not be delivered before 2012,  :P that's four years behind the schedule as laid out in the contract.

The 45,000-tonne displacement carrier was to be delivered to India by August this year as per a $1.5 billion contract signed in 2004, but Russia stunned India in November last by demanding $1.2 billion more for refitting and other works.

India capitulated to Russia's terms during Defence Secretary Vijay Singh's recent visit to Moscow. Singh denied reports that Russia wanted to cancel the contract, but admitted that Moscow demanded a 'reaffirmation' from New Delhi on this deal.

The Gorshkov was phased out of the Russian Navy over 15 years back. Under the initial deal, the hull of the Soviet-built aircraft carrier Baku, re-christened 'Admiral of the Fleet Gorshkov' after the Soviet collapse, was transferred to the Indian Navy free of cost with a condition that it will be modernised at Russian shipyard and equipped with MiG-29K fighters.

During his recent visit to India last week, Russian Prime Minister Viktor A Zubkov is understood to have discussed the issue with Prime Minister Manmohan Singh amid reports that New Delhi is willing to cough up up to $600 million extra.

Moscow has last week threatened to walk out of the deal over the ongoing price dispute. Delhi had termed it as a blackmailing tactic by Moscow.

Le P-A Gorshkov tourne au cauchemar pour les Indiens !

D'un côté ça du positif, désormais l'Inde devra compter sur elle-même c'est-à-dire devenir moins dépendante des grandes puissances (Etats-Unis & Russie).

Et revoir ses paternariats de manière pragmatique, depuis le rapprochement avec les Etats-Unis et Israel, la Russie a maintes fois montré son mécontement et l'Inde en paie les conséquences aujourd'hui !

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pour le kitty hawk à mon avis ca peut toujours être intéréssant

il disposeront alors d'un porte avions géant pouvant parfaitement faire l'intérim jusqu'a l'arrivé des portes avions indien.

ils auront juste à assurer la maintenance pendant quelque année et ca leur fera la main.

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Harrier et c'est tout. Le Mig-29K n'étant pas prévu pour être lancé par catapulte il me semble.

Mais dans le deal, des Super Hornet seraient inclus.

De toute façon les indiens dovient commencer à être habituer aux vieux porte-avions. l'ex-Hermes (maintenant INS Viraat) a aussi presque 50 ans de service derrière lui, même s'il a grandement été moderisé.

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Combien de temps pour transferer le Kitty?

Combien de temps pour effectuer un minimum de remise en etat + retrait des systemes top secret?

Combien de temps pour etablir la chaine logistique?

Combien de temps pour former le personnel?

combien de temps pour former et entrainer le groupe aeronaval sur F-18?

Cout de l'entretient + conso?

...

On parle ici d'un porte avion geant, pas d'un hermes ou invincible.

Deja age d'un demi-siecle qui plus est.

Ils ont deja paye pour le Gorshkov et les mig 29K et lances la construction d'un PA indigene.

Meme avec les retards de ces programmes, prendre le kitty maintenant releverait du gaspillage et de la surdotation de leur marine.

Surtout qu'ils ne seraient pas sur de le voir operationnel beaucoup plus tot que le Gorshkov.

Enfin, ca sent tres fort le piege de la dependance a l'oncle sam...

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Meme avec les retards de ces programmes, prendre le kitty maintenant releverait du gaspillage et de la surdotation de leur marine.

Surtout qu'ils ne seraient pas sur de le voir operationnel beaucoup plus tot que le Gorshkov.

Enfin, ca sent tres fort le piege de la dependance a l'oncle sam...

Mais justement les américains ont toujours souhaité que leurs alliés soient dépendants ; un peu comme un islamiste avec sa/ses femme(s) ...

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Au delà de cette plate-forme projetable, on en oublie ses équipages, ses hommes à former.

Le CV kitty Hawk ce sont plus de 5.239 hommes. Il faudra que les pilotes Indiens se forment aux techniques et procédures d'appontages, catapultages, et tous les personnels AVIA, former des directeurs, des officiers pont d'envol et hangar, les techniciens, tous les effectifs GAE, les services installations...il faudra former le personnel du centre névralgique du centre opérations.

Vous l'aurez compris, cela prend du temps de former des chiens jaunes, des casques blancs, des pilotes d'avion de combat embarqué, de plus, si Gates propose des Super Hornet, vous le savez bien la plus value d'un PA, c'est les Hawkeye ,il faudra donc que Bombay se dote de 4 à 8 hawkeye 2000, on parle de plusieurs milliards de $$. S'il est clair qu'un CVN/PAN est la pièce maîtresse et le fleuron d'une marine, le fer de lance d'une projection de puissance et de stratégie du grand large.

Il faut les hommes entrainés, formés, aguéris à cet outil de militaire.

Les indiens ont un taux d'attrition important, tant en perte d'aéronefs que de pilotes. Il va falloir qu'ils s'entraînent sérieusement à ces techniques, les anglais ayant optés pour du STOVL.

C'est peut-être qu'ils avaient leurs raisons. S'ils ne veulent pas encore battre ces ratios.

De plus, si Bombay récupérait le Kitty Hawk, ils en feraient quoi des autres programmes de PA lancés, si en plus, les indiens se dotaient de ce bateau, les Russes, les Chinois n'en seraient pas de reste pour contrer le leadership dans l'océan indien. Une chose est sûre, il faudra que notre Président tienne compte de cet état de fait, de cette évolution des marines mondiales, la décision du lancement du PA2 fait partie des grands enjeux de la défense de demain. Un porte-avion est un outil politique et militaire.

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Remarque nous on a le Clemenceau ils ont le même age avec le kitty hawk mise en service en 61 pour les deux  O0

Avec une petite refonte rapide (les rafales sont-ils compatibles ?)...

Hé hé ! Nous aussi on a plus d’une carte dans notre jeu.  :lol:

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