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Cela chauffe en Centrafrique.


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Une sagaie s'est fait traversé au niveau tourelle de part en part avec du 14.5 en rca .

pas de victimes.

donc sa traverse .

pour + d'infos me contacter par MP .

 

Ce n'est pas pour rien qu'il faut des CRAB.

 

Mais cette info présage des "signes noir" dont parle le Col Goya.

 

edit; d'autant plus si certains de nos adversaires se déplacent sur un terrain de combat plus favorable comme la RCA

Modifié par P4
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Il n'y a pas de miracle, il nous faut plus d'hommes et des gendarmes pour les missions au milieu des civiles. L'ennemi veut jouer à cache à cache alors jouons, en plus la France ne manque pas de culture dans ce domaine. Car peu importe que nous blindons encore plus nos véhicules, ils contre-attaqueront via l'utilisation de tire de sniper, mine et autre joyeuseté du genre.(après tout ils ont le temps) Ainsi, il faudra vraiment qu'on repense à refaire des gendarmes des militaires (ou créer un équivalent) qui seront spécifiquement dédié aux missions de maintien de l'ordre, on aura ainsi plus d'hommes dans les missions de type pacification. Parce qu'on fait vivre à nos militaire une vrai schizophrénie en multipliant qui sont contradictoires, autant être discipliné est leur rôle mais remplir le rôle de gardien de la paix c'est autre chose.

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bonjour,

 

une page internet intéressante sur les capacités de quelques antiquités qui trainent encore de part le monde ou dont le type de munition peut s'utiliser sur des armes automatiques actuellement en service :

 

http://deuxiemeguerremondia.forumactif.com/t8521-performances-antichars-comparees

 

ensuite vous pouvez comparer cela aux données de blindages des véhicules utilisés par l'armée française (ou d'autres) sur les théâtres d'opération africains notamment depuis une cinquantaine d'années, cela relativise beaucoup la protection donnée par le blindage.

Un AMX30 avait des parties dont le blindage ne dépassaient guère les 15 à 20 mm, en simple acier laminé, même pas composite. Sur des T54/55 encore fréquents en Afrique, le blindage frontal et global doit être plus élevé, surtout en arc avant, mais avec les mêmes faiblesses dessus, derrière et à certains points de côté.

 

Les sagaie c'est une évolution de l'automitrailleuse à la base, même si la présence du canon permet parfois quand cela arrange de les présenter dans la catégories chars, ce qui est une manière de cacher la misère en laissant croire que ces matériels sont dans une catégorie d'armement et de blindage qu'ils n'ont pas. Si en plus les sagaie sont utilisées comme des chars et non comme des éléments jouant sur leurs capacités mobiles et manoeuvrantes, c'est le casse pipe en vue.

 

On pourrait objecter que les armes en 14,5 mm, fusils antichars, et autres antiquités sont largement présentes en Afrique depuis des lustres et que les soldats français y ont été confrontés souvent, notamment au Tchad, sans que cela empêche les forces françaises d'être victorieuses. C'est globalement vrai, sauf que depuis les virées militaires de la France en Afrique dans les années 60 70 les choses ont pas mal changé.

 

Pour preuve l'opération en Centrafrique, qui au lancement, m'a plongé dans la perplexité : c'était le même type d'analyse et de moyens mis en oeuvre que lorsque la France putschait un Bokassa ou sauvait la mise de Mobutu. C'était engager moins d'hommes qu'en Côte d'Ivoire quand la France ne faisait que s'interposer. Il doit encore traîner des nostalgiques de l'époque ou le pouvoir français était persuadé que l'arrivée d'une compagnie de la légion suffisait à frapper les esprits et terroriser les méchants pour rétablir calme et ordre dans une ancienne colonie.

 

Des années de guerres civiles ont forgé des combattants qui sont de moins en moins les buses apeurées et inexpérimentées dont on se gaussait chez certains en Europe. Pendant longtemps, il se racontait que les autochtones étaient vraiment des soldats sans valeur, la preuve, il suffisait aux sud africains de lâcher des gerbes de traçantes et les rebelles de l'ANC ou de l'UNITA détalaient comme des lapins. les guerres civiles d'Afrique de l'Ouest avec leurs cohortes de soldats camés jusqu'aux yeux persuadés d'être invulnérables aux balles grâce à la magie, d'enfants soldats hagards et shootés avec leur fusil d'assaut, ont conforté un temps cette vision paternaliste (pour ne pas dire plus ...) d'un continent à la valeur militaire nulle, parcouru par des bandes armées juste capables de piller et s'entretuer. Cette vision est fausse et dangereuse. Il existe en Afrique des éléments militaires très efficaces et maîtrisant très bien leur espace d'action, avec des cadres formés en France par exemple, comme au Tchad. Et si les armées étatiques se débandent ou s'effondrent, les raisons sont plus à chercher dans les carences des états. Quel soldat, même européen, pas payé, pas équipé, maltraité, ira risquer sa peau ?

 

Elément supplémentaire en RCA, les forces françaises sont présentes pour des missions casse gueule, désarmer des groupes qui n'en ont pas envie et ont caché des stocks, séparer des populations qui ne rêvent que de régler leurs comptes, ramener l'ordre et la sécurité dans un pays immense où il n'existe plus d'état depuis des années. Cela implique de ne pas tirer le premier, ne pas se comporter en soldats impériaux de l'est ou de l'ouest qui pulvérisent en préventif tout ce qui ressemble de près ou de loin à une menace potentielle à moins de 500 m, d'aller au contact des populations et des groupes armés quels qu'ils soient et pas forcément pour des bonnes nouvelles.

 

Alors comme le dit Gibbs, un bitube anti aérien sur l'arrière d'un pickup, camouflé ou discret, ca peut surgir en quelques secondes de nul part, arroser tout ce qui bouge avant d'avoir eu le temps de réagir, et disparaître en un clin d'oeil.

Alors VBCI partout ? abandonner totalement le léger pour que du lourd ? Gally le souligne, la réponse peut être ailleurs et tactique. Vu d'ici le léger, être proactif, privilégier le renseignement, la mobilité, la surprise, l'initiative, etc ... ca a certainement du sens, les troupes françaises maîtrisent bien cela, je préfèrerais humainenement que des proches soient à couvert dans un véhicule bien résistant que dans une boîte de conserve en fer blanc.

disons qu'il faut quand même prendre en compte que le côté grigri est toujours là idem pour l'abus d'alcool qui désinhibe .

faut compter aussi sur les coupeurs de route qui se mêle a des combattants plus endurcis mais qui n'ont pas forcément une discipline ou organisation .

le danger s'est qu'il y a plus d'arme et de munitions à tirer.

ils saturent au niveau des tirs sans faire dans la précision .

la troupe n'est pas contrôler et on a toujours l'abruti qui va défourailler de manière incontrôlée.

surtout que la on a pas d'armée constitué en face mais des milices .

certes il y a une expérience cumulée chez les milices mais s'est pas dans le sens tactique .

ils sont violent et imprévisible et jouent surtout l'effet de masse .

mais tactiquement ils ont du mal .

ils pensent que la surprise et l' intensité du feu feront la différence face à des soldats français moins nombreux.

je reviens.

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Point sur les opérations de la force Sangaris, engagée en République centrafricaine, du 22 au 27 mai 2014.La force Sangaris est déployée à Bangui et Boda avec le GTIA Savoie, dans l’Ouest, de Beloko à Bossembele avec le GTIA Dragon, et dans l’Est, de Sibut à Bria avec le GTIA Scorpion. La semaine a été marquée par la visite du général d'armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, les 26 et 27 mai. 

A Bangui, le calme qui prévaut depuis plusieurs semaines dans la capitale demeure fragile. Quelques tensions sont en effet réapparues dans le 3èmearrondissement. Ces incidents ont nécessité une action coordonnée entre l’EUFOR-RCA et Sangaris. Cela n’a pas entaché la poursuite de la reprise économique, puisque la totalité des centres de santé sont toujours ouverts (33), 24 marchés sont actifs et les écoles continuent d’ouvrir leurs portes (79). Le 26 mai, le détachement de gendarmes français a intégré l’EUFOR-RCA.

Dans l’ouest, le GTIA Dragon continue d’assurer la sécurisation de la main supply road(MSR). Leurs patrouilles quotidiennes permettent d’afficher la présence de la force et de rassurer les populations. Quelques incidents isolés ont été reportés, mais ces derniers n’entravent pas la circulation sur la MSR. Cette semaine, près de 300 véhicules, dont 220 poids lourds, sont entrés dans le pays. La moitié d’entre eux n’ont pas demandé d’escorte par la MISCA ou Sangaris. 

 

Dans l’est,la ville de Bambari a été le théâtre d’une épreuve de force liée au refus de l’application des mesures de confiance, les 22 et 24 mai. Les 21 et 23 mai, le GTIA Scorpion, dont le poste de commandement est installé à Bambari depuis près d’un mois, a été pris à partie par une foule instrumentalisée et par des individus armés. A son contact, les hommes du GTIA ont fait preuve d’une grande maitrise de la force, refusant d’entrer dans le piège de l’affrontement qui leur était tendu.

Le 24 mai, une vingtaine d’hommes à bord de trois pick-up armés ont lancé une attaque délibérée sur une position de Scorpion située à l’ouest de la ville. L’intensité des combats a nécessité de recourir à des tirs de mortier et d’un missile HOT à partir d’une Gazelle.

A chaque fois, Scorpion a maintenu le contact avec les autorités locales pour expliquer l’action de Sangaris et les impliquer dans la stabilisation des relations intercommunautaires. Ces évènements ont trouvé un écho à Bria, où les unités déployées ont observé un regain de tension, sans incident particulier.

 

 

 

http://www.defense.gouv.fr/operations/centrafrique/actualites/sangaris-point-de-situation-du-28-mai-2014

Modifié par gibbs
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24 mai 2014, à Bambari, dans l’est de la République centrafricaine, les soldats du GTIA Scorpion de la force Sangaris ont été attaqués par une vingtaine d’individus armés, équipés de pick-up. L’intensité des combats a nécessité de recourir à des tirs de semonce à l’obus éclairant à l’aide de mortiers 120 mm.

Environ 2000 militaires français sont actuellement déployés dans l’opération Sangaris, aux côtés des 5800 hommes de la MISCA. Lancée le 5 décembre 2013 par le Président de la République, l’opération Sangaris vise à rétablir une sécurité minimale en République Centrafricaine et à faciliter la montée en puissance de la MISCA, ainsi que son déploiement opérationnel.

Crédits photos : EMA / ECPAD

 

 

 

https://fr-fr.facebook.com/armeefrancaise

 

 

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Sur une des photo on voit l'obus prérayé de 120mm quitter le fut du mortier, mais on ne voit pas ce que devient la "queue" amovible qui supporte la charge propulsive?

le photographe a réussi à prendre l'obus en sorti du tube .

la queue de charge suit juste après.

mais la on ne voit pas la queue de charge car l' obus est à peine a deux mètres en sortie de tube .

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le photographe a réussi à prendre l'obus en sorti du tube .

la queue de charge suit juste après.

mais la on ne voit pas la queue de charge car l' obus est à peine a deux mètres en sortie de tube.

La question c'est ce qu'elle devient apres? elle est éjecté loin? c'est dangereux jusqu'a quel distance? Par exemple les sabot détachable des canons de char sont super dangereux meme a assez longue distance.

Pour ceux qui ne comprenne pas le fonctionnement un petit dessin.

XCdzUZf.jpg

En fait on a affaire un obus d'artillerie "classique" prérayé ... sous lequel on fixe avec un "ressort" une queue sur laquelle viennent se glisser les charge propulsive - 1 à 10 charge -.

En vol on a donc un obus d'artillerie classique qui tourne sur lui meme pour se stabiliser, donc sans queue et sans ailette.

Une fois l'obus sortie la charge d'amorce allume avec retard un petite charge d'éjection, qui ejecte la queue resté dans le fut.

On a donc une mécanique de motier, mais un projectile d'artillerie assez proche de ce qu'est un 155mm juste la taille en dessous.

gkNfq9L.jpg

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La question c'est ce qu'elle devient apres? elle est éjecté loin? c'est dangereux jusqu'a quel distance? Par exemple les sabot détachable des canons de char sont super dangereux meme a assez longue distance.

Elle est ejecté a une trentaine  de métre de distance je dirais .Et c est trés dangereux dans la mesure ou c est assez lourd et tombe de haut.

Ce n est pas trés précis mais je pense qu un ancien artilleur présent sur ce site pourra répondre plus exactement . 

Modifié par loac
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Elle est ejecté a une trentaine  de métre de distance je dirais .Et c est trés dangereux dans la mesure ou c est assez lourd et tombe de haut.

Ce n est pas trés précis mais je pense qu un ancien artilleur présent sur ce site pourra répondre plus exactement .

Je me demandais parce que quand c'est utilisé en base feu, et qu'il y a des installations pas loin ca doit etre compliqué a gérer ce genre de projectile additionnel?

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Elle est ejecté a une trentaine  de métre de distance je dirais .Et c est trés dangereux dans la mesure ou c est assez lourd et tombe de haut.

Ce n est pas trés précis mais je pense qu un ancien artilleur présent sur ce site pourra répondre plus exactement . 

Je ne me risquerais pas a donner une distance mais en afgha ma tente était pile dans l axe des mortier et a moins de 100m

Le plus embétant c était surtout les vibrations généré par le tir qui faisait dégringoler nos armoires  :happy:

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Quel est l'intéret des « tirs de semonce à l'obus éclairant » ?

Quel comportement attend-on de l'ennemi ? Une capitulation ? Un retrait ?

 

Est-ce que c'est lié au fait que la cible est dans une zone habitée et qu'un tir réel créerait des victimes civiles collatérales ?

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Je me demandais parce que quand c'est utilisé en base feu, et qu'il y a des installations pas loin ca doit etre compliqué a gérer ce genre de projectile additionnel?

excuse moi j'avais pas saisi ta question dans se sens.

en règle générale autour d'une FOB celle-ci possède un glacis .

aller avec 200 mètres on reste dans une marge de sécurité pour la chute des queues de charge .

pour le danger en centre Afrique les civils squatté les champs de tir mais ils restaient à distance.

leur but récupérer les queues de charge pour faire de la récupération.

ils avaient le coup pour voir ou elles tombaient.faut dire que s'étaient pas trop compliqué car elles ne sont pas rapide et on la voit facilement tombé.

pour du terrain libre on trouve toujours une zone assez grande et si elle pas grande de toute façon les gens éviteront de s'approcher d'une position militaire en zone de guerre .

non sa pose pas de PB la queue de charge .

par contre j'ai vu un centrafricain se faire surprendre par une deuxième salve et une queue de charge a rebondie sur le sol et la shooter à la cheville .

sa a fait mal mais le type s'est relever et est parti en courant .

enfin voilà.

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Quel est l'intéret des « tirs de semonce à l'obus éclairant » ?

Quel comportement attend-on de l'ennemi ? Une capitulation ? Un retrait ?

 

Est-ce que c'est lié au fait que la cible est dans une zone habitée et qu'un tir réel créerait des victimes civiles collatérales ?

C'est l'obus le moins léthal, de la panoplie utilisable au combat. Il me semble qu'on a pas le droit de mixer les obus de combat avec les obus d'exercice sur une batterie.

Donc dans le cadre de la gradation de la riposte, on commence toujours par montrer que si on veut on peut, mais qu'on laisse une échappatoire. Pour ca l'obus fumigene est le moins pire qu'on ai. L'ennemi constate qu'on peu lui mettre sur la gueule vu qu'on le fait, mais qu'on est courtois et qu'on lui demande fermement de cesser le combat ou de battre en retraite. Accessoirement ca permet de reduire au minimum les risque de dommage collatéraux lors de cette phase de "négociation". On faisait aussi ca en afghanistan, pour des tir d'accrochage. Ca permettait a la fois de valider la solutiond de tir sans prendre trop de risque de shooter les siens ou des civil, et de montrer dans les fait a l'ennemi qu'on vise juste, que ca marche et que des qu'il nous gonflera trop il sera haché menu a l'explosif.

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C'est l'obus le moins léthal, de la panoplie utilisable au combat. Il me semble qu'on a pas le droit de mixer les obus de combat avec les obus d'exercice sur une batterie.

Donc dans le cadre de la gradation de la riposte, on commence toujours par montrer que si on veut on peut, mais qu'on laisse une échappatoire. Pour ca l'obus fumigene est le moins pire qu'on ai. L'ennemi constate qu'on peu lui mettre sur la gueule vu qu'on le fait, mais qu'on est courtois et qu'on lui demande fermement de cesser le combat ou de battre en retraite. Accessoirement ca permet de reduire au minimum les risque de dommage collatéraux lors de cette phase de "négociation". On faisait aussi ca en afghanistan, pour des tir d'accrochage. Ca permettait a la fois de valider la solutiond de tir sans prendre trop de risque de shooter les siens ou des civil, et de montrer dans les fait a l'ennemi qu'on vise juste, que ca marche et que des qu'il nous gonflera trop il sera haché menu a l'explosif.

 

Merci pour l'explication. :cool:

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Amnesty à qu'a ramener sa gueule sur place, dégager les musulmans évite qu'on les retrouve dans des états étranges par la suite, c'est bien Amnesty, mais fallait penser à tous ces problèmes quand les chrétiens étaient massacrés sur place.

Je peux plus les voir ces organisations de cafards luisants et rampants qui arrivent toujours quand c'est trop tard et qui donnent des conseils à la con.

Ces crétins auraient été capable de dire à des juifs qu'il fallait faire comme si de rien était pendant la seconde guerre mondiale en Europe.

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