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[A-400 M] le défi stratégique européen


Dada4
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L'A400M a terminé sa première série d'atterrissages sur terrain sommaire, à Cottbus, à la frontière germano-polonaise, vient d'annoncer Airbus Military. La société explique que ces premiers tests vont désormais être analysés avant les prochains, prévus, selon nos informations, au Burkina-Faso, à l'automne....

la suite de l'article :

http://lemamouth.blogspot.fr/2012/05/la400m-termine-des-essais-sur-herbe.html

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  • 2 weeks later...

Pour la photo, ou pour le programme d'essais, en tout cas, les cinq prototypes de l'A400M étaient réunis à Toulouse et au-dessus (photo Airbus). De quoi faire rêver nos transporteurs d'Orléans, et faire oublier de récents soucis de moteur dans le Golfe persique, et de terrain en herbe, en Allemagne.

Photo : http://lemamouth.blogspot.fr/2012/06/un-congres-da400m.html

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C'est pour ça que JMT dans le dernier RAIDS n°313 était inquiet de l'arrivée du premier A400M au Poitou en septembre 2016 car l'appareil ne pourra pas effectuer des poser d'assaut sur terrain sommaire. dixit JMT

N'est il pas envisageable de recréer des trains chenillés ? A l'époque, le problème majeur de tels systèmes, c'était souvent le surpoids, des complications mécaniques et parfois le bruit. Mais avec les évolutions technologiques, l'introduction de la chenille souple peut-être, on pourrait sans doute imaginer des trains permettant d'atterrir sur terrains difficiles ? Evidemment, pour l'A400M, il est sans doute tard. Il aurait probablement fallu intégrer cela dès la conception.
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oui mais d'habitude ils sont répartis entre toulouse et séville non?

Il me semble qu'a seville ils ont eu des problèmes avec la dispo des contrôleurs aérien du coup ils ont envoyé tous les A400M à Toulouse en attendant que le problème soit résolus... Mais visiblement c'est définitif maintenant.
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http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/air-defense/actu/0202120203988-le-premier-a400m-sera-livre-a-temps-a-la-france-affirme-airbus-military-334421.php

La filiale militaire d' Airbus prévoit toujours de livrer le premier avion de transport militaire européen vers la fin de l'année, malgré des problèmes techniques persistants.

En dépit de problèmes techniques persistants, Airbus Military, la filiale militaire de l'avionneur européen, prévoit toujours de livrer le premier avion de transport militaire européen A400M vers la fin de l'année. Cet appareil polyvalent doit permettre aux armées de l'air européennes de renouveler leurs flottes d'avions de transport vieillissantes.

« Le programme se déroule comme prévu en vue d'une livraison du premier appareil au client (la France, ndlr) au tournant de 2012/2013 », a déclaré à l'AFP une porte-parole, relevant que la livraison interviendrait avec un peu d'avance sur la date butoir stipulée dans le contrat (fin mars 2013). « Nous expérimentons encore des problèmes de moteurs (...) mais ces problèmes ne devraient pas avoir d'impact sur le calendrier général et la date de livraison », a-t-elle ajouté, contrairement à ce qu'écrivait vendredi le site latribune.fr.

La porte-parole a précisé que des investigations étaient en cours pour déterminer les causes de vibrations anormales sur un moteur, ainsi que sur la défaillance de la boîte de vitesse de l'hélice sur un autre appareil, constatées ce printemps.

Airbus Military pense obtenir prochainement la certification civile complète de l'avion de la part de l'Agence européenne de sécurité aérienne (AESA), à l'issue de 300 heures de vols d'essais. La certification militaire est, elle, prévue pour le second semestre.

Le programme avait été lancé en 2003 par sept pays membres de l'Otan (Allemagne, France, Espagne, Royaume-Uni, Belgique, Luxembourg et Turquie), mais il a connu des retards importants en raison d'un développement extrêmement coûteux. Pour Airbus, 2013 mais aussi 2014 devraient être des exercices décisifs à plus d'une titre. L'A400 M est un avion polyvalent, capable non seulement d'assurer le transport de troupes, de parachutistes et de matériel sur de longues distances et à grande vitesse, mais encore d'atterrir sur des terrains sommaires.

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Airbus : l'A400M a décidément du mal à décoller

Michel Cabirol

Pignon cassé dans le moteur, qualification militaire difficile... Airbus ne devrait pas pouvoir livrer le premier exemplaire de l'avion de transport militaire à la France en fin d'année comme il l'avait un temps espéré. En revanche, un premier contrat de soutien a été signé avec la France.

Nouvelles inquiétudes pour l'A400M, dont le premier exemplaire doit être livré à la France fin 2012, début 2013. Après les problèmes sur le logiciel de régulation des moteur en 2008, qui avaient provoqué un énorme clash entre EADS et les motoristes de l'avion de transport de troupes européen (Safran, Rolls-Royce...), puis les récentes fuites d'huile en raison d'un joint mal designé dans le moteur, Airbus planche depuis quelques mois sur un pignon défectueux, logé dans le réducteur d'hélices, qui a cassé l'été dernier sur l'un des prototypes, le MSN 001.

Le dossier reste encore à l'instruction, selon des sources concordantes. Au sein de l'avionneur, on se montre toutefois relativement serein. "Les analyses ont bien progressé et le problème semble bien moins grave" qu'en 2008, explique-t-on de source proche du dossier. "Le dossier est totalement sous contrôle », explique une autre source, qui rappelle que l'A400M n'a eu aucun problème de sécurité lors des vols d'essais. Mais pour l'heure, Airbus n'a pas encore compris pourquoi ce pignon avait cassé. "C'est un problème de résonances mal cerné, précise-t-on à "latribune.fr". Il faut en connaître l'origine mais nous n'avons pas encore la totalité des éléments pour comprendre".

Faut-il redessiner un nouveau pignon ? Ce n'est pas complètement exclu. Ce qui pourrait ralentir la production du premier exemplaire, actuellement sur la chaîne d'assemblage. "Cela ne devrait pas avoir d'impact sur l'entrée en service" de l'appareil, estime une source proche du dossier. Le premier vol de cet appareil est attendu à l'automne. L'EPI, le consortium des motoristes, renâclent pour régler rapidement ce problème. "Ils sont gênés à l'idée de rouvrir leurs dossiers, soupire-t-on chez Airbus. On est dans une situation incroyable : le moteur, qui est certifié, nous retarde dans la certification de l'appareil"

La suite de l'article sur La Tribune

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Ils sembleraient quand même que certains commentateurs oublient le sens et le but d'un programme d'ESSAI et de PROTOTYPES...

Le vrai problème est la difficulté de travail entre Airbus et le Consortium TP-400 ainsi que la collaboration au sein de ce consortium.

Qu'un moteur premier d'une nouvelle série dans lequel le consortium n'avait pas d'expérience, aux performances uniques et haut de gamme ne soient pas aussi fiable qu'un CFM-56 , rien d'étonnant.

Par contre, selon A&C, l'ADA fait son possible pour ne pas précipiter la réception du premier A400M et éviter d'essuyer trop de plâtre en unité...

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Ils sembleraient quand même que certains commentateurs oublient le sens et le but d'un programme d'ESSAI et de PROTOTYPES...

Peut-être n'ont-ils pas oublié les délais qui ont été avancés... C'est surtout chez Airbus que certains, au mépris des ingénieurs, semblent bien souvent oublier les risques propres aux phases de développement et de test.
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L'A400M s'appellera Atlas

Le 18/06/2012 à 19:45 | Par Guillaume Steuer

C'est désormais acquis : les futurs A400M français, comme leurs homologues britanniques, seront finalement baptisés Atlas. La décision doit être officialisée cette semaine au cours d'une réunion qui mettra notamment en présence les militaires des deux pays.

La Royal Air Force avait tiré la première en annonçant, l'an dernier, que ses appareils porteraient ce nouveau nom de baptême. Un choix qui n'avait pas fait l'unanimité : le chef d'état-major de la RAF lui-même n'avait pas caché son mécontentement vis-à-vis de cette nouvelle dénomination.

De leur côté, les prototypes de l'appareil continueront vraisemblablement d'être appelés Grizzly, premier sobriquet qui fut accolé aux avions d'essais en 2009 avant d'être officialisé par Airbus Military à l'occasion de Farnborough 2010.

Source : Air & Cosmos

Personnellement, je préfère la nouvelle désignation. Les noms d'animaux... bof. Je préfère les noms de divinités et autres individus issus des mythologies européennes.
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