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Actualité ,principales commandes et MCO du navaliste Naval Group Ex DCNS/Thales/Piriou/CMN/


Philippe Top-Force
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L'article ne précise pas quel chantier français a remporté ce contrat pour des patrouilleurs de 24m ; sans doute que lorsqu'ils reviendront de leurs vacances les rédacteurs de MerEtMarine.com le diront

Le 82m c'est un CMN Vigilante?! Pour le 24m une idée quelqu'un? des Plascoa/Couach? Raidco?

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  • 4 weeks later...

Alors que les exportations d'armements françaises marquent le pas, le petit chantier naval vendéen Ocea cartonne à l'exportation. Et ce en dépit d'une implantation 100 % française :

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20121123trib000732929/defense-ocea-ce-petit-chantier-naval-qui-cartonne-a-l-exportation.html

:happy:

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Faut voir les innovations qu'il y a dedans niveau discrétion, pour le moment on a pas beaucoup de détail, si ce n'est qu'a priori c'est construit entièrement en composite - donc assez naturellement discret EM -.

Le composite à base de fibre de carbone n'est pas vraiment transparent aux ondes radar. Donc si le Couach est furtif, ce serait plutôt du à ses formes (absence de "points chauds") et à la conductivité électrique du carbone. Enfin, je crois.

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Le groupe naval DCNS et le chantier Piriou, basé à Concarneau, vont créer, selon des sources concordantes, une joint venture en vue de mettre en commun des actifs dédiés à des bâtiments d'entrée de gamme, que DCNS commercialisera. Nouveau venu dans la construction de bâtiment militaire, Piriou a récemment présenté lors du salon Euronaval toute une gamme de navires multi-missions de la classe OPV (Offshore Patrol Vessel) et M.OPV (Multipurpose Offshore Patrol Vessel) de 25, 35, 50, 60 et 80 mètres".

Pascal Piriou, le patron des chantiers éponymes, confirme cette information et précise qu'un comité central d'entreprise va se réunir mardi, à la fois chez Piriou et chez DCNS, pour présenter la joint venture qui va se mettre en place rapidement et qui pourrait contribuer à sceller, positivement, le sort du chantier STX de Lorient.

Suite : http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2012/11/26/piriou-et-dcns-l-alliance-a-venir-dans-la-categorie-des-moin.html

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http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20121123trib000733006/defense-rapprochement-en-vue-entre-dcns-et-le-chantier-naval-piriou.html

Le groupe naval DCNS et le chantier Piriou, basé à Concarneau, vont créer, selon des sources concordantes, une joint venture en vue de mettre en commun des actifs dédiés à des bâtiments d'entrée de gamme, que DCNS commercialisera. Nouveau venu dans la construction de bâtiment militaire, Piriou a récemment présenté lors du salon Euronaval toute une gamme de navires multi-missions de la classe OPV (Offshore Patrol Vessel) et M.OPV (Multipurpose Offshore Patrol Vessel) de 25, 35, 50, 60 et 80 mètres. Soit des bâtiments en dessous de l'entrée de gamme de DCNS avec son patrouilleur hauturier Gowind type "L'Adroit", qui mesure 87 mètres. C'est cette gamme qui intéresse DCNS.

STX Lorient dans le giron de DCNS

Parallèlement à cette opération, DCNS réfléchirait à reprendre le site de Lorient de STX (120 salariés), en très grande difficulté et qui a livré son dernier bâtiment en octobre. DCNS pourrait venir en aide aux salariés du site du Rohu, à Lanester, près de Lorient, une ville chère au ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. DCNS fait déjà travailler des salariés de STX Lorient sur le programme Fremm. Enfin, le groupe naval devrait prendre une décision avant la fin de l'année sur une prise de contrôle du fabricant irlandais d'hydroliennes, OpenHydro, dont il détient déjà 11 % du capital. Objectif, prendre au moins 51 % du capital.

Un conseil d'administration prévu début décembre

Ces trois sujets seront évoqués dans un premier temps lors d'un comité central d'entreprise (CCE), qui va se tenir en début de semaine. Puis, un conseil d'administration prévu début décembre devrait donner son feu vert à ces trois opérations. Il semblerait acquis que Thales donne son accord à la création de la joint-venture avec Piriou.

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Il me semble d'ailleurs que pour le B2M , Piriou devait proposer ses OPV en association avec STX :

On peut maintenant ajouter que cela va être STX Lorient ...

Mmm'...

Je vois bien ce trio DCNS-Piriou -STX remporter le B2M ;)

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Un article très complet sur meretmarine.com sur le rapprochement stratégique entre DCNS et Piriou :

http://www.meretmarine.com/fr/content/dcns-et-piriou-vont-sassocier-sur-le-marche-des-patrouilleurs

Espérons qu'ils puissent allier les capacités de production à bas prix de Piriou avec les capacités de Design de DCNS ...

Car il est plutôt moche le MOPV 80 ...

Et apporte moins d'options qu'un Vigilante CL-79 ou de capacité de quasi plageage qu'un Socarenam Bourbon ou de solutions futées qu'un Adroit  :-[

Pour caricaturer , si ils arrivent à produire un NS-3 pour le prix d'un Thonnier , cela va faire un carton !!!

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Au niveau gamme , il risque d'y avoir  doublon entre M-OPV 80 et Adroit avec probablement un repositionnement plus haut de gamme de l'Adroit qui se verrait typer plus militaire que le MOPV ...

Je préférerais que le MOPV 80 passe à la trappe au profit d'une évolution plus low-cost de l'Adroit qui y perdrait ses rampes de mise à l'eau de rhib ou le mini-radier de la version guerre des mines au profit d'une bête plateforme arrière à container avec grue comme sur MOPV 80 ou le CL-79...

Avec toujours l'idée de pouvoir maximiser l'effet de série entre B2M, Batsimar et remplacement des CMT

On se dit sinon que ce MOPV 80 au déplacement pourtant plus important que l'Adroit gagnerait sans doute d'un positionnement différent en évoluant vers le projets BIS de DCNS avec un garage véhicule sous le pont avia par exemple

Image IPB

On remarque que le pont à véhicule semble de ce fait avoir une hauteur sous plafond plus élevé que sur le MOPV80 alors que les proues sont assez similaires

Image IPB

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  • 2 weeks later...
Ca fait bougrement plaisir de voir qu'il y a au moins un domaine industriel (en dehors de l'aéronautique où c'est le cas depuis 1945) où nos constructeurs français sont en train de prendre de l'ascendant sur leurs rivaux allemands. Car il faut le dire la fameuse "amitié franco-allemande" ou le fameux "couple franco-allemand" est de plus en plus teinté d'une forte rivalité économique.

Ce qu'il faudrait surtout pour "enfoncer le clou" c'est que DNCS remporte le prochain appel d'offre australien pour des SSK, ça les mettrait définitivement devant ses rivaux européens (dont TKMS) et remporter cet énorme marché sera je suppose leur priorité absolue ! :| 

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Il faut dire que les premiers exemplaires du Type 214 ne sont pas apparus comme des produits libres de défauts. A voir donc ce qu'il en sera avec les premiers exemplaires turcs. Si jamais les problèmes peuvent être réglés efficacement, alors ça sera plus dur pour DCNS. Mais actuellement, le Type 214 ne jouit pas d'une super image.

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http://www.usinenouvelle.com/article/dcns-submerge-l-allemand-tkms-sur-le-marche-naval.N187508

Diversification accélérée dans les navires de surface, percée sur le marché des sous-marins conventionnels, solide carnet de commandes...DCNS est désormais mieux placé que son grand rival allemand TKMS pour mener la consolidation des chantiers européens de naval de défense.

Patiemment, l'expert naval DCNS tisse sa toile et attend son heure. Le groupe vient d'annoncer la création d'une société commune avec les chantiers navals Piriou basé à Concarneau (Finistère) pour attaquer le marché prometteur des navires publics affectés aux missions de sécurité et de surveillance. Tout en continuant de développer son activité première de fabricant de frégates et de sous-marins, il poursuit tambour battant sa stratégie de diversification dans les petits navires de surface (corvettes, patrouilleurs…) ou les énergies marines renouvelables. Avec un succès indéniable.

DCNS en 5 chiffres

Chiffre d'affaires, en euros : 2,6 milliards

Carnet de commandes, en euros : 14,2 milliards

Part de l'Etat dans le capital : 65%

Effectif : 13 000 salariés

Investissement en R&D : 10% du chiffre d'affaires (250 millions d'euros)

TKMS en 4 chiffres

Chiffre d'affaires, en euros : 1,5 milliard

Carnet de commandes, en euros : 7 milliards

Part de l'Etat dans le capital : 0%

Effectif : 3 600 salariés

Trois années de progression du chiffre d’affaires (2,6 milliards d’euros en 2011), 14,2 milliards de commandes en soute, soit cinq ans d’activité, et même jusqu’à dix ans de travail pour le site de Lorient grâce aux onze frégates multi-missions commandées par la Marine Nationale ; sans compter une commande de près d’un milliards qui pourrait venir d’Arabie Saoudite dans les prochaines semaines…

Le PDG de DCNS, Patrick Boissier, est en position de force pour mener une consolidation du secteur naval de défense que tout le monde sait inévitable en Europe pour espérer faire le poids face aux champions qui émergent en Corée ou en Chine.

"L'Europe ne peut plus se payer le luxe de développer simultanément 6 programmes de frégates, 4 programmes de sous-marins, 3 programmes de torpilles...Il faudra d'une manière ou d'une autre qu'il y ait une rationalisation en Europe. Mais pour se rapprocher il faut être deux. Aujourd'hui, force est de constater que nous n'avons pas en face de nous des partenaires désireux de faire des rapprochements", a réaffirmé Patrick Boissier lors de son audition le mercredi 5 décembre devant la commission de la défense nationale et des forces armées de l’assemblée nationale. Selon lui, l'Europe ne peut pas rester divisée comme elle l'est aujourd'hui. Aux Etats-Unis, 4 grands acteurs se partagent un marché de 10 milliards d'euros par an; en Europe, il y a au moins 15 acteurs majeurs pour un marché inférieur à 8 milliards d'euros.

"Notre stratégie nous permet d'être dans la meilleure position possible pour faire face aux mouvements de consolidation qui seront inéluctables un jour ou l'autre. Pour cela, nous voulons nous développer pour dépasser la taille critique et améliorer notre performance pour être dans la meilleure position de solidité financière possible", expliquait-il récemment à l’Usine Nouvelle en amont du dernier salon Euronaval.

Rapport de force

Face à lui, son grand rival TKMS, la division marine du géant allemand de l’acier ThyssenKrupp (49 milliards d’euros de chiffre d’affaires pour un effectif de 170 000 salariés). Si le rapport de force était plutôt équilibré ces dernières années, la situation tourne aujourd’hui en faveur du français avec un chiffre d’affaires presque deux fois supérieur à l’Allemand qui totalise 1,5 milliard d'euros de ventes depuis qu'il a cédé en février 2012 ses chantiers civils au fonds d’investissement britannique Star Capital Partners.

Mais au-delà du rapport de taille, DCNS est en train de prendre l’ascendant sur son rival allemand.

Sa percée sur le marché des sous-marins conventionnels, auparavant un point fort de TKMS (l’activité pèse pour près de 70 % de son chiffre d’affaires), est à ce titre exemplaire. "Avant TKMS décrochait les deux tiers des commandes sur le marché mondial et nous un tiers. Aujourd’hui c’est l’inverse", indique-t-on chez le français. Si TKMS a remporté des contrats en Turquie et en Israël, le groupe français a multiplié les références à l’international (Chili, Inde, Malaisie, Brésil, etc.) avec sa gamme de sous-marins Scorpene.

Pour opérer un tel renversement, DCNS a joué sur plusieurs leviers. Débarrassé de son statut d’administration au début des années 2000 pour devenir une société de droit privé, il est devenu plus agressif sur le terrain commercial. "Nous avons repris le contrôle de notre force commerciale à l’international. L’entrée de Thales au capital DCNS (à hauteur de 25 % en 2007, puis à 35 % fin  2011 – NDLR) a également agi comme un booster pour les ventes", explique un cadre du groupe.

Atout technologique

DCNS use également doublement de l’arme technologique. Fabricant des sous-marins nucléaires - contrairement à TKMS - il fait bénéficier à ses sous-marins conventionnels Scorpene de ses technologies de discrétion acoustique. Mais la technologie est également une arme commerciale : DCNS assume sa politique décomplexée en matière de transferts de technologies. Au terme de son contrat avec le groupe français, le Brésil saura fabriquer ses propres sous-marins. Lors de la vente de six sous-marins à la marine indienne, DCNS a transféré à son partenaire local MDL la technologie pour réaliser des coques étanches de sous-marins.

"Il n'y a quasiment plus de contrats qui se gagnent sans faire de transferts de technologies. Vous ne pouvez pas vendre en Inde ou au Brésil si vous n'acceptez pas que ces pays se dotent de leur propre industrie. Quand un client veut acquérir une technologie et si cette technologie est détenue par au moins deux fabricants, il l'acquerra forcément. Soit vous êtes celui qui fait le transfert. Vous en tirez alors un bénéfice tout en le contrôlant, par exemple grâce à des accords de zones de commercialisation. Soit vous refusez. Vous n'en tirez aucun bénéfice, aucun contrôle, mais un nouveau concurrent", confiait Patrick Boissier à l’occasion du dernier salon Euronaval.

TKMS, lui, est passé par des temps difficiles. La revente compliquée de ses chantiers navals civils avec le désistement du repreneur Abu Dhabi Mar en 2011 après deux ans de négociation, a largement monopolisé l’attention de l’équipe dirigeante. Sur le segment des navires de surface, il subit une concurrence encore plus nombreuse du fait des nombreux acteurs sur ce marché (BAE Systems au Royaume-Uni, Damen aux Pays-Bas, Fincantieri en Italie, etc.). la vente de deux frégates armées et équipées aux autorités algériennes l’été dernier lui a apporté une bouffé d’oxygène à l’Allemand, sevré de contrats.

Rapprochement en vue sur les torpilles

Sur les neuf premiers mois de l’exercice 2011/2012, les ventes de TKMS ont reculé de plus de 25%. Au point qu’en France, certains imaginent, du côté du ministère de la Défense, que le durcissement du marché pourrait faciliter un rapprochement entre TKMS et DCNS qui tournerait désormais à l’avantage du Français. Ce ne fût pas toujours le cas.

Lors de la dernière tentative pour rapprocher leurs activités de sous-marins, DCNS avait refusé le schéma envisagé par son rival. "La seule proposition de coopération formulée il y a quelques années consistait à ce que DCNS se concentre sur la fabrication de sous-marins nucléaires et abandonne la construction de sous-marins classiques à ThyssenKrupp qui lui sous-traiterait la fabrication de coques. Cette proposition était tout à fait inacceptable !", expliquait ainsi Jean-Marie Poimboeuf président du Gican (groupement des industries de construction et activités navales) lors de son audition devant les sénateurs en mars 2011.

L’Allemand n’est toutefois pas aux abois. Il affiche encore un carnet de commandes record évalué à 7 milliards d’euros. Il doit livrer quatre frégates de type F125 à la marine allemande entre 2016 et 2018 pour un montant de 2,3 milliards d'euros. Et la commande de sous-marins par la Turquie va faire travailler les chantiers de Kiel sur la mer Baltique pour plusieurs mois.

Pour l’instant, plutôt qu’un grand mariage, les deux grands rivaux préfèrent nouer des flirts moins engageants. Ils envisagent de regrouper durant le premier semestre 2013 leurs activités de torpilles dans une société commune détenue à part égales par DCNS et l’allemand Atlas, filiale elle-même de TKMS à 51% et d’EADS à 49%. Un premier début.

Hassan Meddah

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Pourquoi se rapprocher des Allemands et pas des Anglois ou des Italiens (on a déjà commencé d'ailleurs....) si c'est pour encore se faire avoir à redonner du poil de la bête à un rival dominé de la tête et des épaules... De plus, technologiquement, pour ce qui est des plateforme à longue endurance, les Anglois me semblent avoir bien plus de pions à nous proposer.

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A vouloir s'empresser à apposer des messages à 6h41 du matin, on finit par en oublier que celui-ci a déjà été apposé, vendredi par Alexandre au message n°392. ;)

Pour les regroupements dans les chantiers navals, Berlin n'apprécie pas ceux qui sont détenus à 75 % par l'état...Mais les prochaines ventes à la Malaisie, Singapour, au Brésil, Canada, Australie voire Norvège pourraient par la suite, obliger à certains d'y songer.

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Les sous-marins brésiliens serviront de vitrine pour DCNS :

Depuis son association avec la société brésilienne Odebrecht pour la construction de 5 sous-marins, dont un à propulsion nucléaire, DCNS pense déjà à de nouveaux projets et à l’expansion de ses affaires dans d’autres pays.

« Au delà d’un rapprochement avec le Brésil, nous souhaitons, à partir d’ici, toucher d’autres pays. C’est à dire d’utiliser le projet brésilien comme référence pour des exportations de nos produits, » explique Eric Berthelot, directeur général de DCNS au Brésil.

Suite : http://www.corlobe.tk/article31183.html

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