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Sur Twitter, il y a de nombreuses accusations de fraude. Argent payé aux votants akp, tracts à l'entrée des bureaux de vote, passage à tabac de citoyens observateurs etc. Erdogan a montré son peu de respect pour les règles électorales par son dernier meeting au delà du délai légal qui ouvre une période de silence électorale avant le vote.

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ISTANBUL/ANKARA (Reuters) - Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, s'est déclaré vainqueur des élections municipales organisées dimanche en Turquie, avant de lancer des menaces contre ceux qu'il présente comme ses ennemis, laissant ainsi entrevoir un nouveau durcissement de sa politique.

 

Après dépouillement des deux tiers environ des bulletins de vote, le Parti de la justice et du développement (AKP) était crédité de 43% à 47% des suffrages. Le principal parti d'opposition, le Parti républicain du peuple (CHP, kémaliste) obtiendrait 26% à 28% des suffrages.

Recep Tayyip Erdogan a prévenu qu'il poursuivrait "jusque dans leur tanière", ceux qui l'ont accusé de corruption et qui ont dévoilé des secrets d'Etat, "ils payeront pour cela", a-t-il dit.

Si l'AKP d'Erdogan dispose d'une avance considérable dans l'ensemble du pays, des résultats partiels semblent indiquer que le CHP est en mesure de s'emparer d'Ankara, la capitale du pays, une défaite qui pourrait légèrement ternir sa victoire.

S'exprimant du balcon du siège de l'AKP au terme d'une campagne longue et rude, lors de laquelle il a qualifié ses opposants de "terroristes" et dit qu'ils appartenaient à "une alliance du mal", Recep Tayyip Erdogan s'est demandé si "dès demain, certains n'allaient pas être tentés par la fuite."

Le ton belliqueux du Premier ministre semble montrer qu'il juge qu'il dispose désormais d'un mandat clair pour agir avec fermeté contre l'opposition.

"Nous entrerons dans leur tanière. Ils paieront le prix, ils seront comptables. Comment pouvez vous donc menacer la sécurité nationale ?", a-t-il demandé.

Avec cette victoire, le Premier ministre est en position de force avant l'élection présidentielle, la première au suffrage universel direct du pays, en août prochain.

La question de ses relations avec l'actuel président, Abdullah Gül, qui n'a pas ménagé ses critiques après le blocage du réseau social Twitter, est également posée.

Un autre dossier brûlant concerne les relations entre le pouvoir et la police et la justice. "Laissez moi vous dire que la réponse d'Erdogan arrive", a déclaré Can Paker, qui préside le cercle de réflexion Tesev, présenté comme proche du Premier ministre.

"Il va nettoyer de fond en comble la police et la justice, et il purgera la presse qui a favorisé les fuites. Il va très probablement le faire. Il va dire 'j'ai été élu pour les éliminer', il ne va pas mollir."

 

https://fr.news.yahoo.com/vainqueur-des-municipales-erdogan-prépare-un-tour-vis-064749599.html

Modifié par alexandreVBCI
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Quel beau discours, on dirait du Hitler dans le texte

 

Nous sommes intolérants. Je me suis fixé un objectif : chasser ces 30 partis hors de l'Allemagne. Ils me confondent avec ces hommes politiques bourgeois, voire marxistes, qui adhèrent un jour au SPD, un jour à l'USPD, le lendemain au KPD et aux syndicats. Qui sont démocrates aujourd'hui adhéreront au parti du peuple, ou au parti de l’Économie demain. Ils nous confondent avec eux-mêmes. Nous nous sommes fixé un objectif dont nous sommes les défenseurs fanatiques et impitoyables jusqu'à la mort.

 

 

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Punaise, il va arriver a dezingue l'heritage d'Attatuerk ce zigue, c'est aussi ce que veulent les turques? RTE veut recreer l'empire ottoman et le transformer en califat, il serait peut-etre temps pour les voisins de s'affoler...

Yep c'est bien triste... Surtout que le pays avait un bel avenir il risque de tout foutre en l'air juste parce qu'il veut s'accrocher au pouvoir à tous prix.

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Oui, ils ont voté pour, fallait s'y attendre.

Est ce qu'on peut interpréter le fait que son opposant principal,  qui est éxilé aux usa ait pu avoir avoir un soutien discret de ces derniers?

La Turquie est membre de l'otan depuis longtemps, de facto, c'est donc l'allié des usa, mais pourrait on penser que les us  voit erdogan  comme un allié un peu encombrant, et qui accumule les casseroles depuis qques années?

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Punaise, il va arriver a dezingue l'heritage d'Attatuerk ce zigue, c'est aussi ce que veulent les turques? RTE veut recreer l'empire ottoman ...

 

Pour la très grande majorité oui ! La nouvelle population Turc moyenne éduquée considère désormais qu’elle n’a plus besoin de l’Europe - voir tous les derniers sondages réalisés sur le sujet dans les dix dernières années - pour atteindre l’objectif du développement complet du pays et sa renaissance en tant que grande puissance.

 

Erdogan se repositionne stratégiquement vers le Moyen-Orient et l’Asie dont le but d’y devenir un point pivot incontournable. C’est là-bas que se trouve le moteur de la croissance mondiale future et ils le savent. Et que l’on soit d’accord ou non n’a aucune importance à leurs yeux, car les faits leurs donnent visiblement raison.

 

Il veut que les US revoient intégralement leur relation géopolitique - issue de la guerre froide - avec eux et qu’ils aient à présent un rapport d’égal à égal - à l’image d’Israël dans la région - et non plus d’un simple supplétif de leurs basses besognes régionales.

Modifié par Gravity
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Si la situation dérape à long terme, chuis pas contre la mission européenne de "stabilité" qui occupera la Thrace turque et la côte ouest de l'Asie Mineure, ça réglera le problème du contrôle du détroit du Bosphore (la région la plus riche et développée de Turquie, rien que ça).

Avec un Kurdistan à l'est indépendant (fusionnant avec son homologue irakien et ptet même syrien) et ce qui restera de la région autour d'Ankara pour un état turc (ressemble drôlement au projet avorté de la fin de la WWI concernant l'Empire Ottoman).

 

Je reviens, le temps de trouver un costume de général et une belle carte en relief de salle stratégique.

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Avec un Kurdistan à l'est indépendant (fusionnant avec son homologue irakien et ptet même syrien) 

 

 Faut faire attention: les kurdes d'Iraq ne veulent pas de kurdes Turques...apparemment c'est pas le meme pays.

Quant aux kurdes de Syrie, eh ben on est pas sur qu'ils seront là pour créer une nation de toute façon  :-[

 

J'ai un ami kurde qui n'arrête pas de chanter des louanges a propos d'un futur Kurdistan. Genre, "Ankara vole toute nos ressources, on serait riche sans eux". C'est pas faux qu'il y aurait pas mal de choses de bien, niveau pétrole, etc.

 

Pour le moment leur plus gros business c'est...les pistaches  :happy:

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Le problème ce n'est pas qu'ils veuillent être une puissance, c'est qu'ils choisissent un homme belliqueux, islamiste et totalitaire .

 

S'ils récoltent la tempête, ce sera bien parce qu'ils l'auront semé...

Modifié par Divos
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Si la situation dérape à long terme, chuis pas contre la mission européenne de "stabilité" qui occupera la Thrace turque et la côte ouest de l'Asie Mineure, ça réglera le problème du contrôle du détroit du Bosphore (la région la plus riche et développée de Turquie, rien que ça).

Avec un Kurdistan à l'est indépendant (fusionnant avec son homologue irakien et ptet même syrien) et ce qui restera de la région autour d'Ankara pour un état turc (ressemble drôlement au projet avorté de la fin de la WWI concernant l'Empire Ottoman).

 

Je reviens, le temps de trouver un costume de général et une belle carte en relief de salle stratégique.

Tu as oublié une chose : Rebaptiser Istanbul..ex Constantinople..

pffff courant d'air je suis loin.

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Le problème ce n'est pas qu'ils veuillent être une puissance, c'est qu'ils choisissent un homme .. islamiste ...

 

...

 

 

Tout dépend du point de vue où l’on se place. Certain oublie visiblement la nature et la réalite de la population Turc d’aujourd’hui (2014).

 

 

Turkey alcohol laws could pull the plug on Istanbul nightlife

 

Retailers in the city's Beyoglu district are worried about the likely impact on business and loss of traditions

Constanze Letsch in Istanbul

 

Friday 31 May 2013 10.21 BST   

 

In the Siirci bar in a backstreet of Istanbul's bustling Beyoglu district, a few patrons are enjoying a cold beer. Flyers for LBGT rights and environmentalist demonstrations are scattered on a small table with feminist magazines stacked alongside.

 

"Places like ours do not fit in the AKP's vision of Istanbul," says the bar's manager, Haydar Tas, of the party that has governed Turkey for the last decade. "And restrictions on alcohol consumption will make things harder for us."

 

In a surprise move last week, the Turkish parliament rushed through strict legislation that, once approved by the president, Abdullah Gul, will curb alcohol sales and drinking in Turkey.

 

The planned regulations would prohibit retail sales between 10pm and 6am, ban all alcohol advertising and promotion, and stop new shops and bars from opening within 100m of schools and mosques.

 

As is already the case with smoking, the depiction of alcohol consumption in films and on television would be blurred.

 

Retailers are worried about the likely impact on business.

 

"I make most sales after 10pm, and I sell mostly beer and wine," says shopowner Rafi Siropyan, 35. "Our family has been running this shop for 40 years, but I am afraid that I might have to look into alternatives."

 

Turkey is no stranger to teetotal campaigns or clampdowns on booze. In the Ottoman era, some sultans imposed similar restrictions. But alcohol consumption has always been part of food culture in Turkey, a country whose population is 99% Muslim.

 

Members of the opposition Republican People's party (CHP) compared AKP MPs who drafted the bill to the Ottoman sultan Murat VI, who was known for his puritanical stance on worldly pleasures such as drinking and smoking. He is said to have patrolled Istanbul's streets incognito in order to root out offenders.

 

"If Turkey really is a secular state, then the government should not have the right to tell me when and where to drink alcohol," says Seref Acehan, 69, a master butcher and Beyoglu resident. "As long as I don't harm others, drinking is a matter of my own personal freedom."

 

Not everyone agrees. A government supporter, Veli Koseoglu, 56, thinks that the bill does not go far enough: "If people are unable to buy alcohol after 10pm, they will simply stock up beforehand. What kind of restriction is this supposed to be?"

 

He lives in Ortakoy, a neighbourhood known for its lively bar scene.

 

"On weekends, people get drunk in the streets, they swear and start fights. It makes me uncomfortable. In my opinion, drinking should be banned in all public places such as buses or parks."

 

The government argues that the crackdown is only aimed at improving public health and protecting children. It insists that it does not amount to a ban.

 

"The bill doesn't ban alcohol consumption, it simply regulates it", AKP MP Nursuna Memecan told the Guardian. "People in Turkey have been scared into seeing religious fundamentalism around every street corner. It is important to protect young people from harmful substances."

 

Critics point out that such concerns are hardly justified. At only 1.5 litres a year Turkey has the lowest per capita alcohol consumption rate in Europe, and 83% of the population does not touch alcohol at all.

 

Some fear that the proposed law is a further step towards the Islamisation of the country. Speaking at an AKP meeting this week Turkey's prime minister, Recep Tayyip Erdogan, underlined that religion commanded "what was right".

 

"They use public health concerns as a thinly veiled excuse to impose their own lifestyle on everyone in Turkey," said one 45-year-old cornershop owner, who asked not to be named for fear of repercussions. "If things continue like this, they will soon pass laws that regulate how people should dress."

 

Others are worried about mounting authoritarianism in Turkey.

 

"Our government interferes in everything. They tell us how many children to have, how much salt we should put in our food, what kind of bread to eat and what to drink," Acehan said.

 

"Many European countries might have similar alcohol restrictions, but they have full democratic rights. They discuss laws before they are passed. I wish we would have this kind of mutual understanding in Turkey."

 

Tas is convinced that the drink curbs are aimed at appeasing conservative Muslim voters. "With so many more important problems to solve, there really is no need for alcohol restrictions in Turkey. If they are so concerned about freedom of religion, why don't they solve the headscarf issue instead of curtailing other people's choices?"

 

Sitting in his small bar in Beyoglu, he does not have much hope that things will change for the better.

 

"The AKP government wants to control what Beyoglu looks like, and who can be here. In the future, there will be no room for alternative places like ours. All leftist opposition groups, associations and cultural spaces will be rooted out, and the only place to get a drink will be expensive luxury hotels and restaurants. It will be the end of Beyoglu as we know it."

 

The Guardian

Modifié par Gravity
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Malgré la décision de la Cour constitutionnelle, le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan n'a toujours pas levé le blocage du réseau social.

 

Le gouvernement islamo-conservateur turc n'avait toujours pas levé jeudi à la mi-journée le blocage du réseau Twitter ordonné sans délai la veille par la Cour constitutionnelle, malgré les pressions de l'opposition, des internautes ou de Washington. Dans un arrêt rendu mercredi, la plus haute juridiction turque a jugé à l'unanimité que l'interdiction du réseau de microblogging constituait une violation du droit constitutionnel à la liberté d'expression et a ordonné son déblocage immédiat. Le jugement de la cour, contraignante et qui s'impose à l'autorité turque des télécommunications (TIB), a été publié jeudi matin au Journal officiel.

 

Un responsable du Parti de la justice et du développement (AKP), au pouvoir, a toutefois laissé entendre que l'interdiction générale de Twitter ne serait pas immédiatement levée.

 

L'opposition s'est indignée du retard pris par l'exécution de l'arrêt de la cour. "Ce jugement doit être appliqué sans délai", a affirmé un député du Parti républicain du peuple (CHP), Sezgin Tanrikulu, en menaçant de saisir la justice. La décision "s'impose à tous, même au Premier ministre Recep Tayyip Erdogan, qui n'applique pas la loi".

 

Le président des bâtonniers de Turquie, Metin Feyzioglu, a estimé que ce retard constituait "une infraction flagrante à la loi".

Le président Abdullah Gül, qui avait déploré la décision d'interdiction du gouvernement, a lui aussi réclamé l'exécution de la décision de la cour.

 

http://www.lepoint.fr/monde/twitter-toujours-bloque-en-turquie-03-04-2014-1808752_24.php

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ISTANBUL (Reuters) - Les autorités turques ont levé jeudi l'interdiction qui était en vigueur depuis deux semaines contre Twitter, à la suite d'un arrêt de la Cour constitutionnelle estimant que le blocage de ce réseau social était une atteinte à la liberté d'expression, a annoncé un membre du cabinet du Premier ministre.

 

YouTube, en revanche, demeure inaccessible en Turquie, l'Autorité nationale des télécommunications, TIB, ayant bloqué le site de partage de vidéos une semaine après avoir interdit l'accès à Twitter. La justice ne s'est toujours pas prononcée sur les recours intentés contre le blocage de YouTube.

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Quand on vit dans un pays où Twitter, Youtube et ce genres de sites sont bloqués, il y a moyen de contourner la censure avec des logiciels et des sites miroirs, et y avoir accès durablement et surtout sans courir de risques de se faire choper ?

Oui.

Les services américains ont sponsorisé tout un tas de solution facile d'emploi pour passer outre la censure en Chine notament de maniere a faciliter la vie des contestataire. Ce n'est pas tres compliqué a mettre en place, mais ca ralenti beaucoup le fonctionnement. Quand il s'agit de d'échanger des email, ou de diffuser des articles et quelques images ca ne pose pas de probleme. Pour tweeter retweeter et poster des grosse vidéo sur youtube ca doit etre assez chiant, suffisament pour que beaucoup de simples utilisateurs jettent l'éponge.

Comme toujours, l'activiste acharné va contourner sans souci la censure, mais le citoyen lambda risque de lacher l'affaire tres vite, d'autant plus s'il y a des menaces de sanction.

Ensuite selon la méthode utilisé pour filtrer l'internet, ça peut être de plus en plus compliqué, mais en Turquie la censure est techniquement tres basique, bien moins complexe qu'en Chine ou surtout qu'en Arabie par exemple.

Une des solutions les plus simple https://www.torproject.org/

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Oui.

Les services américains ont sponsorisé tout un tas de solution facile d'emploi pour passer outre la censure en Chine notament de maniere a faciliter la vie des contestataire. Ce n'est pas tres compliqué a mettre en place, mais ca ralenti beaucoup le fonctionnement. Quand il s'agit de d'échanger des email, ou de diffuser des articles et quelques images ca ne pose pas de probleme. Pour tweeter retweeter et poster des grosse vidéo sur youtube ca doit etre assez chiant, suffisament pour que beaucoup de simples utilisateurs jettent l'éponge.

Comme toujours, l'activiste acharné va contourner sans souci la censure, mais le citoyen lambda risque de lacher l'affaire tres vite, d'autant plus s'il y a des menaces de sanction.

Ensuite selon la méthode utilisé pour filtrer l'internet, ça peut être de plus en plus compliqué, mais en Turquie la censure est techniquement tres basique, bien moins complexe qu'en Chine ou surtout qu'en Arabie par exemple.

Une des solutions les plus simple https://www.torproject.org/

 

A souligner que ce sont les mêmes services secrets américains qui font tout pour torpiller TOR désormais  =D

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